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Publié : 20 nov. 2011, 15:18
par banx69
Angelique, c'est vraiment pas pour être méchant, mais être inscrite sur un forum de prostitution transsexuelle et ne vouloir ni être prostituée, ni transsexuelle, je crois que vous vous trompez vraiment de cible....

De plus vous vous plaignez de ne pas trouver de clients, mais vos tarifs sont prohibitifs pour des gens qui ne veulent pas forcément du "social" mais une partie de jambes en l'air, pas forcément 3h....

Quand je rencontre un prostituée c'est avant tout pour faire de cochonneries, pas pour me faire des amies....
Je n'ai bien sur rien contre un social Time mais enfin, toutes mesures gardées....

Je comprend bien votre position de ne pas vouloir être un morceau de viande, mais en même temps vous le vendez votre corps et votre derrière.

Vous ne pouvez pas critiquer ce que vous vous faites vous même...

Vous niez le terme prostituée, mais que fait on a l'hôtel avec vous ?

Bien entendu c'est tout à votre honneur de vouloir faire de l'accompagnement et de proposer une prestation pas centrée sur le sexe, mais vous n'êtes pas au bon endroit!

Et si vous cherchez l'amour, je vous conseille meetic vous aurez plus de chances de le trouver!

À ce moment la, proposez des prestation d accompagnement sans aucune ambiguïté sexuelle, proposez des photos, d'être une muse, un modèle artistique, j'en sais rien, mais si vendre votre cul vous répugne, pourquoi le faire ?

Laissez cela a celle qui aime sentir leur rondelle frétiller.

De plus traiter les intervenant de "TAFIOLLES" sûr un forum d'anciens hommes, devenus presque femmes, je trouve cela stupéfiant et insultant.........

Mais vous devriez prendre conscience que vous n'êtes ni en adéquation avec votre cible ni dans des pratiques commerciales et marketing convenables à votre situation.
Et j'insiste sur ce ton car on parle de business, comme chacun de nous ici qui avons un job à prêt entière, celui de nombreuses personnes ici est de se prostituer!

Tout cela dit avec la plus grande humilité et le plus grand respect pour une situation qui j'imagine vous fait souffrir, je vous souhaite le meilleur!!!

Publié : 20 nov. 2011, 17:46
par Renardeau
Quand on voit ses vidéos sur son site, on comprend vite qu'elle ne fait pas que du social time. Et pour cela on trouve plein de gens charmants, intelligents et érudits qui font cela sans en faire une activité lucrative. Comme tu le dis si bien, lorsque l'on prend rdv avec une prostituée (trans ou fille) c'est généralement pour le sexe et uniquement pour cela. Donc, trois heures avec la princesse Angélique c'est, je pense, un peu long d'autant plus qu'elle n'officie qu'avec la partie postérieure de sa personne..........

Publié : 23 nov. 2011, 19:19
par DIABLOTEEN
Bonsoir,

voici un lien qui me parle, pas seulement à moi j'espère... :

http://leplus.nouvelobs.com/contributio ... -mois.html


Pour les fainéants, cela donne :

Comment le système nous broie : j'ai 36 ans et je vis avec 448 euros par mois
LE PLUS. Que se passe-t-il donc dans notre pays ? Quelles incohérences amènent des gens qui sont diplômés, bosseurs et pas regardants à se retrouver au RSA, nourrissant leurs enfants avec moins de 500 euros par mois ? Une mère en colère analyse la situation. Et nous ouvre les yeux sur sa réalité.


> Par L. C en recherche d'emploi

Edité par Gaëlle-Marie Zimmermann Auteur parrainé par Michel Labro

Mes mots sont simples et humbles comme la faim.



Ils ne structurent aucune pensée philosophique, aucun discours politique, aucune doctrine religieuse, aucune appartenance raciale ou sociale. Ils sortent de mes deux jambes encore en état de marche et s’inscrivent dans ma bouche, dans mon cœur, meurtris par tant d’années de silencieux combats, tant d’humiliations inscrites dans mes yeux, tant de douceurs rêvées anéanties par la violence du labeur quotidien qui nous ferre.




Euros / Flickr Images_of_Money cc



Des poissons menés à l’abattoir des banques



Car l’animal humain sauvage a bel et bien été bâillonné par ce monde global sans issue, semblons-nous croire, ou nous fait-on croire. L’homme "moderne" navigue plus qu’il ne mord ; pour défendre son bifteck quotidien, il louvoie, prend des poses, se faufile entre les mailles des filets voraces des dividendes pour écumer les derniers jours de sa vie économique, n’attendant plus que la délivrance dans une petite retraite, incertaine parfois, mais c’est toujours ça de gagné, et mieux que rien.



Le casino mondial est en panique. Les dés sont pipés et les Dalton qui fabriquent les jeux ramassent les mises et se construisent trois cents îles flottantes au sud de Dubaï, un nouveau continent appelé "The World", pour quitter leurs tours d’ivoire européens, chinois, arabes, brésiliens, hindous ou américains, quand le raz-de-marée final parera la terre bleue de son sang économique.



Même les catastrophes naturelles aux conséquences parfois inextinguibles sur les peuples de cette terre (tsunamis, cyclones, tremblements de terre, incidents nucléaires graves, et toujours les famines, les maladies, etc.) n’éteignent pas l’hégémonie des patrons de la finance et ne leur redonnent pas le sens de valeurs plus justes, plus urgentes.



Les super héros de la finance n’ont peur de rien, ne vivent que pour amasser plus d’argent et de pouvoir : une petite cour de récréation ultra fermée, où les plus grands et les plus forts d’entre eux se pâment d’être les plus riches, les plus innovants, les plus puissants, les plus importants d’entre eux.



C’est mieux que de n’être rien, que d’appartenir à la masse des petits hommes, qui vivote avec de petits rêves, à défaut de pouvoir s’en payer des plus libres. Eux ont des plaisirs magnifiés, grandioses et vaniteux, voire sordides, puisque les désirs simples sont tués dans l’œuf de la vertu monétaire. Des désirs qui ne peuvent plus se rêver, tant ils disparaissent, avant même d’être dans l’action d’imaginer, pour juste acheter ou se faire offrir des objets, des lieux, des hommes marqués comme du bétail. Un marquage qui participe à la reconnaissance de ces castes dont l’indigence de la morale va jusqu’à préférer un yacht avec des fauteuils non plus de cuir…, mais en prépuce de cachalot ou de baleine.



Car le rien est partout, plus rien ne va !



Le monde global nous mâche et nous cisaille de ses mâchoires cannibales à coups de bas salaires, de loyers ultra exorbitants au nom d’un marché abscons et indécent; à coups de contrats inexistants remplacés par de longs stages indéfinis ou de contrats de court… oisie de moins de trois ou six mois où l’on donne le meilleur de soi pour se retrouver de nouveau à se vendre auprès de multinationales qui n’offrent que trois CDI sur presque une centaine d’annonces d’embauche en "contrat stagiaire" sur leurs sites Internet : tous les départements y cherchent des stagiaires.



Des services administratifs aux bureaux de la finance, en passant par la comptabilité, la communication, l’archivage, la production, etc. Il ne manque plus qu’un poste à proposer : stagiaire PDG.



Même Coluche l’aurait pas imaginée, celle-là, de blague, tant l’on marche la tête en bas et le dos courbé à souffrir d’un lumbago aigu chronique, tout en devant rester droit comme un "i" et les mains agrippées au bureau miraculeux qui vous a accordé un emploi en CDI, putain, quelle chance, j’en ai décroché un !



À trente-six balais, il était temps de trouver un "plan sûr" pour espérer cette retraite qui s’éloigne toujours plus de mes futurs soixante-cinq ans. Les mesures prises on non-appliquées par les gouvernements et les patrons voyous scient les branches du système social de nos familles et de nos enfants sur lesquels nous sommes tous assis. Tu penses ! C’est la faute aux fraudeurs, dit le gouvernement. Je pose la question : et toi, lecteur, est-ce que tu penses ?



Avec la vitesse du Net et l’exécution des réponses instantanées que tu dois exécuter chaque jour, y arrives-tu encore à penser ?



Et tous ces stagiaires (fainéants ?) qui ne trouvent pas de contrats solides et qui ne cotisent pas pour les caisses sociales de notre pays. Et toutes ces délocalisations qui stigmatisent nos industries déshabillées en "escort girl" qui sourient à l’Asie et ces jours-ci à Rio et à son carnaval de promesses, pour offrir aux actionnaires (action-nerf) assis impavides derrière des bureaux, plus de dividendes non imposables ou défiscalisables, selon la niche du chien qui les accompagne, laissant leurs anciens employés et ouvriers errer vers les caps Pôle emploi et autres services d’aide sociale pour has been usés, pour cerveaux burned out of future qui boivent le coca comme de bons citoyens bien élevés, avec un parfait non-sens critique qu’ils affichent avec constance et dignité.



Car il n’y a plus rien à faire contre ce monde immense qui nous impose ses critères de priorité : l’argent, toujours l’argent, encore l’argent et rien que l’argent pour ces hommes de pouvoir qui combattent avec l’énergie et la fièvre du désespoir le moindre centime à gagner.



Les laissés-pour-compte du système : économiquement indésirables



Mes mots sont simples et humbles comme la faim. Ils ne structurent aucune pensée philosophique, aucun discours politique, aucune doctrine religieuse, aucune appartenance raciale ou sociale. Je suis une femme blanche, diplômée, d’à peine trente-six ans, qui vit deux fois au-dessous du seuil de pauvreté dans ce pays si riche de tout, qui est trop "intellectuelle" pour un poste "manuel" et trop "vieille" pour un "jeune" poste intellectuel… en stage.



Ah !... Oui, je suis également autodidacte, entrepreneuse et femme seule avec un enfant. Pas facile. Qui me représente ? Aucun syndicat, aucun parti. J’ai toujours été une comptée-à-part, en termes économiques. J’ai toujours voulu garder ma liberté de parole et de mouvement. Pardonnez-moi cette dernière offense.



Une comptée-à-part qui avait prédit le match Chirac-Le Pen bien avant les résultats, et que les services de communication socialistes n’ont pas su écouter… Alors que je côtoyais les plateaux télévisuels politiques. Alors que j’écoutais justement les nombreux, constants et parfois infimes signes observés tous les jours de la rue, du peuple français, dans sa globalité. Une comptée-à-part qui garde en mémoire deux petites actualités passagères, passées presque inaperçues dans les médias et qui pourraient être prémonitoires (?).



Il s’agit de la première journée générale de grève de stagiaires en novembre 2005, organisée par "Génération précaire", qui voulait alerter sur leur sentiment que "les possibles se réduisent dans ce pays" ; une journée née d’un appel spontané et diffusé sur le Net. Et la première manifestation de Chinois en colère à Paris, le 20 juin 2010, contre l’insécurité grandissante qu’ils connaissent dans leur quartier de Belleville. Une deuxième marche chinoise a eu lieu le 19 juin 2011 avec pour slogan "Sécurité pour tous"… Deux extrémités du monde économique global, ici en France, pays riche malgré tout ce désordre mondial, un monde économique global qui pourrait être meilleur s’il était plus juste et plus équilibré dans ses échanges internationaux.



J’attends. J’attends d’avoir encore plus faim. Car je sais que je ne suis pas seule et que la colère de ne plus pouvoir nourrir nos enfants nous ramènera en arrière, à la raison historique.



À la raison mammifère et non plus à celle du poisson effrayé sorti de son bocal originaire et plongé dans un océan immense qui le perd plus qu’il ne le sauve. L’animal politique devrait, lui, s’entourer de chercheurs scientifiques, de sociologues, de philosophes, d’historiens, pour mieux servir l’avenir de son peuple… et non de cabinets de communication qui réfléchissent à flux tendu sur l’instantané des problèmes à résoudre. Le "Radeau de la Méduse" ne peut plus être colmaté. Il faut le reconstruire dans sa totalité. Il faut le penser et aller courageusement le construire.



448 euros mensuels : compter, tout et tout le temps



Rien à faire des ultra larges écrans led, des multiproduits de M. Steve Jobs, des écrans tactiles et livres ebooks qui se graissent sous nos traces de doigts, des BlackBerry, des Smartphones, des iPod et des iPhone… Des objets obsolètes dans quelques années. Rien à faire de tous ces produits importés d’Asie, fabriqués au prix du sang, payés par crédit. Je sirote un coffee con latte, en écoutant le son vinyle de bons vieux standards de Barbra Streisand (I got plenty of nothin, Second Hand Rose, The best things in life are free, Nobody knows you when you’re down and out). Une merveille pour mes oreilles et mes rides de bonheur inquiet. Un stylo au bout des doigts et des feuilles incandescentes de blancheur.



Et je fais mes comptes : 448 euros par mois. Je fais partie de ceux qu’on montre du doigt. Les RSAistes, le cancer de l’économie française. 448 euros par mois : moins "un restant" de loyer (grâce à l’APL), l’électricité, le gaz, l’eau, l’assurance habitation, le téléphone-internet, l’essence, un emprunt alimentaire à rembourser. Même pas 200 euros par mois pour faire vivre mon fils et ma carcasse. Le moindre médicament non remboursé pose problème, le moindre tour de manège ou paquet de bonbons doit se négocier sec, comme une formule 1 qui prend son virage et qui veut parader devant ce fils si précieux.



Les sacs pour aspirateur ou une ramette de papier pour imprimer mes CV et quelques nouvelles ou chroniques sont un achat de luxe.




Hervé Keirnes / Flickr cc



Je pense à Balavoine, qui serait un gueuleur de premier ordre à s’en casser la voix devant tant d’hérésie humaine. Il me manque souvent et me donne du courage. Je me dis que Coluche doit pleurer tous les jours. Je pense à cet harmonica que je n’ai pu acheter, dans un de ces "magasins du monde" qui vante et qui vend des articles écocitoyens. Le gérant m’informe du prix qui n’était pas affiché, comme pour beaucoup de ses articles : 6 euros ! Il en est sûr, son sourire carnassier me l’assure. Pourtant, il était au pied d’une étagère, couvert de poussière, dans son étui en carton vert et bleu. Seul.



Un harmonica d’enfant à la couleur or, sur lequel sont inscrites des lettres pleines d’avenir : Happy Boy. Et en plus petit : "Made in China". Aujourd’hui, je viens de l’acheter. Il était toujours dans son coin, caché, depuis mars dernier… Il est à côté de moi, pendant que j’écris ces mots. Parce que je ne sais pas chanter comme le conseil de Samuel Beckett : "Quand on est dans la merde jusqu’au cou, il ne reste plus qu’à chanter."



Alors je sirote mon café au lait, j’écoute à présent Déjeuner en paix de Stephen Eicher. Je vais chercher, toujours et encore, du travail, sur mon écran. Parce que maintenant on dit du travail, pas un métier. Et j’attends. J’attends que le pain manque encore et encore et que les femmes, les mères responsabilisent à nouveau le monde de la finance. Des êtres humains éteints qui ont oublié la flamme de leur enfance. Et qui piétinent celle de mon enfant.



Si vous avez besoin d'une plume, d'une correctice, d'une rédactrice, écrivez à la rédaction du Plus qui s'est proposée pour faire suivre vos courriels - et je l'en remercie : redaction.leplus@nouvelobs.com



Merci pour votre patience :smile:

Publié : 24 nov. 2011, 10:55
par m.garisson
Un truc que je pige pas il se plaint d'avoir des problèmes d'argent et il claque 600€ dans des synthés damn it le monde fout le camp non.
Je pense à cette chanson : why don't you get a job ?

Publié : 24 nov. 2011, 11:35
par vagabond
m.garisson a écrit :Un truc que je pige pas il se plaint d'avoir des problèmes d'argent et il claque 600€ dans des synthés damn it le monde fout le camp non.
Je pense à cette chanson : why don't you get a job ?

parce que c est plus facile de faire la pute, que de se lever le matin pour aller bosser?

peut etre un debut de reponse?

oui? non?

Publié : 24 nov. 2011, 11:54
par m.garisson
Je pense que tu n'as pas tort Vagabonb, mais arrivé à un certain moment il faudra qu'il se retire impérativement les doigts du cul, pour trouver un vrai JOB, et d'arrêter de faire des métaphores stylistique dont tout le monde se fout, et aussi d'arrêter d'être plus royaliste que le roi.

Publié : 24 nov. 2011, 12:55
par vagabond
merci m.garisson je commençais a croire que c est moi qui deconnait

Publié : 24 nov. 2011, 13:38
par Renardeau
C'est aussi, je crois, les limites qu'elle exige dans ses prestations qui font que plus personne "ne se bouscule au portillon", sans compter des tarifs prohibitifs. Le "social time" ne se finance pas de cette façon. Ses illusions la perdront, pendant cela les années passent et la concurrence se fait plus intense et surtout plus adaptée.

Publié : 24 nov. 2011, 16:10
par voxxer75
3 eme ligne de son plagiat et je m'endormais..

Publié : 24 nov. 2011, 18:28
par m.garisson
Je pense que le vrai problème aujourd'hui c'est qu'il y a des personnes qui préfèrent être assisté toute leur vie, ne pas taffer c'est bien plus simple que de se lever à 5h du matin tous les jours.

Faut pas s'étonner : apl, rsa ect : c'est plus belle la vie en gros 800€ à regarder le cul assis chez soi : "Les feux de l'amour".

damn it it's a joke, je cite : "déplace à domicile ou hôtel 3 étoiles" : c'est X-files il faut contacter Mulder d'urgence :)

Publié : 24 nov. 2011, 18:29
par admin
voxxer75 a écrit :3 eme ligne de son plagiat et je m'endormais..
ce n'est pas du plagiat, puisqu'elle ne prétend pas être l'auteur...

Publié : 24 nov. 2011, 18:44
par admin
m.garisson a écrit :Je pense que le vrai problème aujourd'hui c'est qu'il y a des personnes qui préfèrent être assisté toute leur vie, ne pas taffer c'est bien plus simple que de se lever à 5h du matin tous les jours.

Faut pas s'étonner : apl, rsa ect : c'est plus belle la vie en gros 800€ à regarder le cul assis chez soi : "Les feux de l'amour".

damn it it's a joke, je cite : "déplace à domicile ou hôtel 3 étoiles" : c'est X-files il faut contacter Mulder d'urgence :)
L'assistanat est une chose, mais la vraie priorité est de casser le cou au consumérisme.

Il y a beaucoup d'articles de luxe qui sont aujourd'hui considérés "normaux", mais dont on a pas vraiment besoin pour vivre.

Pour fonctionner, un pays a besoin de pauvres et de riches et beaucoup de gens entre les deux. S'il est normal que les riches ont tout, il est également normal que les pauvres puissent travailler pour recevoir le strict nécessaire pour vivre. Ce strict nécessaire n'inclut pas de télé, ordinateur, des vêtements de marque, un lecteur de DVD, MP3, etc.

Lorsqu'il sera possible de vivre à Paris avec 500 EUR/mois pour payer nourriture, vêtements, loyer, téléphone portable, carte orange, assurance maladie et assurance viellesse (qui assure une retraite acceptable), le Pays aura fait un grand pas en avant.
Ca voudra aussi dire qu'il y aura de la main d'oeuvre qui pourra concurrencer les importations.

Malheureusement ca n'arrivera pas de sitôt - tout est trop cher et le restera encore longtemps. Il faudra attendre la banqueroute complète des pays Européens (ce qui arrive aujourd'hui n'est que le début) pour que cela change.
Lorsqu'on aura atteint ce stade, il n'y aura plus beaucoup de brésiliennes à Paris pour passer la nuit avec un client pour l'équivalent de 50 EUR. Elle gagneront autant chez elles au Brésil.

C'est ca, la redistribution des richesses...

Publié : 24 nov. 2011, 23:23
par mancha_verde
m.garisson a écrit :Un truc que je pige pas il se plaint d'avoir des problèmes d'argent et il claque 600€ dans des synthés damn it le monde fout le camp non.
Je pense à cette chanson : why don't you get a job ?
m.garisson a écrit :Je pense que tu n'as pas tort Vagabonb, mais arrivé à un certain moment il faudra qu'il se retire impérativement les doigts du cul, pour trouver un vrai JOB, et d'arrêter de faire des métaphores stylistique dont tout le monde se fout, et aussi d'arrêter d'être plus royaliste que le roi.
On peut apprécier ou pas Angélique ; on peut même déplorer un tas de trucs qui ont déjà été mentionnés et pour la plupart répondus du tac au tac par l'intéressée ; par contre si on s'érige en donneur de leçons (de gestion budgétaire aujourd'hui apparemment), il faut le faire de manière respectueuse, en utilisant LE FEMININ.

Personne pour s'insurger ?

Votre dévoué, ManchaVerde

Publié : 25 nov. 2011, 00:11
par admin
mancha_verde a écrit :
m.garisson a écrit :Un truc que je pige pas il se plaint d'avoir des problèmes d'argent et il claque 600€ dans des synthés damn it le monde fout le camp non.
Je pense à cette chanson : why don't you get a job ?
m.garisson a écrit :Je pense que tu n'as pas tort Vagabonb, mais arrivé à un certain moment il faudra qu'il se retire impérativement les doigts du cul, pour trouver un vrai JOB, et d'arrêter de faire des métaphores stylistique dont tout le monde se fout, et aussi d'arrêter d'être plus royaliste que le roi.
On peut apprécier ou pas Angélique ; on peut même déplorer un tas de trucs qui ont déjà été mentionnés et pour la plupart répondus du tac au tac par l'intéressée ; par contre si on s'érige en donneur de leçons (de gestion budgétaire aujourd'hui apparemment), il faut le faire de manière respectueuse, en utilisant LE FEMININ.

Personne pour s'insurger ?

Votre dévoué, ManchaVerde
un très bon point en effet

Publié : 25 nov. 2011, 07:58
par m.garisson
mancha_verde a écrit :
m.garisson a écrit :Un truc que je pige pas il se plaint d'avoir des problèmes d'argent et il claque 600€ dans des synthés damn it le monde fout le camp non.
Je pense à cette chanson : why don't you get a job ?
m.garisson a écrit :Je pense que tu n'as pas tort Vagabonb, mais arrivé à un certain moment il faudra qu'il se retire impérativement les doigts du cul, pour trouver un vrai JOB, et d'arrêter de faire des métaphores stylistique dont tout le monde se fout, et aussi d'arrêter d'être plus royaliste que le roi.
On peut apprécier ou pas Angélique ; on peut même déplorer un tas de trucs qui ont déjà été mentionnés et pour la plupart répondus du tac au tac par l'intéressée ; par contre si on s'érige en donneur de leçons (de gestion budgétaire aujourd'hui apparemment), il faut le faire de manière respectueuse, en utilisant LE FEMININ.

Personne pour s'insurger ?

Votre dévoué, ManchaVerde
M. mancha effectivement j'avais pas eu le courage de lire tous ses post, et je pensais sincèrement que c'était un homme travesti le terme qui m'a
mis dans l'erreur utilisé par ELLE était "taffiotte" à l'encontre d'un autre membre sans oublier diverses insultent sur les parents d'un autre membre ou le même, c'est certain qu'avec ses effets de style linguistique de la langue française ça passe mieux. Enfin bref si elle mettait autant argne et de style que dans ses posts à rédiger des lettres de motivation et cv pour sure qu'ELLE trouverai un taff encore faut-il le vouloir pour changer ses contidions de vie et d'arrêter de se plaindre.

Oui la vérité est dure à entendre n'en déplaise à ses fervents défenseurs et ses clients.