tg-forum.com

Lu sur Le Monde, ils parlent de groupuscules féministes dont je ne connaissais pas l'existence qui sont dans un délire incroyable, c'est une guerre intestine comme seuls les extrémistes savent en mener, l'article est réservé aux abonnés mais le début est fracassant :

C’est une guerre microcosmique mais ultra-­violente, qui, depuis une semaine, se mène à bas bruit sur Twitter et Instagram. Une querelle de chapelles qui met en péril le mouvement Collage féminicides, devenu ces derniers mois la vitrine du féminisme activiste dans nombre de grandes villes de France. Tout est parti d’une série de tweets, postés le 22 janvier par la fondatrice du mouvement, Marguerite Stern, héritière d’un féminisme dit « universaliste ».

Selon l’ex-Femen, qui s’est mise en retrait du mouvement depuis l’automne 2019, « les débats sur le transactivisme prennent de plus en plus de place dans le féminisme, estime-t-elle. J’interprète ça comme une nouvelle tentative masculine pour empêcher les femmes de s’exprimer ». Or, poursuit-elle, « je suis pour qu’on déconstruise les stéréotypes de genre, et je considère que le transactivisme ne fait que les renforcer. J’observe que les hommes qui veulent être des femmes se mettent soudainement à se maquiller, à porter des robes et des talons. Et je considère que c’est une insulte faite aux femmes que de considérer que ce sont les outils inventés par le patriarcat qui font de nous des femmes. Nous sommes des femmes parce que nous avons des vulves. C’est un fait biologique. »

C"est à mourir de rire tellement c'est énorme, quelle vie misérable elles ont…

L'article complet ici (réservé abonnés)

ruben a écrit :Lu sur Le Monde, ils parlent de groupuscules féministes dont je ne connaissais pas l'existence qui sont dans un délire incroyable, c'est une guerre intestine comme seuls les extrémistes savent en mener, l'article est réservé aux abonnés mais le début est fracassant :

C’est une guerre microcosmique mais ultra-­violente, qui, depuis une semaine, se mène à bas bruit sur Twitter et Instagram. Une querelle de chapelles qui met en péril le mouvement Collage féminicides, devenu ces derniers mois la vitrine du féminisme activiste dans nombre de grandes villes de France. Tout est parti d’une série de tweets, postés le 22 janvier par la fondatrice du mouvement, Marguerite Stern, héritière d’un féminisme dit « universaliste ».

Selon l’ex-Femen, qui s’est mise en retrait du mouvement depuis l’automne 2019, « les débats sur le transactivisme prennent de plus en plus de place dans le féminisme, estime-t-elle. J’interprète ça comme une nouvelle tentative masculine pour empêcher les femmes de s’exprimer ». Or, poursuit-elle, « je suis pour qu’on déconstruise les stéréotypes de genre, et je considère que le transactivisme ne fait que les renforcer. J’observe que les hommes qui veulent être des femmes se mettent soudainement à se maquiller, à porter des robes et des talons. Et je considère que c’est une insulte faite aux femmes que de considérer que ce sont les outils inventés par le patriarcat qui font de nous des femmes. Nous sommes des femmes parce que nous avons des vulves. C’est un fait biologique. »

C"est à mourir de rire tellement c'est énorme, quelle vie misérable elles ont…

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Salut Ruben,

Il n'y a pas que la vieillesse qui est un naufrage ...
D'ailleurs, pas pour rien qu'une ex-femen s'est suicidé en 2018.

Je considère ce genre d’événement comme un non-événement. Il y a des féministes qui voient les trans comme une insulte faite aux femmes parce qu'elles (les trans) reprennent les codes de la femme objet. Ce n'est qu'un groupuscule de féministes, une poignée de jobardes qui essayent d'exister en faisant publier dans la presse leurs histoires de névrosées. Je ne tape pas sur le féminisme. Je pense que la société entière a besoin de mouvements féministes comme "me too" (on a découvert que le cinéma était bien un monde fait de coucheries, qu'il fallait bien accepter de coucher pour réussir ou plus exactement qu'il fallait aux femmes se taire sur le fait qu'elles aient été violées pour pouvoir réussir. On ne veut pas de ce monde là). Par contre, je méprise les féministes et les intégristes de ce genre de mouvements.

Je n'aime pas les curés intégristes comme je n'aime pas les ayatollahs. Je n'aime pas non plus les curés pédophiles, ni les victimes d'un curé qui ont essayé de dégommer un archevêque car leurs positions étaient intégristes (et mal fondées). Je les excuses parce qu'ils étaient aveuglés par leur souffrance de victimes. Quant à ces femens ou plutôt ex femens marginalisées par les marginales du féminisme, je les ignore. Elles ne changeront pas ma vie.

S'il faut un jour remplacer des femmes pas féminines par des trans ultra féminines, je suis prêt à franchir le pas, quitte à e faire traiter de vieux pédé pendant mes vieux jours.

Samutprakan a écrit :Je considère ce genre d’événement comme un non-événement. Il y a des féministes qui voient les trans comme une insulte faite aux femmes parce qu'elles (les trans) reprennent les codes de la femme objet. Ce n'est qu'un groupuscule de féministes, une poignée de jobardes qui essayent d'exister en faisant publier dans la presse leurs histoires de névrosées. Je ne tape pas sur le féminisme. Je pense que la société entière a besoin de mouvements féministes comme "me too" (on a découvert que le cinéma était bien un monde fait de coucheries, qu'il fallait bien accepter de coucher pour réussir ou plus exactement qu'il fallait aux femmes se taire sur le fait qu'elles aient été violées pour pouvoir réussir. On ne veut pas de ce monde là). Par contre, je méprise les féministes et les intégristes de ce genre de mouvements.

Je n'aime pas les curés intégristes comme je n'aime pas les ayatollahs. Je n'aime pas non plus les curés pédophiles, ni les victimes d'un curé qui ont essayé de dégommer un archevêque car leurs positions étaient intégristes (et mal fondées). Je les excuses parce qu'ils étaient aveuglés par leur souffrance de victimes. Quant à ces femens ou plutôt ex femens marginalisées par les marginales du féminisme, je les ignore. Elles ne changeront pas ma vie.

S'il faut un jour remplacer des femmes pas féminines par des trans ultra féminines, je suis prêt à franchir le pas, quitte à e faire traiter de vieux pédé pendant mes vieux jours.

Oui je suis d'accord avec toi ; le seul truc où j'aporterai un bémol c'est que ces temps ci, ce ne sont que les extrémistes de tous bords que l'on entend. Et les extrémistes, ça donne ce que j'ai partagé.
Et selon moi, meetoo est aussi un mouvement extrémiste, parce que récupéré (et peut être même lancé) par les extrémistes, et surtout hors justice équitable. Il n'y a qu'à voir ce qui est arrivé à la journaliste qui a lancé balancetonporc en "dénonçant" un de ses collègues, elle a été condamnée pour diffamation et on a découvert qu'elle a trafiqué son affaire pour la médiatiser.
Le pb, c'est que toutes ces extrémistes décrédibilisent les vraies victimes anonymes, en ne parlant que des histoires de cul de leur petits milieux de privilégiés, où réussir en couchant a toujours existé, ce pour tous les sexes ; et elles préfèrent s'en prendre à un réalisateur vieillard qui va bientôt mourir plutôt qu'à la meute sectarisée qui menace une jeune fille homosexuelle qui parle trop franchement sur insta, c'est sûr que ce n'est pas un réalisateur célèbre qui va leur envoyer un commando kalashnikov, donc on peut aussi douter de leur "courage", et surtout de leur réelle motivation qui, je pense, est d'abord une lutte de pouvoir plutôt qu'un désir de justice.

Alors là +100!!
Les assos zéro sur l'affaire Mila.
De même d'ailleurs quand les auteurs de l'assassinat de la courageuse CAMPOS ont été démasqués, zéro

thim63 a écrit :Alors là +100!!
Les assos zéro sur l'affaire Mila.
De même d'ailleurs quand les auteurs de l'assassinat de la courageuse CAMPOS ont été démasqués, zéro

Ben ouais, il ne faut pas fâcher leur potentiel électorat. C'est leur avenir "professionnel" qui en dépend.

balance ton porc
meetoo
les femens ( et j'en passe )
tout ça,ce foutoir,ne repose et n'est véhiculé que par une seule chose
les réseaux sociaux,ou je dirais plutot,les égouts sociaux,youtube y compris...
internet à donné un micro et une caméra en mondiaux visions à des millions de petits tyrans,de petits dictateurs,de petits ayatollah,tous plus laches les uns que les autres,cachés derrières leurs pseudos,leurs écrans,leur anonymat,qui passent leur temps à lapider,bruler vif,crucifier,dénoncer,pseudo-moraliser tout et n'importe quoi,n'importe qui,sans cesse
un jour c'est blanc,la semaine suivante,c'est noir,l'important,suivre la meute ! tous à la recherche de la meme chose,la récompense,l'approbation,la reconnaissance des autres,les applaudissements,les félicitations,le petits " like "....auparavant,obtenir tout celà demandais énormément de sacrifices,de droiture et parfois une vie pour y parvenir,aujourd'hui,il suffit juste de trainer le premier venu dans la boue.
et ces crétins de journalistes qui n'ont trouvés pour survivre qu'à faire caisse de résonances...le pire,les politiques s'y mettent,commentent,prennent parti,accusent,salissent le 1 er qui passe,sans vérifier la plupart du temps,et s'ils se trompent,pas d'excuses,on passe au suivant.
aujourd'hui,la base de la communication,c'est ; mieux vaut etre le premier à avoir tort que le deuxième à avoir raison
et en second, ( cette tirade de Basiles ou devise de F.Bacon,au choix ; calomniez calomniez il en restera toujours quelque chose.
pour exemple,si on devait crucifier Polansky,le cinéaste,ses oeuvres,sa carrière à cause de Polansky,l'homme,alors une putain de purge va commencer
combien d'homme politique on trompés leur épouse ; coupables ; toutes leurs lois,poubelles
michel leb,coluche,le luron ( j'en passe,pour leurs blagues sur les noirs ou les juifs ( ?? ) censurés,les restos du coeurs,fermés
les écrivains ( là,gros ménage dans les bibliothèques ) céline,voltaire,sade ; raciste,pédophile,sadique
je ne sais pas comment celà ce passe à l'étranger,mais en France,c'est le gros bordel...

edmond75013 a écrit :balance ton porc
meetoo
les femens ( et j'en passe )
tout ça,ce foutoir,ne repose et n'est véhiculé que par une seule chose
les réseaux sociaux,ou je dirais plutot,les égouts sociaux,youtube y compris...
internet à donné un micro et une caméra en mondiaux visions à des millions de petits tyrans,de petits dictateurs,de petits ayatollah,tous plus laches les uns que les autres,cachés derrières leurs pseudos,leurs écrans,leur anonymat,qui passent leur temps à lapider,bruler vif,crucifier,dénoncer,pseudo-moraliser tout et n'importe quoi,n'importe qui,sans cesse
un jour c'est blanc,la semaine suivante,c'est noir,l'important,suivre la meute ! tous à la recherche de la meme chose,la récompense,l'approbation,la reconnaissance des autres,les applaudissements,les félicitations,le petits " like "....auparavant,obtenir tout celà demandais énormément de sacrifices,de droiture et parfois une vie pour y parvenir,aujourd'hui,il suffit juste de trainer le premier venu dans la boue.
et ces crétins de journalistes qui n'ont trouvés pour survivre qu'à faire caisse de résonances...le pire,les politiques s'y mettent,commentent,prennent parti,accusent,salissent le 1 er qui passe,sans vérifier la plupart du temps,et s'ils se trompent,pas d'excuses,on passe au suivant.
aujourd'hui,la base de la communication,c'est ; mieux vaut etre le premier à avoir tort que le deuxième à avoir raison
et en second, ( cette tirade de Basiles ou devise de F.Bacon,au choix ; calomniez calomniez il en restera toujours quelque chose.
pour exemple,si on devait crucifier Polansky,le cinéaste,ses oeuvres,sa carrière à cause de Polansky,l'homme,alors une putain de purge va commencer
combien d'homme politique on trompés leur épouse ; coupables ; toutes leurs lois,poubelles
michel leb,coluche,le luron ( j'en passe,pour leurs blagues sur les noirs ou les juifs ( ?? ) censurés,les restos du coeurs,fermés
les écrivains ( là,gros ménage dans les bibliothèques ) céline,voltaire,sade ; raciste,pédophile,sadique
je ne sais pas comment celà ce passe à l'étranger,mais en France,c'est le gros bordel...

Oui, mais en ce qui les concernent, ce ne sont pas que des petits dictateurs en mal de vengeance, elles ont surtout un agenda politique, donc de prise de pouvoir, donc financier. S'il ne s'agissait que de vengeance et de tyrannie individualiste, elles parleraient aussi des minorités responsables de tous ces actes homophobes et sexistes, mais au delà du fait qu'elles en ont peur après les nombreux attentats et intimidations, c'est surtout une doxa de la gauche depuis les années 80 avec "touche pas à mon pote" et la diabolisation du FN et de tous ceux qui reprennent même partiellement leurs arguments. Donc, du coup, elles restent sur "touche pas à mon pote" même s'il est notoirement coupable, alors qu'un homme blanc juste soupçonné sera, lui, jeté au bûché. Quand aux journalistes, déjà le sensationnalisme crapouilleux les attire à fond, mais en plus comme ils sont très majoritairement de gauche, ça rentre tout à fait dans leur agenda politique. Je vois que certains journaux comme le figaro, qui n'est pas si à droite que ça, relancent sur ces assos et ces partis qui ferment leur gueule sur l'affaire Mila, j'ai entendu l'autre jour en direct la représentante de "Osez…" botter en touche piteusement sur cette affaire en direct sur RMC et à la TV, et là ça fait du monde qui écoute, ok ça ne va pas faire une grosse vendetta, mais ça commence à interroger du monde quand même vu le bordel qu'elles foutent depuis plus de 2 ans.
De toutes les façons, leur positionnement politique est intenable, car même si le mensonge prend l'ascenseur et que la vérité monte par l'escalier, c'est plus lent, mais elle y arrive quand même.

ruben a écrit :Lu sur Le Monde, ils parlent de groupuscules féministes dont je ne connaissais pas l'existence qui sont dans un délire incroyable, c'est une guerre intestine comme seuls les extrémistes savent en mener, l'article est réservé aux abonnés mais le début est fracassant :

C’est une guerre microcosmique mais ultra-­violente, qui, depuis une semaine, se mène à bas bruit sur Twitter et Instagram. Une querelle de chapelles qui met en péril le mouvement Collage féminicides, devenu ces derniers mois la vitrine du féminisme activiste dans nombre de grandes villes de France. Tout est parti d’une série de tweets, postés le 22 janvier par la fondatrice du mouvement, Marguerite Stern, héritière d’un féminisme dit « universaliste ».

Selon l’ex-Femen, qui s’est mise en retrait du mouvement depuis l’automne 2019, « les débats sur le transactivisme prennent de plus en plus de place dans le féminisme, estime-t-elle. J’interprète ça comme une nouvelle tentative masculine pour empêcher les femmes de s’exprimer ». Or, poursuit-elle, « je suis pour qu’on déconstruise les stéréotypes de genre, et je considère que le transactivisme ne fait que les renforcer. J’observe que les hommes qui veulent être des femmes se mettent soudainement à se maquiller, à porter des robes et des talons. Et je considère que c’est une insulte faite aux femmes que de considérer que ce sont les outils inventés par le patriarcat qui font de nous des femmes. Nous sommes des femmes parce que nous avons des vulves. C’est un fait biologique. »

C"est à mourir de rire tellement c'est énorme, quelle vie misérable elles ont…

L'article complet ici (réservé abonnés)

effectivement, j'ai presque pouffé en lisant ca...

avec un angle de vue un peu différent, on pourrait penser qu'elle est furieuse parce maintenant que beaucoup de femmes se défilent de la féminité, certains hommes ont décidé de prendre le relais de la féminité... lol!

admin a écrit :

ruben a écrit :Lu sur Le Monde, ils parlent de groupuscules féministes dont je ne connaissais pas l'existence qui sont dans un délire incroyable, c'est une guerre intestine comme seuls les extrémistes savent en mener, l'article est réservé aux abonnés mais le début est fracassant :

C’est une guerre microcosmique mais ultra-­violente, qui, depuis une semaine, se mène à bas bruit sur Twitter et Instagram. Une querelle de chapelles qui met en péril le mouvement Collage féminicides, devenu ces derniers mois la vitrine du féminisme activiste dans nombre de grandes villes de France. Tout est parti d’une série de tweets, postés le 22 janvier par la fondatrice du mouvement, Marguerite Stern, héritière d’un féminisme dit « universaliste ».

Selon l’ex-Femen, qui s’est mise en retrait du mouvement depuis l’automne 2019, « les débats sur le transactivisme prennent de plus en plus de place dans le féminisme, estime-t-elle. J’interprète ça comme une nouvelle tentative masculine pour empêcher les femmes de s’exprimer ». Or, poursuit-elle, « je suis pour qu’on déconstruise les stéréotypes de genre, et je considère que le transactivisme ne fait que les renforcer. J’observe que les hommes qui veulent être des femmes se mettent soudainement à se maquiller, à porter des robes et des talons. Et je considère que c’est une insulte faite aux femmes que de considérer que ce sont les outils inventés par le patriarcat qui font de nous des femmes. Nous sommes des femmes parce que nous avons des vulves. C’est un fait biologique. »

C"est à mourir de rire tellement c'est énorme, quelle vie misérable elles ont…

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effectivement, j'ai presque pouffé en lisant ca...

avec un angle de vue un peu différent, on pourrait penser qu'elle est furieuse parce maintenant que beaucoup de femmes se défilent de la féminité, certains hommes ont décidé de prendre le relais de la féminité... lol!

Là où elle n'a pas tout à fait tort, c'est évidemment par rapport aux hommes que les codes de la féminité existent.
Mais comme elles sont toutes d'extrême gauche - il faut savoir qu'elles rejettent les théories de l'évolution développées par Darwin (et confirmées par de plus en plus de scientifiques aujourd'hui), allant même jusqu'à prétendre que c'est une forme de fascisme - elles rejettent en bloc le fait que les hommes et les femmes ont adopté ces comportements de séduction depuis la nuit des temps pour des raisons d'efficacité reproductive et de perpétuation de l'espèce. Donc leur combat est voué à l'échec puisqu'il ne respecte pas les lois naturelles, comme les expériences communistes du XXe siècle.

Une Youtubeuse Virginie Vota, déglingue les théories des féministes intégristes c'est un intéressant de voir a quel point elle les ridiculisent

ruben a écrit :

admin a écrit :

ruben a écrit :Lu sur Le Monde, ils parlent de groupuscules féministes dont je ne connaissais pas l'existence qui sont dans un délire incroyable, c'est une guerre intestine comme seuls les extrémistes savent en mener, l'article est réservé aux abonnés mais le début est fracassant :
C"est à mourir de rire tellement c'est énorme, quelle vie misérable elles ont…

L'article complet ici (réservé abonnés)

effectivement, j'ai presque pouffé en lisant ca...

avec un angle de vue un peu différent, on pourrait penser qu'elle est furieuse parce maintenant que beaucoup de femmes se défilent de la féminité, certains hommes ont décidé de prendre le relais de la féminité... lol!

Là où elle n'a pas tout à fait tort, c'est évidemment par rapport aux hommes que les codes de la féminité existent.
Mais comme elles sont toutes d'extrême gauche - il faut savoir qu'elles rejettent les théories de l'évolution développées par Darwin (et confirmées par de plus en plus de scientifiques aujourd'hui), allant même jusqu'à prétendre que c'est une forme de fascisme - elles rejettent en bloc le fait que les hommes et les femmes ont adopté ces comportements de séduction depuis la nuit des temps pour des raisons d'efficacité reproductive et de perpétuation de l'espèce. Donc leur combat est voué à l'échec puisqu'il ne respecte pas les lois naturelles, comme les expériences communistes du XXe siècle.

Bonjour à tous
Pourquoi convoques-tu Darwin dans cette histoire Ruben ?
La séduction Homme/Femme, c'est social, pas biologique, et ce depuis que l'homme écrit, converse.
Donc même si les théories darwinniennes sont justes, elles ne s'appliquent pas, l'évolution des critères de séduction, comme ceux de la beauté ont évolués avec les sociétés (pensez à au XVII e où une femme était belle quant elle était gironde et où des hanches larges, capables d'assurer de nombreux enfantements étaient recherchées... Tout comme la noblesse se fardait pour bien montrer qu'elle n'était pas bronzée comme les paysans travaillant aux champs).

Bref, je peux concevoir que les mouvements féministes cherchent à en faire "toujours +" contre tout ce qui est perçu comme un produit du patriarcat. Une féministe extrémiste va partir en croisade contre l'injonction faîte par la société la poussant à s'épiler, se maquiller etc...
Donc c'est facile de voir dans les trans des traitres qui cherchent activement à promouvoir ce même patriarcat...
Bref elles demandent à toutes les femmes (ou femmes en devenir) d'exister selon leur cadre de pensée, leur définition de la féminité, et d'être leur alliées dans leur combat...
Résumons ça à "t'es avec moi ou contre moi"... (comme tout extrémisme)
C'est triste...
Heureusement qu'on parle d'une poignée d'allumées dont le potentiel de nuisance sur nos amies trans est somme toute assez faible.

Sexfriend10 a écrit :Une Youtubeuse Virginie Vota, déglingue les théories des féministes intégristes c'est un intéressant de voir a quel point elle les ridiculisent

Attention, elle fait aussi des vidéos pour Civitas... Je suis pas sur que ce soit un bon exemple

Elfynn2 a écrit :

ruben a écrit :

admin a écrit : effectivement, j'ai presque pouffé en lisant ca...

avec un angle de vue un peu différent, on pourrait penser qu'elle est furieuse parce maintenant que beaucoup de femmes se défilent de la féminité, certains hommes ont décidé de prendre le relais de la féminité... lol!

Là où elle n'a pas tout à fait tort, c'est évidemment par rapport aux hommes que les codes de la féminité existent.
Mais comme elles sont toutes d'extrême gauche - il faut savoir qu'elles rejettent les théories de l'évolution développées par Darwin (et confirmées par de plus en plus de scientifiques aujourd'hui), allant même jusqu'à prétendre que c'est une forme de fascisme - elles rejettent en bloc le fait que les hommes et les femmes ont adopté ces comportements de séduction depuis la nuit des temps pour des raisons d'efficacité reproductive et de perpétuation de l'espèce. Donc leur combat est voué à l'échec puisqu'il ne respecte pas les lois naturelles, comme les expériences communistes du XXe siècle.

Bonjour à tous
Pourquoi convoques-tu Darwin dans cette histoire Ruben ?
La séduction Homme/Femme, c'est social, pas biologique, et ce depuis que l'homme écrit, converse.
Donc même si les théories darwinniennes sont justes, elles ne s'appliquent pas, l'évolution des critères de séduction, comme ceux de la beauté ont évolués avec les sociétés (pensez à au XVII e où une femme était belle quant elle était gironde et où des hanches larges, capables d'assurer de nombreux enfantements étaient recherchées... Tout comme la noblesse se fardait pour bien montrer qu'elle n'était pas bronzée comme les paysans travaillant aux champs).

Bref, je peux concevoir que les mouvements féministes cherchent à en faire "toujours +" contre tout ce qui est perçu comme un produit du patriarcat. Une féministe extrémiste va partir en croisade contre l'injonction faîte par la société la poussant à s'épiler, se maquiller etc...
Donc c'est facile de voir dans les trans des traitres qui cherchent activement à promouvoir ce même patriarcat...
Bref elles demandent à toutes les femmes (ou femmes en devenir) d'exister selon leur cadre de pensée, leur définition de la féminité, et d'être leur alliées dans leur combat...
Résumons ça à "t'es avec moi ou contre moi"... (comme tout extrémisme)
C'est triste...
Heureusement qu'on parle d'une poignée d'allumées dont le potentiel de nuisance sur nos amies trans est somme toute assez faible.

Je ne suis pas d'accord, justement ce n'est pas que social, ou en tout cas des phénomènes innés sont devenus des codes sociaux. Par exemple, le maquillage est une stratégie utilisée pour compenser des défauts car naturellement, le mâle sera plus attiré par une bouche pleine et rouge que par une petite bouche pale, pareil pour les yeux "plus grands" et "plus ouverts", les hanches et les seins plus généreux sont des codes innés de meilleure fertilité, quelles que soient les modes selon les époques.

Elles affirment aussi que les femmes sont plus petites que les hommes parce que les hommes les ont privé de viande, donc de protéines, théorie d'une sociologue battue en brèche par des biologistes qui savent et ont montré que la femelle est plus petite que le mâle chez la plupart des mammifères. Pourtant, elles continuent d'affirmer cela (un mensonge répété 1000 fois…). Les biologistes sont démontrés de nombreux comportements identiques à ceux des humains chez de nombreuses espèces animales en ce qui concerne la séduction et les rôles respectifs "en société", faits qu'elles contredisent évidemment.

Par ailleurs, elles caricaturent les trans et les stigmatisent en affirmant cela (codes vestimentaires, épilation, maquillage) car toutes les trans ne ressemblent pas à celles que nous côtoyons, qui vendent leurs charmes, certaines qui ont une vie civile normale sont très androgynes y compris avec les fringues. Un comble puisque les féministes refusent d'être enfermées dans des cases.

Pour terminer sur ces histoires de stéréotypes de genres, je t'invite à lire cet article d'une féministe "modérée" (considérée de droite ou pire par les autres, évidemment), elle y explique très bien les stratégies féminines de séduction dictées par leur besoin inné de perpétuation de leurs gènes
https://www.tdg.ch/culture/peggy-sastre ... QPyDeQ4N1w

Ca n'empèche pas qu'invoquer Darwin, je trouve ça tiré par les cheveux.
l'évolution d'une espèce à lieu sur une période très longue, si longue que son impact au cours de l'histoire humaine est négligeable (l'histoire ici débutant à la naissance de l'écrit, donc on oublie la préhistoire).

Si on regarde les critères de beauté au cours de l'histoire, on passe de statuettes au ventre rond, symbôle de fertilité, à Nerfertiti en Egypte (grande, fine et musclée), aux kore de la grèce antique qui, tout en représentant la déesse de la moisson (Hermès Trismégiste, "Discours parfait"), ont perdues toute formes "voluptueuses" et sont étrangement androgynes et cachées sous des voilages.

Au moyen-âge, l'idéal de beauté récurrent au Moyen Âge, c'est la blancheur de la peau, un symbole de pureté.
Au moyen âge, une attention particulière est portée à l'épilation des joues, le visage de la femme devant être juvénil.
Le maquillage a cette époque est vu comme un travestissement de la création divine, donc est proscrit.

Si on regarde les peintures de la renaissance, on voit que la femme belle à un cou de girafe, des épaules larges et tombantes, une poitrine basse et des hanches étroites (cf. la Naissance de Venus de Boticelli).

A la Renaissance, on découvre les fards d’Orient, on s’en colle donc partout sur le visage (tout en maintenant le teint diaphane), jusque-là rien d’étonnant mais on en mettait aussi sur les tétons pour les avoir bien rouges vifs.

Le siècle des lumières : Taille fine (33cm), mais bras et poitrine charnue, avec veines apparentes...

Au XVIIe, à la taille fine, on rajoute des hanches larges, avec des structures en bois pour qu'elles apparaissent plus larges que les épaules.

Au XIXe, la femme cherchera a apparaître mélancolique, avec des cernes et le teint pale et les joues creusées

1920 : la mode est à la garçonne

1950 : c'est Marylin qui fait triper

1990 : retour de la maigreur sur les scènes (cf.Kate Moss)

Tout ça pour dire que non, naturellement, le mâle n'est pas attiré par ceci ou cela... Si il existe bien sûr des modes et des critères de beauté, ils sont avant tout ceux d'une société a une époque donnée.
Par exemple, je ne vois pas l'avantage biologique que pourrais avoir une femme plateau dans le jeu de la séduction en Afrique, encore moi ce que cette pratique pourrait avoir d'inné.

Quand tu dis "elle caricaturent les trans...", j'imagine que tu parles des féministes et je suis complètement d'accord, c'est aussi caricatural que de dire que tous les musulmans sont terroristes mais il est rare qu'un discours médiatique fasse dans la nuance et évite les poncifs...

J'ai lu l'article sur Peggy Sastre et je suis moyennement convaincu, j'imagine qu'il faudrait que je lise ses publications dans le détail pour me faire une idée, j'ai peur que l'auteur de l'article ne lui rende pas justice.

Sur ce, j’arrête mon roman, sur le fond, on est du même avis sur la connerie du féminisme extremiste