Publié : 05 août 2020, 05:23
Merci Pépito,
Cette Thaïs n'est pas trop mon genre mais c'est sympa d'avoir répondu 😉
Cette Thaïs n'est pas trop mon genre mais c'est sympa d'avoir répondu 😉
Gab.Fouquet a écrit :Bonsoir à tous,
J'ai rencontré Larissa l'an dernier, début août, lors d'un séjour à Paris. Je vais essayer d'être le plus clair dans mon récit. Le plus romanesque, aussi.
Il faisait chaud, beau, et par conséquent, tout ce qui va avec : des jeunes filles en fleur, des jeunes filles en fleur, des jeunes filles en fleur. Il y en avait partout. À tout les coins de rues, à tous les bords de ruelles. Toutes plus jolies les unes que les autres.
Larissa Baccarin me faisait de l'oeil depuis quelques semaines. En réalité, depuis que j'ai su que j'allais séjourner quelques jours à Paris. Son visage, ses courbes, sa poitrine. Tout est belle chez elle. Tout. Absolument tout. Le coeur palpitant comme jamais, j'ai pris la décision de lui envoyer un message relatant mes aspirations, mes envies. Mes craintes, aussi. Première expérience avec une Trans' oblige. Son retour fut rapide. Elle s'explique, propose également : GFE, Fk pour un "tarif league" de 150€/h. Je me dis : "Banco !". Et, donc j'y vais.
Je prends le métropolitain avec une peur bleue. J'ai peur. Si peur. J'ai du mal à trouver son appartement non loin de l'hôtel de ville. Mais j'y arrive. Je l'appelle et entend le son de sa voix. Ça y est, c'est bon. Je monte les marches et commence à ressentir de la tension. Ça y est, c'est l'adrénaline.
Je la vois. Elle est sublime. Absolument sublime. Je ne suis pas un aficionado invétéré des superlatifs, mais elle est sublime. Juste sublime. Les plus intimes de ses formes sont mises en valeur dans une lingerie affriolante sans être vulgaire. Elle m'accueille, sourire aux lèvres et attitude sud-américaine. C'est une chanteuse de flamenco. C'est Rosalia téléporté au coeur de la capitale. On s'asseoit sur son lit. Je la regarde dans les yeux. Elle me répond en me caressant, tendrement, les cuisses. Je file à la douche en m'efforçant de la rendre la plus délicieuse possible. Une copine à elle est dans l'appartement. Je ne la connais pas. Je ne saurais la reconnaitre.
Larissa m'attend sur son lit. Elle est belle. Délicieuse. Somptueuse. Elle m'embrasse comme rarement on m'a embrassé. J'ai envie de la prendre dans mes bras et de la contempler jusqu'au bout de mes jours. Un 69 endiablé me fait revenir à la raison. Son sexe est, somme toute, de taille moyenne (je ne saurai être un expert là-dessus). Actif, je lui fais l'amour avec tendresse. J'essaye tout du moins. Je le regarde de partout, mes mains s'attardant, avec une timidité manifeste, sur ses jambes, sa poitrine, ses fesses. Elle se termine sur mon ventre sans me demander de supplément. Qu'elle est belle.
Je termine la rencontre en reprenant une douche et en visualisant, une dernière fois, cet appartement : propre, coquet, décoré avec soin. Je m'asseois sur son lit, elle à côté de moi. Je la regarde. Elle aussi. Je lui souris, bêtement. Elle aussi. Je l'embrasse. Elle aussi.
Je sors de chez elle en choisissant de visiter Paris pour rentrer à mon hôtel. Les façades sont belles. Paris est belle. Larissa est belle. C'est la cité des amoureux au coeur d'une ville Lumière qui n'a plus de Lumière que son nom. Le temps d'une heure, je me suis envolé au septième ciel via une compagnie sud-américaine. C'était l'un de mes plus beaux voyages. S'il ne devait qu'en rester un.
Enfin de la poésie dans ce monde de brutes.Gab.Fouquet a écrit :Bonsoir à tous,
J'ai rencontré Larissa l'an dernier, début août, lors d'un séjour à Paris. Je vais essayer d'être le plus clair dans mon récit. Le plus romanesque, aussi.
Il faisait chaud, beau, et par conséquent, tout ce qui va avec : des jeunes filles en fleur, des jeunes filles en fleur, des jeunes filles en fleur. Il y en avait partout. À tout les coins de rues, à tous les bords de ruelles. Toutes plus jolies les unes que les autres.
Larissa Baccarin me faisait de l'oeil depuis quelques semaines. En réalité, depuis que j'ai su que j'allais séjourner quelques jours à Paris. Son visage, ses courbes, sa poitrine. Tout est belle chez elle. Tout. Absolument tout. Le coeur palpitant comme jamais, j'ai pris la décision de lui envoyer un message relatant mes aspirations, mes envies. Mes craintes, aussi. Première expérience avec une Trans' oblige. Son retour fut rapide. Elle s'explique, propose également : GFE, Fk pour un "tarif league" de 150€/h. Je me dis : "Banco !". Et, donc j'y vais.
Je prends le métropolitain avec une peur bleue. J'ai peur. Si peur. J'ai du mal à trouver son appartement non loin de l'hôtel de ville. Mais j'y arrive. Je l'appelle et entend le son de sa voix. Ça y est, c'est bon. Je monte les marches et commence à ressentir de la tension. Ça y est, c'est l'adrénaline.
Je la vois. Elle est sublime. Absolument sublime. Je ne suis pas un aficionado invétéré des superlatifs, mais elle est sublime. Juste sublime. Les plus intimes de ses formes sont mises en valeur dans une lingerie affriolante sans être vulgaire. Elle m'accueille, sourire aux lèvres et attitude sud-américaine. C'est une chanteuse de flamenco. C'est Rosalia téléporté au coeur de la capitale. On s'asseoit sur son lit. Je la regarde dans les yeux. Elle me répond en me caressant, tendrement, les cuisses. Je file à la douche en m'efforçant de la rendre la plus délicieuse possible. Une copine à elle est dans l'appartement. Je ne la connais pas. Je ne saurais la reconnaitre.
Larissa m'attend sur son lit. Elle est belle. Délicieuse. Somptueuse. Elle m'embrasse comme rarement on m'a embrassé. J'ai envie de la prendre dans mes bras et de la contempler jusqu'au bout de mes jours. Un 69 endiablé me fait revenir à la raison. Son sexe est, somme toute, de taille moyenne (je ne saurai être un expert là-dessus). Actif, je lui fais l'amour avec tendresse. J'essaye tout du moins. Je le regarde de partout, mes mains s'attardant, avec une timidité manifeste, sur ses jambes, sa poitrine, ses fesses. Elle se termine sur mon ventre sans me demander de supplément. Qu'elle est belle.
Je termine la rencontre en reprenant une douche et en visualisant, une dernière fois, cet appartement : propre, coquet, décoré avec soin. Je m'asseois sur son lit, elle à côté de moi. Je la regarde. Elle aussi. Je lui souris, bêtement. Elle aussi. Je l'embrasse. Elle aussi.
Je sors de chez elle en choisissant de visiter Paris pour rentrer à mon hôtel. Les façades sont belles. Paris est belle. Larissa est belle. C'est la cité des amoureux au coeur d'une ville Lumière qui n'a plus de Lumière que son nom. Le temps d'une heure, je me suis envolé au septième ciel via une compagnie sud-américaine. C'était l'un de mes plus beaux voyages. S'il ne devait qu'en rester un.
Gab.Fouquet a écrit :Merci à vous deux, Valsaint, Ruben pour vos mots bien choisis. Je n'ai jamais trop su répondre aux compliments. Je me contenterai de dire Merci, juste Merci. J'espère que ce sera suffisant. J'ose le croire en tout cas.
Après tout, tout le mérite revient à Larissa. Elle. Juste elle. Simplement elle.