Samutprakan a écrit :A poil à quelques mètres de la route ! Elle n'avait pas froid au cul celle-là ! (Je ne parle pas de la température)
ça a dû m'arriver aussi de tourner dans Boulogne avec une trans à la recherche d'un emplacement déjà pris. Je n'en garde ni bon ni mauvais souvenir, mais ça craignait. Vers la fin des années 1990, l'une d'entre elles avait poussé jusqu'à l'avenue Gordon Bennet et avait interrogé la trans qui tapinait à l'angle, peut-être celle dont tu parles mais qui avait vieilli. Elle l'appelait Katioucha. Ce qui me fait sourire dans ton récit, c'est la petite séance d'attente au cours de laquelle il fallait jouer les voyeurs. Je l'ai vécue une fois ou deux. ça ne faisait pas rire les trans. Dommage.
C'est aussi dommage que le bois ne soit pas resté une zone de tolérance pour faire comme la blonde qui se mettait à poil au bord de la route. ça aurait été mieux de le permettre dans les parties du bois qui échappent à la vue des habitants du coin. ça aurait permis un équilibre. Mais je crois que les trans aussi ont parfois peur de s'éloigner de la route ou de la présence de leurs copines et préfèrent pousser leurs clients à faire de l'exhibitionnisme.
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Hello Samut !
Cela m’a fait plaisir de te lire et de constater que nous avons tous les deux connu ces mêmes attentes qui nous forçaient parfois à jouer les voyeurs. Il est vrai aussi que certaines gagneuses n’appréciaient pas forcément d’être ainsi dépendantes d’une collègue qui s’éternisait à éponger son micheton …. Pour elles c’était une perte de temps, donc d’argent, mais pour moi c’était un avant-propos des plus excitants
Ne dit-on pas que tout le plaisir est dans l’attente
Effectivement, la poupée(*) que j’évoquais dans mon dernier post n’avait froid ni aux fesses ni aux yeux. Car, même si, grâce à l’envergure du tronc de l’arbre, nous n’étions pas visibles depuis la rue, ce n’était pas un endroit des plus discrets pour se mettre à poil. Mais la belle prenait visiblement plaisir à s’exhiber, même si des préoccupations sécuritaires n’étaient sans doute pas étrangères au choix d’un endroit si proche de la route.
A l’époque, si cela faisait quasiment partie de la prestation standard dans les BMC, les transsexuelles qui se mettaient totalement à poil dans les bois étaient plutôt rares. La plupart était déjà très dénudée et se contentait d’exhiber leurs seins, de baisser leur culotte ou d’écarter leur string. En général cela suffisait à satisfaire le client impatient qui était venu pour leur défoncer le cul où se faire élargir la rondelle et non pour admirer des nudistes.
Pour ma part, j’appréciais celles qui se déshabillaient complétement et qui prenaient du plaisir à s’exhiber. J’en ai connu une autre dont, pour une fois, je n’ai pas oublié le prénom. C’était une grande brune racée qui se faisait appeler Solange et officiait la nuit en RM7. Pour la rencontrer, je me garais Allée de la Reine Marguerite qui à l’époque était plutôt tranquille. Certains soirs, il y avait même des routiers qui y garaient leurs 15 tonnes avant de faire monter une trans dans leur cabine
Mais revenons à Solange. Pour la baiser, je devais m’enfoncer assez profondément dans le bois car, compte tenu de son succès, Solange n’avait, entre deux passes, que rarement le temps de remonter près de la route
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Il me fallait donc suivre un petit sentier légèrement en pente où je croisais quelques copines de Solange. Celles-ci me draguaient en exhibant leurs queues et en palpant la mienne à travers mon pantalon
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Leurs braquemards, souvent impressionnants, séduisaient plus d’un punter
Personnellement, je n’en avais pas l’usage, mais je ne détestais pas visiter au clair de lune cette étrange exposition de bites et de seins siliconés. C’était une ambiance un peu inquiétante mais tellement érotique
En même temps je savourais les odeurs de ce sentier où les senteurs légères et fraiches du bois se mêlaient aux effluves entêtantes des parfums que dégageaient ces créatures fascinantes. Ces odeurs aussi participaient à cette atmosphère si particulière que je n’ai connue qu’au Bois ….
J’avais « essayé » quelques-unes de ces créatures felliniennes mais je leur préférais définitivement Solange. Après une centaine de mètres, je retrouvais la petite clairière où celle-ci livrait son corps nu à un,et parfois à plusieurs, punters
Il y en avait toujours deux ou trois qui mataient ou attendaient leur tour. Quand je me remémore ces scènes, je me trouve aujourd’hui bien intrépide d’avoir ainsi osé m’aventurer dans les profondeurs du bois au milieu d’inconnus parfois bizarres ....
Solange se tenait au centre de la clairière. Quand elle avait terminé un client, elle enfilait une pelisse blanche en fausse fourrure pour signifier qu’elle était disponible. Elle n’attendait pas longtemps et ce n’était qu’exceptionnellement qu’elle devait rejoindre la route pour lever un nouveau punter. Car, rapidement un autre client l’abordait et dès que celui-ci l’avait payée, elle faisait glisser au sol sa fourrure et se retrouvait à nouveau à poil au milieu de « sa » clairière.
Avec l’habitude, quand elle me reconnaissait approcher, elle ne prenait même plus la peine de renfiler sa pelisse et s’avançait vers moi, intégralement nue, pour m’embrasser à pleine bouche
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J’adorais pourtant ce moment où elle dévoilait toute sa féminité en laissant tomber sa fourrure sur les feuilles mortes. Sa silhouette élancée et ses petites fesses me faisaient bander comme un âne, bien avant qu’elle ne commençât à me sucer. Je ne me souviens pas de sa queue car c’est uniquement à son petit trou que j’en voulais
En début de soirée il était bien serré et c’est avec douceur que je le forçais. Mais quand j’arrivais plus tard dans la nuit, son anus était assoupli et j’y enfonçais brutalement ma queue. Je lui défonçais alors son délicieux petit cul sous le regard excité des mateurs dont certains se branlaient sans que cela ne la perturbe. Au début, j'étais stressé par ces inconnus qui surgissaient de la pénombre et s'approchaient pour nous observer. La première fois, sans une reprise en bouche efficace de Solange, j'en aurais même débandé
Puis, peu à peu, je m'étais habitué et cela m'excitait de m'exhiber ainsi en pleine action. Certains punters, plus audacieux, s'aventuraient même à caresser la poitrine et la queue de Solange pendant que je m'occupais de son cul. Solange aimait cela et elle encaissait bien
Parfois, quand le bois n’était pas trop humide, je lui demandais de s’agenouiller à quatre pattes sur le tapis de feuilles pour la prendre en levrette. Il pouvait alors arriver qu’un punter s’avance, sorte sa queue en même temps qu’un billet, et profite de sa bouche tandis que j’allais et venais entre ses fesses
Malgré la brutalité de ces assauts, Solange restait toujours élégante et soucieuse de mon plaisir. Ce n'était pas une pute mais une déesse que j’enculais
!
Sa féminité me rassurait sur mes orientations sexuelles. Certes je baisais des transsexuelles, mais des transsexuelles féminines … Solange était pour moi une sorte de thérapie.
Sans doute est-ce pour cela que je garde un souvenir si clair de cette petite clairière sulfureuse où elle fit si souvent exploser mon plaisir.
C’est aussi pourquoi, comme toi, je regrette que, dans le respect des uns et des autres, certaines parties du bois ne soient pas restées des « zones de tolérance » comme celles où les vieux boomers comme moi se sont autrefois tant éclatés.
Au plaisir de te lire.
(*) Si le souvenir de son corps et de son cul est gravé dans ma mémoire, j’ai oublié son prénom mais elle aurait très bien pu être d’origine russe et « Katioucha » être le prénom de cette poupée russe ....