Hello les nostalgiques !
J’adore ce fil où l’on peut faire revivre et partager des souvenirs. J’espère que, parmi ceux qui liront le récit qui suit, il se trouvera un internaute qui lui aussi aura connu Sandra et me répondra.
Sandra était une transsexuelle élégante et bien membrée qui tapinait tôt le matin au début de l’Allée de la Reine Marguerite entre RM1 et RDPT1.
J’ai découvert Sandra à la fin des années 2000. La première fois je l’avais aperçue depuis la route en train de s’occuper d’un client d’une vingtaine d’année. Je m’étais garé et m’était approché pour mater. La scène était très chaude. Les deux acteurs, quasiment à poil, s’embrassaient à pleine bouche avant que l’un des deux ne s’accroupisse pour sucer l’autre
. Puis la pute commença à enculer son client. J’étais très excité. Cela dura un bon moment. A la fin la pute se retira et branla le jeune homme. Celui-ci sortit des fourrés et regagna sa voiture. Peu après la belle revint se poster à la sortie de l’allée piétonne (48° 50' 56.47" N 2° 14' 31.10" E). C’est là que je l’abordai alors qu’elle était en train de s’essuyer le ventre encore maculé du foutre de son client. Je me souviens de ce détail qui m’avait terriblement excité et qui a marqué le début de ma relation avec Sandra.
Après un bref échange, et bien qu’un peu surpris par sa voix un peu rauque et la modestie de sa poitrine, je suivis dans l’allée celle qui me dit être espagnole et s’appeler Sandra. Un peu plus loin elle m’entraina dans un bosquet sur la gauche de l’allée piétonnière. Je n’étais pas très à l’aise car le jour commençait à poindre et les habitants d’un immeuble du Boulevard Anatole France avaient une vue plongeante sur nos ébats
Malgré ce désagrément, je pris mon pied. Pour le tarif syndical, la prestation fut classique mais sut apaiser mon excitation. Après qu’elle m’eût sucé, j’avais pu l’enculer longuement et profondément. Si la quasi absence de ses seins, qui pouvait laisser croire que Sandra était plus un travesti qu’une transsexuelle, m’avait d'abord décontenancé, je la trouvais finalement très sexy. Et surtout j’adorais son cul
En même temps que je défonçais sa petite rondelle, je branlais sa queue épaisse qui prit des proportions très respectables. Sandra était active et passive. Sans être un « anaconda » Sandra avait une belle queue. Elle me demanda si je voulais la sucer. J’avais pour cette première fois fermement refusé préférant me vider au fond de son cul.
Après ce premier contact, Sandra devint peu à peu, et ce pendant plus de dix ans, un plan cul régulier. Au début je la baisais dans les bois, soit dans le parc en face (48° 50' 56 .59" N 2° 14' 33.16" E), soit le plus souvent dans les bosquets jouxtant l’allée piétonne où je l’avais découverte la première fois. Une fois elle me proposa de faire cela en voiture.
Ainsi, en fonction de la météo et de la saison, c’est souvent dans sa voiture que nous baisions. Elle avait une petite voiture noire qui stationnait au bout de l’Allée de la Reine Marguerite (48° 50' 56.08" N 2° 14' 31.18" E). Nous nous garions alors Boulevard d’Auteuil, derrière les tennis de Roland Garros, ou dans un parking plus discret au bord de la Seine (48° 51' 19.62" N 2° 13' 31.18" E). Nous passions tous les deux à l’arrière de son véhicule. Elle me suçait puis elle se retournait pour que je puisse la sodomiser tandis qu’elle s’agrippait à la lunette arrière. Moins facile que de la prendre contre un arbre mais nettement plus confortable quand il pleuvait ou gelait
Elle me proposa également d’aller baiser chez elle à Courbevoie. Ce n’était pas le même tarif mais je m’étais laissé tenter. Et c’est ainsi que pendant plusieurs années, suivant l’humeur, j’alternais avec Sandra les plans au bois et les allers retours à Courbevoie. Si j’étais en retard je la suivais avec ma voiture jusqu’à Courbevoie pour pouvoir regagner plus vite mon bureau. Mais, quand j’étais en avance, je me garais Boulevard Anatole France et c’est elle qui m’emmenaient à Courbevoie dans sa voiture. J’adorais ces brefs trajets de Boulogne à Courbevoie. Ils me permettaient de bavarder avec elle et de la caresser pendant qu’elle conduisait
Sandra disposait d’un petit studio propret au 10 ième étage d’un immeuble moderne. Nous nous garions dans le parking au sous-sol et nous y montions par l’ascenseur le plus discrètement possible. Les 10 étages nous donnaient l’occasion de s’embrasser et de se caresser … Des préludes qui me faisaient déjà bander
Une fois dans son studio, tandis que je me déshabillais, elle enfermait son gros chat angora dans la kitchenette et baissait les stores. C’est dans une semi pénombre que nous baisions ..
Visiblement Sandra n’habitait pas là. A part une petite table avec un ordinateur, il n’y avait quasiment rien dans son studio, sauf le lit bien sûr. Ce n’était visiblement là que son « lieu de travail » où elle emmenait ses clients. Il m’arrivait aussi de prendre rendez-vous avec elle dans la journée. J’avais son téléphone et le code de la porte d’entrée de l’immeuble. A condition de la prévenir suffisamment tôt elle était souvent disponible. Souvent, quand j’arrivais elle sortait de sa douche, ce qui m’incitait à des audaces corporelles que je n’aurais pas osées au bois, comme par exemple lui sucer son bel organe. « Tu peux y aller Chéri, il est tout propre » me disait-elle …. Malgré ma maladresse, due à mon manque d’expérience dans l’art de la fellation, je sentais sa queue durcir dans ma bouche et j’avoue que cela ne me déplaisait pas. En revanche, étant exclusivement actif, je n’ai jamais cédé à ses propositions visant à me faire découvrir le plaisir de se faire sodomiser. « Tu devrais essayer, tu ne sais pas ce que tu perds » insistait-elle parfois
Mais, de ce côté-là, je restais désespérément vierge et c’est moi qui la prenais, parfois en missionnaire pour changer du bois qui ne permettait que la levrette, souvent dans la position d’Andromaque. Elle s’enfonçait alors lentement mon membre au fond de son cul avant de me faire jouir en allant et venant dessus de plus en plus vite. Que du bonheur
Au bois c’était parfois chaud, voire même un peu glauque quand elle me proposait un plan à trois. Avec un autre punter, nous nous partagions alors successivement sa bouche et son cul. Pendant que l’un se faisait sucer l’autre l’enculait et vice-versa. Du classique donc
Cependant, parfois, cela pouvait devenir limite quand je partageais Sandra des clients bizarres, comme ce routier qui «pour ne pas tromper sa femme » (sic) n’avait pas voulu lui prendre le cul mais avait utilisé sa bouche comme vide couilles
. Tout en l’insultant avec des mots crus, ce mari vertueux (lol) avait maintenu fermement la tête de Sandra pour lui imprimer le bon rythme sur sa grosse queue qui allait et venait au fond de sa gorge. Je me suis toujours demandé comme Sandra avait pu supporter une telle violence. Cela ressemblait plus à un viol qu’à une pipe
. Cette scène m’avait tellement écœuré que je mis plusieurs semaines avant de revoir Sandra.
Mais j’y revenais toujours …. Et souvent j’étais triste de ne pas apercevoir le matin sa petite voiture noire au début de l’Allée de la Reine Marguerite
Mais peut-être est-elle encore là ?