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Publié : 08 oct. 2011, 14:10
par yordi69
J'avais pensé à elle pour ma première fois: http://escort.vivastreet.fr/escort-girl ... ategory=83 vous en pensez quoi? merci :) .

Publié : 08 oct. 2011, 14:43
par King40
C'est Pamela un plutôt bon plan assez fougueuse et très active mais a eu des déboires pour non utilisation de préservatifs.
Pour ma part, je l'ai vu deux fois il y dejà quelque temps et pas eu de problème...
Elle est tout de même assez hard pour une 1ère fois :)

Publié : 08 oct. 2011, 18:47
par yordi69
Ouais c'est justement ça qui m'attire :P , le fait qu'elle soit assez hard...
Mais bon d'un autre côté le (non) port du préservatif est assez problématique, c'est la seule chose qui me fait peur. Peut-être s'est-elle calmée depuis la polémique?

Publié : 09 oct. 2011, 09:48
par voxxer75
pour oser tenter sans avec un ou une inconnue , il n y a pas 50 solutions soit une totale inconscience... soit ...une envie de faire partager

Publié : 09 oct. 2011, 14:11
par yordi69
Non mais je ne le ferai pas sans quoi qu'il arrive je ne suis pas fou, c'est pour ça que je demande si elle a arrêté cette pratique à risque depuis la polémique que ça avait engendré ou pas, à défaut de réponse je m'abstiendrai.

Publié : 09 oct. 2011, 16:53
par voxxer75
je ne t'ai pas dit que tu voulais le faire, mais que Si ELLE , la trans escort, tente d'enfiler un client sans capote , il n'y a pas 50 raisons...

Publié : 10 oct. 2011, 11:49
par King40
Pour aller dans le sens de Voxxer moi je l'ai vue 2 fois avant ces histoires et n'ayant pas été confronté a ça j'en ai gardé un très bon souvenir. Depuis je n'y suis pas retourné car au delà du comportement je suis d'accord qu'il a un risque fort qu'elle n'estoluq rien a craindre... Donc prudence !

Publié : 10 oct. 2011, 19:01
par yordi69
Ouais vous avez raison je vais m'abstenir, dommage pour une fois qu'une trans qui passe dans ma ville me fait envie :D ça sera pour une prochaine fois.

Publié : 11 oct. 2011, 12:53
par phenix
yordi69 a écrit :J'avais pensé à elle pour ma première fois: http://escort.vivastreet.fr/escort-girl ... ategory=83 vous en pensez quoi? merci :) .
Pamela Rodrigues , c'est vrai qu'elle est plutôt canon sur les photos ! mais après, le fait de la rencontrer et d'avoir une relation avec elle , avec bien sûr le préservatif est-il plus dangeureux que certaines du bois de Boulogne ?
En fait , on n'est jamais sûr à 100% que la trans , que l'on rencontre n'est pas malade !
C'est pour cela , qu'il faut toujours réclamer le préservatif , c'est primordial et même si la trans vous affirme qu'elle n'est pas malade et qu'elle a fait une prise de sang , il y a 2 semaines et qu'elle était négatif ...
Ce texte à lire et à ce faire une petite idée ....

INFECTIOLOGUE, HOPITAL AMBROISE-PARE
"Le suivi des patients trans’"
La proximité avec le bois de Boulogne fait de l’hôpital Ambroise Paré un lieu stratégique de prise en charge de la population trans’ prostituée. Depuis mai 2004, une convention entre le Centre hospitalier universitaire (CHU) et l’association Prévention action santé travail pour les transgenres (Pastt) régit l’accès aux soins pour tous les travailleurs du sexe. L’équipe médicale de l’hôpital est composée de cinq médecins avec une file active de 54 patients trans’. Parmi ces patients, 41 sont séropositifs au VIH, dont un quart a été dépisté au sein du CHU. 80% viennent à l’hôpital par le biais d’associations comme le Pastt, les autres y ont été encouragés par des proches. Pour la plupart originaires du Brésil, du Pérou ou d'Argentine, leur souhait est d’obtenir l’Aide médicale d’Etat (AME), puis un titre de séjour. Pour faciliter le contact avec cette population, une partie du personnel de l’hôpital est lusophone. C’est le premier recours aux soins pour un quart de ces patients. Les trois quart sont relayés par l’AP-HP ou par d’autres structures européennes quand il y a eu une rupture de suivi, un non-renouvellement de titre de séjour, des suivis parallèles ou lorsqu’il y a une impossibilité d’accès aux antirétroviraux (ARV) dans le pays d’origine. La transmission des informations médicales d’un patient d’un pays à un autre est parfois longue et retarde la prise en charge. Beaucoup viennent nous voir quatre à six mois après leur arrivée en France, lors de la manifestation de la première infection opportuniste. Concernant l’usage de drogue, on constate des prises éventuelles de cocaïne et de cannabis, une consommation importante d’alcool ainsi que de nombreuses ordonnances de psychotropes pour dormir. En revanche, tous nient l’usage de drogues injectables. Depuis janvier 2006, l’obtention d’un titre de séjour est soumise à la délivrance d’un certificat signé par un médecin statutaire. Certains patients suivis par le personnel du CHU ne peuvent donc fournir ces certificats. Par ailleurs, une liste des pays qui délivrent les ARV circule. Malheureusement, une personne souhaitant obtenir un titre de séjour pour ce motif risque de se le voir refuser. Le droit aux soins est donc limité et les difficultés de prise en charge sont nombreuses : blocage linguistique, barrières culturelles, décalage entre les horaires de chacun, complexité du système de soins français pour les migrants...
Pour certains trans’, la multiplicité des acteurs de l’hôpital peut être perçue comme une mauvaise acceptation de leur différence. Le personnel lui-même conçoit qu’il y a parfois confusion des rôles. Par exemple, parler des problèmes médicaux d’un patient avec l’assistante sociale... Il existe encore d’autres freins à la prise en charge tels que le problème de domiciliation et d’adresses incomplètes pour l’envoi des convocations, les problèmes d’incarcération ou de couple, le problème des ordonnances "à la demande" c’est-à-dire le renouvellement d’ordonnances par des médecins de ville non spécialisés.
Pour rendre optimale la prise en charge des personnes trans’ séropositives au VIH, le personnel doit être formé aux avancées des traitements antirétroviraux. Il faut donc investir dans l’information et la formation des deux parties, le personnel médical et les patients, afin de permettre aux personnes trans’ d’être plus autonomes en tant que citoyennes.

Publié : 11 oct. 2011, 13:36
par cilibez
phenix a écrit :
Pamela Rodrigues , c'est vrai qu'elle est plutôt canon sur les photos ! mais après, le fait de la rencontrer et d'avoir une relation avec elle , avec bien sûr le préservatif est-il plus dangeureux que certaines du bois de Boulogne ?
En fait , on n'est jamais sûr à 100% que la trans , que l'on rencontre n'est pas malade !
C'est pour cela , qu'il faut toujours réclamer le préservatif , c'est primordial et même si la trans vous affirme qu'elle n'est pas malade et qu'elle a fait une prise de sang , il y a 2 semaines et qu'elle était négatif ...
Ce texte à lire et à ce faire une petite idée ....

INFECTIOLOGUE, HOPITAL AMBROISE-PARE
"Le suivi des patients trans’"
La proximité avec le bois de Boulogne fait de l’hôpital Ambroise Paré un lieu stratégique de prise en charge de la population trans’ prostituée. Depuis mai 2004, une convention entre le Centre hospitalier universitaire (CHU) et l’association Prévention action santé travail pour les transgenres (Pastt) régit l’accès aux soins pour tous les travailleurs du sexe. L’équipe médicale de l’hôpital est composée de cinq médecins avec une file active de 54 patients trans’. Parmi ces patients, 41 sont séropositifs au VIH, dont un quart a été dépisté au sein du CHU. 80% viennent à l’hôpital par le biais d’associations comme le Pastt, les autres y ont été encouragés par des proches. Pour la plupart originaires du Brésil, du Pérou ou d'Argentine, leur souhait est d’obtenir l’Aide médicale d’Etat (AME), puis un titre de séjour. Pour faciliter le contact avec cette population, une partie du personnel de l’hôpital est lusophone. C’est le premier recours aux soins pour un quart de ces patients. Les trois quart sont relayés par l’AP-HP ou par d’autres structures européennes quand il y a eu une rupture de suivi, un non-renouvellement de titre de séjour, des suivis parallèles ou lorsqu’il y a une impossibilité d’accès aux antirétroviraux (ARV) dans le pays d’origine. La transmission des informations médicales d’un patient d’un pays à un autre est parfois longue et retarde la prise en charge. Beaucoup viennent nous voir quatre à six mois après leur arrivée en France, lors de la manifestation de la première infection opportuniste. Concernant l’usage de drogue, on constate des prises éventuelles de cocaïne et de cannabis, une consommation importante d’alcool ainsi que de nombreuses ordonnances de psychotropes pour dormir. En revanche, tous nient l’usage de drogues injectables. Depuis janvier 2006, l’obtention d’un titre de séjour est soumise à la délivrance d’un certificat signé par un médecin statutaire. Certains patients suivis par le personnel du CHU ne peuvent donc fournir ces certificats. Par ailleurs, une liste des pays qui délivrent les ARV circule. Malheureusement, une personne souhaitant obtenir un titre de séjour pour ce motif risque de se le voir refuser. Le droit aux soins est donc limité et les difficultés de prise en charge sont nombreuses : blocage linguistique, barrières culturelles, décalage entre les horaires de chacun, complexité du système de soins français pour les migrants...
Pour certains trans’, la multiplicité des acteurs de l’hôpital peut être perçue comme une mauvaise acceptation de leur différence. Le personnel lui-même conçoit qu’il y a parfois confusion des rôles. Par exemple, parler des problèmes médicaux d’un patient avec l’assistante sociale... Il existe encore d’autres freins à la prise en charge tels que le problème de domiciliation et d’adresses incomplètes pour l’envoi des convocations, les problèmes d’incarcération ou de couple, le problème des ordonnances "à la demande" c’est-à-dire le renouvellement d’ordonnances par des médecins de ville non spécialisés.
Pour rendre optimale la prise en charge des personnes trans’ séropositives au VIH, le personnel doit être formé aux avancées des traitements antirétroviraux. Il faut donc investir dans l’information et la formation des deux parties, le personnel médical et les patients, afin de permettre aux personnes trans’ d’être plus autonomes en tant que citoyennes.
Merci pour cette info oh combien pertinente, l'hôpital Bichat aussi en reçoit pas mal, voilà qui remet le bois à sa juste place...
Pour la fameuse Pamela, je rappelle qu'elle a retiré le préservatif à l'insu de son client et qu'elle est venue par la suite justifier son attitude nous disant que nous somme des hypocrites dégueulasses et qu'elle était ici pour faire de l'argent...
Je ne sais pas si elle est séropo et peu importe, retirer le préso ne se fait pas encore moins à l'insu de son client...

Cela dit, une demande croissante de bareback au bois ou en appart est évidente et sur ce coup la c'est bien le client à mettre en cause !!!

Publié : 11 oct. 2011, 18:52
par voxxer75
cilibez a écrit : Cela dit, une demande croissante de bareback au bois ou en appart est évidente et sur ce coup la c'est bien le client à mettre en cause !!!
Ca c'est bien vrai.... On le voit ici ou sur nia, ceux qui se vantent de se faire enfiler sans, etc.... reve ou realite c'est pareil dur a savoir vu les rois de la branlette qui fantasment , et c'est pas plus mal que de faire une telle connerie.

Au bois faut se mefier, surtout la nuit, tu te tournes, la capote est degagee, ou un petit coup d'ongle et le risque est là.

Publié : 14 oct. 2011, 21:02
par yordi69
Finalement j'ai vu Pamela, très bon moment même si je ne le referai sûrement pas (c'était un fantasme, je l'ai fait voila), fellation nature et pour le rapport en lui même avec préservatif, je n'ai même pas eu besoin de le lui dire, comme quoi elle a du prendre en compte les critiques. Voila :) .

Publié : 15 oct. 2011, 10:08
par voxxer75
rempli une EV ca lui fera plaisir et cela aidera les prochains comme cela t'a peut etre aidé.