L'avantage des sites de transexuelles
Publié : 07 sept. 2009, 23:50
Il y a quelues année, j'ai fini par avoir peur d'aller à Clichy ou au bois de Boulogne. Les transsexuelles devenaient vraiment trop agressives. A Clichy, le racolage actif avait tendance à devenir un peu trop agressif et au bois, il suffisait de croiser le regard de certaines sudam un peu trop athlétique et elles te demandait de raquer et devenaient menaçantes. Un vrai argument pour les politiques de Sarko.
Puis est venu le net avec ses différents bois de Boulogne virtuels. Il y a d'ailleurs un site qui s'appelle bois de Boulogne. On y pratique la même arnaque que sur les trottoirs, on allèche un peu le client en lui faisant espérer que chaque photo est meilleure que la précédente, puis quand il devient chaud, c'est allopeze ou mieux, il faut donner son numéro de carte de crédit. Pour les bagarres au bois de Boulogne, latransfiguration virtuelle consiste pour quelques specimen à se pointer sur un site et y distiller son mépris de la clientèle plus quelques autres tours pendables et à se retrancher derrière le droit d'expression des transsexuelles pas si nombreuses pour y étaler sa culture brasilo-hispano-putassière.
Pourtant, le provincial que j'étais devenu entretempsa fini par trouver son compte lorsqu'ils'est rendu compte que la pire des tereurs dans un lieu comme le bois de Boulogne était devenu, répression policière oblige un lieu calme et discipliné comme une maison de passe catalane. Fini, le racolageagressif, ou pire ces péteuses de plomb qui s'exhibaient au milieu de l'Allée de la Reine Marguerite et collaient des talloches au véhicules de ceux qui passaient un peu près d'elles.
Pendant que le net est devenu la nouvelle jungle à travelo et autres escorts transsexuelles où le client y est pris d'un peu haut et invité à roucouler pour démontrer qu'il a le pédigré attendu, la courtoisie règne au bois. Gros avantage : lorsqu'on a une escort devant soi, inutile de se demander si les pics sont vieilles de 4 ans ou si la belle n'est pas partie exercer ses charmes à Hannovre ou à Lausanne : elle est là devant moi et puis c'est tout. Pas de fioriture : elle promet les yeux dans les yeux, certaines roulent des pelles ou se livre à un petit pelotage pour prouver que leur sens du contact est le bon.
Je ne parlerai pas du prix (trop vulgaire également de dire qu'on paye 5 fois moins cher que les escorts du net les meilleures marché), alors qu'une séance de galipettes derrière les buissons dure souvent aussi longtemps qu'un rendez-vous à domicile, mais il faut bien reconnaître que le respect du client y est assez marqué. Il suffit d'éviter les trappes assez grossières de la police. Seule règle apparue ces dernières années : plus de passe dans la voiture, sauf cas exceptionnel qui a un bon coin, mais on est tranquille à l'abri de la végétation.
J'ai même fait récemment affaire avec une blonde que je ne trouvais pas assez à mon goût. Elle a dit oui à tous mes caprices et lorsque pour finir, j'ai décidé de la secouer un peu trop violemment vu qu'elle était très légeremment athlétique, j'ai cru qu'elle allait se plaindre ou hurler au sadique. Et non, elle m'a fait une bise en me remerciant de lui avoir défoncé le cul.
Comme quoi le net, finalement ça a du bon.
Puis est venu le net avec ses différents bois de Boulogne virtuels. Il y a d'ailleurs un site qui s'appelle bois de Boulogne. On y pratique la même arnaque que sur les trottoirs, on allèche un peu le client en lui faisant espérer que chaque photo est meilleure que la précédente, puis quand il devient chaud, c'est allopeze ou mieux, il faut donner son numéro de carte de crédit. Pour les bagarres au bois de Boulogne, latransfiguration virtuelle consiste pour quelques specimen à se pointer sur un site et y distiller son mépris de la clientèle plus quelques autres tours pendables et à se retrancher derrière le droit d'expression des transsexuelles pas si nombreuses pour y étaler sa culture brasilo-hispano-putassière.
Pourtant, le provincial que j'étais devenu entretempsa fini par trouver son compte lorsqu'ils'est rendu compte que la pire des tereurs dans un lieu comme le bois de Boulogne était devenu, répression policière oblige un lieu calme et discipliné comme une maison de passe catalane. Fini, le racolageagressif, ou pire ces péteuses de plomb qui s'exhibaient au milieu de l'Allée de la Reine Marguerite et collaient des talloches au véhicules de ceux qui passaient un peu près d'elles.
Pendant que le net est devenu la nouvelle jungle à travelo et autres escorts transsexuelles où le client y est pris d'un peu haut et invité à roucouler pour démontrer qu'il a le pédigré attendu, la courtoisie règne au bois. Gros avantage : lorsqu'on a une escort devant soi, inutile de se demander si les pics sont vieilles de 4 ans ou si la belle n'est pas partie exercer ses charmes à Hannovre ou à Lausanne : elle est là devant moi et puis c'est tout. Pas de fioriture : elle promet les yeux dans les yeux, certaines roulent des pelles ou se livre à un petit pelotage pour prouver que leur sens du contact est le bon.
Je ne parlerai pas du prix (trop vulgaire également de dire qu'on paye 5 fois moins cher que les escorts du net les meilleures marché), alors qu'une séance de galipettes derrière les buissons dure souvent aussi longtemps qu'un rendez-vous à domicile, mais il faut bien reconnaître que le respect du client y est assez marqué. Il suffit d'éviter les trappes assez grossières de la police. Seule règle apparue ces dernières années : plus de passe dans la voiture, sauf cas exceptionnel qui a un bon coin, mais on est tranquille à l'abri de la végétation.
J'ai même fait récemment affaire avec une blonde que je ne trouvais pas assez à mon goût. Elle a dit oui à tous mes caprices et lorsque pour finir, j'ai décidé de la secouer un peu trop violemment vu qu'elle était très légeremment athlétique, j'ai cru qu'elle allait se plaindre ou hurler au sadique. Et non, elle m'a fait une bise en me remerciant de lui avoir défoncé le cul.
Comme quoi le net, finalement ça a du bon.