Belle Fabianne
Publié : 20 août 2020, 11:34
https://www.ladyxena.com/fr/trans/fabiannetrav
https://www.sexemodel.com/escort/Belle% ... 20-482066/
Bonjour à tous,
Ici, un sujet accompagné d'un texte sur "Belle Fabianne" rencontrée dans le courant du mois de Juillet dans la périphérie de Strasbourg. Bonne lecture !
Il fait chaud. Très chaud. Trop chaud. Le doux souffle du vent prodigué par un ventilateur acheté en supermarché caresse les cheveux d'un vingtenaire en mal d'affection. En mal d'affection parce que seul. Seul. Désespérément seul.
C'était un jeudi. L'après-midi, vous l'aurez compris était chaude. Très. Trop. Belle Fabianne, puisque c'est comme ça qu'il faut l'appeler, me faisait de l'oeil. Je ne sais trop pourquoi. Elle n'est pas la plus belle. Elle n'est pas la plus désirable. Le sexe a ses raisons que la raison ignore. M'enfin, j'ai pris mon courage à demain (pour le jeu de maux) et lui ai envoyé un premier SMS. Elle me répond dans la foulée en m'indiquant ses prestations : plus passive qu'active, plutôt GFE et "tarif league" de l'ordre de 150€/h. Je m'assieds et commence à réfléchir. Ça ne va pas assez vite. Elle me renvoie un message avec quelques-unes de ses photos. Puis un autre me demandant si c'est bon. J'aurais du me poser plus de questions. Je ne l'ai pas fait. C'est un choix comme un autre. Un choix regrettable pour le coup.
Je me suis quelque peu lavé, changé, préparé. Aussi propre que trois francs six sous. J'ai enfourgué ma voiture en me précipitant vers l'un des premiers distributeurs vu. Direction l'autoroute après un relatif détour. Ah, les travaux ! Léger embouteillage à mi-chemin sans réelles conséquences.
Comme indiqué un peu plus tôt, Fabianne reçoit en périphérie de Strasbourg (Bischheim). Un supermarché fera office de parking. 5 minutes de marche jusqu'à l'adresse indiquée et autant d'attente. Jusqu'ici, tout va bien. Jusqu'ici.
La résidence est somme toute coquette. Elle m'appelle mais ne comprends pas tout ce qu'elle dit. Une porte de son étage est entrouverte. C'est elle.
Alors, qu'écrire. C'est un ressenti, mais l'impression n'est pas la plus appréciable. Elle ne ressemble pas trop aux photos. Elle fait plus "homme". Mais c'est un ressenti, hein. Je lui donne son enveloppe et file à la bouche, à la douche pardon. Le pommeau est quelque peu cassé et mon caleçon "Tour de France", puisque c'est la saison est trempé. La quille !
J'enfile et une serviette ( souvenirs de FKK, ah les FKK !) et me mets debout, face à elle. Je suis pudique. Elle ne l'est pas. Elle m'enlève la serviette et commence à faire son affaire. Je ne suis pas très fellation. Je n'aime pas ça. Je ne saurai l'expliquer. Je crois qu'elle s'en sort bien. Elle m'embrasse. Je suis mal à l'aise. Elle me prodigue une feuille de rose malgré ma remontrance. Elle y va. Sans arme. Ni haine. Ni violence. Je ne suis pas à l'aise. Castle me regarde. Jamais, j'aurais cru me faire sucer devant Nathan Fillion et la joliesse crue de Stana Katic. Je ne suis pas à l'aise. Encore plus. Les souvenirs de mon adolescence reviennent à grands renforts de je ne sais quoi.
Dans l'excitation de l'acte, je l'embrasse et m'attarde sur sa poitrine qui n'existe pas. Fabianne est un travesti. Je suis mal à l'aise. J'aurais pu, j'aurais du le prévoir. L'erreur du débutant dirons-nous. Je termine en me masturbant frénétiquement pendant qu'elle m'embrasse.
Je reprends une douche comme pour faire le vide. Mon caleçon est toujours trempé. Je me consolerai avec l'évocation lointaine d'ne victoire d'Alberto Contador sur un contre-la-montre de 2009 reliant le lac d'Annecy au lac d'Annecy. Ça doit faire une quarantaine de minutes que je suis dans cet appartement petit sans être exigu non plus. Je m'asseois à côté d'elle et essaye de lui faire la conversation tout en regardant Castle. Je ne baragouine pas l'espagnol. Las, j'essaye quand même de lui parler de Rosalia. Cette chanteuse de flamenco aux courbes plantureuses parce que belle. Désespérément belle. J'apprends qu'elle vient d'Argentine, la patrie de Lionel Messi et des époux Kirchner. Plusieurs fois, elle me demandera de m'en aller. Je lui répondrai que j'ai payé pour 1h, je resterai 1h. Elle me propose un verre d'eau. Je l'accepte. Ça sera ma récompense.
Je m'enfuis au bout d'une heure non sans avoir esquivé l'un de ses derniers baisers. Il fait tellement chaud. L'habitacle de mon auto est en feu. Je choisis de me perdre dans les rues de la Neustadt et du port de Rhin. La place de Bordeaux, le romantisme de l'Avenue des Vosges. Que Strasbourg est belle. Que Strasbourg est belle.
Je termine mon périple en me perdant quelque peu dans les artères les plus reculées de la zone portuaire. Quelques prostituées de l'est me font de l'oeil. Elles ont le regard triste et les dessous trop évocateurs pour être véritablement séduisants. Elles me font un peu de peine. Elles sont belles. Dans le regard, dans le coeur, dans le miroir, peu importe. Elle sont belles. Quand même.
Il me reste une heure de route pour rentrer chez moi. La musique classique d'une radio associative bercera mon trajet sur une départementale entrecoupée de zones de travaux. C'est un luxe comme un autre. S'il ne devait y en avoir qu'un.
Points à retenir :
Appartement somme toute discret et plutôt facile d'accès
150€/h
Attitude plutôt GFE
Plus travesti que femme
Ne parle pas trop le français mais les outils de traduction font le travail
En tournée assez régulièrement dans l'hexagone
https://www.sexemodel.com/escort/Belle% ... 20-482066/
Bonjour à tous,
Ici, un sujet accompagné d'un texte sur "Belle Fabianne" rencontrée dans le courant du mois de Juillet dans la périphérie de Strasbourg. Bonne lecture !
Il fait chaud. Très chaud. Trop chaud. Le doux souffle du vent prodigué par un ventilateur acheté en supermarché caresse les cheveux d'un vingtenaire en mal d'affection. En mal d'affection parce que seul. Seul. Désespérément seul.
C'était un jeudi. L'après-midi, vous l'aurez compris était chaude. Très. Trop. Belle Fabianne, puisque c'est comme ça qu'il faut l'appeler, me faisait de l'oeil. Je ne sais trop pourquoi. Elle n'est pas la plus belle. Elle n'est pas la plus désirable. Le sexe a ses raisons que la raison ignore. M'enfin, j'ai pris mon courage à demain (pour le jeu de maux) et lui ai envoyé un premier SMS. Elle me répond dans la foulée en m'indiquant ses prestations : plus passive qu'active, plutôt GFE et "tarif league" de l'ordre de 150€/h. Je m'assieds et commence à réfléchir. Ça ne va pas assez vite. Elle me renvoie un message avec quelques-unes de ses photos. Puis un autre me demandant si c'est bon. J'aurais du me poser plus de questions. Je ne l'ai pas fait. C'est un choix comme un autre. Un choix regrettable pour le coup.
Je me suis quelque peu lavé, changé, préparé. Aussi propre que trois francs six sous. J'ai enfourgué ma voiture en me précipitant vers l'un des premiers distributeurs vu. Direction l'autoroute après un relatif détour. Ah, les travaux ! Léger embouteillage à mi-chemin sans réelles conséquences.
Comme indiqué un peu plus tôt, Fabianne reçoit en périphérie de Strasbourg (Bischheim). Un supermarché fera office de parking. 5 minutes de marche jusqu'à l'adresse indiquée et autant d'attente. Jusqu'ici, tout va bien. Jusqu'ici.
La résidence est somme toute coquette. Elle m'appelle mais ne comprends pas tout ce qu'elle dit. Une porte de son étage est entrouverte. C'est elle.
Alors, qu'écrire. C'est un ressenti, mais l'impression n'est pas la plus appréciable. Elle ne ressemble pas trop aux photos. Elle fait plus "homme". Mais c'est un ressenti, hein. Je lui donne son enveloppe et file à la bouche, à la douche pardon. Le pommeau est quelque peu cassé et mon caleçon "Tour de France", puisque c'est la saison est trempé. La quille !
J'enfile et une serviette ( souvenirs de FKK, ah les FKK !) et me mets debout, face à elle. Je suis pudique. Elle ne l'est pas. Elle m'enlève la serviette et commence à faire son affaire. Je ne suis pas très fellation. Je n'aime pas ça. Je ne saurai l'expliquer. Je crois qu'elle s'en sort bien. Elle m'embrasse. Je suis mal à l'aise. Elle me prodigue une feuille de rose malgré ma remontrance. Elle y va. Sans arme. Ni haine. Ni violence. Je ne suis pas à l'aise. Castle me regarde. Jamais, j'aurais cru me faire sucer devant Nathan Fillion et la joliesse crue de Stana Katic. Je ne suis pas à l'aise. Encore plus. Les souvenirs de mon adolescence reviennent à grands renforts de je ne sais quoi.
Dans l'excitation de l'acte, je l'embrasse et m'attarde sur sa poitrine qui n'existe pas. Fabianne est un travesti. Je suis mal à l'aise. J'aurais pu, j'aurais du le prévoir. L'erreur du débutant dirons-nous. Je termine en me masturbant frénétiquement pendant qu'elle m'embrasse.
Je reprends une douche comme pour faire le vide. Mon caleçon est toujours trempé. Je me consolerai avec l'évocation lointaine d'ne victoire d'Alberto Contador sur un contre-la-montre de 2009 reliant le lac d'Annecy au lac d'Annecy. Ça doit faire une quarantaine de minutes que je suis dans cet appartement petit sans être exigu non plus. Je m'asseois à côté d'elle et essaye de lui faire la conversation tout en regardant Castle. Je ne baragouine pas l'espagnol. Las, j'essaye quand même de lui parler de Rosalia. Cette chanteuse de flamenco aux courbes plantureuses parce que belle. Désespérément belle. J'apprends qu'elle vient d'Argentine, la patrie de Lionel Messi et des époux Kirchner. Plusieurs fois, elle me demandera de m'en aller. Je lui répondrai que j'ai payé pour 1h, je resterai 1h. Elle me propose un verre d'eau. Je l'accepte. Ça sera ma récompense.
Je m'enfuis au bout d'une heure non sans avoir esquivé l'un de ses derniers baisers. Il fait tellement chaud. L'habitacle de mon auto est en feu. Je choisis de me perdre dans les rues de la Neustadt et du port de Rhin. La place de Bordeaux, le romantisme de l'Avenue des Vosges. Que Strasbourg est belle. Que Strasbourg est belle.
Je termine mon périple en me perdant quelque peu dans les artères les plus reculées de la zone portuaire. Quelques prostituées de l'est me font de l'oeil. Elles ont le regard triste et les dessous trop évocateurs pour être véritablement séduisants. Elles me font un peu de peine. Elles sont belles. Dans le regard, dans le coeur, dans le miroir, peu importe. Elle sont belles. Quand même.
Il me reste une heure de route pour rentrer chez moi. La musique classique d'une radio associative bercera mon trajet sur une départementale entrecoupée de zones de travaux. C'est un luxe comme un autre. S'il ne devait y en avoir qu'un.
Points à retenir :
Appartement somme toute discret et plutôt facile d'accès
150€/h
Attitude plutôt GFE
Plus travesti que femme
Ne parle pas trop le français mais les outils de traduction font le travail
En tournée assez régulièrement dans l'hexagone