Publié : 01 mars 2021, 10:31
Merci SamutPrakan pour ce récit criant de vérité.Samutprakan a écrit :C'est curieux comme les idées s'associent et s'enchaînent. . Valéria tapinait justement route de Suresne en PC1 vers la jonction avec PC8. Ce n’était pas la haie de trans décrite ci-dessus par Nosta, mais certains soirs, il y avait des jolies brochettes de trans dans certains coins. Valéria était une Equatorienne blonde aux cheuveux bouclés et à la peau clair un peu comme une photo d’Ophélie Winter dont on aurait photoshoppé le visage. .
Le spot(1) que j’évoquais dans mon précédent message se situe au croisement de la Route de Suresnes avec la Route de la Muette à Neuilly et non pas en PC1- PC8. Depuis que certaines routes du bois ont été interdites à la circulation, la Route de Suresnes est coupée en deux. Il y a donc deux Route de Suresnes
Mais, effectivement, près du Pré Catelan, je me souviens parfaitement de ce petit pont qui conduisait à un baisodrome arboré où j’ai, moi aussi, souvent taquiné les rondelles de ces dames. Peut-être ai-je même baisé cette Valéria ? A quelle époque était-ce ?
Comme je m’en veux aujourd’hui de ne pas avoir noté le prénom de toutes ces créatures dont j’ai explosé le trou du cul
Le temps ayant passé, je ne me rappelle aujourd’hui que de celui de quelques régulières et de celui de celles qui, aujourd’hui encore, alimentent mes fantasmes.
Je n’aimais pas particulièrement ce spot. Certes il y avait du choix, mais certaines transsexuelles y étaient parfois peu aimables, voire franchement agressives. Une soir, alors que je faisais un premier repérage en voiture, l’une d’elles, avec laquelle j’avais brièvement échangé sans conclure, avait violemment martelé ma portière à coups de pieds alors que je redémarrais
Néanmoins, au début des années 2010, j’y avais quelques habitudes, comme Jennifer de l’autre côté de l’Allée de Reine Marguerite ou encore Tatiana(3). Il y avait aussi Samantha(2), une équatorienne comme Valéria. J’ai déjà longuement évoquée Samantha dans mon message du 12 décembre dernier. Je me souviens encore l’avoir défoncé un jour de pluie contre un arbre près du Ruisseau de Longchamp
De biens belles salopes que je n’ai pas oubliées
Et puis il y toutes les autres qui peuplaient ce même spot.
- Celles qui furent un choix par défaut parce que la superbe bimbo, qui tapinait au coin de la Route de Suresnes et de l’Allée de la Reine Marguerite, n’était jamais disponible et que vous ne vouliez pas quitter le bois les couilles pleines ;
- Celles qui avaient un horodateur dans la tête et s’activaient à vous faire gicler le plus vite possible ;
- Celles qui vous avaient proposé, moyennant "un petit cadeau en plus", une pipe nature, ou un doigt dans le cul ;
- Celles qui avaient plombé l’atmosphère en se faisant très insistantes pour essayer de vous faire sortir un troisième petit bleu pour finalement accepter de se faire démonter au tarif convenu ;
- Celles qui tentaient de vous faire prendre des vessies pour des lanternes et leurs entrecuisses pour leurs trous du cul ;
Toutes celles-là, je les effacées de ma mémoire même si,sur le moment, certaines m’ont sans doute fait jouir un de ces soirs tristes, ou un de ces matins glauques, où j’avais tellement les crocs que j’aurais explosé n’importe quelle gargouille à foutre.
Alexandre-Benoit
(1) C’est approximativement en 48°52’8.92’’ N 2°16’03.33’’ E que, ce soir-là, les ardeurs d’une superbe black avaient eu de fâcheuses conséquences pour mon pantalon
(2) Mon récit sur Samantha : http://www.trans-girls.com/index.php?na ... c&start=15 page 2
(3) J’ai baisé Tatiana (ou Katiana ?) une dernière fois début 2014 au milieu de cette parcelle de bois coincée entre PC8 et RM16. Il faisait froid, le sol était souillé de Kleenex et de capotes usagées, les arbres sans feuilles nous exposaient à la vue des voyeurs et des racailles qui écumaient la zone et, malgré tout, je regrette ces instants de plaisir intense où j’ai défoncé pour la dernière fois le petit cul ferme de cette blonde
Elle bandait et me suppliait de ne pas m’arrêter
Un de meilleurs souvenirs
Mais, comme l’a écrit mon créateur , « Les souvenirs sont doux à qui les raconte, chiants à qui les écoute."