Publié : 12 avr. 2017, 19:16
Vietnam
Avant 2013, la prostitution était interdite au Vietnam. Ça rapportait un séjour en cabane pour le client et l’envoi en camp de rééducation pour la fille. Puis, la prostitution a été autorisée. Le district 1 de Saigon a été envahi de filles et de proxénètes dans tous les coins avec en prime des policiers qui pratiquaient le proxénétisme.
La situation s’est aggravée lorsque les filles sur le trottoir étaient à peine âgées de 16 ans. La police a remis de l’ordre dans tout ça. Des (clients) américains ont été arrêtés et extradés avec un lettre de recommandation qui les envoyés directement au tribunal en Amérique. Les filles ont disparu des rues mais le proxénétisme est toujours présent. Toutefois, la prostitution est cantonnée au RLD du district 1 (pour Saigon).
Ho Chi Minh
La ville s’appelle Ho Chi Minh mais tout le monde dit Saigon Je n’ai fait qu’y transiter. Il y a un red light district dans le district 1 qui se trouve grosso modo dans la rue Bui Vien, sauf erreur de ma part.
https://www.google.fr/maps/place/B%C3%B ... ,+Vietnam/
Comme dans beaucoup de quartiers de ce genre en Asie, les filles racolent pour faire entrer les clients dans les bars et de jeunes touristes font les kékés aux terrasses. J’ai vu un bar avec un ladyboy.
A mon second passage, j’ai pris le temps d’utiliser Wechat. Dans le paquet, il y avait quelques ladyboys mais une seule a répondu à mes messages. Elle habitait dans le district 8. Palabres, elle me conseille un hôtel. Je n’avais envie de repayer une chambre, ce qui doublait le prix de la prestation (500.000 dong). On parle d’aller à mon hôtel mais je ne sais pas si on la laissera entrer. Elle a fini par rompre. Dommage.
Aujourd’hui, je consulte les annonces. Il y a des contacts. Mais une fois trié les doublons, il en reste moins et je vois dans le paquet une majorité de philippines internationales.
http://vietnam.backpage.com/TranssexualEscorts/
https://vietnam.craigslist.org/search/c ... &query=t4m
Les liens ci-dessus conduisent vers les annonces de transsexuelles au Vietnam. La plupart sont situées à Saigon.
A suivre.
Cap Saint Jacques
https://www.google.fr/maps/place/V%C5%A ... ,+Vietnam/
Les vietnamiens ont rendu à la ville son ancien nom, Vungtau. Quelqu’un m’avait recommandé cette ville pour ses bars à hôtesses. C’était assez mince.
Un peu déçu par ma première soirée, j’ai effectué des recherches avec Wechat. J’ai trouvé surtout des filles. J’ai contacté l’une d’elles dont la poitrine me paraissait un peu plate. Je lui ai demandé si c’était un ladyboy et je me suis fait jeter.
Puis, j’ai localisé un ladyboy. La négociation a été longue. Je lui ai demandé si elle serait acceptée à l’hôtel mais elle ne voulait pas sortir habillée et maquillée. Elle travaillait à Kuala Lumpur et s’était refait un look d’homme pour rentrer chez elle. Elle ne voulait me recevoir chez elle mais j’ai obtenu son adresse en faisant le forcing.
Une fois arrivé dans son quartier, plus de 4G ni aucune communication et la maison ne correspond pas à ce qu’elle m’a décrit. Il y a juste une vieille qui balaye devant sa porte. Retour dans une rue avec communications, deuxième essai. Ce n’était pas un plaisantin. La trans est un travesti qui présente bien.
__________________________________
Elle habitait un local avec mezzanine pas des plus confortables. Il faisait tellement chaud qu’elle avait descendu son matelas au sol pour avoir de l’air frais. Une fois rompue la glace, on a passé près d’une heure en préliminaires. Quand je l’ai pénétrée, elle éjaculé de grosses giclées sur son ventre. Et on a continué. Une fois que ce fût terminé, je l’ai suppliée de boire plusieurs verre d’eau tellement j’étais vidé. On s’est promis de se revoir à Cap Saint jacques ou à KL.
Une route dans un coin touristique
Au cas où des yeux indiscrets venaient à lire ce post, je préfère ne pas donner trop de détails sur le lieu. C’était un lieu de vacances et j’avais lu qu’il y avait sur une plage des ladyboys qui ramenaient les gens en scooter et les pelotaient pour leur faire les poches. Rien à l’endroit indiqué, or j’avais loué un scooter et j’ai pu me promener tout en me disant qu’il n’y avait rien à trouver sauf l’air tiède des tropiques. Après avoir longé la plage, je me suis engagé dans un faubourg et j’ai bifurqué à nouveau pour revenir sur la ville. A cet endroit, la petite route croisait un grand terrain avec des marchands ambulants dans un coin (je suis vague voire inexact pour cacher le lieu).
A ce moment, j’ai vu 3 ladyboys derrière un chariot de vendeur. Une fois que je les avais repérées, les 3 femboys se sont levées et j’ai pu les regarder d’un peu plus près. Je m’intéressait à une grande mince aux cheveux longs alors que celle qui m’avait vu la première, petite et très maquillée avec des cheveux de longueur moyenne s’est approchée. Nous n’avion pas un mot de vocabulaire en commun et elle s’est servie de son téléphone pour afficher ses tarifs. Elle demandait 500.000 dong (20 €) pour aller à l’hôtel. Sachant que le règlement de l’hôtel interdisait les prostituées («no pimp prostitute») et que le sympathique patron ou son épouse s’assurait que je sois bien rentré pour fermer la grille (et s’assurer que je ramenais le scooter qu’il me louait), je savais que ce ne serait pas possible. Nous avons alors convenu d’une bonne fellation à coté des buissons pour 200.000 dong (8 €).
J’ai emmené la trans sur le terrain qui jouxtait cette route et nous avons commencé comme au bois de Boulogne à 200 mètres d’un morceau de ligne droite de la route où passaient les voitures et les mobylettes qui ne pouvaient pas nous voir dans leurs phares. Elle s’est mise à genou et a pris tout son temps pour réaliser une fellation bareback, pas le genre timide et du bout des lèvres mais au contraire bien goulue avec une bouche bien gourmande. Quand j’ai éjaculé, elle a tout pris sur sa langue et a continué de me lécher comme si ma queue était une glace au bout d’un cornet, puis elle s’est essuyé la bouche et a recommencé des fois qu’il y ait moyen de repasser les plats.
Puis nous nous somme rhabillés, elle est remontée en amazone à l’arrière de son scooter et je l’ai ramenée au point où on s’était rencontrés. Ses 2 copines étaient parties avec des clients locaux.
Le lendemain, j’ai rendu le scooter avant de reprendre un bus le jour suivant. Je me suis rendu à l’endroit à pieds (ça faisait loin), mais il y avait une kermesse qui s’était installée juste à coté. Je n’ai pas pu attendre que la petite fête s’arrête et je suis rentré un petit peu la mort dans l’âme. Ça m’a donné envie de revenir. Vu les circonstances, il est probables que ces 3 femboys ne soient plus là l’an prochain ou dans 2 ans. Si quelqu’un va en vacances du coté du Vietnam, je peux lui donner des détails en MP (à commencer par le conseil de louer un petit appartement ou un bungalow dans la ville).
Delta du Mékong
J’ai quitté le Vietnam en bus. Sur la route, je m’amusais à faire des recherches avec Wechat et je «voyais» beaucoup de filles en faisant des recherches de personnes à proximité. En prenant le bac pour traverser des bras du Mékong, le bus laissait monter à bord des marchandes ambulantes. Sur cette route, certaines marchandes étaient des ladyboys provinciales (pas très sexy d’ailleurs). Un peu plus loin, un ladyboy m’a contacté sur Wechat et m’a demandé de s’arrêter dans sa ville.
J’aurais d’autres EV à raconter (notamment sur les filles et les proxénètes à Saigon) mais je m’en tiens aux ladyboys. Je n’ai pas vraiment mesuré quel est leur degré de liberté aujourd’hui au Vietnam alors que la prostitution féminine a pris son rythme de croisière. On arrive à en trouver en rusant et avec le nez creux. Je pense que des français sont mieux armés que d’autres pour y parvenir (quelque chose rappelle la France au Sud Vietnam) contrairement aux anglais, australiens et autres qui ne cherchent que dans les bars. Il est quand même préférable de connaître un peu l’Asie aussi.
J’ai lu des EV contradictoires récemment, alors que je n’étais pas au Vietnam depuis si longtemps. Je crois celui qui raconte qu’il n’a pas vu de ladyboy à Saigon. En revanche, j’ai quelques doutes au sujet de celui qui prétend en avoir vu plusieurs dont certains qui circulent en scooter et proposent d’emmener les gens. Ce ne sont pas des ladyboys, ce sont des proxénètes qui promettent monts et merveilles … à vos risques et périls.
Je suis convaincu qu’on trouvera plus facilement des ladyboys au Vietnam dans les années à venir sans pour autant être certain que le Vietnam sera une nouvelle Thaïlande ni même savoir si ça prendra du temps ou si ça viendra relativement rapidement.
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Avant 2013, la prostitution était interdite au Vietnam. Ça rapportait un séjour en cabane pour le client et l’envoi en camp de rééducation pour la fille. Puis, la prostitution a été autorisée. Le district 1 de Saigon a été envahi de filles et de proxénètes dans tous les coins avec en prime des policiers qui pratiquaient le proxénétisme.
La situation s’est aggravée lorsque les filles sur le trottoir étaient à peine âgées de 16 ans. La police a remis de l’ordre dans tout ça. Des (clients) américains ont été arrêtés et extradés avec un lettre de recommandation qui les envoyés directement au tribunal en Amérique. Les filles ont disparu des rues mais le proxénétisme est toujours présent. Toutefois, la prostitution est cantonnée au RLD du district 1 (pour Saigon).
Ho Chi Minh
La ville s’appelle Ho Chi Minh mais tout le monde dit Saigon Je n’ai fait qu’y transiter. Il y a un red light district dans le district 1 qui se trouve grosso modo dans la rue Bui Vien, sauf erreur de ma part.
https://www.google.fr/maps/place/B%C3%B ... ,+Vietnam/
Comme dans beaucoup de quartiers de ce genre en Asie, les filles racolent pour faire entrer les clients dans les bars et de jeunes touristes font les kékés aux terrasses. J’ai vu un bar avec un ladyboy.
A mon second passage, j’ai pris le temps d’utiliser Wechat. Dans le paquet, il y avait quelques ladyboys mais une seule a répondu à mes messages. Elle habitait dans le district 8. Palabres, elle me conseille un hôtel. Je n’avais envie de repayer une chambre, ce qui doublait le prix de la prestation (500.000 dong). On parle d’aller à mon hôtel mais je ne sais pas si on la laissera entrer. Elle a fini par rompre. Dommage.
Aujourd’hui, je consulte les annonces. Il y a des contacts. Mais une fois trié les doublons, il en reste moins et je vois dans le paquet une majorité de philippines internationales.
http://vietnam.backpage.com/TranssexualEscorts/
https://vietnam.craigslist.org/search/c ... &query=t4m
Les liens ci-dessus conduisent vers les annonces de transsexuelles au Vietnam. La plupart sont situées à Saigon.
A suivre.
Cap Saint Jacques
https://www.google.fr/maps/place/V%C5%A ... ,+Vietnam/
Les vietnamiens ont rendu à la ville son ancien nom, Vungtau. Quelqu’un m’avait recommandé cette ville pour ses bars à hôtesses. C’était assez mince.
Un peu déçu par ma première soirée, j’ai effectué des recherches avec Wechat. J’ai trouvé surtout des filles. J’ai contacté l’une d’elles dont la poitrine me paraissait un peu plate. Je lui ai demandé si c’était un ladyboy et je me suis fait jeter.
Puis, j’ai localisé un ladyboy. La négociation a été longue. Je lui ai demandé si elle serait acceptée à l’hôtel mais elle ne voulait pas sortir habillée et maquillée. Elle travaillait à Kuala Lumpur et s’était refait un look d’homme pour rentrer chez elle. Elle ne voulait me recevoir chez elle mais j’ai obtenu son adresse en faisant le forcing.
Une fois arrivé dans son quartier, plus de 4G ni aucune communication et la maison ne correspond pas à ce qu’elle m’a décrit. Il y a juste une vieille qui balaye devant sa porte. Retour dans une rue avec communications, deuxième essai. Ce n’était pas un plaisantin. La trans est un travesti qui présente bien.
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Elle habitait un local avec mezzanine pas des plus confortables. Il faisait tellement chaud qu’elle avait descendu son matelas au sol pour avoir de l’air frais. Une fois rompue la glace, on a passé près d’une heure en préliminaires. Quand je l’ai pénétrée, elle éjaculé de grosses giclées sur son ventre. Et on a continué. Une fois que ce fût terminé, je l’ai suppliée de boire plusieurs verre d’eau tellement j’étais vidé. On s’est promis de se revoir à Cap Saint jacques ou à KL.
Une route dans un coin touristique
Au cas où des yeux indiscrets venaient à lire ce post, je préfère ne pas donner trop de détails sur le lieu. C’était un lieu de vacances et j’avais lu qu’il y avait sur une plage des ladyboys qui ramenaient les gens en scooter et les pelotaient pour leur faire les poches. Rien à l’endroit indiqué, or j’avais loué un scooter et j’ai pu me promener tout en me disant qu’il n’y avait rien à trouver sauf l’air tiède des tropiques. Après avoir longé la plage, je me suis engagé dans un faubourg et j’ai bifurqué à nouveau pour revenir sur la ville. A cet endroit, la petite route croisait un grand terrain avec des marchands ambulants dans un coin (je suis vague voire inexact pour cacher le lieu).
A ce moment, j’ai vu 3 ladyboys derrière un chariot de vendeur. Une fois que je les avais repérées, les 3 femboys se sont levées et j’ai pu les regarder d’un peu plus près. Je m’intéressait à une grande mince aux cheveux longs alors que celle qui m’avait vu la première, petite et très maquillée avec des cheveux de longueur moyenne s’est approchée. Nous n’avion pas un mot de vocabulaire en commun et elle s’est servie de son téléphone pour afficher ses tarifs. Elle demandait 500.000 dong (20 €) pour aller à l’hôtel. Sachant que le règlement de l’hôtel interdisait les prostituées («no pimp prostitute») et que le sympathique patron ou son épouse s’assurait que je sois bien rentré pour fermer la grille (et s’assurer que je ramenais le scooter qu’il me louait), je savais que ce ne serait pas possible. Nous avons alors convenu d’une bonne fellation à coté des buissons pour 200.000 dong (8 €).
J’ai emmené la trans sur le terrain qui jouxtait cette route et nous avons commencé comme au bois de Boulogne à 200 mètres d’un morceau de ligne droite de la route où passaient les voitures et les mobylettes qui ne pouvaient pas nous voir dans leurs phares. Elle s’est mise à genou et a pris tout son temps pour réaliser une fellation bareback, pas le genre timide et du bout des lèvres mais au contraire bien goulue avec une bouche bien gourmande. Quand j’ai éjaculé, elle a tout pris sur sa langue et a continué de me lécher comme si ma queue était une glace au bout d’un cornet, puis elle s’est essuyé la bouche et a recommencé des fois qu’il y ait moyen de repasser les plats.
Puis nous nous somme rhabillés, elle est remontée en amazone à l’arrière de son scooter et je l’ai ramenée au point où on s’était rencontrés. Ses 2 copines étaient parties avec des clients locaux.
Le lendemain, j’ai rendu le scooter avant de reprendre un bus le jour suivant. Je me suis rendu à l’endroit à pieds (ça faisait loin), mais il y avait une kermesse qui s’était installée juste à coté. Je n’ai pas pu attendre que la petite fête s’arrête et je suis rentré un petit peu la mort dans l’âme. Ça m’a donné envie de revenir. Vu les circonstances, il est probables que ces 3 femboys ne soient plus là l’an prochain ou dans 2 ans. Si quelqu’un va en vacances du coté du Vietnam, je peux lui donner des détails en MP (à commencer par le conseil de louer un petit appartement ou un bungalow dans la ville).
Delta du Mékong
J’ai quitté le Vietnam en bus. Sur la route, je m’amusais à faire des recherches avec Wechat et je «voyais» beaucoup de filles en faisant des recherches de personnes à proximité. En prenant le bac pour traverser des bras du Mékong, le bus laissait monter à bord des marchandes ambulantes. Sur cette route, certaines marchandes étaient des ladyboys provinciales (pas très sexy d’ailleurs). Un peu plus loin, un ladyboy m’a contacté sur Wechat et m’a demandé de s’arrêter dans sa ville.
J’aurais d’autres EV à raconter (notamment sur les filles et les proxénètes à Saigon) mais je m’en tiens aux ladyboys. Je n’ai pas vraiment mesuré quel est leur degré de liberté aujourd’hui au Vietnam alors que la prostitution féminine a pris son rythme de croisière. On arrive à en trouver en rusant et avec le nez creux. Je pense que des français sont mieux armés que d’autres pour y parvenir (quelque chose rappelle la France au Sud Vietnam) contrairement aux anglais, australiens et autres qui ne cherchent que dans les bars. Il est quand même préférable de connaître un peu l’Asie aussi.
J’ai lu des EV contradictoires récemment, alors que je n’étais pas au Vietnam depuis si longtemps. Je crois celui qui raconte qu’il n’a pas vu de ladyboy à Saigon. En revanche, j’ai quelques doutes au sujet de celui qui prétend en avoir vu plusieurs dont certains qui circulent en scooter et proposent d’emmener les gens. Ce ne sont pas des ladyboys, ce sont des proxénètes qui promettent monts et merveilles … à vos risques et périls.
Je suis convaincu qu’on trouvera plus facilement des ladyboys au Vietnam dans les années à venir sans pour autant être certain que le Vietnam sera une nouvelle Thaïlande ni même savoir si ça prendra du temps ou si ça viendra relativement rapidement.
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