Bon, ben la miss partait de Toulouse demain matin à l'aube. Je me suis échiné à trouver 30 mn de créneau aujourd'hui.
Grave excité, et la trouille au ventre de crainte de tomber sur une Alexandra Hard trop outillée pour votre serviteur, je me suis rendu au lieu et à l'heure dits.
Ouvre alors une créature en sous-vêtement sexy, juchée sur des escarpins.
Le temps que mes yeux se décille, j'aperçois ce que l'on peut appeler une "godess", l'exemple parfait de ce que je recherche chez un trans : féminité de dingue et démonte pneu. Elle a peut être quelques années, mais c'est une bombe ! Ca s'annonce magnifique cette histoire !
Je lui file son dû.
Les politesses d'usage passées, je tombe sur une nana hyper autoritaire et directive, qui exige que je la suçote, la caresse et que je sois tendre avant de m'emmener fermement sur le canapé.
La suite est une soumission comme je le désirai : gifles, mots crus, bifles, insultes. Elle m'enfourne la bouche sans capote (première pour moi), j'ai juste le temps de la sortir de ma bouche, que ça repart, ça s'arrête, ça gifle. Je lui assoupli la rondelle pendant qu'elle s'assoie sur moi. Puis, elle me demande de me masturber et de me cambrer à quatre pattes. J'ai juste le temps de lui rappeler que je suis pas très expérimenté, qu'elle enfile son capuchon et cherche à m'enfiler.
Heureusement avec douceur au départ et, comme je m'ouvre bien, et j'en suis le premier surpris, elle y va franco, cherchant le coup au fond, me tirant par les cheveux, me bâillonnant avec ses mains, me forçant à sucer ses doigts. Le trip pute offert joue à fond. Je me retrouve la tête collé au sommier du lit et Mrs Angélique, tankée comme une porno star d'époque (comprendre : fantasme inaccessible #anita blonde), qui me besogne en se retenant de balancer la purée.
Mais seulement, voilà, j'ai pris 30 mn et pas un kopeck de plus.
C'est là un reproche qu'on peut lui faire : prête à me donner sur la gueule, elle ne le fera point, sortira avant du fondement et mettra un terme à notre entrevue. Mais pas expéditive, le social time suivra.
Souriante, elle indique être en France pour la première fois. Originaire du Pays Basque, comme moi, on a discuté un brin. Elle m'a dit vouloir revenir en septembre.
Autant dire que j'en serai !