Publié : 10 déc. 2017, 11:46
lit les pages qui sont avant et tu trouvera ta réponse. aller, je t'aide. tu trouvera ce que tu cherche à la page 140 et 141
peut on encore trouver des trans avec de super gros culs comme à l'époque ? 2013/2014
Pepito a écrit :peut on encore trouver des trans avec de super gros culs comme à l'époque ? 2013/2014
Et pourquoi voudrais-tu que les culs aient diminué de volume en 3-4 ans ?
Ya de tout au Bois ...
Cela ne m'étonnes pas du tout, c'est ce qui fait tout le charme du bois.Pmcfly a écrit :Salut à tous,
Puisque certains demandent des anecdotes, je me lance!
Je fréquente le bois depuis 25 ans mais pas assidument, j'y passe beaucoup par prériode et je peus rester de longs mois sans y mettre les pieds.
Il y a je pense une dizaine d'années, une trans brune, grande avec de long cheveux travaillait à l'angle RM18 / PC1 soit route de la reine marguerite / route de suresnes.
Elle était là l'après midi vers 17 heures et aussi le soir.
Elle m'avait aguichée plusieurs fois en me proposant une pipe à 20 euros et elle précisait à chaque fois "gorge profonde".
Je n'ai jamais craqué mais un samedi soir vers 23 heures, je passe et je la vois qui bossait.
Comme tous les samedis soirs il y avait beaucoup de passages de véhicules et les arbres étaient balayés par les halos de lumière des phares de voitures qui tournaient à cet endroit.
A un moment, j'ai cru deviner une silhouette dans le sous bois derrière elle, j'avais l'impression que c'était un mec torse nu mais en fait il était complètement à poil attaché à un arbre.
Quand elle leva son prochain client, elle alla travailler juste devant son prisonnier, car c'était bien de cela qu'il s'agissait.
Une fois son affaire terminée avec son client, elle obligea le mec à la sucer puis elle reparti travailler pendant que le mec était toujours là nu comme un vers attaché à cet arbre.
Je pouvais observer la scène facilement depuis la route et je n'ose imaginer ce qui se serait passer si une patrouille de police était passée par là à ce moment.
C'était une vision totalement surréaliste comme seul le bois peut en offrir.
J'espère que mon petit récit vos a plu.
J'attends le votres
Oui , je l'ai même sucée pendant que je caressais ses cuisses impressionnantes.voxxer75 a écrit :Tu as pu voir ou tater son engin ?
moi aussi je m'en souviens parfaitement, c'était Pépito attaché à l'arbrePmcfly a écrit :Salut à tous,
Puisque certains demandent des anecdotes, je me lance!
Je fréquente le bois depuis 25 ans mais pas assidument, j'y passe beaucoup par prériode et je peus rester de longs mois sans y mettre les pieds.
Il y a je pense une dizaine d'années, une trans brune, grande avec de long cheveux travaillait à l'angle RM18 / PC1 soit route de la reine marguerite / route de suresnes.
Elle était là l'après midi vers 17 heures et aussi le soir.
Elle m'avait aguichée plusieurs fois en me proposant une pipe à 20 euros et elle précisait à chaque fois "gorge profonde".
Je n'ai jamais craqué mais un samedi soir vers 23 heures, je passe et je la vois qui bossait.
Comme tous les samedis soirs il y avait beaucoup de passages de véhicules et les arbres étaient balayés par les halos de lumière des phares de voitures qui tournaient à cet endroit.
A un moment, j'ai cru deviner une silhouette dans le sous bois derrière elle, j'avais l'impression que c'était un mec torse nu mais en fait il était complètement à poil attaché à un arbre.
Quand elle leva son prochain client, elle alla travailler juste devant son prisonnier, car c'était bien de cela qu'il s'agissait.
Une fois son affaire terminée avec son client, elle obligea le mec à la sucer puis elle reparti travailler pendant que le mec était toujours là nu comme un vers attaché à cet arbre.
Je pouvais observer la scène facilement depuis la route et je n'ose imaginer ce qui se serait passer si une patrouille de police était passée par là à ce moment.
C'était une vision totalement surréaliste comme seul le bois peut en offrir.
J'espère que mon petit récit vos a plu.
J'attends le votres
moi aussi je m'en souviens parfaitement, c'était Pépito attaché à l'arbre