Publié : 05 déc. 2017, 20:48
tg-forum.com
le forum de www.trans-girls.com
https://tg-forum.com/forum/
Les ladyboys d'Asie hors Thaïlande
Page 3 sur 5
Publié : 21 mai 2018, 21:25
Malaisie
J'ai lu quelques posts sur la Malaisie. Ce ne sont pas des informations que j'ai pu vérifier car je n'y suis pas retourné, mais ça permettra de faire remonter les fils intéressants au dessus des SPAMs.
Les prix seraient en baisse. Les rencontres à 200 RYM seraient désormais à 150 voire à 100 à Bornéo (Kota Kinabalu) avec en plus le taux de change du Ringgit qui s'est erodé avec le temps. Inutile de se précipiter, mais bon à savoir pour quelqu'un qui aurait de sprojets de visite en Malaisie.
Le deuxième point que je tiens d'une source plus fiable, c'est que l'usage de Wechat s'est largement développé en Malaisie. Bon à savoir.
J'ai lu quelques posts sur la Malaisie. Ce ne sont pas des informations que j'ai pu vérifier car je n'y suis pas retourné, mais ça permettra de faire remonter les fils intéressants au dessus des SPAMs.
Les prix seraient en baisse. Les rencontres à 200 RYM seraient désormais à 150 voire à 100 à Bornéo (Kota Kinabalu) avec en plus le taux de change du Ringgit qui s'est erodé avec le temps. Inutile de se précipiter, mais bon à savoir pour quelqu'un qui aurait de sprojets de visite en Malaisie.
Le deuxième point que je tiens d'une source plus fiable, c'est que l'usage de Wechat s'est largement développé en Malaisie. Bon à savoir.
Publié : 05 août 2018, 17:59
Pour compléter le sujet sur la Malaisie : une carte
Publié : 24 oct. 2018, 23:57
Quelques point à préciser avant de m'absenter.
Le premier concerne la Malaisie
J'ai posté une information erronée concernant les transsexuelles malaisiennes. Mea culpa. Je pensais en effet que depuis 2012, la Malaisie avait cessé de poursuivre les transsexuelles. En particulier, j'avais vu un ladyboy travailler comme hôtesse d'accueil au centre du KLCC (centre commercial situé sous les tours jumelles). Or, j'ai vu récemment une vidéo datée de 2016 montrant des ladyboys harcelées et poursuivies par une police religieuse qui fait également office de brigade des mœurs. Le mode opératoire est heureusement moyennement efficace. Cette police s'attaque aux racoleuses de rues ou éventuellement aux danseuses du cabaret de KL quand elles sont dans des lieux publics, mais il n'y a pas de descente de police dans le cabaret.
Si j'ai bien compris, l'interdit est restreint aux musulmans (avec une règle vicieuse également qui interdit aux musulmans de quitter leur religion de naissance). Les trans d'ethnies non musulmanes devraient ne pas être inquiétée,sauf bien sûr quand elles racolent. Voilà qui explique(rait) la présence de transexuelles qui racolent à Chow Kit autour du commissariat de police du quartier.
En règle générale, en Malaisie il vaut mieux rester discret. En Thaïlande, on peut se promener avec un ladyboy, personne ne dira rien, surtout à Pattaya. Ailleurs, les thaïs se diront qu'ils ont affaire à une andouille mais ne manifesteront pas d'agressivité, tout au plus de la moquerie. En Malaisie, il y a des bars à Whisky, mais il faut éviter d'être bourré et surtout de manquer de respect à un musulman si on est bourré. Ce ne sera pas une excuse, bien au contraire. Quant aux trans malaisiennes non musulmanes, je préfère le dire : je ne sais pas.
Pour les ladyboys, il vaut mieux utiliser Wechat, d'autres messageries ou des sites d'annonces pour rencontrer.
Comme indiqué ci-dessus, un rapport d'un touriste de passage dans le nord de la Malaisie fait état de rencontres avec des occasionnelles pour 150 RYM (31 €) soit des prix inférieurs à ceux que j'ai trouvés en 2014 (et un Rinngit qui a baissé).
A Kuala Lumpur, au contraire, les prix auraient augmentés et varieraient entre 200 et 400 RYM, selon un post d'un autre voyageur présent à KL en septembre. A noter qu'il y a beaucoup de trans philippins à KL, ce qui n'est pas ma tasse de thé. Elles ne peuvent plus utiliser Craigslist, backpage ou locanto pour passer leurs annonces depuis que ces sites ont fermé. Par contre le nombre de profils est largement en hausse sur TS-dating selon ce visiteur.
Tout se passe dans la zone de Bukit Bintang. On peut aussi utiliser Wechat.
En règle générale, il n'y a pas de bar de rencontre et le smartphone aurait supplanté le racolage de rue (à confirmer dans les villes plus petites comme à Bornéo).
Le premier concerne la Malaisie
J'ai posté une information erronée concernant les transsexuelles malaisiennes. Mea culpa. Je pensais en effet que depuis 2012, la Malaisie avait cessé de poursuivre les transsexuelles. En particulier, j'avais vu un ladyboy travailler comme hôtesse d'accueil au centre du KLCC (centre commercial situé sous les tours jumelles). Or, j'ai vu récemment une vidéo datée de 2016 montrant des ladyboys harcelées et poursuivies par une police religieuse qui fait également office de brigade des mœurs. Le mode opératoire est heureusement moyennement efficace. Cette police s'attaque aux racoleuses de rues ou éventuellement aux danseuses du cabaret de KL quand elles sont dans des lieux publics, mais il n'y a pas de descente de police dans le cabaret.
Si j'ai bien compris, l'interdit est restreint aux musulmans (avec une règle vicieuse également qui interdit aux musulmans de quitter leur religion de naissance). Les trans d'ethnies non musulmanes devraient ne pas être inquiétée,sauf bien sûr quand elles racolent. Voilà qui explique(rait) la présence de transexuelles qui racolent à Chow Kit autour du commissariat de police du quartier.
En règle générale, en Malaisie il vaut mieux rester discret. En Thaïlande, on peut se promener avec un ladyboy, personne ne dira rien, surtout à Pattaya. Ailleurs, les thaïs se diront qu'ils ont affaire à une andouille mais ne manifesteront pas d'agressivité, tout au plus de la moquerie. En Malaisie, il y a des bars à Whisky, mais il faut éviter d'être bourré et surtout de manquer de respect à un musulman si on est bourré. Ce ne sera pas une excuse, bien au contraire. Quant aux trans malaisiennes non musulmanes, je préfère le dire : je ne sais pas.
Pour les ladyboys, il vaut mieux utiliser Wechat, d'autres messageries ou des sites d'annonces pour rencontrer.
Comme indiqué ci-dessus, un rapport d'un touriste de passage dans le nord de la Malaisie fait état de rencontres avec des occasionnelles pour 150 RYM (31 €) soit des prix inférieurs à ceux que j'ai trouvés en 2014 (et un Rinngit qui a baissé).
A Kuala Lumpur, au contraire, les prix auraient augmentés et varieraient entre 200 et 400 RYM, selon un post d'un autre voyageur présent à KL en septembre. A noter qu'il y a beaucoup de trans philippins à KL, ce qui n'est pas ma tasse de thé. Elles ne peuvent plus utiliser Craigslist, backpage ou locanto pour passer leurs annonces depuis que ces sites ont fermé. Par contre le nombre de profils est largement en hausse sur TS-dating selon ce visiteur.
Tout se passe dans la zone de Bukit Bintang. On peut aussi utiliser Wechat.
En règle générale, il n'y a pas de bar de rencontre et le smartphone aurait supplanté le racolage de rue (à confirmer dans les villes plus petites comme à Bornéo).
Publié : 25 oct. 2018, 00:39
VIETNAM
J'ai également posté 2 imprécisions que je tiens à corriger concernant le Vietnam.
1°) la prostitution reste interdite mais est de moins en moins réprimée. En 2013, la Vietnam a arrêté d'interner les prostituées dans des centres de rééducation, si bien que j'avais cru comprendre qu'elle était désormais autorisée (tout comme le site où j'avais trouvé l'information). Mais j'ai depuis épluché des articles de presse vietnamiens et le prostitution reste en théorie interdite.
Pour les gens qui se prostituent (en vietnamiens, il s'agit de la prostituée comme du client), l'amende peut monter jusqu'à 5 millions de Dong. Pas de panique, ça fait moins de 190 euros. Par contre pour une vietnamienne, ça fait mal.
Le proxénétisme est plus ciblé par la police. En premier lieu, ce sont les proxénètes violents qui rackettent les prostituées qui sont ciblées, puis les proxénètes de rue. Les personnes qui se livrent au courtage de prostituées sont également arrêtées et condamnées à des peines de prison.
Il y a en revanche beaucoup de zones avec des cafés ou des petits restaurants où les serveuses sont des filles qui viennent de la campagne et qui travaillent pour se faire payer la nourriture. Apparemment, on peut payer des "bateaux rapides" pour des sommes assez modiques pour un massage sexuel ou une fellation, plus rarement un rapport complet. Il y aussi quelques zones de tolérance dans le pays où la police intervient peu. Il y a ou il y a eu car la police a peut-être fait le ménage sur plusieurs années.
Dans certaines villes, la police est débordée par la prostitution des jeunes femmes de la campagne qui essayent de gagner un peu d'argent. Il ya un débat dans les instances dirigeantes pour réglementer la prostitution voire créer des zones franches dans certaines îles pour le tourisme sexuel. Il y a des "pour" et des conservateurs.
2°) la transsexualité est officiellement reconnue par un amendement du code civil en 2015. L'article prévoit la reconnaissance des transgenres qui doivent s'inscrire et se faire reconnaître pour avoir le droit de changer de sexe.
Les plus fortunées vont faire leur chirurgie en Thaïlande (les articles vietnamiens sont très précis, il y aurait 37 phases pour un changement complet de sexe) et les modalités légales concernant les transsexuelles devaient être précisées par une loi dont le décret d'entrée en vigueur aurait dû paraître fin 2017, mais je n'ai rien trouvé de plus. Par contre, le Vietnam a ouvert 4 cliniques spécialisées dans la chirurgie pour les transsexuelles dans ses hôpitaux.
Des réflexions sont également menées pour réduire les discriminations à l'embauche et d'autres pour éventuellement développer une industrie de divertissement dans le tourisme copiée sur la Thaïlande. ce sont peut-être des fantasmes de journalistes vietnamiens.
Je n'ai pas réussi à croisé les informations sur les ladyboys avec celles de la prostitution (sauf dans un quartier de Saigon et quelques adresses). Il faut savoir rester prudent avec les ladyboys dans la rue car elles sont à l'origine de vols car ce sont d'excellents pickpockets. On les appelle des "petty thieves" en anglais.
J'ai également posté 2 imprécisions que je tiens à corriger concernant le Vietnam.
1°) la prostitution reste interdite mais est de moins en moins réprimée. En 2013, la Vietnam a arrêté d'interner les prostituées dans des centres de rééducation, si bien que j'avais cru comprendre qu'elle était désormais autorisée (tout comme le site où j'avais trouvé l'information). Mais j'ai depuis épluché des articles de presse vietnamiens et le prostitution reste en théorie interdite.
Pour les gens qui se prostituent (en vietnamiens, il s'agit de la prostituée comme du client), l'amende peut monter jusqu'à 5 millions de Dong. Pas de panique, ça fait moins de 190 euros. Par contre pour une vietnamienne, ça fait mal.
Le proxénétisme est plus ciblé par la police. En premier lieu, ce sont les proxénètes violents qui rackettent les prostituées qui sont ciblées, puis les proxénètes de rue. Les personnes qui se livrent au courtage de prostituées sont également arrêtées et condamnées à des peines de prison.
Il y a en revanche beaucoup de zones avec des cafés ou des petits restaurants où les serveuses sont des filles qui viennent de la campagne et qui travaillent pour se faire payer la nourriture. Apparemment, on peut payer des "bateaux rapides" pour des sommes assez modiques pour un massage sexuel ou une fellation, plus rarement un rapport complet. Il y aussi quelques zones de tolérance dans le pays où la police intervient peu. Il y a ou il y a eu car la police a peut-être fait le ménage sur plusieurs années.
Dans certaines villes, la police est débordée par la prostitution des jeunes femmes de la campagne qui essayent de gagner un peu d'argent. Il ya un débat dans les instances dirigeantes pour réglementer la prostitution voire créer des zones franches dans certaines îles pour le tourisme sexuel. Il y a des "pour" et des conservateurs.
2°) la transsexualité est officiellement reconnue par un amendement du code civil en 2015. L'article prévoit la reconnaissance des transgenres qui doivent s'inscrire et se faire reconnaître pour avoir le droit de changer de sexe.
Les plus fortunées vont faire leur chirurgie en Thaïlande (les articles vietnamiens sont très précis, il y aurait 37 phases pour un changement complet de sexe) et les modalités légales concernant les transsexuelles devaient être précisées par une loi dont le décret d'entrée en vigueur aurait dû paraître fin 2017, mais je n'ai rien trouvé de plus. Par contre, le Vietnam a ouvert 4 cliniques spécialisées dans la chirurgie pour les transsexuelles dans ses hôpitaux.
Des réflexions sont également menées pour réduire les discriminations à l'embauche et d'autres pour éventuellement développer une industrie de divertissement dans le tourisme copiée sur la Thaïlande. ce sont peut-être des fantasmes de journalistes vietnamiens.
Je n'ai pas réussi à croisé les informations sur les ladyboys avec celles de la prostitution (sauf dans un quartier de Saigon et quelques adresses). Il faut savoir rester prudent avec les ladyboys dans la rue car elles sont à l'origine de vols car ce sont d'excellents pickpockets. On les appelle des "petty thieves" en anglais.
Publié : 29 nov. 2018, 22:09
Pour finir avec le Vietnam et mon expérience sur place, le Vietnam, c'est loin d'être la Thaïlande, même si en Thaïlande, les prix tendent à flamber.
On ne trouve pratiquement pas de ladyboy dans le nord, sauf à Ha Noi (Hanoï). Je n'en ai pas trouvé à Hanoï mais j'ai fait une erreur. Une fois arrivé dans le Vietnam central, je me suis mis en recherche et j'ai consulté les notes que j'avais emmenées dans ma tablette et j'ai trouvé qu'il n'y avait que TS-dating pour trouver quelqu'un à Da Nang. Sur 3 "shemales" avec une annonce sur ts-dating, j'ai pu en contacter 2. L'une est une active pure et j'ai rencontré l'autre. Elle avait un physique moyen, elle n’était pas très motivée, assez mécanique et pressée d'en finir. Au passage, j'ai contacté une autre shemale dont j'avais mal lu l'adresse et je me suis rendu compte que TS-dating recélait un paquet de contacts (pas tous valides certes) à Hanoï.
A Nha Trang, je suis tombé sur un ladyboy dans un salon de massage dès le premier soir. Le massage a rapidement tourné à la rigolade, et on s'est donné rendez-vous à la fin de son service. Elle m'a posé un lapin. Heureusement, ill y a un spot non loin de là sur le boulevard qui longe la plage (les infos que j'avais disaient à coté du "Sail Club", mais c'est un peu plus loin presqu'enface des citadines). Il y en avait pour tous les goûts : femboy, femboy un peu moche, une belle plante très à cheval sur sa beauté, une belle cochonne qui aimait le sexe et même une trans opérée et quelques amazones). Il y avait en tout une petite dizaine de ladyboys. Après mon lapin de la première soirée, j'ai rattrapé le temps perdu en emmenant un joli femboy puis une heure plus tard la "belle plante" dans mon appartement. Elles avaient un point commun que j'ai souvent retrouvé au Vietnam : mon sexe d'occidental pourtant de taille moyenne était plutôt trop grand pour elles alors j'ai eu droit à des simagrées pour refuser la fellation nature promise, puis pour demander d'écourter la pénétration.
Le lendemain, j'ai à nouveau perdu du temps avec la masseuse qui m'avait juré qu'on ne se louperait pas et m'avait même donner son numéro de téléphone (pour mieux me jeter). Coté plage, An (la belle plante) essayait de s'imposer comme mon ladyboy attitré, ce qui m'a à nouveau fait perdre du temps. Puis j'en ai repéré une que j'ai finalement réussi à alpaguer quand An avait le dos tourné. Elle avait un look moyen, une belle poitrine, des grosses couilles qui pendaient et surtout elle aimait le sexe. Ce fut de loin ma meilleure expérience en termes de qualité, du moins pour la performance au lit. Elle a été passive mais je suis certain qu'elle ne dédaigne pas inverser les rôles de temps en temps.
A noter le prix dans ce petit coin sympa : 1 million de Dong (38 € environ) pour une heure environ (2 million si long time soit jusqu'à la fin de la nuit), ce qui est un bon rapport qualité/prix.
A Ho Chi Minh, j'ai encore perdu pas mal de temps à vérifier des informations trouvées sur le net (4 endroits en tout), en particulier, j'ai cherché un restaurant tenu par des ladyboys selon un blog en français daté de 2014. Le restaurant a fermé depuis et j'ai rajouté un commentaire.
J'ai trouvé un seul ladyboy sur Wechat. C'est mince. Elle m'a demandé 600000 dongs pour une heure et 700000 pour 2 heures. Elle était bien roulée mais avec un visage pas vraiment beau. A l'instar de beaucoup de vietnamiennes, elle craignait la pénétration, alors il m'a fallu me limiter de ce coté là. Je l'ai revue avant de reprendre l'avion pour le retour car elle était assez cool.
Lorsque j'étais à Da nang, j'avais pris un contact grâce à ts-dating avec un autre ladyboy de Ho Chi Minh city qui se définissait comme une "sissi girl". Je n'ai pas donné suite. J'ai également rencontré 2 autres ladyboys particulièrement belles grâce à TS-dating. A chaque fois j'ai payé 2 millions de dongs (pour 2 heures pour la première et à peine une heure pour l'autre). ça fait cher sachant que ces pauvres créatures ne supportent pas la sodomie très longtemps bien que niveau beauté, j’ai rarement eu affaire à des thaïlandaises aussi belles.
A Cần Thơ (4e ville du pays), au bord du delta du Mékong, j'ai passé 3 heures avec un ladyboy trouvé sur Ts-dating. Malgré sa bonne volonté, pas moyen de la pénétrer. C'est alors qu'elle m'a avoué être vierge, d'où mon post quelques heures plus tard : http://www.trans-girls.com/index.php?na ... ic&t=11269 Heureusement, en dehors de ça, c'était une bonne baiseuse. A revoir peut-être (si Camillamaksud répond à mon MP et que j'arrive à faire quelque chose de sa réponse).
Sur l'île de Phu Quoc, j'ai pris un hôtel à proximité de l'endroit où j'avais vu des ladyboys tapiner 2 ans plus tôt. Pas de bol, je suis rentré brocouille plusieurs soirs de suite. Le dernier soir, j'ai vu 2 silhouettes de ladyboys en train de tapiner exactement au même endroit. Je ne les avais jamais vues. Il y avait une grande un peu costaud et une petite bien roulée mais avec une tronche de travelo. J'ai emmené la petite à mon hôtel pour 500000 dongs. Quand elle s'est déshabillée, j'ai constaté qu'elle portait une perruque. C'était un petit travelo avec un visage qui manquait de féminité. Comme celle que j'avais rencontrée 2 ans auparavant, elle suçait goulument. Puis, elle accepté la pénétration sans se presser pendant que sa copine attendait devant la réception de l'hôtel. Bonne pioche, mais spot trop aléatoire.
Pour résumer : la plupart des ladyboys se trouvent sur ts-dating et coûtent assez cher (2 millions) tout en n'étant pas très chaudes coté sexe. A Nha Trang, on trouve des tapineuses pour 1 million et plus rarement, on peut trouver moins cher.
Vers la fin de mon séjour, j'ai remarqué des ladyboys qui vivaient en dehors du circuit pro. Peut-être que mon oeil a fini par s'exercer. A chaque fois, je n'était pas en position de les aborder et je ne le regrette pas. Par ailleurs, certaines que j'ai rencontrées se font aisément passer pour des filles, toujours est-il que les ladyboys vietnamiennes sont très discrètes.
Je n'ai pas eu le temps de visiter quelques villes incontournables côté touristique. Ce sont autant de possibilités de trouver éventuellement d'autres ladyboys de perdues. Comme le Vietnam est un pays très intéressant du point de vue touristique (AMHA, le Vietnam bat la Thaïlande à plate couture) avec une hôtellerie moins chère et de meilleure qualité, je retournerai pour visiter certaines de ces villes et y faire du tourisme.
On ne trouve pratiquement pas de ladyboy dans le nord, sauf à Ha Noi (Hanoï). Je n'en ai pas trouvé à Hanoï mais j'ai fait une erreur. Une fois arrivé dans le Vietnam central, je me suis mis en recherche et j'ai consulté les notes que j'avais emmenées dans ma tablette et j'ai trouvé qu'il n'y avait que TS-dating pour trouver quelqu'un à Da Nang. Sur 3 "shemales" avec une annonce sur ts-dating, j'ai pu en contacter 2. L'une est une active pure et j'ai rencontré l'autre. Elle avait un physique moyen, elle n’était pas très motivée, assez mécanique et pressée d'en finir. Au passage, j'ai contacté une autre shemale dont j'avais mal lu l'adresse et je me suis rendu compte que TS-dating recélait un paquet de contacts (pas tous valides certes) à Hanoï.
A Nha Trang, je suis tombé sur un ladyboy dans un salon de massage dès le premier soir. Le massage a rapidement tourné à la rigolade, et on s'est donné rendez-vous à la fin de son service. Elle m'a posé un lapin. Heureusement, ill y a un spot non loin de là sur le boulevard qui longe la plage (les infos que j'avais disaient à coté du "Sail Club", mais c'est un peu plus loin presqu'enface des citadines). Il y en avait pour tous les goûts : femboy, femboy un peu moche, une belle plante très à cheval sur sa beauté, une belle cochonne qui aimait le sexe et même une trans opérée et quelques amazones). Il y avait en tout une petite dizaine de ladyboys. Après mon lapin de la première soirée, j'ai rattrapé le temps perdu en emmenant un joli femboy puis une heure plus tard la "belle plante" dans mon appartement. Elles avaient un point commun que j'ai souvent retrouvé au Vietnam : mon sexe d'occidental pourtant de taille moyenne était plutôt trop grand pour elles alors j'ai eu droit à des simagrées pour refuser la fellation nature promise, puis pour demander d'écourter la pénétration.
Le lendemain, j'ai à nouveau perdu du temps avec la masseuse qui m'avait juré qu'on ne se louperait pas et m'avait même donner son numéro de téléphone (pour mieux me jeter). Coté plage, An (la belle plante) essayait de s'imposer comme mon ladyboy attitré, ce qui m'a à nouveau fait perdre du temps. Puis j'en ai repéré une que j'ai finalement réussi à alpaguer quand An avait le dos tourné. Elle avait un look moyen, une belle poitrine, des grosses couilles qui pendaient et surtout elle aimait le sexe. Ce fut de loin ma meilleure expérience en termes de qualité, du moins pour la performance au lit. Elle a été passive mais je suis certain qu'elle ne dédaigne pas inverser les rôles de temps en temps.
A noter le prix dans ce petit coin sympa : 1 million de Dong (38 € environ) pour une heure environ (2 million si long time soit jusqu'à la fin de la nuit), ce qui est un bon rapport qualité/prix.
A Ho Chi Minh, j'ai encore perdu pas mal de temps à vérifier des informations trouvées sur le net (4 endroits en tout), en particulier, j'ai cherché un restaurant tenu par des ladyboys selon un blog en français daté de 2014. Le restaurant a fermé depuis et j'ai rajouté un commentaire.
J'ai trouvé un seul ladyboy sur Wechat. C'est mince. Elle m'a demandé 600000 dongs pour une heure et 700000 pour 2 heures. Elle était bien roulée mais avec un visage pas vraiment beau. A l'instar de beaucoup de vietnamiennes, elle craignait la pénétration, alors il m'a fallu me limiter de ce coté là. Je l'ai revue avant de reprendre l'avion pour le retour car elle était assez cool.
Lorsque j'étais à Da nang, j'avais pris un contact grâce à ts-dating avec un autre ladyboy de Ho Chi Minh city qui se définissait comme une "sissi girl". Je n'ai pas donné suite. J'ai également rencontré 2 autres ladyboys particulièrement belles grâce à TS-dating. A chaque fois j'ai payé 2 millions de dongs (pour 2 heures pour la première et à peine une heure pour l'autre). ça fait cher sachant que ces pauvres créatures ne supportent pas la sodomie très longtemps bien que niveau beauté, j’ai rarement eu affaire à des thaïlandaises aussi belles.
A Cần Thơ (4e ville du pays), au bord du delta du Mékong, j'ai passé 3 heures avec un ladyboy trouvé sur Ts-dating. Malgré sa bonne volonté, pas moyen de la pénétrer. C'est alors qu'elle m'a avoué être vierge, d'où mon post quelques heures plus tard : http://www.trans-girls.com/index.php?na ... ic&t=11269 Heureusement, en dehors de ça, c'était une bonne baiseuse. A revoir peut-être (si Camillamaksud répond à mon MP et que j'arrive à faire quelque chose de sa réponse).
Sur l'île de Phu Quoc, j'ai pris un hôtel à proximité de l'endroit où j'avais vu des ladyboys tapiner 2 ans plus tôt. Pas de bol, je suis rentré brocouille plusieurs soirs de suite. Le dernier soir, j'ai vu 2 silhouettes de ladyboys en train de tapiner exactement au même endroit. Je ne les avais jamais vues. Il y avait une grande un peu costaud et une petite bien roulée mais avec une tronche de travelo. J'ai emmené la petite à mon hôtel pour 500000 dongs. Quand elle s'est déshabillée, j'ai constaté qu'elle portait une perruque. C'était un petit travelo avec un visage qui manquait de féminité. Comme celle que j'avais rencontrée 2 ans auparavant, elle suçait goulument. Puis, elle accepté la pénétration sans se presser pendant que sa copine attendait devant la réception de l'hôtel. Bonne pioche, mais spot trop aléatoire.
Pour résumer : la plupart des ladyboys se trouvent sur ts-dating et coûtent assez cher (2 millions) tout en n'étant pas très chaudes coté sexe. A Nha Trang, on trouve des tapineuses pour 1 million et plus rarement, on peut trouver moins cher.
Vers la fin de mon séjour, j'ai remarqué des ladyboys qui vivaient en dehors du circuit pro. Peut-être que mon oeil a fini par s'exercer. A chaque fois, je n'était pas en position de les aborder et je ne le regrette pas. Par ailleurs, certaines que j'ai rencontrées se font aisément passer pour des filles, toujours est-il que les ladyboys vietnamiennes sont très discrètes.
Je n'ai pas eu le temps de visiter quelques villes incontournables côté touristique. Ce sont autant de possibilités de trouver éventuellement d'autres ladyboys de perdues. Comme le Vietnam est un pays très intéressant du point de vue touristique (AMHA, le Vietnam bat la Thaïlande à plate couture) avec une hôtellerie moins chère et de meilleure qualité, je retournerai pour visiter certaines de ces villes et y faire du tourisme.
Publié : 30 nov. 2018, 00:47
Merci pour ton récit, Samut.
Rassures moi : le Viet nam est bien encore un pays communiste ?
Ça se remarque ?
Et est-ce que ça a une incidence sur l'attitude / mœurs de ces fameuses ladyboys ?
Rassures moi : le Viet nam est bien encore un pays communiste ?
Ça se remarque ?
Et est-ce que ça a une incidence sur l'attitude / mœurs de ces fameuses ladyboys ?
Publié : 30 nov. 2018, 17:26
Non, on ne se voit pas comme dans un pays communiste sauf sur certains détails. Pour le reste on se croirait presque en Thaïlande à l'exception qu'il n'y a pas de quartier avec des bars à putes ni des coins comme Pattaya ou certains quartiers de Bangkok où on peut s'afficher avec un ladyboy (sauf le coin de Nha Trang décrit ci-dessus).
Un grand atout des ladyboys vitenamiens : la discrétion : soit elles ne sortent pas de leur chambre, soit elles réussissent à se faire passer pour une fille (disons dans les 3/4 des cas). A ce propos, si vous allez en Thaïlande, faites attention à cette opinion disant qu'on est libre de se montrer en couple avec un ladyboy. C'est largement répandu à Pattaya et autour des RLD de Bangkok (ou vers Patong à Phuket). Par contre, ailleurs, ça fait passer pour un gros plouc prêt à se payer une pute masculine pour assouvir ses pulsions sexuelles et les thaïs aiment bien se moquer de ces gens dans leurs dos.
Un grand atout des ladyboys vitenamiens : la discrétion : soit elles ne sortent pas de leur chambre, soit elles réussissent à se faire passer pour une fille (disons dans les 3/4 des cas). A ce propos, si vous allez en Thaïlande, faites attention à cette opinion disant qu'on est libre de se montrer en couple avec un ladyboy. C'est largement répandu à Pattaya et autour des RLD de Bangkok (ou vers Patong à Phuket). Par contre, ailleurs, ça fait passer pour un gros plouc prêt à se payer une pute masculine pour assouvir ses pulsions sexuelles et les thaïs aiment bien se moquer de ces gens dans leurs dos.
Publié : 13 janv. 2019, 22:19
Japon : le pays des "Newhalf"
Je ne sais toujours pas pourquoi on parle de Newhalf quand il s'agit des shemales japonaises. J'ai trouvé un fil sur un forum et un habitué du Japon a apporté quelques mises à jour. Selon un américain, une trans philippine travaillant au Japon lui a dit qu'on disait "Newhalf", le mot anglais, mais c'est peut-être une déformation dû au fait qu'elle est philippine. J'ai aussi trouvé le mot de "Otokonoko" qui semble plus désigner des travestis ou des drag queens.
Les shemales japonaises travaillent dans des "boutiques" ou des "magasins" qui sont les mots utilisés pour les maisons closes qui mes emploient. Ce sont en fait des hôtels de passe très discrets. Qu'on peut trouver grâce à leurs sites publicitaires sur le net. En voici une liste remise à jour récemment :
Tokyo
http://www.gnhc.co.jp/main/
http://www.boys-girl.com/
http://shinjuku.newhalf315.com/
https://artemis-xxx.com/ (pas d’adresse donnée en anglais ni en caractères copiable+collable
http://callisto.artemis-xx.com/ (également à Sendai) Adresse NC. Se faire guider par téléphone une fois arrivé à proximité.
http://www.nh-elite.jp/
http://www.newhalf-nh.com/
http://www.ranpha.jp/
http://www.newhalffan.com/
Cabaret: http://guppy.in/
http://xoxokiss.net/ (localisation inconnue)
Fukuoka
http://www.nh-elite.jp/
Nagoya
http://she-mail2.jp/
Sendai
https://sendai.newhalf315.com/
http://callisto.artemis-xx.com/ (également à Tokyo) Adresse NC. Se faire guider par téléphone une fois arrivé à proximité.
Yokohama
http://yokohama.boys-girl.com/
La facturation du prix est quelque peu complexe à comprendre. D'après ce que j'ai compris, il y a 2 types de "systèmes" :
Dans certaines boutiques, il y a des sessions dites "de base" et des sessions "régulières". Les sessions de base n'autoriserait pas de sexe, seulement des baisers et des massages sexuels tout au plus. Les sessions régulières prévoient des rapports actifs, passifs ou les 2.
Ailleurs, les boutiques offrent des sessions avec un menu "de base" accompagné de suppléments. Par exemple, le prix de base est de 15000 yen pour 45 mn, 17000 yen pour 60 mn, 22000 yen pour 90 mn, 26000 yen pour 120 mn et 30000 yen pour 150 mn. A celà, il faut ajouter un "nomination fee" de 1000 yen (frais de dossier vraisemblablement) ainsi que le prix des options : 1000 yen pour utiliser un sex toy, 2000 yen pour une pénétration anale, 2000 yen pour une pénétration anale inverse (se faire pénétrer par la shemale), 4000 yen pour du SM, 4000 yen pour faire éjaculer le modèle.
Autre problème soulevé (il y a quelques années déjà) : les étrangers sont mal acceptés comme client dans ce business. Il est impossible de savoir pourquoi. Peut-être que des américains ont tapé le scandale à une époque ou y a-t-il eu autre chose, mais il y a quelques années, on a expliqué à un canadien que les étrangers ne connaissent pas cette culture. Depuis, il semblerait que certaines boutiques soient plus ouvertes aux étrangers que d'autres.
D'après ce que j'ai vu sur les sites, les clients sont invités à réserver à l'avance (et à payer avec leur carte bancaire). Comme un certain nombre de clients ne se présentent pas au rendez-vous, c'est tout bénef pour la boutique. Selon un client, il est préférable de ne pas réserver et de se présenter à la boutique pour prendre un des modèles présents. Il y a aussi certaines boutiques qui factures 15 % de frais en plus en cas de paiement par carte bancaire, du coup, il est peut-être plus prudent de payer en cash.
Certaines adresses sont difficiles à trouver même en utilisant Google Maps. Autant Google Maps m'apparait assez facile avec la Thaïlande ou d'autres pays asiatiques, autant ça m'apparait incompréhensible dans les villes japonaises.
Une note positive pour finir : les tarifs étaient jugés exorbitants il y a une dizaine d'années (surtout comparés aux tarifs thaïlandais il y a 10 ans), mais sont restés stables. Ils sont comparables à ce qu'on trouve à Paris ou en Allemagne.
Personnellement, je n'irais pas faire un voyage au Japon pour découvrir les newhalfs, mais j'espère que ce post puisse être utile à quelqu'un qui aurait à voyager dans une grande ville japonaise. Mon boulot m'avait emmené au Japon au siècle dernier. Si j'avais à y retourner par hasard, je sais ce que je pourrais faire si je trouvais quelques instants de loisir.
Je ne sais toujours pas pourquoi on parle de Newhalf quand il s'agit des shemales japonaises. J'ai trouvé un fil sur un forum et un habitué du Japon a apporté quelques mises à jour. Selon un américain, une trans philippine travaillant au Japon lui a dit qu'on disait "Newhalf", le mot anglais, mais c'est peut-être une déformation dû au fait qu'elle est philippine. J'ai aussi trouvé le mot de "Otokonoko" qui semble plus désigner des travestis ou des drag queens.
Les shemales japonaises travaillent dans des "boutiques" ou des "magasins" qui sont les mots utilisés pour les maisons closes qui mes emploient. Ce sont en fait des hôtels de passe très discrets. Qu'on peut trouver grâce à leurs sites publicitaires sur le net. En voici une liste remise à jour récemment :
Tokyo
http://www.gnhc.co.jp/main/
http://www.boys-girl.com/
http://shinjuku.newhalf315.com/
https://artemis-xxx.com/ (pas d’adresse donnée en anglais ni en caractères copiable+collable
http://callisto.artemis-xx.com/ (également à Sendai) Adresse NC. Se faire guider par téléphone une fois arrivé à proximité.
http://www.nh-elite.jp/
http://www.newhalf-nh.com/
http://www.ranpha.jp/
http://www.newhalffan.com/
Cabaret: http://guppy.in/
http://xoxokiss.net/ (localisation inconnue)
Fukuoka
http://www.nh-elite.jp/
Nagoya
http://she-mail2.jp/
Sendai
https://sendai.newhalf315.com/
http://callisto.artemis-xx.com/ (également à Tokyo) Adresse NC. Se faire guider par téléphone une fois arrivé à proximité.
Yokohama
http://yokohama.boys-girl.com/
La facturation du prix est quelque peu complexe à comprendre. D'après ce que j'ai compris, il y a 2 types de "systèmes" :
Dans certaines boutiques, il y a des sessions dites "de base" et des sessions "régulières". Les sessions de base n'autoriserait pas de sexe, seulement des baisers et des massages sexuels tout au plus. Les sessions régulières prévoient des rapports actifs, passifs ou les 2.
Ailleurs, les boutiques offrent des sessions avec un menu "de base" accompagné de suppléments. Par exemple, le prix de base est de 15000 yen pour 45 mn, 17000 yen pour 60 mn, 22000 yen pour 90 mn, 26000 yen pour 120 mn et 30000 yen pour 150 mn. A celà, il faut ajouter un "nomination fee" de 1000 yen (frais de dossier vraisemblablement) ainsi que le prix des options : 1000 yen pour utiliser un sex toy, 2000 yen pour une pénétration anale, 2000 yen pour une pénétration anale inverse (se faire pénétrer par la shemale), 4000 yen pour du SM, 4000 yen pour faire éjaculer le modèle.
Autre problème soulevé (il y a quelques années déjà) : les étrangers sont mal acceptés comme client dans ce business. Il est impossible de savoir pourquoi. Peut-être que des américains ont tapé le scandale à une époque ou y a-t-il eu autre chose, mais il y a quelques années, on a expliqué à un canadien que les étrangers ne connaissent pas cette culture. Depuis, il semblerait que certaines boutiques soient plus ouvertes aux étrangers que d'autres.
D'après ce que j'ai vu sur les sites, les clients sont invités à réserver à l'avance (et à payer avec leur carte bancaire). Comme un certain nombre de clients ne se présentent pas au rendez-vous, c'est tout bénef pour la boutique. Selon un client, il est préférable de ne pas réserver et de se présenter à la boutique pour prendre un des modèles présents. Il y a aussi certaines boutiques qui factures 15 % de frais en plus en cas de paiement par carte bancaire, du coup, il est peut-être plus prudent de payer en cash.
Certaines adresses sont difficiles à trouver même en utilisant Google Maps. Autant Google Maps m'apparait assez facile avec la Thaïlande ou d'autres pays asiatiques, autant ça m'apparait incompréhensible dans les villes japonaises.
Une note positive pour finir : les tarifs étaient jugés exorbitants il y a une dizaine d'années (surtout comparés aux tarifs thaïlandais il y a 10 ans), mais sont restés stables. Ils sont comparables à ce qu'on trouve à Paris ou en Allemagne.
Personnellement, je n'irais pas faire un voyage au Japon pour découvrir les newhalfs, mais j'espère que ce post puisse être utile à quelqu'un qui aurait à voyager dans une grande ville japonaise. Mon boulot m'avait emmené au Japon au siècle dernier. Si j'avais à y retourner par hasard, je sais ce que je pourrais faire si je trouvais quelques instants de loisir.
Publié : 13 janv. 2019, 23:39
intéressant ton post sur le Japon. Les annonces sont très sages.
Publié : 14 janv. 2019, 23:44
Sages ?
Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire. Certains sites parlent de "séance de santé" (termes donnés par un traducteur) et bien sûr une trans ne prodigue pas de sexe mais des soins de santé. Il doit y avoir une petite pirouette juridique pour ne pas nommer ce qui est interdit.
Sinon, j'ai trouvé une vieille discussion sur la Corée, principalement Séoul. J'espère trouver le temps d'écrire un petit topo dans un post, même si a priori la Corée (du sud) parait assez chère.
Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire. Certains sites parlent de "séance de santé" (termes donnés par un traducteur) et bien sûr une trans ne prodigue pas de sexe mais des soins de santé. Il doit y avoir une petite pirouette juridique pour ne pas nommer ce qui est interdit.
Sinon, j'ai trouvé une vieille discussion sur la Corée, principalement Séoul. J'espère trouver le temps d'écrire un petit topo dans un post, même si a priori la Corée (du sud) parait assez chère.
Publié : 14 janv. 2019, 23:56
Les photos par exemple, pas un bout de sein qui dépasse. Je parle bien des annonces, après ce qui se passe au lit je sais pas.
Publié : 15 janv. 2019, 00:04
Il y a une censure assez forte au Japon. Les actrices et acteurs de porno ont souvent le sexe rasé car la vue d'un poil correspond à une obscénité interdite même dans le porno. Sur certaines vidéos, les bites, les chattes et les orifices anaux sont floutés. Puis, il s'agit de séances de santé, ne l'oublions pas. 
A part ça, certaines boutiques vendent des vidéos pornos de leurs employées. Va comprendre.
Personnellement, je n'ai pas compris grand chose.
A part ça, certaines boutiques vendent des vidéos pornos de leurs employées. Va comprendre. Personnellement, je n'ai pas compris grand chose.
Publié : 22 janv. 2019, 01:20
Corée : le pays du matin calme (parce que la nuit est trop chiante)
Je suis tombé sur un vieux fil de punters sur la Corée. J'avais trouvé des informations selon lesquelles la prostitution y était interdite. Ce devait être la prostitution de rue. Pourtant, celle-ci existe à Seoul, mais est très restreinte.
Coté ladyboys ou transsexuelles, il y a quelques bars à Seoul. Les habitués citent une poignée de noms dans le quartier d'Itaewon : Gimme 5, Yobo Yobo, Boccachico, Trans Rose, Akasaka, Madrid. La plupart de ces bars se trouv(er)aient du côté de "Homo Hill", en l'occurrence Usadan-ro 12-gil (sauf erreur de ma part https://www.google.fr/maps/place/Usadan ... 958368,19z ) et de Hooker Hill (Usadan-ro 14-gil).
Coté prix, ça devient plus confus. Apparemment, le prix d'un lady's drink est de 20 dollars. Ce pendant, je ne sais pas s'il s'agit de dollars américains ou australiens et le prix d'un "short-time" est de 200 dollars. Il s'agit de prix constatés entre 2005 et 2008.
J'ai lu des trucs encore plus délirants. En 2010, dans un club, avant même d'avoir pu toucher une trans, un voyageur dit s'être vu demander 320000 wons (250 €) en dépenses de bouffe et de champagne. En 2006, au Boccachico, un habitué de Seoul a dépensé une formule à 150 dollars (95/130 € selon que les dollars soient australiens ou américains) pour avoir plusieurs trans assises à sa table et pour 5 bières, et 300 dolars pour sortir avec une trans.
En 2005, au bar Akasaka, les trans refusaient d'aller à l'hôtel avec le client et préferaient les orienter vers leur chambre à proximité, en fait un hôtel de passe assez glauque. De son coté le Yobo Yobo est perçu comme trop cher. Toujours en 2005, un client a dépensé 600 dollars (entre 380 et 530 €) pour une bière, un lady's drink, un short time et une chambre d'hôtel correcte pour leur rencontre.
Les prix sont tellements élevés que les expatriés vivant à Seoul recommandent de conserver son argent pour se payer un billet d'avion pour aller faire des escapades de week end à Bangkok (mais les prix ont bien augmenté depuis) ou aux Philippines.
Petite note optimiste : en 2005, un voyageur a trouvé des trans à 100000 wons (100 dollars selon ses dires, 75/80 € au cours actuel) dans la rue près du Hyatt Regency. J'ai trouvé une vidéo récente parlant de trans dans la rue Sowol-ro. Il s'agit peut-être des mêmes spots.
Conclusion : n'allez pas à Seoul pour chasser des trans. Si vos obligations vous emmènent là-bas, sachez que ça coûte très cher ou qu'il faut peut-être envisager une escapade de week-end.
PS : désolé pour les liens google maps, mais le forum ne veut pas les prendre en entier. Faites des copier+coller ou refaites les recherches sur google maps.
Je suis tombé sur un vieux fil de punters sur la Corée. J'avais trouvé des informations selon lesquelles la prostitution y était interdite. Ce devait être la prostitution de rue. Pourtant, celle-ci existe à Seoul, mais est très restreinte.
Coté ladyboys ou transsexuelles, il y a quelques bars à Seoul. Les habitués citent une poignée de noms dans le quartier d'Itaewon : Gimme 5, Yobo Yobo, Boccachico, Trans Rose, Akasaka, Madrid. La plupart de ces bars se trouv(er)aient du côté de "Homo Hill", en l'occurrence Usadan-ro 12-gil (sauf erreur de ma part https://www.google.fr/maps/place/Usadan ... 958368,19z ) et de Hooker Hill (Usadan-ro 14-gil).
Coté prix, ça devient plus confus. Apparemment, le prix d'un lady's drink est de 20 dollars. Ce pendant, je ne sais pas s'il s'agit de dollars américains ou australiens et le prix d'un "short-time" est de 200 dollars. Il s'agit de prix constatés entre 2005 et 2008.
J'ai lu des trucs encore plus délirants. En 2010, dans un club, avant même d'avoir pu toucher une trans, un voyageur dit s'être vu demander 320000 wons (250 €) en dépenses de bouffe et de champagne. En 2006, au Boccachico, un habitué de Seoul a dépensé une formule à 150 dollars (95/130 € selon que les dollars soient australiens ou américains) pour avoir plusieurs trans assises à sa table et pour 5 bières, et 300 dolars pour sortir avec une trans.
En 2005, au bar Akasaka, les trans refusaient d'aller à l'hôtel avec le client et préferaient les orienter vers leur chambre à proximité, en fait un hôtel de passe assez glauque. De son coté le Yobo Yobo est perçu comme trop cher. Toujours en 2005, un client a dépensé 600 dollars (entre 380 et 530 €) pour une bière, un lady's drink, un short time et une chambre d'hôtel correcte pour leur rencontre.
Les prix sont tellements élevés que les expatriés vivant à Seoul recommandent de conserver son argent pour se payer un billet d'avion pour aller faire des escapades de week end à Bangkok (mais les prix ont bien augmenté depuis) ou aux Philippines.
Petite note optimiste : en 2005, un voyageur a trouvé des trans à 100000 wons (100 dollars selon ses dires, 75/80 € au cours actuel) dans la rue près du Hyatt Regency. J'ai trouvé une vidéo récente parlant de trans dans la rue Sowol-ro. Il s'agit peut-être des mêmes spots.
Conclusion : n'allez pas à Seoul pour chasser des trans. Si vos obligations vous emmènent là-bas, sachez que ça coûte très cher ou qu'il faut peut-être envisager une escapade de week-end.
PS : désolé pour les liens google maps, mais le forum ne veut pas les prendre en entier. Faites des copier+coller ou refaites les recherches sur google maps.
Publié : 14 févr. 2019, 08:33
je suis vraiment impressionné par ton parcours que je qualifierais de surhumain tu me fais fanstamer moi qui suis avec la même depuis janvier 1974 à 6 mois par an .
je suis pour la plupard du temps à cebu. je pense que tu dois avoir un stock de capotes conséquent .
j'aide un peu les nouveaux venus mais ceux qui veulent une relation sérieuse par l'intermediaire de forums puis de whatsapp .
précision whatsapp est aussi utilisé que wechat
je suis pour la plupard du temps à cebu. je pense que tu dois avoir un stock de capotes conséquent .
j'aide un peu les nouveaux venus mais ceux qui veulent une relation sérieuse par l'intermediaire de forums puis de whatsapp .
précision whatsapp est aussi utilisé que wechat