De retour aux affaires après 10 mois de disette, ma dernière expérience avec
Valentina Vertucci s’étant avérée proche du désastre… entre les couvres-feux, le manque de moyens, une certaine lassitude de ce genre de rencontres, ma copine chérie de Valencia décédée en mars, j’ai hésité plusieurs fois à aller visiter une belle sans toutefois donner suite. Devant aller à Marseille pour des raisons pro, je me suis dit que je pourrai faire un crochet par Aix pour rendre visite à la délicieuse Alexia qui me fait bander depuis des mois. Ce matin, en me préparant, j’étais encore assailli par le doute quand à la pertinence de ma démarche. J’ai maté quelques une de ses photos, elle est tellement belle et désirable que je me suis décidé.
Elle répond au téléphone, parle français plutôt bien, avec un accent assez faible pour une fois. Pas de menu détaillé par SMS façon restos asiatiques, elle répond tranquillement aux questions avec sa voix douce. Tarifs League. Je la booke pour une heure, elle m’envoie l’adresse, centre ville d’Aix. Pas de jeu de piste sinon qu’elle donne le numéro d’en face pour mieux voir son prochain client avant de lui signifier le bon numéro.
J’entre, elle est là, pas planquée derrière la porte, toute belle, dans une tenue légère, un petit air limite japonaise, hyper ressemblante à ses photos, même taille que moi - c’est la première fois que ça m’arrive, j’ai adoré. Un peu réservée, mais je sens que je ne vais pas me faire arnaquer. Gentille comme tout, je prend une douche, elle se comporte comme une hôtesse de charme avec déférence. Sorti de la douche, on se rapproche, elle me donne quelques légers baisers tout en me tripotant le sexe. Avec une telle entrée en matière, je suis aux anges, je l’embrasse, elle découvre un sein pour que je m’en occupe, elle semble aimer cela. Nous nous apprivoisons tels deux nouveaux amants. Je la caresse, je la lèche, je l’embrasse, elle me masturbe, je me met à genoux, sors son joujou pas encore bien dur de son maillot brésilien, et je l’enfourne pleine bouche pour lui donner de la vigueur. Sa queue est de taille respectable, ça ressemble aux photos, il n’y a aucune triche photoshop ! Elle est facile à sucer, rempli bien la bouche sans étouffer. Bcp de préliminaires dans ce genre là, puis je la bascule sur le lit pour avoir plus de latitude. Un peu de frottages de bites entrecoupés de baisers sensuels, en comparant avec la mienne, c’est quasiment la même taille le même diamètre sauf qu’elle a un gros gland. On dira 17-18 x 4-5 cm. Je lui lève les jambes et lui suce les couilles pendant qu’elle se masturbe, elle adore ça, puis je lui lèche la rondelle, elle adore ça aussi.
Je lui demande quel rôle elle préfère endosser. J’ai pour habitude à être passif sauf que depuis 2-3 ans, j’ai beaucoup de réticences avec ça, par acquis de conscience je me suis bien préparé avant de venir mais je n’étais pas sûr de le vouloir. Elle m’a susurré à l’oreille qu’elle aimerai me prendre en levrette, je m’exécute, en position au bord du lit ; je la préviens : ça fait très longtemps que je n’ai pas été passif, donc doucement. Elle fait rentrer son jouet tranquillement dans mon cul sans hésiter, doucement, sûrement et sans douleur. Elle imprime un bon rythme en donnant quelques bons coups pour aller bien profond, comme sa bite n’est pas gigantesque ça ne tape au fond, c’est délicieux. Je déteste la levrette, bouffer du drap ou de la couverture en ne voyant rien, ce n’est pas mon truc, donc je me retourne et l’invite à me prendre en missionnaire, mes jambes sur ses épaules. Et là c’est encore meilleur, elle peut aller encore plus profond, à la limite du plaisir et de la douleur. Je sens le plaisir m’envahir, ça faisait très longtemps que je n’avais pas été aussi bien baisé en tant que passif. À sa demande j’essaye de me branler mais j’ai du mal à bander lorsque je me fait prendre, je le lui confie, elle me dit en riant que pour elle aussi c’est comme ça. J’adore sa façon de me regarder pendant qu’elle me baise, qu’elle est belle cette petite. Au bout d’un long moment de ce traitement, je lui demande d’arrêter pour faire une pause, boire un coup, se tripoter à nouveau, elle me demande de la prendre mais je ne bande plus bcp (l’âge, putain, l’âge), elle se met à genoux devant moi et prend mon sexe dans sa bouche et me prodigue une belle fellation comme ça faisait très longtemps qu’on ne m’en avait pas faite, douce, profonde, sensuelle, sans impatience, sans chercher à me faire jouir ou me brusquer. Mon érection étant à nouveau triomphante, je la met sur le dos, lui lève les jambes, la pénètre enfin, et je commence à la ramoner avec application, elle s’abandonnait au plaisir comme une amante en pleine extase, c’était beau, j’avais envie de la prendre en photo et puis non, il vaut mieux vivre le moment que de l’arrêter pour faire une photo qui s’avèrera certainement mauvaise. Dans ces moment là elle a parfois des airs de
Brian Molko, c’est son côté androgyne qui veut ça, et c’est ça qui me plaît. Je la lime sans coup férir, il fait une chaleur à crever, putain les rencontres en Provence l’été, c’est toujours comme ça, elles n’ont jamais la clim, et je transpire énormément lorsque la température dépasse les 28°. Je sens le plaisir monter, mais je suis un peine à jouir, certaines femmes m’ont beaucoup aimé pour ça. Je la voyais gémir comme une chatte en chaleur, elle se masturbait, je me disais que peut-être j’allais arriver à la faire jouir en l’enculant pour pouvoir jouir à mon tour, ça me donnais encore plus envie de la limer, mais cette putain de chaleur, je suffoquais, elle ne bandait pas assez, j’ai craqué, je n’en pouvais plus. Tant pis pour l’orgasme.
45 minutes ont passé, ça aurait pu durer plus longtemps, mais mon endurance à ses limites. À la douche. Sortant de la douche, je la trouve alanguie sur le lit au téléphone avec son éventuel prochain client, toujours aussi zen et détendue, j’en profite pour lui lécher ses pieds tellement féminins. Elle me gratifie d’un grand sourire pendant qu’elle termine sa conversation. Elle me fait comprendre qu’elle aime qu’on s’occupe de ses pieds qu’elle sait si féminins. Nous discutons un peu, en plus de ses étapes à Aix elle habite à Marseille chez son boyfriend - d’un coup je suis jaloux - je lui dit qu’il a vraiment beaucoup de chance. Nous nous quittons comme deux amants repus et désireux de nous revoir. Elle se comporte comme une vraie petite amie qui te dit un « à bientôt » plein de promesses.
Bonheur, joie ! Elle est ma nouvelle trans favorite et j’espère pour très longtemps !
Seuls bémols : - elle est timide à l’embrassade, jamais la langue, peut-être la prochaine fois
- ses nouveaux seins sont bien trop volumineux pour son petit gabarit - ça se voit sur les photos - dommage. Elle suit son traitement hormonal, elle m’a montré le fameux patch
, peut-être que ça va améliorer sa poitrine trop dure qui manque de tétons et de mamelons.
Pour les amateurs de trans bimbo un peu voluptueuses façon Camilla ou les copines de Pepito et du Maréchal Tito, elle n’est pas de ce genre. Elle fait vraiment androgyne, malgré ses seins, et je dirais même dommage qu’ils soient si gros.
Un beau 18/20, mais c’est toujours pareil : question de feeling.
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