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on se fait chier enfermés à la maison, ça risque de durer....on a le temps de réfléchir et philosopher l'autre jour je me suis souvenu qu'il y a quelques mois je cherchais le moyen d'abandonner ma vie de péché et vice, bref de finir avec les belles . J'avais pensé que la chose à faire était de me "auto-dégoutter". Oui, en général on cherche une miss plutôt jeune, belle, féminine et salope. Moi j'ai fait le contraire j'ai regardé les petits annonces et suis tombé sur https://escortsexe.net/Travesti-avignon-ad153829.html. J'appelle et tombe sur un/e française: pipe, amour, prix économiques (40 la pipe)...je demande son age (histoire de PAS tomber sur une jeune) 37 (donc 20 de plus) parfait!
Je me pointe donc au centre d'Avignon et tombe sur un vieux travelo qui même dans la pièce TRÈS sombre avait de quoi faire fuir un honnête homme tout y était, la perruque minable, pas de formes, la cinquantaine bien entamée
Un moment je me suis dit: "tu vas pas faire ça!" mais me souvenant des films sur l'entrainement des hirondelles soviétiques j'ai décidé de continuer.
Elle/il me fait m'asseoir et commence une pipe salivé....en fermant les yeux ça pouvait passer, mais ce n'est pas ce que je cherchais....j'ai donc plongé bien bas, embrassé sa vieille bouche, sucé sa petite bite molle...
Pour vous dire, pendant une semaine j'ai eu envie de vomir du matin au soir....le traitement de choc style "Orange mécanique" avait l'air de fonctionner
Malheureusement quelques semaines plus tard je suis tombé sur l'annonce de Sarah black et replongé à nouveau.
Si vous avez des "inconfessables" c'est le moment ou jamais

Bite n'a pas de cerveau ni de raison, Max. Le meilleur moyen serait peut-être la castration, plus de désir donc plus de vice.

Perso, il m'est arrivé une mésaventure "à la raymont" il y a 2 ans, dans les rues de Toulon en hiver, j'en avait repéré une avec des belles jambes, mini jupe et tout ça, de près ça passait encore un peu, même si elle avait du bide, je ne sais même pas si elle avait des seins.
Dans la voiture, j'ai senti qu'elle voulait me la faire à l'envers, à tenter de gratter des sous pour n'importe quoi, elle voulait même m'inviter chez elle pour 200 : elle me prenait pour un pigeon. Je lui ai filé 50, elle bandait mou, c'était vilain, pas moyen de la faire bander, et elle s'est fait la malle au bout de 10 min prétextant je ne sais plus quoi pour sortir de ma tire. Pouf, disparue.
J'avais honte de moi, de m'être laissé avoir par mes pulsions pour tomber aussi bas… ça a duré 3 semaines, et puis après j'ai remis le couvert. Et là, après 3 semaines de confinement, je n'en peux plus, c'est le printemps, j'ai les hormones en ébullition, il y en a 3 à Marseille que je rêve de me faire, ça me rend dingue, malgré le covid, les maladies, et tout ça. Je n'irai pas parce que je ne suis pas seul à la casa, mais je ne pourrais jurer d'y résister si j'avais été célibataire.

ruben a écrit :Bite n'a pas de cerveau ni de raison, Max. Le meilleur moyen serait peut-être la castration, plus de désir donc plus de vice.

Je ne suis pas d'accord avec le fondement de cette affirmation. On dirait du Hannah Arendt quand elle parle des nazis. ça reste à confirmer qu'une bite n'a pas de cerveau, la preuve en est qu'on dit souvent de certains qu'ils pensent avec leur bite. Ce n'est peut-être pas la pensée la plus fine ni la plus lucide, mais ça permet parfois de réaliser des prises de décisions qu'on n'aurait jamais réalisées avec un cerveau sans bite de l'autre côté (comme par exemple aller glander au B2B).

Nous sommes peut-être comme les stégosaures. Avoir un deuxième cerveau dans a bite nous aide à mieux penser, ne serait-ce que parce que ça permet une espèce de "fail-safe". Quand on n'est épuisé d'avoir trop travaillé du cerveau, on peut encore penser avec sa bite - et inversement. Rien ne dit d'ailleurs que la bite ne soit pas tout aussi performante que le cerveau dans certains domaines. Ne dit-on pas fréquemment "ma quéquette n'est pas raciste", comme quoi le 2e cerveau a mieux intégré certains principes moraux que le premier.

Je vous laisse méditer là dessus. J'utilise aussi cette démonstration pour démontrer la supériorité de l'homme sur la femme. Si on sait faire fonctionner son cerveau et sa bite en multitâche, on a une pensée plus fiable, plus rapide et donc plus performante.

excellent on va finir par faire des thèses pendant le confinement

Samutprakan a écrit :

ruben a écrit :Bite n'a pas de cerveau ni de raison, Max. Le meilleur moyen serait peut-être la castration, plus de désir donc plus de vice.

Je ne suis pas d'accord avec le fondement de cette affirmation. On dirait du Hannah Arendt quand elle parle des nazis. ça reste à confirmer qu'une bite n'a pas de cerveau, la preuve en est qu'on dit souvent de certains qu'ils pensent avec leur bite. Ce n'est peut-être pas la pensée la plus fine ni la plus lucide, mais ça permet parfois de réaliser des prises de décisions qu'on n'aurait jamais réalisées avec un cerveau sans bite de l'autre côté (comme par exemple aller glander au B2B).

Nous sommes peut-être comme les stégosaures. Avoir un deuxième cerveau dans a bite nous aide à mieux penser, ne serait-ce que parce que ça permet une espèce de "fail-safe". Quand on n'est épuisé d'avoir trop travaillé du cerveau, on peut encore penser avec sa bite - et inversement. Rien ne dit d'ailleurs que la bite ne soit pas tout aussi performante que le cerveau dans certains domaines. Ne dit-on pas fréquemment "ma quéquette n'est pas raciste", comme quoi le 2e cerveau a mieux intégré certains principes moraux que le premier.

Je vous laisse méditer là dessus. J'utilise aussi cette démonstration pour démontrer la supériorité de l'homme sur la femme. Si on sait faire fonctionner son cerveau et sa bite en multitâche, on a une pensée plus fiable, plus rapide et donc plus performante.

Je parlerai plutôt du ventre que de la bite, comme 2e cerveau.
Et tu as raison, c'est bien notre cerveau "reptilien" qui peut servir en cas d'urgence.

Quand à ta conclusion,

J'ai vécu un truc assez WTF, que je n'ai raconté qu'à une personne dans ma vie.

Avant de rencontrer ma copine actuelle avec qui je suis depuis environ 4 ans, je m'étais inscrit sur Interpals comme ça à cause de l'ennui et parce que je fouille pas mal sur le web depuis toujours.

A l'époque encore étudiant, je n'avais pas eu d'expériences avec nos chères trans. Bref sur Interpals je tombe sur une ladyboy thai, une personne très simple qui bosse en tant que traductrice dans une grosse boite de tech coréenne. Pour faire court je me suis vite attaché à cette personne et elle aussi, énormément même.
On s'appelait en vidéo sur Line presque tous les jours. Elle ne le faisait pas pour l'argent, pendant l'année de cette "relation" on n'a jamais évoqué le sujet tout simplement.
C'est une ladyboy qui se sentait fille depuis toute petite, voix vraiment féminine, une personne plutôt fragile et extrêmement douce.
J'avais commencé à regarder pour qu'elle puisse venir en France au moins pour se voir. L'attachement était de plus en plus fort et donc j'étais un peu mal à l'aise en pensant à la suite de cette relation (la présenter à mes parents ça aurait été un drame je pense).
Cette histoire m'a donné envie d'en savoir plus sur les trans en général, ce qui donnera plus tard une inscription sur Badoo et ma première rencontre avec une trans d'ailleurs.

Un jour j'ai rencontré ma copine actuelle et comme un b*atard j'ai décidé de dire à la ladyboy que j'avais trouvé une fille dans ma ville et donc voilà je voulais être avec elle de manière normale.

Je ne sais pas si je l'ai carrément aimée, en tout cas ça a été quelque chose !
J'ai gardé une cinquantaine de copies d'écrans de nos appels vidéos et de photos car des fois tout simplement ça me manque.

3 pater noster et tu seras pardonné