Re: Expériences des trans opéré.e.s (?!)
Publié : 10 oct. 2022, 00:39
Encore un super sujet pour un fil ouvert par AlphaDominant5. Tout a déjà été dit ou presque.
J'ai levé ma première trans opérée dans le sud de la France dans un coin à filles. Cette latina prétendait être une fille malgré sa carrure de basketteur, sa vulgarité et sa voix grave. Et bien sûr au moment de la pénétrer (en missionnaire), elle a préféré se faire pénétrer le cul" parce que c'était moins sec". Première dose de vaccin.
Quelques années plus tard, j'en ai trouvé 2 au B2B. La première en RM12 ne mentait pas sur sa nature. Elle m'a même permis de regarder sa fente de près. ça ressemblait à un coup de couteau de boucher dans une pièce de viande. Il n'y avait pas de forme et c'était tout sec, même après l'avoir baisée. Aucun échange de sensation. Elle semblait heureuse de ne pas avoir mal au cul. A la même époque, j'ai levé une petite Thaï en RM9/ J'ai cru à son bobard qu'elle était une fille, même après lui avoir fait un cunni et l'avoir baisée. Curieuse créature tout de même insensible au cunni et qui rouspétait que je ne lui défonçais pas assez la chatte alors que j'aurais envoyé une fille à l'hosto à force de d'y aller comme une brute.
J'en ai revues quelques unes en Asie. J'ai retrouvé les mêmes absences de sensation en général et parfois l'agressivité pour faire accepter qu'elle était une fille et en aucun cas un ladyboy. On peut aussi voir dans ladyboypussy.com à quel point leur fausse chatte est souvent l'œuvre d'un boucher mal cicatrisée. Il y a néanmoins une clinique à Bangkok qui fait des fausses chattes plus vraies que nature et selon un punter qui n'a pas le même avis que moi, le faux clito et le faux vagin seraient sensibles au point d'amener certaines à l'orgasme.
Au cours de mon dernier voyage, j'ai pu rencontrer une ladyboy qui avait été chouette à baiser l'année précédente (avec sa petite queue qui accentuait sa féminité). Une fois passée au bistouri, c'était la cata. Son faux vagin donnait l'impression d'enfoncer ma queue dans une poche de jeans emballée dans un morceau de viande. Le truc n'était pas assez profond (forcément puisqu'un faux vagin est fait avec la peau de l'ancien pénis) et je butait sur la chair au fonds. Le lendemain, elle m'a proposé un trio avec une autre postop. Aucune des deux ne supportait la pénétration "vaginale" et aucune n'acceptait plus la pénétration anale. Résultat : 2 ladyboys de plus sur ma blackliste.
La dernière (ou avant dernière) était une thaïlandaise en tournée en France. J'avais posté une EV dans trans-girls. L'apparence de sa cicatrice était celui d'une vraie fille avec de belles grandes lèvres et un pli faisant penser à un clito. Après ça et bien circulez, y a rien à voir et surtout in ne touche pas, même pas avec le bout de la langue. Finalement, c'était plus cool de passer par la porte de derrière. Pourtant, je suis convaincu que ça aurait été mieux de le faire avant qu'elle ne soit castrée.
Oui, je parle de trans castrée et j'assume l'utilisation de ce mot. Que les tartuffes et l'opus déi du forum aillent se faire foutre si ça ne leur plait pas.
C'est tout le paradoxe des transsexuelles. Les filles piégées dans un corps d'homme arrivent au stade ultime de leur transition. Mais on leur greffe ni ovaire, ni vagin, ni clito. On supprime ce qu'elles ont de plus paradoxal : une libido féminine dans des couilles de mec.
Je m'étais déjà forgé une opinion (que je croyais décriée) dès les années 2000, mais j'en entendu en 2018 une émission de radio sérieuse sur le sujet. A ma surprise, je pense de manière intuitive basée sur mon expérience la même chose que l'école française de psychiatrie. Celle-ci considère en effet que le coup de bistouri final est un emutilation inutile et irréversible (contrairement au prothèses en silicone).
Si vous en connaissez une qui grimpe aux rideaux en se faisant prendre par sa fausse foufoune, n'hésitez pas à me l'indiquer.
J'ai levé ma première trans opérée dans le sud de la France dans un coin à filles. Cette latina prétendait être une fille malgré sa carrure de basketteur, sa vulgarité et sa voix grave. Et bien sûr au moment de la pénétrer (en missionnaire), elle a préféré se faire pénétrer le cul" parce que c'était moins sec". Première dose de vaccin.
Quelques années plus tard, j'en ai trouvé 2 au B2B. La première en RM12 ne mentait pas sur sa nature. Elle m'a même permis de regarder sa fente de près. ça ressemblait à un coup de couteau de boucher dans une pièce de viande. Il n'y avait pas de forme et c'était tout sec, même après l'avoir baisée. Aucun échange de sensation. Elle semblait heureuse de ne pas avoir mal au cul. A la même époque, j'ai levé une petite Thaï en RM9/ J'ai cru à son bobard qu'elle était une fille, même après lui avoir fait un cunni et l'avoir baisée. Curieuse créature tout de même insensible au cunni et qui rouspétait que je ne lui défonçais pas assez la chatte alors que j'aurais envoyé une fille à l'hosto à force de d'y aller comme une brute.
J'en ai revues quelques unes en Asie. J'ai retrouvé les mêmes absences de sensation en général et parfois l'agressivité pour faire accepter qu'elle était une fille et en aucun cas un ladyboy. On peut aussi voir dans ladyboypussy.com à quel point leur fausse chatte est souvent l'œuvre d'un boucher mal cicatrisée. Il y a néanmoins une clinique à Bangkok qui fait des fausses chattes plus vraies que nature et selon un punter qui n'a pas le même avis que moi, le faux clito et le faux vagin seraient sensibles au point d'amener certaines à l'orgasme.
Au cours de mon dernier voyage, j'ai pu rencontrer une ladyboy qui avait été chouette à baiser l'année précédente (avec sa petite queue qui accentuait sa féminité). Une fois passée au bistouri, c'était la cata. Son faux vagin donnait l'impression d'enfoncer ma queue dans une poche de jeans emballée dans un morceau de viande. Le truc n'était pas assez profond (forcément puisqu'un faux vagin est fait avec la peau de l'ancien pénis) et je butait sur la chair au fonds. Le lendemain, elle m'a proposé un trio avec une autre postop. Aucune des deux ne supportait la pénétration "vaginale" et aucune n'acceptait plus la pénétration anale. Résultat : 2 ladyboys de plus sur ma blackliste.
La dernière (ou avant dernière) était une thaïlandaise en tournée en France. J'avais posté une EV dans trans-girls. L'apparence de sa cicatrice était celui d'une vraie fille avec de belles grandes lèvres et un pli faisant penser à un clito. Après ça et bien circulez, y a rien à voir et surtout in ne touche pas, même pas avec le bout de la langue. Finalement, c'était plus cool de passer par la porte de derrière. Pourtant, je suis convaincu que ça aurait été mieux de le faire avant qu'elle ne soit castrée.
Oui, je parle de trans castrée et j'assume l'utilisation de ce mot. Que les tartuffes et l'opus déi du forum aillent se faire foutre si ça ne leur plait pas.
C'est tout le paradoxe des transsexuelles. Les filles piégées dans un corps d'homme arrivent au stade ultime de leur transition. Mais on leur greffe ni ovaire, ni vagin, ni clito. On supprime ce qu'elles ont de plus paradoxal : une libido féminine dans des couilles de mec.
Je m'étais déjà forgé une opinion (que je croyais décriée) dès les années 2000, mais j'en entendu en 2018 une émission de radio sérieuse sur le sujet. A ma surprise, je pense de manière intuitive basée sur mon expérience la même chose que l'école française de psychiatrie. Celle-ci considère en effet que le coup de bistouri final est un emutilation inutile et irréversible (contrairement au prothèses en silicone).
Si vous en connaissez une qui grimpe aux rideaux en se faisant prendre par sa fausse foufoune, n'hésitez pas à me l'indiquer.