Hagiographie, n.f. :
"Biographie excessivement élogieuse."
Larissa à Toulouse, je me suis empressé de la rencontrer. 4 ans à attendre, elle avait été en Belgique puis à Barcelone, en couple pendant ce temps (sale veinard
) Difficile de caler son temps dans l'agenda, je propose donc le dimanche, puisqu'elle ne restait qu'une semaine. Elle venait de se lever, après une sortie en discothèque, je lui ai souhaité du repos et elle m'a proposé aujourd'hui 11H. J'en sors donc.
Sur le trajet, je me suis demandé pourquoi je faisais ça, qu'est-ce qu'il m'animait encore - et cette crainte, toujours, d'être déçu en raison de l'excitation et de l'attente.
Les craintes se sont envolées dès l'ouverture de porte, après une arrivée sans jeu de piste, la marque des grandes. Là, habillée dans une lingerie noire de dingue (porte-jarretelle, bas, string, soutifs avec ouverture) elle me dit : "Bonjour Olivier" !
La miss se rappelait de mon prénom (ou l'avait enregistré depuis 2017, bref quelle classe) !
On s'est galoché à pleine bouche, griffé les aisselles, titillé les tétons, doigté dans tous les sens, avec ses seins qui sont tellement vrais et lourds, et sa peau toujours aussi chaude et douce.
Bref, le reste est à l'avenant, elle a maintenu son gourdin au garde-à-vous durant tout le meeting et m'a tambouriné sans relâche . J'ai pris un pied monstre ! A la fin, elle redevient miss monde, s'arrangeant dans le miroir, et permettant à son client de lui faire câlins sur câlins dans son dos, comme la plus belle des petites amies. En somme, on n'a pas baisé, on a fait l'amour avec passion.
150 / 1H15, les mieux investis de ma vie.
Je sais à quel point il peut être débile d'être transporté par ce genre de rencontre, mais il est difficile d'y résister et de le garder pour soit.
Sur sexemodel, un type s'est empressé de dire qu'elle est sa préférée. Comme ce n'est pas moi qui l'ai écrit, je le confirme !
Et je suis son obligé...