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Samutprakan a écrit : Je vais faire un petit hors sujet en allant boulevard Bessière à côté de la porte de Clichy. J'avais l'habitude de chercher des fifilles sur la petite ceinture et je suis arrivé un soir dans ce lieu maléfique comme disait Renaud. Il y avait une trans au look gothique habillée d'un set de lingerie fait de lanière de simili cuir qui dessinaient une toile d'araignée sur son corps nu avec des cuissardes dont le haut était en latex. Le latex, ce n'est pas mon genre, mais c'était une chaudasse très professionnelle prête à s'adapter à toutes les situations et à prendre son pieds. Elle était capable de réveilelr tout l'immeuble depuis son appartement au rez de chaussée quand elle se faisait dilater l'anus dans son studio. Le prix d'une heure en appartement était à l'époque de 500 FF.

Dans ce quartier, peut-être as-tu alors connu une grande trans très belle beurette qui s'appelait selon les jours Diamone ou Amel ?

A cette époque, elle avait son appartement au 107 bld Bessières et elle tapinait à 10 mètres à l'angle de la rue de la Jonquière

J'ignore tout à fait ce qu'elle est devenue

Samutprakan a écrit :
Porte de Clichy, si on tournait en direction du Périph' puis encore à droite, rue Saint just et rue Pierre Rebière, il y avait quelques spécimens monstrueux qui exhibaient des braquemards énormes dans le même style que celles qu'on trouvait en PC5.

Dans le prolongement de ce hors-sujet, et à propos de le rue Pierre Ribière:

C'était un endroit très glauque, je me demande même si, pour baiser, il existait un endroit encore plus glauque sur la place de Paris

On y trouvait des amazones qui tapinaient façon bois de boulogne, sauf qu'au lieu de baiser dans les bois, elles baisaient dans des vieux fourgons immobilisés, en panne, à moitié abandonnés, et dont les serrures avaient disparues. Malgré le fait que c'était très très sale et sordide au possible, j'avoue y être allé plusieurs fois

A tout moment, un mateur (ou pire, les condés !) pouvaient entrer dans le fourgon en pleine besogne, un peu comme un mateur au bois de boulogne




Une autre fois, un peu plus haut sur le boulevard bessières, à l'angle de l'avenue de la porte Pouchet, il y avait un passage souterrain qui permettait aux piétons de traverser sous l'avenue (sans doute existe-t-il encore aujourd'hui)
A l'angle de ces 2 avenues, il y avait une certaine Maya qui tapinait et je me suis laissé embarquer avec cette trans. Elle me demanda alors de la suivre et je me demandais bien où elle allait m'emmener. Nous descendons alors l'escalier du passage souterrain et au beau milieu du souterrain, elle s'arrête net et elle m'indique que l'action va se passer ici même!
Aussitôt, elle a commencé à sortir sa bite pour que je la suce .
Il était environ minuit donc la vie se ralentissait déjà quelque peu, mais nous étions tout de même en plein Paris et bien entendu, n'importe quel piéton pouvait passer à n'importe quel moment !
J'avoue que j'étais mort de trouille sur ce coup-là mais c'était ça ou abandonner la partie et c'était hors de question
Je l'ai alors sucée le plus vite que j'ai pu et je vous raconte pas le coup d'adrénaline que j'ai pris. Elle a ensuite baissé mon pantalon pour me baiser et heureusement j'ai pas mis très longtemps à venir
Finalement, gros coup de bol, personne n'est passé pendant l'action...

J'ai juste oublié de vous dire aussi (pour ceux qui connaissent les lieux) qu'à 50 mètres de là se trouve un commissariat de police important mais ça, je ne le savais pas encore au moment des faits, car ce n'est que quelques temps plus tard que j'ai remarqué l'existence de ce commissariat

Hé oui, fallait être jeune et complètement insouciant pour faire ce genre de conneries dans des endroits pareils

MarechalTito a écrit :

Samutprakan a écrit :
Porte de Clichy, si on tournait en direction du Périph' puis encore à droite, rue Saint just et rue Pierre Rebière, il y avait quelques spécimens monstrueux qui exhibaient des braquemards énormes dans le même style que celles qu'on trouvait en PC5.

Dans le prolongement de ce hors-sujet, et à propos de le rue Pierre Ribière:

C'était un endroit très glauque, je me demande même si, pour baiser, il existait un endroit encore plus glauque sur la place de Paris
Hé oui, fallait être jeune et complètement insouciant pour faire ce genre de conneries dans des endroits pareils

Effectivement, il fallait que tu sois bien jeune et bien affamé pour prendre de tels risques !

Au bois ce n’était pas la même chose car on savait à quoi s’attendre. Aux heures et dans les endroits que j’évoque sur ce fil, on pouvait certes être surpris mais c’était par des personnes qui s’y trouvaient pour les mêmes raisons que toi

En ville c’était différent et je m’y suis rarement laissé entrainer dans des plans qui auraient mis mes salaces activités à la merci du regard d’innocents passants.

Sauf une première fois qui m’a servi de leçon ….

C’était à la fin des années 70, je me souviens avoir été racolé par une petite pute bien roulée qui tapinait en bas de la rue de Budapest, juste après le porche donnant sur la rue St Lazare. Mais, énorme surprise, la passe se déroulait dans les escaliers d'un immeuble à droite en montant la rue
C'est donc sur le palier du premier étage que je me suis fait "essorer" avec une pipe rapide suivie d’une bonne levrette

Ce fût aussi, je crois, ma première expérience de partouze car, pendant que la fille me suçait, il y avait un client qui besognait une autre pute sur ce même palier ("T’inquiètes pas chéri, c'est une copine" m’avait-elle susurré pour me rassurer) et un troisième qui se faisait pomper dans l'escalier

A cette époque on savait rentabiliser les parties communes

Même si je ne garde pas un mauvais souvenir de cette expérience, je me souviens aussi de mon angoisse qu’une des portes du palier ne s’ouvrit alors, le pantalon sur les chaussures, j’étais en train de démonter la fille.

MarechalTito a écrit :

Samutprakan a écrit :
Porte de Clichy, si on tournait en direction du Périph' puis encore à droite, rue Saint just et rue Pierre Rebière, il y avait quelques spécimens monstrueux qui exhibaient des braquemards énormes dans le même style que celles qu'on trouvait en PC5.

Dans le prolongement de ce hors-sujet, et à propos de le rue Pierre Ribière:

C'était un endroit très glauque, je me demande même si, pour baiser, il existait un endroit encore plus glauque sur la place de Paris
Hé oui, fallait être jeune et complètement insouciant pour faire ce genre de conneries dans des endroits pareils

Effectivement, il fallait que tu sois bien jeune et bien affamé pour prendre de tels risques !

Au bois ce n’était pas la même chose car on savait à quoi s’attendre. Aux heures et dans les endroits que j’évoque sur ce fil, on pouvait certes être surpris mais c’était par des personnes qui s’y trouvaient pour les mêmes raisons que toi

En ville c’était différent et je m’y suis rarement laissé entrainer dans des plans qui auraient mis mes salaces activités à la merci du regard d’innocents passants.

Sauf une première fois qui m’a servi de leçon ….

C’était à la fin des années 70, je me souviens avoir été racolé par une petite pute bien roulée qui tapinait en bas de la rue de Budapest, juste après le porche donnant sur la rue St Lazare. Mais, énorme surprise, la passe se déroulait dans les escaliers d'un immeuble à droite en montant la rue
C'est donc sur le palier du premier étage que je me suis fait "essorer" avec une pipe rapide suivie d’une bonne levrette

Ce fût aussi, je crois, ma première expérience de partouze car, pendant que la fille me suçait, il y avait un client qui besognait une autre pute sur ce même palier ("T’inquiètes pas chéri, c'est une copine" m’avait-elle susurré pour me rassurer) et un troisième qui se faisait pomper dans l'escalier

A cette époque on savait rentabiliser les parties communes

Même si je ne garde pas un mauvais souvenir de cette expérience, je me souviens aussi de mon angoisse qu’une des portes du palier ne s’ouvrit alors que, le pantalon sur les chaussures, j’étais en train de démonter la fille.

puisque nous sommes au chapitre nostalgie, excusez moi cet écart loin du bois, mais du même genre
plein centre de nice 3h du matin un entrée de garage mais aussi passage pour les résidents
dans la voiture aprés un 69 très chaud sur la banquette arriere je commence à enculer la belle , du bruit un couple âgée arrive pour rentrer dans l'immeuble, la femme tape à la vitre de la voiture" c'est pas un baisodrome" crie t'elle
"vas y continue" me dit la fille, et moi encore assez jeune je continue à m'exciter dans sont cul
je me suis vider les couilles puis nous sommes partis
moi heureux et sans souci
maintenant avec l'âge????

Ah oui c'est vrai ! la rue de Budapest ! je l'avais oubliée celle-là (ainsi que la rue de Provence d'ailleurs)

J'ai bien connu l'activité de cette rue

A cette époque (c'était beaucoup d'années avant mes aventures du boulevard Bessières et de ses environs), j'allais quelquefois me soulager avant de prendre le train à la gare St Lazare pour rentrer chez moi (enfin, c'était plutôt chez papa-maman à cette époque-là !) après le boulot

Mais pour le moment, aucun souvenir marquant ou épique ne me revient spécialement en mémoire

Juste un petit souvenir quand même: j'allais y voir de temps en temps une jeune petite pute (vraie femme) un corps de folie super-bien roulé, très très sexy, mignonne et charmante au possible qui tapinait tout en haut ce cette rue de Budapest sur le trottoir de gauche, presque sur la place de Budapest où il y avait un sex-shop d'ailleurs: des passes très classiques au demeurant: turlutte, 69, feuille de rose, quelques belles positions mais rien d'extraordinaire hormis le pied infernal que je prenais avec cette excellente petite ! Qu'est-ce qu'elle était bonne !
Ce qui m'avait attiré chez cette elle? non seulement comme dit plus haut elle était super-mimi mais elle portait des talons-aiguilles très hauts et surtout l'été, elle portait des robes légères ultra-courtes à la limite de la décence, mais aussi avec les épaules dénudées et c'est ce détail-là qui m'avait excité le plus, et ça m'excite toujours aujourd'hui d'ailleurs !

MarechalTito a écrit :Ah oui c'est vrai ! la rue de Budapest ! je l'avais oubliée celle-là (ainsi que la rue de Provence d'ailleurs)

J'ai bien connu l'activité de cette rue

sur la place de Budapest où il y avait un sex-shop !

Je me rappelle aussi parfaitement de ce sex-shop. On pouvait y visionner de petits films dans des cabines. Cela mettait en forme avant de descendre la rue de Budapest ….

Pour en revenir au sujet, quelqu’un se souvient-il de «La Baronne » ?

Celle qui se faisait appeler « La Baronne » était une transsexuelle délurée qui, au milieu des années 90, plantait sa tente en RM14, à quelques mètres de la route. Elle se disait vénézuélienne …
En fin d’après-midi les punters faisaient la queue pour profiter de son cul accueillant ou de son membre vigoureux. Elle aimait bien plaisanter avec ses clients et ne refusait pas non plus les plans à trois. Elle était grande et mince avec un visage plutôt anguleux.
Ce n’était pas une bimbo mais elle faisait très bien le job

C’était une bonne suceuse et elle encaissait avec voracité les nombreuses queues qui, chaque jour, se succédaient entre ses fesses.
Mais ce que j’appréciais surtout chez elle était sa gaité. "La Baronne" était toujours de bonne humeur et donnait l’impression d’aimer son métier
Elle était aussi active et je crois que c’est ce qu’elle préférait. Beaucoup de punters venaient pour cela.

Elle s’était mise dans la tête de me sodomiser pour me faire découvrir d’autres plaisirs
C’était devenu un sujet de plaisanterie entre nous. Quand je rentrais dans sa tente, elle m’accueillait souvent par un « Alors, Chéri, c’est aujourd’hui que je te baise ». C’est pour cela que je me souviens aussi bien d’elle.

Elle n’est jamais parvenue à me convaincre. Un demi-siècle plus tard, Alexandre-Benoit est toujours vierge de ce côté-là

C'est dommage, tu ne sais pas ce que tu perds

@MarechalTito : oui, il s'agissait de Diamone. Elle avait l'air impressionnante avec ses looks gothiques de maîtresse vampire, mais c'était une personne au cœur d'or, capable de s'adapter à ses clients et aimant prendre son pieds. J'ai tenté des contacts avec ses consœurs sur place mais je n'ai jamais conclu avec d'autres. Un jour, une blonde m'avais proposé "la totale". C'est ce terme qui m'a déplu. Avec les filles, celles qui prétendaient faire tout ne faisaient pas grand chose. Je suis curieux de savoir ce que Nostrabéru a obtenu pour "la totale".

J'ai parfois pris des trans en stop à la porte de Clichy pour les emmener au B2B sans toutefois réussir à établir des contacts intéressants. Il m'est arrivé d'en prendre en stop au B2B pour les ramener au Bd Bessières ou Porte de la Chapelle. C'est comme ça que je me suis fait voler un jour. Une trans monte à coté et se jette sur moi en gueulant "on y va !", je la rejette, elle se casse et ferme la porte. Quand elle ferme la porte, il me semble entendre 2 claquements de portières mais je n'ai pas réagi. 5 mn plus tard, je découvre que mon manteau a disparu à l'arrière et les voleuses sont loin. Butin : 1 manteau acheté chez Kiabi pour 250 FF et un portefeuille avec 50 FF et des tonnes de papiers à refaire y compris des papiers faits à l'étranger. J'ai revu la voleuse 3 ans plus tard sur un site suisse. Elle faisait l'escort du coté de Payerne.

Du côté de la Porte de Clichy, Diamone s'est faite de plus en plus rare alors j'ai arrêté d'y aller. J'allais au Bois directement. Lorsque les annonces se sont développées sur Niamodel, j'ai vu qu'elle était toujours là bas mais je n'allais plus souvent à Paris. Je l'ai trouvée changée avec ses cheveux blonds. je savais qu'elle était algérienne. Elle me faisait penser à certaines femmes pieds noirs qui ont la cinquantaine. Le charme était rompu.

Dans les années 1990, je trouvais des filles surtout du coté du boulevard Soult. J'avais mes habitudes avec une portugaise. Il y avait des conflits de territoire. Si je demandais où elle était, on me demandait ce que je lui trouvais, "est-ce qu'elle te fait la sodomie ?". La dernière fois que je l'ai vue, elle m'a fait le coup du tunnel ... en pleine après midi. J'avais autant peur d'être surpris en train de la prendre en levrette que de lui exploser la tête contre le mur.

J'ai découvert la rue de Budapest dans les années 1980. La première fois, j'ai eu peur de m'engager dans la rue tellement ça avait l'air craignos. Quand je voulais tirer une fille dans le secteur, je poussais jusqu'à la rue de Mogador (Rue de Provence).

Puisqu'on parle de filles, je vais parler de post-op, des trans opérées. Je fais comme vous, je démarre hors sujet. A coté du croisement de la RN113 et de l'autoroute A9 (A709 maintenant), il y avait une impasse ou des chômeuses de Montpellier venaient tapiner.
( position Google Maps = https://www.google.fr/maps/@43.6542555,3.9898344,343m )
Je me suis laissé entrainer à accepter cette trans qui tapinait là un jour. Elle avait une robe courte violette et un corps assez élancé mais pas suffisamment pour nier qu'elle était une trans. Elle m'a emmené de l'autre coté du domaine Saint Antoine, ce que les autres ne faisaient pas et n'a pas cessé de m'asséner qu'elle était une femme, comme si on pouvait être assez con pour le croire surtout qu'une fois assise, elle restait très grande sans ses hauts talons. Puisque c'était une femme, elle m'a imposé discourtoisement de la prendre en missionnaire couchée sur le fauteuil passager et moi même à genou sur le plancher. Après s'être faite limer 3 fois, elle s'est plainte d'avoir mal et m'a demander de l'enculer toujours en position du missionnaire, sans avoir changé de position. Pas sympa de baiser avec une grognasse musclée avec une grosse voix et qui passe son temps à rouspéter. Ces dernières années, j'ai renouvelé l'expérience en Asie une fois, tout ça parce que beaucoup de trans opérées se prétendent filles et n'assument pas que le résultat de leur opération n'est pas un vrai vagin et ne peut pas accueillir une bite avec plaisir.

J'ai trouvé mon premier ladyboy thaïlandais au B2B. Elle tapinait en RM9. On a décidé d'aller chez elle. Elle m'a fait ramasser ses copines et on est partis à 6 dans la voiture. Je me demandais ce que des thaïlandaises faisaient au bois. certaines de ses copines avaient l'air un peu costaud pour des filles mais sans plus car c'était des Thaï. Elle a du me dire qu'elle était une fille ("moi, oui, elle non"). Je lui ai demandé son nom . "...." - "Ouachel ?" - "Rachel, idiot !". On a posé ses copines et on a été dans sa piaule. Elle avait une chatte curieuse, dont on ne voyait pas les grandes lèvres et pour cause. Par contre, elle était infatigable. "Tu me baises pas assez !". J'arrêtais pas de la défoncer. On commençait seulement à avoir des (téléphones) portables. J'ai pris son numéro et je l'ai rappelée 1 mois plus tard. J'ai juste eu un répondeur. C'est vrai qu'elle avait une voix bien enrouée pour une fille. C'était donc plus logique qu'elle fût un travelo.

Dans les années qui ont suivi, je suis tombé sur une autre "postie" (mot anglais pour les trans opérées) en RM12. Elle se prétendait espagnole d'origine colombienne, mais n'a pas menti sur son état. Sa "chatte" était une large cicatrice toute sèche mais pas vraiment fonctionnelle. Je l'ai sodomisée derrière les buissons assez proche de l'ARM mais qui offraient un espace de discrétion à cet endroit là à cette époque. Bonne prestation étant donné le prix et les conditions.

Samutprakan a écrit :@MarechalTito : Je suis curieux de savoir ce que Nostrabéru a obtenu pour "la totale".

J'ai parfois pris des trans en stop à la porte de Clichy pour les emmener au B2B sans toutefois réussir à établir des contacts intéressants. Il m'est arrivé d'en prendre en stop au B2B pour les ramener au Bd Bessières ou Porte de la Chapelle. C'est comme ça que je me suis fait voler un jour. Une trans monte à coté et se jette sur moi en gueulant "on y va !", je la rejette, elle se casse et ferme la porte. Quand elle ferme la porte, il me semble entendre 2 claquements de portières mais je n'ai pas réagi. 5 mn plus tard, je découvre que mon manteau a disparu à l'arrière et les voleuses sont loin. Butin : 1 manteau acheté chez Kiabi pour 250 FF et un portefeuille avec 50 FF et des tonnes de papiers à refaire y compris des papiers faits à l'étranger. J'ai revu la voleuse 3 ans plus tard sur un site suisse. Elle faisait l'escort du coté de Payerne.


J'ai découvert la rue de Budapest dans les années 1980. La première fois, j'ai eu peur de m'engager dans la rue tellement ça avait l'air craignos. Quand je voulais tirer une fille dans le secteur, je poussais jusqu'à la rue de Mogador (Rue de Provence).

Ce que j’ai obtenu de Sacha figure dans mon récit du 14 février.
En fait, j’ai compris plus tard que par « la totale » elle entendait surtout qu’elle acceptait de baiser sans capote.
Je n’ai donc jamais pris « la totale » !

Le vol dont tu as été victime était assez courant au bois. Des punters m’avaient raconté comment certaines transsexuelles exploraient ton vide-poche pendant que tu la baisais sans que t’en aperçoives .
C’est la raison pour laquelle je ne faisais pas monter de pute dans ma voiture, sauf cette Sacha ….

Pour ce qui est de la rue de Budapest, tu as raison. Cette rue pouvait être très angoissante surtout à la nuit tombante. Comme toi, j’avais de temps en temps poussé jusqu’à la Rue de Provence où les tapineuses étaient plus classes, mais pas forcément toujours de meilleurs coups …

A cette époque, je préférais nettement le quartier de l’Avenue Foch, mais ce sont d’autres souvenirs dont l’évocation serait tout à fait hors sujet sur ce site.
En effet à l’époque je n’avais pas encore découvert les « femmes à bites » et je ne fréquentais que les femmes.

Samutprakan a écrit :@MarechalTito : oui, il s'agissait de Diamone. Elle avait l'air impressionnante avec ses looks gothiques de maîtresse vampire, mais c'était une personne au cœur d'or, capable de s'adapter à ses clients et aimant prendre son pieds. J'ai tenté des contacts avec ses consœurs sur place mais je n'ai jamais conclu avec d'autres.

Petite anecdote à propos de Diamone / Amel:

Un jour qu'était pas fait comme les autres, j'avais décidé de "changer un peu d'avoine" et de monter avec une collègue de Diamone que j'avais repérée une autre fois auparavant.
J'arrive dans le quartier et je me rend compte que la trans en question n'était pas là. Je fais alors le tour du quartier et je gare ma voiture sur le boulevard entre la station de métro Porte de Clichy et la 1ère des 2 rues en amont de la rue de la Jonquière.
Je décide d'attendre un moment au volant de la voiture et je me mets à bouquiner.

Une vingtaine de minutes passent et tout d'un coup, quelqu'un que je n'avais pas vu venir tape à la vitre juste à côté de moi côté conducteur: je sursaute et je vois une grande belle femme aux cheveux longs très noirs qui me sourit et qui me dit: Bonjour chéri, tu veux monter ?
Bien sûr, ce n'était pas celle pour laquelle j'étais venu mais je ne reconnaissais pas du tout celle qui venait de taper à la vitre.
Et elle d'en remettre une couche et de me dire: tu n'as pas envie de monter aujourd'hui ?
Enorme moment de grande solitude pour moi...
Et puis en la regardant bien et en me concentrant, je lui dis en hésitant: tu es Diamone ?
Bah oui ...
Sauf que jusqu'à ce jour-là je ne l'avais jamais vue autrement que blonde, d'où ma surprise et ma méprise.
Du coup, je me suis retrouvé à faire des galipettes avec Diamone, un peu contre mon gré ce jour là je dois dire !
Heureusement, comme elle était toujours sympa et qu'elle baisait bon, j'ai pas perdu mon temps !

Et c'est ainsi que je n'ai jamais eu l'occasion de tester la trans pour laquelle j'avais fait le déplacement car je ne l'ai jamais revue !

Rien à voir avec vous qui fréquentez ces endroits assidument depuis longtemps, mais je me souviens bien de cette diamone, elle avait une fiche sur netechangisme il y a 10-12 ans, je l'avais repérée de suite tellement elle a l'air bonne. Évidemment, je ne pouvais que rêver : sur ce site elle cherchait des bogosses qui plus est de son coin, donc très loin de chez moi. Et sur netech, les comme elles, rares, étaient prises d'assault…

Samutprakan a écrit :Puisqu'on parle de filles, je vais parler de post-op, des trans opérées.
Dans les années qui ont suivi, je suis tombé sur une autre "postie" (mot anglais pour les trans opérées) en RM12. Elle se prétendait espagnole d'origine colombienne, mais n'a pas menti sur son état. Sa "chatte" était une large cicatrice toute sèche mais pas vraiment fonctionnelle. Je l'ai sodomisée derrière les buissons assez proche de l'ARM mais qui offraient un espace de discrétion à cet endroit là à cette époque. Bonne prestation étant donné le prix et les conditions.

En matière de transsexuelles opérées je manque cruellement d’expériences. A moins bien sûr que j’en ai rencontrées sans m’en apercevoir

Nicole fait partie de celles-ci. Compte tenu de son succès, certains la reconnaîtront et pourront peut-être m’éclairer

Nicole travaillait Allée de la Reine Marguerite dans un monospace rouge bordeaux stationné en RM14.

C’est fin 2015 que j’y montais pour la première fois. Nicole était délicieusement sexy. Elle ne portait qu’un petit string et un mini soutien-gorge rouges. Une fois à bord elle me rejoignit à l’arrière. En enjambant le siège elle me fit admirer ostensiblement ses ravissantes petites fesses. A l’époque Nicole avait sans doute les plus jolies fesses du bois

Sûre de sa plastique irréprochable, elle me laissa les caresser. Sa peau était douce et satinée. Puis elle s’agenouilla entre mes jambes pour me prodiguer une fellation à la fois douce et profonde. En même temps qu’elle faisait coulisser ses lèvres sur mon sexe, elle fixait mon regard pour voir monter mon plaisir. Je fondai littéralement et failli la laisser me finir ainsi !

Après cette délicieuse pipe Nicole s’est mis complétement à poil. Elle n’avait pas grand-chose à enlever
Une fois qu’elle eut ôté son petit string rouge, je n’ai pas pu m’empêcher de passer une main entre ses cuisses pour ......ne rien y trouver

On m’avait pourtant dit que Nicole était une transsexuelle ! Je m’attendais donc à ce qu’elle me demande de la sodomiser. Mais elle m’a simplement proposé de la prendre en missionnaire
N’ayant pas envie de bouger, j’ai trouvé plus confortable qu’elle me chevauche. Nicole s’introduisit alors lentement ma queue dans sa chatte et commença à faire de rapides va-et-vient de haut en bas, en m’imposant le rythme qui lui convenait. Autant sa pipe avait été douce et sensuelle autant cette suite fut plus impétueuse. Pendant qu’elle s’activait à me faire jouir, je caressai ses seins et malaxai son adorable petit cul.
Très vite, trop vite, j'éjaculai au fond de sa chatte

Lors de la pénétration je n’ai pas trouvé, au niveau des sensations, de réelles différences avec un vrai vagin. Je n’ai donc pas été déçu.
Nicole et ses délicieuses petites fesses n’avaient rien à envier aux escortes haut de gamme

Transsexuelle opérée ou vraie femme, Nicole était une créature ravissante et terriblement excitante. Je suis retourné la voir plus d’une fois .... sans jamais oser lui demander son genre "d'origine " .....

ruben a écrit :Rien à voir avec vous qui fréquentez ces endroits assidument depuis longtemps, mais je me souviens bien de cette diamone, elle avait une fiche sur netechangisme il y a 10-12 ans, je l'avais repérée de suite tellement elle a l'air bonne.

Je te confirme que de bonne, elle n'en n'avait pas que l'air
Elle l'était réellement, c'était un très bon coup !