Publié : 21 mars 2020, 09:24
Intéressant comme discussion. La vérité est au milieu et collectivement je pense que nous pouvons arriver à un consensus (j'adore ce mot 
)...
Il faut savoir d'où vient le féminisme occidental, qui est né dans la fin des années 60. Pour rappel, le féminisme dans les ex-pays communistes n'a pas le même sens, puisque la révolution bolchévique de 1917 a amené l'égalité homme-femme, non du point de vue du sexe, mais du point de vue de la force de travail.
Revenons au féminisme occidental. En fait il a été théorisé en France par des sociologues-philosophes tels que Deleuze, Derida, Irogoyen, etc... Ceux-ci ont théorisé pour simplifier à l'extrême, que tout est social, et que nous sommes chaque individu une construction sociale (c'est la socièté qui nous fait homme ou femme, qui nous fait appartenir à une classe sociale, à un groupe ethnique, etc...). Cette "french theory" a eu un énorme écho dans les universités américaines, (beaucoup moins en France), où les minorités ont repris ces théories et se sont organisées pour diffuser dans les médias leur message "égalisateur". Toutes les minorités ont repris le même message, et ce n'est donc pas étonnant de voir les associations LGBT et les associations anti-racistes et pro-migrants marcher ensemble.
Maintenant qu'elles sont dominantes dans les médias et puissantes dans les entreprises par le politiquement correct, leur convergence des luttes risquent de se fracasser sur leur appétit à chacune de prendre le pouvoir. On le voit avec les lesbiennes qui sont à l'avant-garde du mouvement Meetoo, des Femen, qui veulent clairement abattre l'homme blanc hétéro de plus de 50 ans. C'est d'autant plus flagrant qu'aucune d'entre elles n'a soutenu cette pauvre Mila, lesbienne elle aussi, qui a été menacé de mort par des hommes hétéros en réponse à son blasphème (stupide) sur une religion. Là aussi nous pouvons pointer la limite de la convergence de leur lutte avec les pro-migrants, puisqu'elles sont pour l'immigration massive, malheureusement pour elles, ce ne sont pas des migrantes pro-LGBT qui arrivent, plutôt des hommes jeunes issus de sociètés...très patriarcales et homophobes.
Revenons à nos chers Trans. Voir les lesbiennes maintenant s'en prendre à eux-elles ne m'étonne guère, car les trans reprennent (pour notre plus grand plaisir) les codes hyper féminins, honnis par elles (car ils représentent l'image de la femme-objet encore présente dans nos sociètés..;Femme-objet en 2 mots, bonne définition d'un trans
Pourtant si on reprend la french theory, une personne transgenre, est clairement une personne qui a reconstruit une identité sexuelle autre que la sienne d'origine donnée par le nature et la société.
Réplique dans le film "les crevettes pailletés"...."Dans lesbienne, il y a hyène"
)...Il faut savoir d'où vient le féminisme occidental, qui est né dans la fin des années 60. Pour rappel, le féminisme dans les ex-pays communistes n'a pas le même sens, puisque la révolution bolchévique de 1917 a amené l'égalité homme-femme, non du point de vue du sexe, mais du point de vue de la force de travail.
Revenons au féminisme occidental. En fait il a été théorisé en France par des sociologues-philosophes tels que Deleuze, Derida, Irogoyen, etc... Ceux-ci ont théorisé pour simplifier à l'extrême, que tout est social, et que nous sommes chaque individu une construction sociale (c'est la socièté qui nous fait homme ou femme, qui nous fait appartenir à une classe sociale, à un groupe ethnique, etc...). Cette "french theory" a eu un énorme écho dans les universités américaines, (beaucoup moins en France), où les minorités ont repris ces théories et se sont organisées pour diffuser dans les médias leur message "égalisateur". Toutes les minorités ont repris le même message, et ce n'est donc pas étonnant de voir les associations LGBT et les associations anti-racistes et pro-migrants marcher ensemble.
Maintenant qu'elles sont dominantes dans les médias et puissantes dans les entreprises par le politiquement correct, leur convergence des luttes risquent de se fracasser sur leur appétit à chacune de prendre le pouvoir. On le voit avec les lesbiennes qui sont à l'avant-garde du mouvement Meetoo, des Femen, qui veulent clairement abattre l'homme blanc hétéro de plus de 50 ans. C'est d'autant plus flagrant qu'aucune d'entre elles n'a soutenu cette pauvre Mila, lesbienne elle aussi, qui a été menacé de mort par des hommes hétéros en réponse à son blasphème (stupide) sur une religion. Là aussi nous pouvons pointer la limite de la convergence de leur lutte avec les pro-migrants, puisqu'elles sont pour l'immigration massive, malheureusement pour elles, ce ne sont pas des migrantes pro-LGBT qui arrivent, plutôt des hommes jeunes issus de sociètés...très patriarcales et homophobes.
Revenons à nos chers Trans. Voir les lesbiennes maintenant s'en prendre à eux-elles ne m'étonne guère, car les trans reprennent (pour notre plus grand plaisir) les codes hyper féminins, honnis par elles (car ils représentent l'image de la femme-objet encore présente dans nos sociètés..;Femme-objet en 2 mots, bonne définition d'un trans
Pourtant si on reprend la french theory, une personne transgenre, est clairement une personne qui a reconstruit une identité sexuelle autre que la sienne d'origine donnée par le nature et la société.
Réplique dans le film "les crevettes pailletés"...."Dans lesbienne, il y a hyène"