Nostalgies du Bois
Publié : 11 nov. 2020, 00:57
J'ouvre cette discussion pour poster des EV anciennes, des histoires qui vous ont marqué ou des vieux trucs dignes d'intérêt sur le Bois. Il s'agit autant de ne pas encombrer la discussion principale alors qu'on n'a pas grand chose à raconter dans cette dernière que de poster des expériences vécues qu'on n'aurait pas racontées autrement.
Je vais commencer par une anecdote à la fois dans le sujet et hors sujet. ça se passait dans les années 1990. Au gré des alternances politiques, il y avait des politiques plus ou répressives contre les tapins et ça se voyait dans les différents lieux de michetonnage de la capitale. Ce jour là, au Bois, j'ai surpris une discussion entre 2 clients, route de Suresnes. La route de Suresnes est située en haut et à droite du plan en dessous du segment noté JA6, en dessous de l'Allée des poteaux. Il avait du y avoir une baisse d'activité car c'était un endroit que je ne fréquentais pas vraiment même si à l'époque, on pouvait y trouver quelques jolis spécimens.
J'avais dû me rabattre vers cet endroit car je n'avais pas trouvé de trans où j'avais l'habitude d'en voir, je ne me souviens plus où. A l'époque, il n'y avait pas ces barrières qui interdisent l'accès à certains endroit du Bois la nuit. Il se pouvait que les trans chassées d'un coin décidassent d'aller tapiner dans un autre coin, donc il n'était pas vraiment démontré qu'il y avait ce jour là une baisse d'activité. Or la discussion se tenait entre 2 types dont l'un avait la cinquantaine, l'autre la soixantaine des vieux croutons un peu comme la plupart d'entre nous maintenant. Le sujet qui revenait sans cesse dans leur bouche était "c'est la fin du Bois de Boulogne".
Après ça, il y a eu une remontée de l'activité, d'autres alternaces politiques puis 2 tempêtes à la fin du siècle dernier. Ensuite, ça a été le sarkozisme qui prétendait faire de la sécurité en envoyant les forces de l'ordre harceler les prostituées en tout genre (ça a duré près de 10 ans ces conneries) puis le féminisme moralisateur qui s'en prend aux clients.
Le Bois de Boulogne est toujours là. Il y a toujours des trans, très belles, très moches, avec des cul énormes , une féminité exacerbée ou des bites à faire frémir d'envie les passifs les plus fous. Bon, le confinement a mis un coup d'arrêt provisoire, mais dès que ça va dé-confiner, il y a ura bien des jobards pour retourner au Bois.
En attendant, racontez ici vos vieilles histoires (ou vos commentaires).
Je vais commencer par une anecdote à la fois dans le sujet et hors sujet. ça se passait dans les années 1990. Au gré des alternances politiques, il y avait des politiques plus ou répressives contre les tapins et ça se voyait dans les différents lieux de michetonnage de la capitale. Ce jour là, au Bois, j'ai surpris une discussion entre 2 clients, route de Suresnes. La route de Suresnes est située en haut et à droite du plan en dessous du segment noté JA6, en dessous de l'Allée des poteaux. Il avait du y avoir une baisse d'activité car c'était un endroit que je ne fréquentais pas vraiment même si à l'époque, on pouvait y trouver quelques jolis spécimens.
J'avais dû me rabattre vers cet endroit car je n'avais pas trouvé de trans où j'avais l'habitude d'en voir, je ne me souviens plus où. A l'époque, il n'y avait pas ces barrières qui interdisent l'accès à certains endroit du Bois la nuit. Il se pouvait que les trans chassées d'un coin décidassent d'aller tapiner dans un autre coin, donc il n'était pas vraiment démontré qu'il y avait ce jour là une baisse d'activité. Or la discussion se tenait entre 2 types dont l'un avait la cinquantaine, l'autre la soixantaine des vieux croutons un peu comme la plupart d'entre nous maintenant. Le sujet qui revenait sans cesse dans leur bouche était "c'est la fin du Bois de Boulogne".
Après ça, il y a eu une remontée de l'activité, d'autres alternaces politiques puis 2 tempêtes à la fin du siècle dernier. Ensuite, ça a été le sarkozisme qui prétendait faire de la sécurité en envoyant les forces de l'ordre harceler les prostituées en tout genre (ça a duré près de 10 ans ces conneries) puis le féminisme moralisateur qui s'en prend aux clients.
Le Bois de Boulogne est toujours là. Il y a toujours des trans, très belles, très moches, avec des cul énormes , une féminité exacerbée ou des bites à faire frémir d'envie les passifs les plus fous. Bon, le confinement a mis un coup d'arrêt provisoire, mais dès que ça va dé-confiner, il y a ura bien des jobards pour retourner au Bois.
En attendant, racontez ici vos vieilles histoires (ou vos commentaires).