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du plaisir à la douleur
Publié : 12 sept. 2020, 08:03
par valsaint
on a coutume de dire il n'y a pas de plaisir sans douleur!
c'est aussi le cas dans les rapports passifs que nous entretenons avec nos belles
mais je voudrais connaitre vos avis justement sur la limite, ou l'on prend du plaisir a ce faire défoncer par une bite de grosse taille en jouissant un max
et les autres fois ou la bite est a peu prés d'un format identique mais appartenant à une pilonneuse qui prend son plaisir avant tout en perforant les culs avec violence??
jusqu'a pousser nos resistances audela du plaisir dans une douleur plus que limite
certaines sont biens connues pour cette pratique qui tient quand même un peu du sado
personnellement la plus grosse que j'ai pris appartenait à Sasha ex Kiara qui annonce sur nice et avant était à marseille
c'était trés gros mais la belle savait se limiter dans la pénétration c'était donc acceptable et encore dans le domaine du plaisir
quels sont vos avis sur ces pratiques d'enculage extrèmes
n'hésitez pas à citer des noms comme exemple et du vécu
Re: du plaisir à la douleur
Publié : 12 sept. 2020, 11:04
par ruben
Oui il y en à qui cherchent délibérément un angle pour faire mal, ce n'est pas tant un question de grosseur de calibre, plutôt de longueur et d'angle.
J'ai le souvenir de Nina Grenoble, elle ne cherchait que ça. Pour ma part : aucun plaisir.
J'ai aussi le souvenir, différent, de Paola Ferreira qui me godait et en a profité pour m'enfiler sa bite en plus, du coup ça a donné une double pénétration, c'était assez douloureux mais c'était génial. Si le temps n'avait pas été compté, j'aurais pu remettre ça lors de cette séance, question largeur l'anus peut s’habituer plus facilement, mais il faut être patient donc ça prend du temps.
Publié : 30 nov. 2020, 16:17
par cilibez
Publié : 30 nov. 2020, 16:38
par raymont
Pas de plaisir sans douleur.....
pour ma part, si la douleur est passagère, elle est acceptable, dans le cas contraire, non .
J'aime les gros calibres, et avec certaines la relation n'est jamais la même, Alexandra hard, une bourrineuse de première, parfois ça rentrait tout seul, c'était superbe, d'autres fois....une catastrophe !
Lady Alice, la première fois ce fut superbe, et ce malgré la grosseur de son membre, les deux autres fois, peut être était-ce du à ma préparation, c'était compliqué .
J'aime le coté sm, la soumission, mais pas la douleur
Publié : 30 nov. 2020, 18:32
par Samutprakan
3. Les adeptes du BDSM sont forcément des pervers déséquilibrés.
Les jeux de rôles comme ceux de régression d’âge cacheraient des besoins dangereux. Quand on est capable de faire des trucs aussi louches, même dans un cadre précis, qui sait jusqu’où ça peut déborder ? Une pulsion peut surgir à tout moment… N’en déplaise à certains, il est possible de cloisonner sa vie, de cacher soigneusement ses penchants où il n’existerait pas autant de travailleurs du sexe et de relations adultérines. En général, les aficionados du BDSM affichent même des positions sociales élevées et enviables magistrats, médecins, chefs d’entreprise… Rien de plus banal quand on jongle avec les responsabilités toute la journée : à un moment, il y a besoin d’évacuer la pression et de lâcher-prise. De la même manière qu’une femme qui va aimer être soumise au lit, sera la plupart du temps loin de l’être dans la vie.
Que quelqu'un dise qu'il n'a pas de plaisir sansdouleur (surtout comme passif) pourquoi pas ? C'est une position qui ne tient qu'à lui. En revanche, j'ai l'impression que cet article tient un petit peu de la désinformation plutôt que de l'enquête journalistique. Peut-être l'auteur est-t-il un adepte du BDSM.
Par contre le fait que adeptes du BDSM afficheraient des positions sociales élevées, de leader dans l'ordre de la société n'est pas fait pour me rassurer. Ce pourrait être un facteur d'explication à la violence qui monte dans la société, en plus de la frustration des gens; ça pourrait aussi expliquer d'autres désordres comme les attaques contre les libertés publiques ou individuelles. Il faut bien qu'il y ait des soumis et tout en prétendant défendre une loi républicaine rappeler aux autres classes sociales pour ne pas dire castes qui sont les soumis (qui doivent rester à leur place) et les dominants (qui ne souffrent aucune restriction à leurs pouvoirs).
Publié : 30 nov. 2020, 21:21
par cilibez
Calmez vous les gars, article de fond est peut-être un tantinet galvaudé, l'article parle de 5 idées reçues auxquelles le journaliste tente de répondre, ce n'est ni inscrit dans le marbre et encore moins dans la bible...
Publié : 01 déc. 2020, 11:02
par ruben
Samutprakan a écrit :
3. Les adeptes du BDSM sont forcément des pervers déséquilibrés.
Les jeux de rôles comme ceux de régression d’âge cacheraient des besoins dangereux. Quand on est capable de faire des trucs aussi louches, même dans un cadre précis, qui sait jusqu’où ça peut déborder ? Une pulsion peut surgir à tout moment… N’en déplaise à certains, il est possible de cloisonner sa vie, de cacher soigneusement ses penchants où il n’existerait pas autant de travailleurs du sexe et de relations adultérines. En général, les aficionados du BDSM affichent même des positions sociales élevées et enviables magistrats, médecins, chefs d’entreprise… Rien de plus banal quand on jongle avec les responsabilités toute la journée : à un moment, il y a besoin d’évacuer la pression et de lâcher-prise. De la même manière qu’une femme qui va aimer être soumise au lit, sera la plupart du temps loin de l’être dans la vie.
Que quelqu'un dise qu'il n'a pas de plaisir sansdouleur (surtout comme passif) pourquoi pas ? C'est une position qui ne tient qu'à lui. En revanche, j'ai l'impression que cet article tient un petit peu de la désinformation plutôt que de l'enquête journalistique. Peut-être l'auteur est-t-il un adepte du BDSM.
Par contre le fait que adeptes du BDSM afficheraient des positions sociales élevées, de leader dans l'ordre de la société n'est pas fait pour me rassurer. Ce pourrait être un facteur d'explication à la violence qui monte dans la société, en plus de la frustration des gens; ça pourrait aussi expliquer d'autres désordres comme les attaques contre les libertés publiques ou individuelles. Il faut bien qu'il y ait des soumis et tout en prétendant défendre une loi républicaine rappeler aux autres classes sociales pour ne pas dire castes qui sont les soumis (qui doivent rester à leur place) et les dominants (qui ne souffrent aucune restriction à leurs pouvoirs).
J'ai lu l'article en entier, et vu comment il en parle, je crois comprendre que l'auteur est un adepte de la pratique, donc un fin connoisseur.
En revanche, en ce qui concerne la violence dans la société, bien que ç'ait évidemment un rapport avec les élites, ça relève plus de la "trahison des élites" envers le peuple plutôt que de "déviances sexuelles" qui déborderaient dans la vraie vie.