Quelques anecdotes de rencontres en vrac. Pour le plaisir.
Publié : 28 mai 2019, 20:43
Un petit florilège qui ne concerne pas que les filles trans, loin de là, et qui s''étale aussi sur de nombreuses années, trop nombreuses 'tain.
Imprévisible et magnifique !
- sous le signe de la domination avec « maîtresse » G. Mais je n’arrive pas à accrocher à ce cérémonial D/s et je m’écroule de rire à chacune de ses demandes… On passe donc à un cunni punition, qui se transforme vite en cunni fontaine. Camerounaise, elle a un clito énorme, vraiment, sort des râles d’outre-tombe, flippants, et puis… m’inonde littéralement et à plusieurs reprises les cheveux de squirt.
- sous le signe du partage avec M., gentille métisse Inde Afrique aux cheveux tressés super joliment. Relation chaude sans tabous GFE/PSE où malheureusement je ne suis pas très en forme malgré le gel chauffant, ce qui l’inquiète je le vois bien. Comme souvent j’en viens alors à devoir me masturber, juste avant de venir, je la vois soudain se contorsionner, se glisser sous moi pour m’offrir un CIM improvisé et revenir m’embrasser avec illico…
- sous le signe de la surprise avec S., la plus débridée (sans jeu de mot) de toutes mes petites chinoises. Adepte des massages, j’aime tant m’allonger et me laisser câliner (et parfois aussi marcher sur !) le dos. Mais en cette occasion, S. attrape une lingette, me rafraîchit stratégiquement, avant de me prodiguer un anilingus surprise. Et aussi de me montrer son petit doigt en riant en disant que c’est celui-là qu’elle a inséré, ce qui l’amuse beaucoup visiblement.
- sous le signe du rafraîchissement avec V., mon amour de V., fille trans brésilienne. Ce jour-là, après les retrouvailles et le déshabillage, V. me propose un café. S’éclipse, revient avec une grande tasse, et sur une impulsion de génie, y trempe soudain son sexe avant de me le présenter. On ne sait que choisir.
- sous le signe de l’acrobatie, toujours avec V. Une petite brune, bien entendu, et surtout un gabarit qui nous permet d’improviser. Chez une copine à elle ce jour-là, avec un comptoir dans la cuisine, ce sera notre tremplin pour effectuer des portés, et baiser debout comme au cinéma lol, elle accrochée à mon cou, moi maintenant ses jambes jusqu’à ce que je n’en puisse plus.
Mignon !
- blackette rue Saint Denis, elle porte un pansement autour de la jambe et j’y ai donc fait bien attention. Elle m’accompagne au retour et insiste pour me payer une bière en terrasse. Elle est si gentille qu’on repasse au distributeur et donc chez elle aussi pour un second round. J’ai longtemps gardé ce petit briquet vert qu’elle m’avait laissé aussi. Même après qu’il ait cessé de marcher.
- petite brune (décidément) rue Saint Denis. Rien de spécial mais c’est juste le sosie absolu d’une petite serveuse du bar que je fréquentais au lieu d’aller à la fac. A s’y méprendre. Fantasme réalisé donc par procuration.
- K., gentille domina brésilienne. Pendant les choses sérieuses (c’est à dire après entre autres la cordelette en bas et les pinces à linge en haut), m’informe gentiment que je n’ai pas de « profondité » (sic) mais ça je le savais déjà ! C’est par contre la seule à avoir su utiliser un gode sans m’exploser. Un gode noir assez imposant, mais… lisse.
- H., ma chinoise préférée, qui chante en chinois (et très bien d’ailleurs) pendant le massage final. Si seulement elle pouvait éviter le Goldman en fond sonore pendant les ébats ce serait parfait.
- C., fille trans argentine, qui me baise bien et finit par me supplier « j’ai envie de jouir chéri ». Ben comment dire, be my guest…
- M., fille travestie brésilienne black immense, à qui je dis tu sais tu peux peut-être essayer d’être active la prochaine fois si tu veux, et qui me dit : non ! avec toi je veux être passive, toujours. Oh la la.
- H., fille trans brésilienne indienne, qui me dit : toi tu ne me traites pas comme une pute, tu pars pas comme un voleur après avoir joui et tu continues à me caresser. Ben moi si on me jette pas dehors de toute façon j’ai du mal à partir…
- H., fille travestie guyanaise, qui un jour me dit non c’est gratuit aujourd’hui. Bon de toute façon je connais sa boîte aux lettres en bas alors… Une fois suivante elle me proposera un intermède avec une copine fille à elle. Une crème cette fille.
Chelou !
- A., cette chinoise qui a une technique bien à elle pour la fellation améliorée. Enroule une mèche de ses cheveux longs autour du sexe (avec préservatif), et s’en sert pour amorcer un mouvement de va et vient. Bien entendu c’est super nul, ça coince le préservatif et la peau, voire ça asphyxie la bête. J’évite soigneusement les préliminaires désormais.
- cette toute petite brune beurette à Pigalle. Moche selon les critères des mâles alpha. Mais moi j’aime bien évidemment son petit visage un peu chiffonné et son petit corps galbé. Au cours d’une de nos rencontres et sans que je me rappelle pourquoi, assis tous les deux, je me retrouve à la doigter gentiment pendant qu’elle s’accroche à mon cou en gémissant un peu, tout doucement. Je pensais qu’elle fredonnait en fait. Ça dure un bon moment avant que je ne m’aperçoive de deux choses. Mes doigts sont légèrement brunâtres et je pense que la période était un peu limite, et surtout je réalise qu’elle a une grosse mèche de mes cheveux entortillée dans la bouche et qu’elle m’a copieusement bavé dessus hihi.
- P., cette gentille fille trans Philippine qui ne veut pas se séparer de son Teddy Bear énorme qui trône sur son lit, même quand il nous retombe sur la tronche quasiment à chaque coup de rein. J’ai bien tenté de l’évacuer mais apparemment elle aime bien se cacher à moitié en dessous pendant l’acte. A noter qu’il m’était arrivé la même chose avec une chinoise rue Saint Denis et un Mickey tout aussi énorme et vacillant.
- La sœur de E. (j’avais rencontré les deux mais je ne me souviens bizarrement plus du prénom de l’une). Sans doute l’équivalent féminin d’un éjaculateur précoce : en voiture ou à l’hôtel près des Maréchaux, commençait à jouir en une minute seulement après le début des opérations, et se fourrait ma main dans sa bouche pour étouffer le son. Sans doute pas du chiqué, car un autre jour que je la doigtais gentiment, je sentais son vagin pulser et se déformer comme si les parois s’éloignaient de mes doigts, une sensation très bizarre et jamais rencontrée depuis. C’est aussi elle qui m’avait saoulé toute un après-midi au téléphone parce que sa sœur n’était pas encore réapparue et qu’elle pensait que j’étais le dernier à l’avoir vue… Mais c’est une autre histoire.
- A., immense fille travestie antillaise, montée comme un âne. M’invite à faire la locomotive pendant la pénétration, comme pour ces exercices pour femmes enceintes en fait. Quand je n’en peux plus et que nous sommes en petites cuillères, que je prends sa main pour m’entourer de son bras en un geste de blotissement, elle l’interprète comme si je lui demandais de m’étrangler…
Loose !
- L., toute jeune fille trans blackette que je ramène du bois deux jours de suite chez moi. Qui s’est fait voler toutes ses affaires bien entendu, et c’est un moindre mal quand on s’installe au bois n’importe où sans en connaître les règles… Et qui s’endort (profondément) la seconde fois pendant que je la suce… Je laisse passer une demi-heure puis je la ramène, un peu sur ma faim quand même…
- chez H., fille trans philippine, après avoir bourriné deux bonnes heures, je suis dans la douche quand j’ai soudain une sensation très bizarre et inconfortable. Je n’ai pas le choix que de devoir uriner directement là. Et c’est un caillot et un flot de sang que j’évacue… J’y suis peut être allé un peu fort. Et les 2g d’aspirine y sont sûrement pour quelque chose aussi. Je n’oserai plus uriner de nouveau avant plusieurs heures mais plus rien de spécial n’arrivera pourtant.
- à l’hôtel avec N., dominatrice très soft. J’ai voulu essayer des trucs…, j’ai posté un message sur un site, elle m’a répondu OK, elle est super mimi et gentille et veut bien s’occuper de moi. A un moment elle s’éclipse dans la salle de bains, et revient en se demandant à voix haute si j’avais demandé uro par hasard. Parce que là c’est trop tard mais il lui reste peut être quelques petites gouttes (sic). C’est une vraie occasionnelle qui me demandera de la photographier pour une nouvelle annonce
Relou !
- rue de Budapest (Saint Lazare), ah oui je ne t’ai pas dit je n’ai pas de studio, ici on est dans le local poubelles on va faire ça à la sauvage dit-elle (sic) en descendant son jogging gris sous lequel elle ne porte rien
- rue Mogador (Trinité), pas de problème pour le cunni, je prends juste ta montre en otage, et je te la rendrai quand tu seras repassé au distributeur…
- rue Germain Pilon (Pigalle), je te pique tes lunettes dans la rue et je ne te les rends que si tu me files ton blé. Parce que tu sembles avoir arrêté ton choix sur une autre fille trans que moi, là !
- chez moi, tiens tiens mes tickets restaurants et mon Walkman (ouais ça date ça va hein) ont disparu après la visite de la fille qui avait aussi un petit gun dans son sac à main…
- dans ma voiture, départ familial en vacances. Oh putain y’a encore un préservatif côté passager que j’évacue in extremis… Par contre le fond de teint sur les montants de pare-brise je ne pourrai rien y faire
- dans les douches, que du gel douche parfumé à mort, seule solution, se doucher à l’eau. Vaut mieux sentir un peu la transpi que le monoï en plein hiver
- dans la cuisine, dans l’évier déjà à moitié rempli de trucs innommables, mais pas trop le choix, sa préparation était plus que douteuse et j’ai dû mettre un terme à la chose avant de me sauver sans me retourner
- t’habites où ? T’es marié, t’as des enfants ? Tu fais quoi, tu gagnes combien ? Tu en vois d’autres ? Tu reviens quand ?
Imprévisible et magnifique !
- sous le signe de la domination avec « maîtresse » G. Mais je n’arrive pas à accrocher à ce cérémonial D/s et je m’écroule de rire à chacune de ses demandes… On passe donc à un cunni punition, qui se transforme vite en cunni fontaine. Camerounaise, elle a un clito énorme, vraiment, sort des râles d’outre-tombe, flippants, et puis… m’inonde littéralement et à plusieurs reprises les cheveux de squirt.
- sous le signe du partage avec M., gentille métisse Inde Afrique aux cheveux tressés super joliment. Relation chaude sans tabous GFE/PSE où malheureusement je ne suis pas très en forme malgré le gel chauffant, ce qui l’inquiète je le vois bien. Comme souvent j’en viens alors à devoir me masturber, juste avant de venir, je la vois soudain se contorsionner, se glisser sous moi pour m’offrir un CIM improvisé et revenir m’embrasser avec illico…
- sous le signe de la surprise avec S., la plus débridée (sans jeu de mot) de toutes mes petites chinoises. Adepte des massages, j’aime tant m’allonger et me laisser câliner (et parfois aussi marcher sur !) le dos. Mais en cette occasion, S. attrape une lingette, me rafraîchit stratégiquement, avant de me prodiguer un anilingus surprise. Et aussi de me montrer son petit doigt en riant en disant que c’est celui-là qu’elle a inséré, ce qui l’amuse beaucoup visiblement.
- sous le signe du rafraîchissement avec V., mon amour de V., fille trans brésilienne. Ce jour-là, après les retrouvailles et le déshabillage, V. me propose un café. S’éclipse, revient avec une grande tasse, et sur une impulsion de génie, y trempe soudain son sexe avant de me le présenter. On ne sait que choisir.
- sous le signe de l’acrobatie, toujours avec V. Une petite brune, bien entendu, et surtout un gabarit qui nous permet d’improviser. Chez une copine à elle ce jour-là, avec un comptoir dans la cuisine, ce sera notre tremplin pour effectuer des portés, et baiser debout comme au cinéma lol, elle accrochée à mon cou, moi maintenant ses jambes jusqu’à ce que je n’en puisse plus.
Mignon !
- blackette rue Saint Denis, elle porte un pansement autour de la jambe et j’y ai donc fait bien attention. Elle m’accompagne au retour et insiste pour me payer une bière en terrasse. Elle est si gentille qu’on repasse au distributeur et donc chez elle aussi pour un second round. J’ai longtemps gardé ce petit briquet vert qu’elle m’avait laissé aussi. Même après qu’il ait cessé de marcher.
- petite brune (décidément) rue Saint Denis. Rien de spécial mais c’est juste le sosie absolu d’une petite serveuse du bar que je fréquentais au lieu d’aller à la fac. A s’y méprendre. Fantasme réalisé donc par procuration.
- K., gentille domina brésilienne. Pendant les choses sérieuses (c’est à dire après entre autres la cordelette en bas et les pinces à linge en haut), m’informe gentiment que je n’ai pas de « profondité » (sic) mais ça je le savais déjà ! C’est par contre la seule à avoir su utiliser un gode sans m’exploser. Un gode noir assez imposant, mais… lisse.
- H., ma chinoise préférée, qui chante en chinois (et très bien d’ailleurs) pendant le massage final. Si seulement elle pouvait éviter le Goldman en fond sonore pendant les ébats ce serait parfait.
- C., fille trans argentine, qui me baise bien et finit par me supplier « j’ai envie de jouir chéri ». Ben comment dire, be my guest…
- M., fille travestie brésilienne black immense, à qui je dis tu sais tu peux peut-être essayer d’être active la prochaine fois si tu veux, et qui me dit : non ! avec toi je veux être passive, toujours. Oh la la.
- H., fille trans brésilienne indienne, qui me dit : toi tu ne me traites pas comme une pute, tu pars pas comme un voleur après avoir joui et tu continues à me caresser. Ben moi si on me jette pas dehors de toute façon j’ai du mal à partir…
- H., fille travestie guyanaise, qui un jour me dit non c’est gratuit aujourd’hui. Bon de toute façon je connais sa boîte aux lettres en bas alors… Une fois suivante elle me proposera un intermède avec une copine fille à elle. Une crème cette fille.
Chelou !
- A., cette chinoise qui a une technique bien à elle pour la fellation améliorée. Enroule une mèche de ses cheveux longs autour du sexe (avec préservatif), et s’en sert pour amorcer un mouvement de va et vient. Bien entendu c’est super nul, ça coince le préservatif et la peau, voire ça asphyxie la bête. J’évite soigneusement les préliminaires désormais.
- cette toute petite brune beurette à Pigalle. Moche selon les critères des mâles alpha. Mais moi j’aime bien évidemment son petit visage un peu chiffonné et son petit corps galbé. Au cours d’une de nos rencontres et sans que je me rappelle pourquoi, assis tous les deux, je me retrouve à la doigter gentiment pendant qu’elle s’accroche à mon cou en gémissant un peu, tout doucement. Je pensais qu’elle fredonnait en fait. Ça dure un bon moment avant que je ne m’aperçoive de deux choses. Mes doigts sont légèrement brunâtres et je pense que la période était un peu limite, et surtout je réalise qu’elle a une grosse mèche de mes cheveux entortillée dans la bouche et qu’elle m’a copieusement bavé dessus hihi.
- P., cette gentille fille trans Philippine qui ne veut pas se séparer de son Teddy Bear énorme qui trône sur son lit, même quand il nous retombe sur la tronche quasiment à chaque coup de rein. J’ai bien tenté de l’évacuer mais apparemment elle aime bien se cacher à moitié en dessous pendant l’acte. A noter qu’il m’était arrivé la même chose avec une chinoise rue Saint Denis et un Mickey tout aussi énorme et vacillant.
- La sœur de E. (j’avais rencontré les deux mais je ne me souviens bizarrement plus du prénom de l’une). Sans doute l’équivalent féminin d’un éjaculateur précoce : en voiture ou à l’hôtel près des Maréchaux, commençait à jouir en une minute seulement après le début des opérations, et se fourrait ma main dans sa bouche pour étouffer le son. Sans doute pas du chiqué, car un autre jour que je la doigtais gentiment, je sentais son vagin pulser et se déformer comme si les parois s’éloignaient de mes doigts, une sensation très bizarre et jamais rencontrée depuis. C’est aussi elle qui m’avait saoulé toute un après-midi au téléphone parce que sa sœur n’était pas encore réapparue et qu’elle pensait que j’étais le dernier à l’avoir vue… Mais c’est une autre histoire.
- A., immense fille travestie antillaise, montée comme un âne. M’invite à faire la locomotive pendant la pénétration, comme pour ces exercices pour femmes enceintes en fait. Quand je n’en peux plus et que nous sommes en petites cuillères, que je prends sa main pour m’entourer de son bras en un geste de blotissement, elle l’interprète comme si je lui demandais de m’étrangler…
Loose !
- L., toute jeune fille trans blackette que je ramène du bois deux jours de suite chez moi. Qui s’est fait voler toutes ses affaires bien entendu, et c’est un moindre mal quand on s’installe au bois n’importe où sans en connaître les règles… Et qui s’endort (profondément) la seconde fois pendant que je la suce… Je laisse passer une demi-heure puis je la ramène, un peu sur ma faim quand même…
- chez H., fille trans philippine, après avoir bourriné deux bonnes heures, je suis dans la douche quand j’ai soudain une sensation très bizarre et inconfortable. Je n’ai pas le choix que de devoir uriner directement là. Et c’est un caillot et un flot de sang que j’évacue… J’y suis peut être allé un peu fort. Et les 2g d’aspirine y sont sûrement pour quelque chose aussi. Je n’oserai plus uriner de nouveau avant plusieurs heures mais plus rien de spécial n’arrivera pourtant.
- à l’hôtel avec N., dominatrice très soft. J’ai voulu essayer des trucs…, j’ai posté un message sur un site, elle m’a répondu OK, elle est super mimi et gentille et veut bien s’occuper de moi. A un moment elle s’éclipse dans la salle de bains, et revient en se demandant à voix haute si j’avais demandé uro par hasard. Parce que là c’est trop tard mais il lui reste peut être quelques petites gouttes (sic). C’est une vraie occasionnelle qui me demandera de la photographier pour une nouvelle annonce
Relou !
- rue de Budapest (Saint Lazare), ah oui je ne t’ai pas dit je n’ai pas de studio, ici on est dans le local poubelles on va faire ça à la sauvage dit-elle (sic) en descendant son jogging gris sous lequel elle ne porte rien
- rue Mogador (Trinité), pas de problème pour le cunni, je prends juste ta montre en otage, et je te la rendrai quand tu seras repassé au distributeur…
- rue Germain Pilon (Pigalle), je te pique tes lunettes dans la rue et je ne te les rends que si tu me files ton blé. Parce que tu sembles avoir arrêté ton choix sur une autre fille trans que moi, là !
- chez moi, tiens tiens mes tickets restaurants et mon Walkman (ouais ça date ça va hein) ont disparu après la visite de la fille qui avait aussi un petit gun dans son sac à main…
- dans ma voiture, départ familial en vacances. Oh putain y’a encore un préservatif côté passager que j’évacue in extremis… Par contre le fond de teint sur les montants de pare-brise je ne pourrai rien y faire
- dans les douches, que du gel douche parfumé à mort, seule solution, se doucher à l’eau. Vaut mieux sentir un peu la transpi que le monoï en plein hiver
- dans la cuisine, dans l’évier déjà à moitié rempli de trucs innommables, mais pas trop le choix, sa préparation était plus que douteuse et j’ai dû mettre un terme à la chose avant de me sauver sans me retourner
- t’habites où ? T’es marié, t’as des enfants ? Tu fais quoi, tu gagnes combien ? Tu en vois d’autres ? Tu reviens quand ?