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Publié : 30 nov. 2018, 23:18
par Pepito
ces dames sont-elles condamnées à vivre seules ?
Et pour quelles raisons nos dames du 3e sexe seraient-elles condamnées à vivre seules à partir du moment où un homme, une femme voire une autre Trans aurait envie de partager leur univers et leur vie ?

D'une part, il existe des Trans (et peut-être davantage qu'on ne le pense) qui ont un boyfriend et vivent en couple.

D'autre part, et c'est sûrement un peu plus rare, certaines autres Trans vivent en couple de deux Trans.

Peut-être que d'autres encore vivent avec une (vraie) femme ?

Publié : 30 nov. 2018, 23:30
par Pepito
il ne doit pas être facile de trouver l'âme soeur !
Bah, peut-être pas aussi facilement qu'une femme, mais concernant nos amies les Trans, elles rencontrent tout de même pas mal d'hommes en premier lieu de par leur activité, mais aussi dans leur vie quotidienne: comme vous et moi, elles sortent de chez elles pour aller faire leurs courses, vont à la laverie, etc ... et à partir de là, les hasards de la vie peuvent leur faire faire parfois de belles rencontres ...

Publié : 01 déc. 2018, 02:55
par Pepito
est-ce que l'un d'entre vous s'est déjà pris d'amitié, d'affection ou d'amour pour l'une de ces dames ?
I
Il est aisé de concevoir que l'on puisse avoir envie de dépasser le stade de simple client avec les plus belles et féminines d'entre elles, mais ceci est-il possible au contact de la réalité ?
Devenir un client de plus en plus régulier, voire en obtenir quelques privilèges ou attentions de temps en temps c'est probable ; mais faire évoluer une relation professionnelle en relation amoureuse ??

La réponse est oui et je peux en parler en connaissance de cause !

Il m'est arrivé une aventure il y a 5 ou 6 ans avec une Trans sud-américaine où, sans aller jusqu'à parler d'amour, l'amitié, l'affection et la complicité étaient de mise: nous sortions ensemble au resto, en soirée ou bien au spectacle à la manière d'un couple normal. Même s'il nous arrivait parfois de passer des nuits entières ensemble, nous vivions chacun chez soi.
La relation était devenue assez forte puisqu'elle m'avait même invité dans une partie de sa famille en Espagne, et à un moment donné, cette amie Trans m'a même demandé de former un vrai couple et de vivre ensemble au quotidien, ce à quoi j'ai refusé parce que je vivais moi-même en couple avec ma compagne qui, heureusement, n'en a jamais rien su ...


Actuellement et depuis quelques mois, je vis seul car ma compagne a préféré qu'on vive séparément (mais elle n'est toujours au courant de rien), il m'arrive de nouveau le même genre d'aventure avec une autre Trans que j'ai rencontrée en répondant à son annonce (à l'époque sur Vivastreet). Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire dans un autre post, je suis venu voir cette Trans la 1ère fois uniquement pour tirer un coup (pour parler très vulgairement).
Le physique de la nana m'ayant bien plu (jolie, très féminine, bien gaulée, beaux seins même si refaits, belle et bonne queue), sa prestation aussi, entre autres choses, j'ai eu droit à son nectar dès la 1ère rencontre et à chaque fois depuis aussi d'ailleurs pour la somme extraordinaire de 100 zorros pour une heure (comme quoi je répète une fois de plus au passage que ce n'est pas forcément le prix élevé qui fait les meilleures rencontres ...) et le feeling étant bon, elle m'a suffisamment donné envie de revenir la voir une deuxième fois et encore d'autres fois. Et puis un jour, ce devait être lors de ma 3e ou 4e visite, j'ai senti qu'il se passait un truc: alors, en étant quasiment certain de me ramasser un râteau, j'ai pris mon courage à deux mains, je me suis jeté à l'eau et j'ai tenté timidement de l'inviter au resto, et j'ai été très très surpris par sa réponse affirmative reçue sous la forme d'un super-sourire et d'un bisou bien appliqué, et elle a ajouté: et pourquoi pas ? !!!
Plusieurs semaines se sont ensuite écoulées (pendant lesquelles on continuait à se voir en journée faute de mieux), pour trouver une date et concrétiser cette 1ère sortie et depuis cette soirée-là, nous nous voyons régulièrement chez l'un ou chez l'autre, pas encore aussi souvent que j'aimerai à cause d'emplois du temps respectifs difficiles à faire coincider.
Au vu de la superbe personnalité de ma nouvelle copine Trans et de ses valeurs de vie: niveau d'instruction élevé, très bonnes éducation et moralité, niveau intellectuel, respect, culture, intégration au mode de vie français, elle a même un vrai travail mais à mi-temps avec des plages horaires pas faciles, etc ...) je suis carrément tombé sur le cul, j'ai complètement craqué et j'ai bien pris conscience d'être tombé par hasard sur une véritable perle rare: le genre de nana qu'on a vraiment envie de garder pour soi ... La personnalité de cette nana sort du lot et ne ressemble pas du tout à toutes les autres Trans que j'ai pu rencontrer auparavant.
J'ignore combien de temps durera cette relation et j'espère surtout qu'on ne va pas droit dans le mur car les problèmes sont nombreux (différence d'âge importante, barrière de la langue, prolongation/renouvellement de visa, emplois du temps, etc ...) mais pour le moment la relation est vraiment au beau fixe et je souhaite bien sûr que cela dure le plus longtemps possible.
Comme je lui ai dit un jour: les premières fois, je venais te voir seulement pour du sexe, alors que maintenant c'est pour toi que je viens ...


Alors, pour répondre à la question, il est peut-être encore prématuré de parler d'amour (encore que ...), mais on peut assurément parler d'affection, de bien-être ensemble et de complicité sans aucun souci ...

Publié : 01 déc. 2018, 21:12
par Samutprakan
Ayant un peu bourlingué dans certains quartiers de prostitution, j'ai une opinion un peu différente.
J'ai bien vu en Asie, dans la province thaïlandaises des couples avec un ladyboy et un petit gars. C'était souvent assez cocasse quand le ladyboy était grand bien roulé et avec une allure de femme froide au visage dur alors que le gars avait une allure de petite tapette. Ce genre de couples se définissent d'ailleurs comme des couples d'homo, pas vraiment comme la rencontre d'un mec avec un trans ou ladyboy. Comme certains vont dire que je ramène le sujet à l'Asie, j'ai aussi vu quelques cas en France.

Au B2B, il y avait souvent au cours de mes virées une trans qui m'avait excité plus que les autres et que je retournais voir. ça faisait une super impression d'être reconnu et de la voir sourire en montant dans ma bagnole alors que je pensait que j'allait la défoncer. Il y a(vait) aussi celle avec qui je réussissais à briser la glace et qui trouvait le moyen de briser sa solitude qui est parfois pesante pour certaines. ça s'appele du social time. Les bonnes putes savent faire (plus ou moins), il faut savoir s'intéresser à l'autre mais ne pas le mettre mal à l'aise en lui donnant l'impression d'être indiscret.

Le stade au dessus, ce sont les GFE. Je n'en ai pas rencontrées souvent chez les trans en France. J'ai eu une régulière au B2B, mexicaine qui n'était jamais rassasiée de sexe. J'ai été la voir une ou deux fois dans le 78 mais ça foirait pour aller chez elle et parfois on se croisait et il fallait retourner au bois pour la voir.

Une autre fois, je suis tombé sur un jeune travelo black dans une ville de province. Au début, j'ai aimé son coté "chair fraiche", elle manquait d'expérience et était alcolo avec des signes de risques de dérapages violents. Quelques temps après, je l'ai retrouvée sur un chat de drague où elle racolait. Je suis passé la voir chez elle un dimanche après midi alors qu'elle était a jeun. Elle venait de se faire embaucher comme aide soignante en EPAD mais continuait le tapin ou de chercher sur le net. On a passé une moitié d'après midi en copains, elle ne semblant pas aimer le sexe si elle n'étaiit pas imbibée.
Je l'ai revue un ou deux ans après, une semaine avant de partir pour la Thaïlande. Elle était hormonée avec une jolie poitrine pas trop silicônée et était perchée sur des hauts talons qui mettaient bien en valeur sa croupe très féminine. Elle m'a raconté qu'elle avait vécu une histoire d'amour avec un drôle de taré. Le mec gagnait 9000 € par mois dans la vente, mais il était fou obsédé par ses chiffres et avait fini par péter les plombs avec elle, alors qu'elle ne le méritait pas. Il s'est mis à la battre, des gifles au quotidien au début puis il lui collait des dérouillées et elle s'en était sortie avec un passage aux urgences. Elle avait encore un oeil au beurre noir ce jour là (Je ne l'ai plus revue depuis). Sil elle n'avait pas vécu son histoire d'amour avec ce taré, elle n'aurait jamais pu financer sa transition. A l'opposé, vu comme il la détruisait, ce n'est pas de l'amour.

Avec les ladyboys qui vont de moins en moins en "long time", il m'arrive d'essayer de m'accrocher aux plus GFE. Il y a toujours un truc qui finit par coincer et ce truc, ça s'appelle le pognon. Le client idéal pour elles, c'est le type qui continue de payer (alors qu'il est loin) pour entretenir une relation platonique. J'en parle dans mes posts, on appelle ces clients des sponsors. Je ne veux pas casser la baraque de Pepito, mais ce qu'il vit, ce n'est pas vraiment une relation de couple. Il y a des clients privilégiés, il y a des privilégiés parmi les privilégiés et dans cette pyramide, il peut toujours y en avoir un qui est plus privilégié que les autres, parce que les relations sont plus sympas, parce qu'on ne compte plus le temps (peut-être en apparence seulement), mais au moins le client en a plus que pour son pognon, certainement parce qu'il est sympa ou qu'il a su séduire la trans avec quelque chose qu'il ignore peut-être même lui même. Mais il ne faut pas oublier que ce genre de relation reste basée sur le pognon. Peut-être que l'attitude sympa, lui permet de sentir qu'il en a plus, et à l'opposé, il revient plus souvent si bien que la belle consolide sa rente de situation. S'il arrête de payer ses rendez-vous ou s'il se met à la payer mal, il verra sans aucun doute leur relations se dégrader. ça reste du commerce.

En dehors de ça, rien n'empêche que la trans ait un copain dans son pays ou une relation avec une autre trans en dehors de son job, à part peu-être le fait que le copain est susceptible d'être inquiété pour proxénétisme en France.

Publié : 03 déc. 2018, 01:05
par Pepito
Je ne veux pas casser la baraque de Pepito, mais ce qu'il vit, ce n'est pas vraiment une relation de couple.
On est bien d'accord Samut, d'ailleurs je n'ai jamais dit que nous étions en couple pour la bonne raison que ... c'est pas vrai !
Nous vivons chacun chez soi et c'est très bien comme ça ... j'ai pas envie de tomber pour proxénétisme ...

Publié : 03 déc. 2018, 02:49
par Pepito
Peut-être que l'attitude sympa, lui permet de sentir qu'il en a plus, et à l'opposé, il revient plus souvent si bien que la belle consolide sa rente de situation. S'il arrête de payer ses rendez-vous ou s'il se met à la payer mal, il verra sans aucun doute leur relations se dégrader. ça reste du commerce.
Actuellement et faute de mieux dû à nos modes de vie actuels , on n'arrive à se voir qu'à des horaires un peu tordus hormis un samedi soir de temps en temps: c'est pas le pied du tout mais j'en suis moi-même responsable pour une bonne partie et on ne peut pas faire autrement pour le moment. J'espère qu'il y aura des jours meilleurs à l'avenir lorsque certains blocages seront levés aussi bien de mon côté que du sien ...

Tout ça pour dire que ne suis pas aussi affirmatif que toi lorsque tu évoques une relation basée exclusivement sur le fric.

Petite anecdote: il m'est arrivé une fois au courant de l'été dernier d'oublier de lui verser son petit cadeau et la belle ne m'a rien réclamé du tout. Une fois rentré chez moi et en vidant mes poches, je me suis aperçu que j'avais encore l'argent qui lui était destiné. Je l'ai alors appelée et je me suis confondu en excuses, et cela ne l'a pas tracassée plus que ça: réponse de la belle: pas grave, chéri, te prend pas la tête ...
Pour me faire pardonner, je l'ai invitée le samedi soir suivant chez moi pour un barbecue en tête-à-tête sur la terrasse et nous avons passé une soirée vraiment sympa qu'elle a elle-même qualifiée de ... romantique ...

Par ailleurs, nous arrivons parfois aussi à nous voir pour des rencontres "hors sexe", juste pour le plaisir d'être ensemble, et bien sûr, dans ce cas il n'est pas question de rencontre tarifée entre nous.

Bien sûr, je l'invite lorsque nous sortons au restaurant ou partons ensemble en week-end (enfin ... toujours pour des raisons d'agenda, ce n'est arrivé qu'une seule fois, la deuxième étant prévue pour bientôt ...) mais c'était déjà le cas auparavant lorsque je vivais en couple avec ma compagne, vraiment aucune différence de ce point de vue ...


Autre anecdote: il y a quelques années, à l'époque où je "fréquentais" la sud-américaine aujourd'hui repartie dans son pays, il m'est arrivé un jour de me rendre chez elle en fin de matinée pour récupérer une veste à moi. Elle était habillée en survêtement et chaussures de sport et le sexe n'était pas prévu ce jour-là entre nous. Pas plus tard que 2 minutes que j'étais entré chez elle, la belle a commencé à me chauffer puis à me déshabiller et elle aussi.
Je lui dis alors: mais je n'ai pas prévu d'argent aujourd'hui, et la belle de me répondre: mais qui te parle d'argent bébé ?
Et nous avons baisé aussi bien que d'habitude ...


Donc, il faut bien comprendre que selon un certain contexte ou certaines circonstances, la notion de fric devient parfois secondaire alors que la notion de sexe devient elle, privilégiée ...

Publié : 03 déc. 2018, 03:20
par Pepito
Citation:

Je ne veux pas casser la baraque de Pepito, mais ce qu'il vit, ce n'est pas vraiment une relation de couple.


On est bien d'accord Samut, d'ailleurs je n'ai jamais dit que nous étions en couple pour la bonne raison que ... c'est pas vrai !
Nous vivons chacun chez soi et c'est très bien comme ça ... j'ai pas envie de tomber pour proxénétisme ...
On ne sait jamais ce que réserve l'avenir, mais si on doit un jour vivre en couple, et à ce jour, nous n'y sommes pas forcément opposés ni l'un ni l'autre, il faut d'abord que tombent certaines barrières actuellement existantes, aussi bien pour moi que pour elle.

D'autre part, il faudra aussi qu'elle gagne sa vie d'une autre manière qu'actuellement, aussi bien concernant son métier officiel au rythme de travail trop contraignant et trop peu rémunéré, ce qui a pour conséquence son activité de prostitution qui en découle (même si elle ne la pratique qu'occasionnellement) afin de pouvoir s'offrir des conditions de vie décentes.

Publié : 03 déc. 2018, 14:18
par biboplove
Je ne sais pas s'il faut être aussi pessimiste que toi sur l'argent, Samutprakan. Le pognon est au centre parce qu'elles vivent de la prostitution dans un pays étranger. Plus de pognon = plus de toit, plus de fringues, plus de bouffe, plus de traitement hormonal et ça dans un pays où elles n'ont aucune famille.

Mais elles ont aussi droit de ne pas être que des machines à fric qui collectionnent les sacs Vuitton ou Hermès (je parle pour celles qui vivent en France, les "sponsors" avec les asiatiques c'est autre chose j'imagine).

Il m'est d'ailleurs arrivé, deux ou trois fois (même plutôt quatre ou cinq), après la "passe", que la trans elle-même me propose de passer un bout de soirée ensemble (généralement resto, concert aussi). Et vu qu'il n'était jamais 23h00 au moment de cette proposition, ça n'était pas parce que la journée de turbin était finie.

Alors pour revenir au sujet, oui ça doit être dur pour elles (en Europe en tout cas) de ne pas vivre seules, car transsexualité (qui irait présenter une trans à sa mère ou à son père ou à ses amis ?) + prostitution (mais ça, ça peut s'arrêter vite). Mais faut pas les enterrer non plus.

D'ailleurs, toutes celles qui disparaissent des annonces au fil des années, elles ont toujours une vie, non ?

Publié : 03 déc. 2018, 15:37
par Pepito
Plus de pognon = plus de toit, plus de fringues, plus de bouffe, plus de traitement hormonal et ça dans un pays où elles n'ont aucune famille.
C'est tout-à-fait vrai .

Dans le cas de ma copine Trans actuelle, c'est un poil différent car elle a la chance d'avoir un vrai travail, mais un travail à mi-temps avec des horaires difficiles et des revenus faibles ce qui engendre donc la prostitution occasionnelle pour arriver à vivre à peu près décemment. Elle cherche un autre emploi mais pas facile à trouver en temps que Transsexuelle qui plus est quand on ne maîtrise pas parfaitement la langue française.

Quand on la voit, elle donne envie, mais quand on en sait un peu plus sur elle, elle fait plutôt pitié et pourtant c'est une nana complètement adorable, loin d'être conne, et une très bonne personne avec le coeur sur la main ...
Ce qui est certain, en revanche, c'est que si elle arrive à trouver un autre vrai métier rémunéré correctement, son annonce de Trans disparaîtra car elle fait ça par nécessité et non pas par goût.
Et c'est certainement pas moi qui vais m'en plaindre ! ...

Et que dire de toutes celles qui n'ont pas la chance d'avoir ne serait-ce qu'un petit job comme elle ?

Publié : 03 déc. 2018, 18:49
par Pepito
Alors pour revenir au sujet, oui ça doit être dur pour elles (en Europe en tout cas) de ne pas vivre seules, car transsexualité (qui irait présenter une trans à sa mère ou à son père ou à ses amis ?) + prostitution (mais ça, ça peut s'arrêter vite). Mais faut pas les enterrer non plus.
Pour biboplove: je suppose que tu voulais dire: "oui, ça doit être dur pour elles de vivre seules", sinon j'ai rien compris à ta phrase :wink: :wink:

Publié : 03 déc. 2018, 19:00
par Samutprakan
Ce que je dis, je le dis non seulement pour les trans mais aussi pour toutes celles qui sont vénales. Les Vuitton et autres Hermès sont plus des trucs de filles. Comme tu le fais si bien remarquer une trans a besoin d'être vénale pour pouvoir financer ses traitements hormonaux, sa chirurgie plastque et son esthéticienne. C'est normal, mais ça vient forcément troubler une relation.

Je pense que les trans ont parfois ou souvent des relations avec des ami(es) de leur pays d'origine, mais on ne sait pas lesquelles. Je reste malgré tout convaincu qu'une relation débutée dans l'argent est condamnée à se maintenir dans l'argent.

Publié : 03 déc. 2018, 19:34
par Pepito
Je reste malgré tout convaincu qu'une relation débutée dans l'argent est condamnée à se maintenir dans l'argent.
Je n'en suis pas si persuadé que toi mais peut-être que je suis trop naïf et peut-être que tu as raison ...

Publié : 05 déc. 2018, 08:07
par Pepito
Comme les sportifs il n'y en a plus beaucoup sur le marché passé la trentaine, et par conséquent quelles peuvent être les reconversions possibles ?????
Erreur ...

Il y en a certainement beaucoup plus "sur le marché" (comme tu dis), qui ont passé la trentaine que tu ne penses.

Il faut en effet bien avoir en tête qu'entre l'âge qu'elles disent dans leurs annonces et leur âge réel, tu peux rajouter 10 ans (minimum) sans problème...

Et quand je dis 10 ans, il faut comprendre: à la date d'enregistrement de leur annonce, rarement remise à jour ensuite, surtout sur ce point !

Publié : 05 déc. 2018, 08:44
par Pepito
Elles le font quasiment toutes, c'est de bonne guerre, parce que commercialement parlant, elles ne vont pas venir se vanter d'avoir passé 30 piges.

Et pourtant, je suis à peu près certain qu'au moins la moitié de nos charmantes Trans sont dans la tranche 35-45 ans voire davantage.

J'ai déjà eu l'occasion de voir le passeport de 3 ou 4 de nos belles, et cela s'est vérifié pour chacune d'entre elles, y compris pour ma copine actuelle qui "triche" de 12 ans et c'est pas celle qui triche le plus !

De toute manière, l'humain en général (homme, femme, trans) atteint le summum de sa beauté, de ses qualités et de sa plénitude vers 40 ou 45 ans, donc c'est pas franchement un souci, l'essentiel étant de prendre et donner du plaisir !

Publié : 05 déc. 2018, 09:14
par attila
Je suis d' accord avec Pepito, beaucoup de celles que j' ai connues et avec qui j' ai eu des relation "suivies" avaient déjà dépassé la trentaine , il y a maintenant près de 20 ans; c' est à partir de cet âge (la trentaine) qu' elles avaient suffisamment mis des tunes de côté pour se faire poser des implants.
Quant à la retraite,...
C' est aussi un moyen de faire accepter leur différence par leur famille, en les faisant vivre grâce à leur "talent".