Publié : 08 oct. 2011, 14:10
J'avais pensé à elle pour ma première fois: http://escort.vivastreet.fr/escort-girl ... ategory=83 vous en pensez quoi? merci .
Pamela Rodrigues , c'est vrai qu'elle est plutôt canon sur les photos ! mais après, le fait de la rencontrer et d'avoir une relation avec elle , avec bien sûr le préservatif est-il plus dangeureux que certaines du bois de Boulogne ?yordi69 a écrit :J'avais pensé à elle pour ma première fois: http://escort.vivastreet.fr/escort-girl ... ategory=83 vous en pensez quoi? merci .
Merci pour cette info oh combien pertinente, l'hôpital Bichat aussi en reçoit pas mal, voilà qui remet le bois à sa juste place...phenix a écrit :
Pamela Rodrigues , c'est vrai qu'elle est plutôt canon sur les photos ! mais après, le fait de la rencontrer et d'avoir une relation avec elle , avec bien sûr le préservatif est-il plus dangeureux que certaines du bois de Boulogne ?
En fait , on n'est jamais sûr à 100% que la trans , que l'on rencontre n'est pas malade !
C'est pour cela , qu'il faut toujours réclamer le préservatif , c'est primordial et même si la trans vous affirme qu'elle n'est pas malade et qu'elle a fait une prise de sang , il y a 2 semaines et qu'elle était négatif ...
Ce texte à lire et à ce faire une petite idée ....
INFECTIOLOGUE, HOPITAL AMBROISE-PARE
"Le suivi des patients trans’"
La proximité avec le bois de Boulogne fait de l’hôpital Ambroise Paré un lieu stratégique de prise en charge de la population trans’ prostituée. Depuis mai 2004, une convention entre le Centre hospitalier universitaire (CHU) et l’association Prévention action santé travail pour les transgenres (Pastt) régit l’accès aux soins pour tous les travailleurs du sexe. L’équipe médicale de l’hôpital est composée de cinq médecins avec une file active de 54 patients trans’. Parmi ces patients, 41 sont séropositifs au VIH, dont un quart a été dépisté au sein du CHU. 80% viennent à l’hôpital par le biais d’associations comme le Pastt, les autres y ont été encouragés par des proches. Pour la plupart originaires du Brésil, du Pérou ou d'Argentine, leur souhait est d’obtenir l’Aide médicale d’Etat (AME), puis un titre de séjour. Pour faciliter le contact avec cette population, une partie du personnel de l’hôpital est lusophone. C’est le premier recours aux soins pour un quart de ces patients. Les trois quart sont relayés par l’AP-HP ou par d’autres structures européennes quand il y a eu une rupture de suivi, un non-renouvellement de titre de séjour, des suivis parallèles ou lorsqu’il y a une impossibilité d’accès aux antirétroviraux (ARV) dans le pays d’origine. La transmission des informations médicales d’un patient d’un pays à un autre est parfois longue et retarde la prise en charge. Beaucoup viennent nous voir quatre à six mois après leur arrivée en France, lors de la manifestation de la première infection opportuniste. Concernant l’usage de drogue, on constate des prises éventuelles de cocaïne et de cannabis, une consommation importante d’alcool ainsi que de nombreuses ordonnances de psychotropes pour dormir. En revanche, tous nient l’usage de drogues injectables. Depuis janvier 2006, l’obtention d’un titre de séjour est soumise à la délivrance d’un certificat signé par un médecin statutaire. Certains patients suivis par le personnel du CHU ne peuvent donc fournir ces certificats. Par ailleurs, une liste des pays qui délivrent les ARV circule. Malheureusement, une personne souhaitant obtenir un titre de séjour pour ce motif risque de se le voir refuser. Le droit aux soins est donc limité et les difficultés de prise en charge sont nombreuses : blocage linguistique, barrières culturelles, décalage entre les horaires de chacun, complexité du système de soins français pour les migrants...
Pour certains trans’, la multiplicité des acteurs de l’hôpital peut être perçue comme une mauvaise acceptation de leur différence. Le personnel lui-même conçoit qu’il y a parfois confusion des rôles. Par exemple, parler des problèmes médicaux d’un patient avec l’assistante sociale... Il existe encore d’autres freins à la prise en charge tels que le problème de domiciliation et d’adresses incomplètes pour l’envoi des convocations, les problèmes d’incarcération ou de couple, le problème des ordonnances "à la demande" c’est-à-dire le renouvellement d’ordonnances par des médecins de ville non spécialisés.
Pour rendre optimale la prise en charge des personnes trans’ séropositives au VIH, le personnel doit être formé aux avancées des traitements antirétroviraux. Il faut donc investir dans l’information et la formation des deux parties, le personnel médical et les patients, afin de permettre aux personnes trans’ d’être plus autonomes en tant que citoyennes.
Ca c'est bien vrai.... On le voit ici ou sur nia, ceux qui se vantent de se faire enfiler sans, etc.... reve ou realite c'est pareil dur a savoir vu les rois de la branlette qui fantasment , et c'est pas plus mal que de faire une telle connerie.cilibez a écrit : Cela dit, une demande croissante de bareback au bois ou en appart est évidente et sur ce coup la c'est bien le client à mettre en cause !!!