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Quelques pays en bref.

( A part Brunei, je ne les ai pas visités).

Une transsexuelle Ouzbek faisant de l’escort en Chine.
Peut-on parler de ladyboy pour une Ouzbek ? --------------------





Bruneï
Monarchie absolue où règne la loi islamique, les ladyboys ne sont pas spécialement bien vus. J’ai lu un post quelque part disant qu’il y avait des ladyboys au centre de Bangar Sri Begawan, c’est impossible.
Pays agréable à visiter (pour les hommes et les femmes en couple). Inutile de rester plus de 48 heures.



Chine
Il y a des ladyboys chinois en Chine. J’ai même pu chatter avec un ladyboy chinois sur dateinasia. Pas très volubile. Comme je n’y suis jamais allé, je n’ai pas pu tester.
A part ça, dans les grandes villes chinoises, on trouve des annonces de shemales philippines sur des sites comme Craigslist ou backpage. Je viens de faire un petit sondage vite fait : 7 philippines, une thaïlandaise, 1 Ouzbek, et une brésilienne.



Corée (du sud)
J’ai trouvé trop d’informations contradictoires pour poster quoi que ce soit.



Hong Kong & Macau
(Voir grandes villes de Chine ci-dessus)



Indonésie
Un autre pays que je ne connais pas et qui me semble si lointain. Pourtant, quand j’étais à Bornéo, le versant derrière la ligne de crête au sud appartenait à l’Indonésie. J’ai croisé quelques ladyboys indonésiens en Malaisie. C’étaient des travelos pas très séduisants.
Je ne veux pas non plus jouer au professeur de géographie, mais regardez l’Indonésie sur Google maps et essayez de reporter les distances sur des pays que vous connaissez. L’Indonésie est vaste. (dans sa plus grande longueur, le pays peut couvrir du Portugal jusqu’au sud de la Pologne).

Un petit sondage dans backpage et craigslist montre qu’il y a des annonces de TS locales surtout à Jakarta (Java) et à Denpassar (Bali). On en trouve très peu à Sumatra (Medan), à Bandung (proche de Jakarta), Surabaya(Java entre Jakarta et Bali), et Makassar (Sulawesi du Sud). On en trouve carrément aucune à Bornéo.

Il y a un lieu de racolage dans les faubourgs de Jakarta dans le faubourg de Taman Lawang la nuit après 22h00. Une fellation en voiture coûte entre 7 et 10 € (100.000 roupies) et le «full service» 300.000 roupies.
Bali est également réputée pour ses ladyboys à Denpasar. Certains préfèrent s’en prendre au touristes saouls pour les dépouiller. Denpasar est une station de vacances très prisée des australiens, or les punters australiens préfèrent aller en Thaïlande.

Je n’ai pas eu confirmation de ces informations par retour d’expérience sur un forum.



Japon
Le pays des New Half
On sait qu’il y a des ladyboys au Japon (les «New Half»), mais je n’ai jamais lu comment les trouver en dehors des agences d’escorts. Je n’ai jamais lu d’EV non plus sur les ladyboys japonais.
Un site porno : http://shemalejapan.com/
Un exemple de site d’agence d’escort : http://japanshemaleescort.club/
Les tarifs sont de 18.000 yens pour une heure pour une new half standard (150 €) et 28.000 yen pour une star comme Miran (240 €).



Miran : la star japonaise du porno des ladyboys depuis 2 ans. -----------



Laos
Il y a des ladyboys au Laos et on trouve des ladyboy laotiens en Thaïlande. Le Laos est un pays peu développé avec un gouvernement communiste pro chinois. Jusqu’à quelques années en arrière, le fait de vivre en couple sans être marié pouvait attirer des ennuis judiciaires (et c’est peut-être encore le cas).
J’ai lu quelque part qu’on trouve des ladyboys assez facilement à Vientiane (la capitale) mais rien de plus ailleurs.
Voici un texte qui résume les dangers du Laos, même si c’est vieux de 14 ans : https://www.stickmanbangkok.com/readers ... e-of-laos/

J’avais trouvé un ladyboys sur ThaiFriendly et j’avais parlé d’aller visiter le pays avec elle, puis j’ai changé mes plans. Je ne me voyais dépendre d’une personne dans un pays comme ça, car elle aurait pu en profiter, alors que j’aurais souhaité papillonner dans le pays.


Myanmar (Birmanie)
Le Myanmar n’est plus le pays fermé qu’il était et réservé uniquement aux aventuriers. De là à dire qu’il est ouvert au tourisme de masse, il y a un pas que je ne franchirais pas. La société est recroquevillée sur des structures archaïques, la prostitution quoiqu’interdite est présente partout. Il y a bien des ladyboys mais rien n’est organisé. Tout reste à découvrir.

J’ai parfois lu un post de punter disant qu’il irait au Myanmar, puis plus rien après ça. Je pense que les punters en question, trop habitués aux Sin Cities ou aux RLD ne savent pas comment s’y prendre dans ce genre de pays. Reste à savoir s’il y a quelque chose à ramener.

Concours de beauté de ladyboys au Myanmar :

Taïwan
Il y a des ladyboys à Taïwan mais d’après ce que j’ai compris, les filles sont rares, difficiles à trouver et chères et les ladyboys encore plus. Le seul vrai récit de rencontre que j’ai lu concernait un ladyboy thaïlandais. Après vérification dans backpage, j’ai surtout trouvé des ladyboys en provenance des Philippines à Taipei. C’est le signe qu’il n’y a pas vraiment d’activité de ladyboys à Taiwan.



Assez divagué sur les pays que je ne connais pas. Demain, je posterai sur des pays au sujet desquels je sais de quoi je parle.

Cambodge

Pays stabilisé depuis le début des années 2000. Originalité : la monnaie le Ryel n’est utilisé que jusqu’à 5000 Ryels (1,25 US$). Au-delà, on compte en dollars. Résultat : on paie en dollars et la monnaie en dessous du dollars est rendue en monnaie locale.


Sihanoukville

https://www.google.fr/maps/place/Krong+ ... 624864,12z

Grande station balnéaire du Sud du Cambodge, certains voyaient dans cette ville un futur Pattaya cambodgien mais les EV pour exprimer des déceptions se multiplient. La ville assez vaste s’étale depuis la zone portuaire jusqu’à la plage d’Otrès.

Les bars pour la vie nocturne se trouvent à Victory Hill et Ocheutal Beach, quartiers distants de plusieurs kilomètres.
A Victory Hill, les ladyboys travaillent dans des bars mixtes (filles+ladyboys). Prix annoncé 20-30 $ (+10 $ de barfine).
J’ai réussi à localiser un bar sur un site de punter (street 139, Sihanoukville dans Google maps). https://fr-fr.facebook.com/pages/Dragon ... 9028955108
A Ocheutal beach, les filles et quelques ladyboys se rassemblent sur la plage d’Ocheutal Beach path après minuit pour la fermeture des bars. On trouve aussi des ladyboys la nuit au Rond Point des Lions d’Or (Golden Lions roundabout https://www.google.fr/maps/place/Golden ... 23461,16z/ ) ainsi que dans les allées entre la plage et Ocheutal street 500.

Plus d’info avec Cambodiaredcat : http://french.cambodiaredcat.com/vie-no ... noukville/ (Si la version française rédigée avec un traducteur vous dérange, vous pouvez retrouver la version anglaise).

Mon EV : j’ai opté pour un hôtel à proximité du rond point des lions d’or, proche de Serendipity beach.

J’ai visité une après midi Victory Hill et je n’ai pas vu grand-chose. En refaisant des recherches pour écrire ce post, je mesure l’étendue de la ville et je me rends compte que les bars de VH sont dans une toute petite zone de rien du tout pas très animée.

Au rond point des Lions d’Or, j’ai rencontré une trans vietnamienne qui m’a emmené dans son appartement modeste à coté de son atelier de couture dans le quartier de la guesthouse Don Bosco. Elle ne faisait que la fellation. «Les barangs en ont des trop grosses et je ne veux pas avoir mal au cul. Les chinois ont des petites bites, ils paient 150 $ la soirée et fatiguent vite. Je me réserve pour un chinois».
J’ai ensuite rencontré un ladyboy cambodgien au rond point. Impossible de la faire entrer dans mon hôtel car elle n’avait pas de carte d’identité. J’ai totalement manqué de prudence. Au lieu de rompre les ponts sèchement, je l’ai laissée me proposer une fellation gratuite dans un coin. Je me suis rendu compte que 40 $ avaient disparu de mon portefeuille le lendemain. J’ai pêché par excès de confiance tant cette mauvaise expérience a peu de chance de se produire en Thaïlande. Habituellement, je planque mes «grosses coupures» (20$, 1000 baht ou équivalent) dans ma valise et je n’en garde qu’une ou deux. Mes alarmes auraient du se mettre à clignoter à 2 reprises : lorsque l’entrée lui a été refusée à l’hôtel (pas de carte d’identité = pas de traçabilité) et lorsqu’elle m’a proposé un truc gratuit.
Les jours suivants, j’ai rencontré un jeune ladyboy du coté de la plage. On a passé une bonne heure dans un «short time hotel» dans un chicken farm voisin. Pas d’arnaque mais trop inexpérimentée, quasiment impossible à pénétrer. Je la revois le lendemain chez elle. On a passé plus de 2 heures ensemble (échec de pénétration). Cette expérience aurait pu me laisser complètement frustré mais elle s’est terminée par une conversation avec la sœur/frère de ce ladyboy dont j’avais déjà vu le visage sur des photos au sujet des bars à Bangkok («je suis une fille maintenant, pas un ladyboy, j’ai fait tout enlever par un chirurgien et je suis hormonée»). C’est elle qui m’a donné le truc pour Wechat et ça valait bien un billet de 20 $ pour sa sœur.

Conclusion : j'attendrai de lire que Sihanoukville soit vraiment intéressant avant d’y retourner.
J’ai aimé : la plage, la promenade en bateau dans les îles.
J’ai pas aimé : le manque de respect en général (bruit toute la nuit au bar de l’hôtel, me faire pickpocketer, l’agressivité des taxi mobylette, etc …).

Cambodge --- Phnom Penh

Capitale du Cambodge, et une de ses portes d’entrée par l’aéroport, ses principaux attraits sont les musées relatifs aux méfaits des khmers rouges (lycée transformé en prison avec salle de torture et champs d’exécution).

Les ladyboys se trouvent mélangés aux filles dans les bars des petits RLD dans les rues 104, 118, 130, 136. Selon Cambodiaredcat (http://french.cambodiaredcat.com/ladyboys-a-phnom-penh/), on en trouverait aussi dans une disco, le heart of darkness et dans un petit centre commercial appelé le Sorya Mall, et dans la rue au rond point Wat Phnom et sur les quais du Mékong vers la promenade à proximité de la 110e rue.

Mon EV : j’ai trouvé un hôtel assez facilement à proximité de la zone indiquée. Déjà que je n’aime pas aller pêcher dans les bars (j’expliquerai ça en parlant de la Thaïlande), j’étais peu enthousiaste à l’idée d’aller chercher un ladyboy au milieu des filles d’autant plus qu’elles sont assez agressives avant même qu’on entre dans leur bar.
J’ai mal cherché dans les bars et je n’ai rien trouvé.
J’étais assez réticent à entrer dans la boite de nuit indiquée pour aller draguer au milieu de la jeunesse dorée du pays et passer pour un aimable sponsor.

Au Sorya Mall, je n’ai vu que des filles, pas de ladyboy. Le lendemain, j’ai vérifié en journée et j’ai repéré une fille qui avait l’air d’un ladyboy de dos. C’était une vietnamienne qui m’a collé toute la journée et a passé la soirée avec moi. Il a fallu lui donner 40 $ pour m’en débarrasser.
Je n’ai pas trouvé de ladyboy au rond point Wat Phnom (la saison des pluies peut-être). J’ai trouvé mes premiers ladyboys dans la supérette Kiwi mart à l’angle de la 19e rue (Preah Ang Yukanthor) et de la 136e rue.

J’ai fini par trouver deux ladyboys sur le boulevard des quais à coté de la 108e rue. J’ai négocié avec le plus séduisant des 2 qui ne parlait presque pas anglais. Sa copine a voulu me faire doubler le prix mais je suis resté ferme. J’ai passé 2 heures avec une trans très douce, docile presque soumise pour 20 $. Une rencontre parfaite étant donné le prix.


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Conclusion : il n’est pas nécessaire de passer par Phnom Penh pour aller au Cambodge. Certains occidentaux qui trainent en Thaïlande utilisent parfois le Cambodge pour faire leurs «Visa Run» et reviennent déçus de PP. Il faut savoir fouiller.

A savoir aussi : un visa de 90 jours au Cambodge coûte 30 €/35 $ ou l’équivalent endevises locales. Il faut avoir une photo d’identité récente et de quoi payer son visa en arrivant. On peut faire faire son visa dans un consulat en France pour 45 €, précaution inutile car l’accueil des autorités cambodgiennes est très bon. Un visa est un «single entry visa». Si on va se promener dans un autre pays. Il faut en refaire un (et repayer).

J’ai aimé : les hôtels (confortables, simples et bon marché).
J’ai pas aimé : le prix des tuk tuk et taxi mobylettes. Le danger d’accidents dans les rues.

Cambodge Siem Reap

https://www.google.fr/maps/@13.3691396,103.8037197,12z


Le grand attrait de Siem Reap est la présence d’un grand nombre de temples Khmers à quelques kilomètres plus au nord, dont le fameux temple d’Angkor Wat. La ville est très accueillante.

Hors sujet : pour visiter les temples, la présence d’un guide n’est pas obligatoire. Un guide se paye à la journée. Plus la langue demandée est rare, plus le guide coûte cher. Le français est la 2e langue la moins chère.
Pour pénétrer sur la zone des temples, il faut un laisser passer. Celui-ci coûte 20 $ pour une journée et 40 $ pour 3 journées en l’espace d’une semaine. Il y a des check point à l’entrée de la zone, à l’entrée de certains temples et de manière inopinée. J’ai payé une visite d’une journée ? Il m’a fallu payer un conducteur de tuk tuk. Si j’y retourne, je prendrai le laisser passer plus long et je louerai un vélo ou une mobylette.


La vie nocturne se développe autour de quelques rues dénommées Pub street (grosso modo entre street 07 et street 09 dans google maps). C’est très bruyant et on y trouve quelques filles qui racolent autour des alcocarts (bar roulottes) en déambulant avec la pancarte publicitaire de l’alcocart le plus proche. On y trouve surtout des anglais qui picolent comme des brutes dans les bars, causent des esclandres et se font embarquer dans le poste de police.
Il y a également une vidéo sur youtube qui montre des ladyboys qui ont l’air assez sympa du coté de Pub street .


Mon EV : n’ayant rien trouvé dans les rues, je me suis connecté sur la page du Redcat : http://french.cambodiaredcat.com/ladyboys-a-siem-reap/ et j’ai vérifié chaque indication.
Coté rue, je n’ai rien trouvé, ni à Pub street, ni autour du pont (des ponts) sur la rivière à proximité de pub street, et encore moins sur la promenade jusqu’assez loin du centre ville.

J’ai alors recherché le Linga bar. Il n’y a ni gay, ni ladyboy. C’est un bar dans une allée dans le bloc entre la street 08 et la street 09. A proximité dans ce bloc, il y a d’excellents restaurants de cuisine Khmer.
Le Mickey’s bar est un bar de nuit avec 2 ou 3 filles pas très jeunes en attente de clients. Pas de ladyboy.
Le Station Wine bar donne bien un spectacle de ladyboys tous les deux jours et je n’ai pas trouvé le Blue Sand club. J’aurais du chercher son compte facebook : https://www.facebook.com/pages/The-Blue ... 4390192251

J’ai bien trouvé le marché de nuit d’Angkor (Angkor Night market ) mais aucune trace de spectacle de ladyboy. Par contre, entre la zone du marché et Pub Street, il faut passer par une rue dénommée Night Market street. Sa position dans Google maps donne sur 3 salons de massage.
A l’entrée d’un de ces salons, j’ai un jour demandé à une fille si elle était un ladyboy. Elle m’a répondu que non et je l’ai crue. 2 jours plus tard, elle m’a convaincu de tester un massage à vil prix dans son salon. A peine arrivé au premier étage que j’étais entouré par 3 créatures sexy. J’ai craint pour mon portefeuille et j’en ai congédié deux. Je suis resté avec ma fille de l’entrée. Son massage n’avait rien de professionnel, c’était juste du pelotage. Je me suis laissé prendre au jeu et j’ai fouillé dans ses habits jusqu’à trouver sa bite : un ladyboy ! Sa première réaction a été une réaction de recul. Je l’ai rassurée et lui ai demandé à venir me rejoindre à l’hôtel. Je vous passe les palabres, les discussions de prix et ses erreurs sur le nom de mon hôtel. A 2 heures du mat’ j’avais 3 ladyboys devant l’entrée.

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Même choix que dans le salon de massage. L’hôtel n’acceptait qu’un invité (et je ne tenais pas à avoir 3 ladyboys en même temps. J’ai passé 2 heures avec elle pour 40 $. Un peu cher d’autant plus que la pénétration était difficile et on n’a pas pu aller jusqu’au bout, mais une expérience formidable avec un femboy tout en douceur (femboy = ladyboy sans poitrine).

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Conclusion : Siem Reap est la ville à visiter. J’y retournerai autant pour explorer les temples Khmers plus en détail que pour retrouver une certaine connaissance. Je pense que je le ferai en visitant le Nord Est de la Thailande (Isaan).

J’ai aimé : la douceur du climat, la cuisine Khmer, l’amabilité des gens.
J’ai pas aimé : l’agressivité des tuk tuk. Le bordel dans Pub Street.

Conclusion au sujet du Cambodge : J'ai oscillé entre manque de confiance et excès de confiance dans un pays où les ladyboys ne sont pas si visibles que ça. J'ai même quitté le pays après Sihanoukville car je ne m'y sentais pas à l'aise. Je pense retourner à Siem Reap depuis la Thaïlande. Siem Reap n'est qu'à à peine plus d'une heure d'avion de Bangkok.
Le passage des frontières terrestres du Cambodge est plus difficile. L'agence de voyage sous traite à une compagnie de mini vans qui sous traite à une autre. Le voyage est fatiguant et on est harcelé par des demandes de pourboires inutiles. J'ai craqué après avoir perdu une tablette lors d'un de ces passages.
Pourtant, je compte passer par la frontière terrestre avec l'est de la Thaïlande en essayant d'aller taquiner avec Wechat dans la province de Sisophon voire si on peut trouver des non vénales.

Malaisie – Généralités - états de Bornéo


_______________ Cliquez sur la carte pour l'agrandir __

La Malaisie est un pays de fou. Je l’imaginais comme une Thaïlande musulmane, ce qui est vraiment réducteur. J’ai trouvé un pays plein de subtilité, même si bien sûr au niveau des ladyboys, on reste en dessous de la Thaïlande.

Hors sujet : les tribus de la péninsule ont vu arriver les premiers arabes avant l’an 1000. C’est ce qui fait que le pays est à majorité musulmane aujourd’hui. Puis vinrent les portugais et les hollandais puis les anglais. Au XIXe siècle, les anglais ont fait venir des chinois pour mettre le pays en valeur et travailler dans les mines d’étain ainsi que des indiens, surtout des tamouls. Le pays est devenu indépendant en 1957 après plusieurs réformes négociées entre les anglais et les indépendantistes.
En 1963, les états de Bornéo le Sarawak et Sabah ont rejoint la fédération et en 1965, Singapour en a été viré suite à un différent au parlement et a du prendre son indépendance de manière forcée. La Malaisie est un état fédéral composé de 13 états (11 sultanats et 2 états) et 3 districts fédéraux. Les sultans se réunissent tous les 4 ans pour élire le roi de Malaisie mais il y a également des élections dans chaque état pour élire un parlement et un premier ministre local (gouverneur) et un parlement national qui désigne un premier ministre. Le gouvernement fédéral régit aussi les districts fédéraux.
Maintenant, le pays compte environ 60 % de malais musulmans, 33 % de «chinois» (Malaisiens descendants de chinois) et le reste d’«indiens» (Malaisiens descendant de tamuls) et d’européens. Les malais ont le pouvoir politique alors les que les «chinois» ont le pouvoir économique. Cette situation a amené le pays au bord de la guerre civile au début des années 1990 mais cette époque est révolue.

Tout ceci pour expliquer que certains faits peuvent être complexes en Malaisie. Par exemple, les musulmans sont jugés selon les lois musulmanes et les autres selon les lois du pays. On entend souvent le muezzin dans la journée et on va picoler au bar à whisky le soir. Quand les buveurs commencent à fatiguer, c’est l’heure ou les ladyboys commencent à rôder dans les coins discrets.
En Malaisie, 80 % ou plus des prostituées de rue et des escorts sont des ladyboys, le reste étant des chinoises (sans guillemet car souvent fraichement arrivées de Chine).
Pour trouver des ladyboys, j’ai souvent consulté wikisexguide et j’ai effectué des recherches avec Google en utilisant des mots traduits en malaisien. Les endroits où il y a des descentes de police contre les ladyboys sont ceux on va en trouver.
Les transsexuelles ont été persécutées en Malaisie jusqu’à la fin des années 2000. Celles qui se faisaient faire une chirurgie mammaire étaient emprisonnées et humiliées dans l’enceinte de la prison. Il y a un peu plus de tolérance aujourd’hui.

Avant d’aborder les faits de prêt, il y a 3 choses à éviter en Malaisie :
1) transporter de la drogue. On pend les trafiquants de drogue.
2) Etre saoul en public. Selon les états, la consommation d’alcool est modérée, mais les types qui prennent prétexte de leur ivresse pour injurier les gens (notamment les musulmans) finiront avec le nez en sang dans le caniveau et la police refusera de prendre connaissance des faits.
3) Faire de la politique. Les droits de l’homme progressent, on n’est pas emmerdé mais pas la peine d’aller chercher les puissants.


Sarawak

Le Sarawak est l’état malaisien le plus à l’ouest de Bornéo. Il s’agit de l’ancien territoire de Brunei qui a été grignoté par les Rajah anglais au XIXe siècle. L’islam y est fortement implantée et la prostitution y est réprimée.


Kuching
https://www.google.fr/maps/place/Kuchin ... +Malaisie/
Kuching (700000 habitants) est la capitale du Sarawak. Jolie ville. J’ai eu beau vérifier les données de Wikisexguide, je n’ai rien trouvé. Il n’y a rien à voir.
J’ai aimé : la promenade sur la rivière Sarawak et le bâtiment du parlement.
J’ai pas aimé : le manque de temps pour visiter les long house ou aller dans le parc national de Bako.


Miri
https://www.google.fr/maps/place/Miri,+ ... +Malaisie/
Située à l’est de l’état du Sarawak, cette ville accueille du personnel de toutes nationalités qui travaille dans l’industrie pétrolière locale. C’est aussi une des portes d’entrée vers Brunei.
Ayant visité la ville en début de journée, j’ai repéré des chinoises (sans guillemet) qui racolaient en haut des escaliers qui mènent au premier étage des immeubles. Je ne peux pas affirmer qu’on trouves des ladyboys le soir mais on peut toujours aller voir.
J’ai aimé : le taxi qui voulait une rallonge pour m’emmener à la gare routière. Ça m’a permis de visiter la ville.
J’ai pas aimé : la suppression de la ligne de bus de l’aéroport au centre ville.



Labuan
https://www.google.fr/maps/place/87000+ ... +Malaisie/

Labuan est une île Malaisienne située au nord est de Brunei. Elle a été détachée de l’état de Sabah en 1984 pour devenir un district fédéral qui a été peu à peu transformé en paradis fiscal.
Je n’y ai pas été mais je sais qu'il y a un peu d’action à Victoria.


Sabah

Le Sabah est l’état du nord de Bornéo. Il a longtemps appartenu au sultanat de Sulu (Philippines) avant de passer entre les mains de Brunei, des américains puis des anglais. Il a rejoint la fédération malaise en 1963.

C’est un pays dangereux où les occidentaux sont pris en otage lorsqu’ils voyagent en bus sur les routes en particulier en direction de Sandakan (territoires où sont implantées des fondations de sauvegarde des orangs outans). Ces prises d’otages sont l’œuvre de mouvements qui voudraient refonder le sultanat de Sulu.

Kota Kinabalu
https://www.google.fr/maps/place/Kota+K ... +Malaisie/

Ville capitale du Sabah, on y trouve des layboys.
J’ai trouvé des annonces sur backpage ou sur ts-date.com mais pas faciles à contacter.
Dans la rue, on en trouve principalement après 22 h00 dans Jalan Ruang Singha Mata 2 dont voici le lien sur google maps : https://www.google.fr/maps/@5.9764916,116.073409,222m . En cas d’insuccès, ne pas hésiter à tourner un peu en cherchant un peu plus au nord.

Mon EV : après m’être fait rembarré par un contact de ts-date.com (trop compliqué, mauvais caractère), j’ai cherché le soir du coté de Jalan Kampung Air (il y en a 4 ou 5). J’ai fini par localiser des ladyboys dans Jalan Haji Yaacob et surtout Jalan Ruan Singha Mata 2. Un premier soir, j’ai négocié une heure avec une transsexuelle à la peau sombre finement moulée dans sa robe. Nous sommes allés dans sa chambre d’hôtel.Exprérience mitigée car après m’avoir demandé 150 RYM (37 €), elle a essayé de me faire cracher une rallonge. Dommage.
Le lendemain, j’ai croisé Emilia dans la même zone à l’écart du clan du ladyboy de la veille. Emilia n’est pas la plus belle mais on a passé un excellent moment dans sa chambre d’hôtel (150 RYM + 30 RYM de pourboire).

________________ Emilia ___

J’ai aimé : les visites des îles et de Lok Kawi
J’ai pas aimé : les morsures des poissons

Malaisie – Les villes de la Péninsule (hors Kuala Lumpur)

Johor Baru
Deuxième plus grande ville du pays et ville frontière avec Singapour, JB contraste pas mal avec la cité état. Je n’ai trouvé que des informations éparses sur la présence de ladyboy et je n’ai pas eu le temps de visiter. Tout ce que je sais, c’est que des ladyboys thailandaises s’y rendent pour essayer de gagner de l’argent.

Melaka
Première implantation des portugais (Malacca), la ville a un centre historique qui mérite une petite visite, mais pas de quartier avec des activités nocturnes intéressantes. Les constructions du 20e et du 21e siècle couvrent la majeure partie de la ville. J’avais repéré 2 ladyboys dans backpage lors de mon passage.



Kuantan
Ville de la côte est de la péninsule. Je n’ai pas fait de photos, mais je peux confirmer les informations de wikisexguide.
1) https://www.google.fr/maps/place/1,+Lor ... +Malaisie/
Quasiment en face de l’hôtel Greenleaf, prendre la petite rue. Au coin de l’allée suivante, quelques ladyboys plutôt sexy mais pas très belles tapinent. Quartier un peu sombre et «short time» dans un studio/chambre assez modeste. Bonne prestation pour 200 RYM.

2) https://www.google.fr/maps/place/103,+J ... +Malaisie/
En face de l’agence bancaire Am Bank, 5 ou 6 ladyboys assez sexy. On en trouve quelques autres cachées derrière la porte d’entrée de leur immeuble en se rapprochant de Riverside.

Mon EV: Je n’y croyais pas. Quand j’ai trouvé une «chinoise» à la première position je suis monté avec elle. L’appartement était dans la ruelle derrière dans un coin un peu glauque, mais au moins on était tranquilles dans un appartement. Ce ladyboy avait des boutons sur le visage, dommage car son corps était sexy et chaud et elle aimait se faire pénétrer.
En regagnant mon hôtel, j’ai vérifié une 2e position où il n’y avait rien à voir et je suis tombé par hasard sur 5/6 ladyboys jeunes et plutôt sexy en position 2) ci-dessus. J’étais tenté d’y retourner.


Ipoh
Ville qui a servi de cadre de tournage au film Indochine, c’est une petite ville provinciale assez quelconque sur laquelle j’avais des informations pour le moins fragile. Un article en malais parlait de ladyboys la nuit dans un coin où je n’en ai jamais vus.
Coup de chance, j’ai choisi un hôtel un peu pourri et pas cher sur recommandation du guide du routard qui parlait d’un coup de cœur. Quand je suis parti chercher un petit resto le soir, j’ai trouvé quelques ladyboys thaïlandaises à proximité.

https://www.google.fr/maps/place/91,+Ja ... +Malaisie/

Devant l’hôtel Ritz dans la Jalan Yang Kalsom, quelques chinoises (filles) tapinaient bien encadrées par un proxo qui ne se cachait pas. En remontant la rue sur le même trottoir que l’hôtel, quelques ladyboys thaïlandaises scrutaient la rue plus ou moins cachées derrière une porte (technique assez fréquente en Malaisie).

___________________ Ladyboy Thaï Tiffany __________

Mon EV : j’ai choisi une ancienne danseuse de cabaret de Phuket se faisant appeler Tiffany. Pour 200 RYM, prestation standard, mais une des meilleures que j’ai eues en Malaisie (on ne refait pas les thaïlandaises). Le lendemain, la porte où se trouvait Tiffany étant fermée, j’ai essayé une autre thaïlandaise, plus jeune, plus jolie et surtout plus con un peu plus loin. Je suis parti avant de démarrer la prestation et j’ai fini avec une chinoise à l’hôtel Ritz.




George Town

Ville principale de l’île de Penang, on l’appelle aussi little Hong Kong. Penang est le seul état de Malaisie dont le gouverneur (premier ministre local) est d’ethnie chinoise. On trouve plus facilement des coins pour y siffler une bonne bière chinoise et quelques ladyboys à proximité.

Les ladyboys tapinent dans Lebuh Muntri entre Miyako Izakaya et Uber café et dans Lehbu Chulia sur les 300 premier mètres. Les positions dans Google maps :

1) https://www.google.fr/maps?q=191Jalan+M ... +Malaisie/

2) https://www.google.fr/maps/search/Pulau ... +Malaisie/


Mon EV : j’ai repéré un premier soir les ladyboys dans Lebuh Muntri en sortant d’une food court à l’ambiance très décontractée (ça me rappelait certaines ambiances du sud de la France ) . Je suis monté avec une transe balinaise opérée qui n’a pas arrêté de me suriner qu’elle était une vraie fille et qui a fini par me lâcher à la fin qu’elle était un ladyboy comme on lâche une injure.
Le lendemain dans Lehbu Churia, j’ai repéré des travestis indonésiens dont certains se cachaient derrière les portes. Pas terribles. A l’angle de rue suivant, j’ai rencontré une malaise élancée et jeune alors que la pluie de mousson redoublait. N’ayant pas d’argent sur moi, je suis retourné à mon hôtel et ne l’ai jamais revue. Un peu plus loin dans la même rue, j’ai trouvé 3 «indiennes». Ce fut ma première expérience avec une trans/ladyboy indienne. Expérience sympathique même si elle manquait un peu d’endurance.

___________________ travesti indonésien sous une arcade __________

merci pour ces comptes rendus fort complets!

Ravi de lire ces posts. Je ne manquerai pas les suivants !

Merci pour vos encouragements. J'avais pensé que ce serait rapide de reprendre des posts que j'avais écrits en anglais mais ça prend du temps. Avant de partir, j'avais épluché le net en utilisant des mots clés en malais puis lorsqu'un article m'avait l'air de contenir des informations exploitables, je le traduisais avec un site de traduction.
Exemples :

http://www.kualalumpurpost.net/mak-nyah ... anas/?id=3
http://pahangdaily.blogspot.fr/2011/05/ ... ondan.html
http://www.kualalumpurpost.net/khidmat- ... gkan/?id=3

Je ne me souviens plus de quoi parlait le dernier article mais la photo a été prise en Thaïlande dans Walking street à Pattaya. Ne vous précipitez pas.

Si vous voulez faire des recherches sur google :
Mak nyah = transgenre
Pondam = gay, travesti, étrange
Pelacur = prostitution, pelacuran = prostituée

Attention aux descentes de police. La police malaisienne s'en prend aux clients (surtout musulmans) mais ce n'est pas le moment de se faire expulser vers la France avec une lettre de recommandation pour la police française.

Malaisie – Kuala Lumpur

Il y aurait tant à dire sur la capitale fédérale de la Malaisie que je vous renvoie à vos guides touristiques. KL se présente comme une espèce de Bangkok provinciale mais plus petite. C’est agréable de s’y prélasser en hivers pendant l’Europe se gèle.
Le centre ville est bâti autour d’une colline et les métros aériens ou souterrains serpentent autour. Moi qui ai un sens de l’orientation assez aigüe, j’ai réussi à m’y perdre complètement désorienté.


Chow kit
https://www.google.fr/maps/place/Lorong ... +Malaisie/

Chow Kit est une station de métro aérien à proximité de ce quartier dans les faubourgs de KL. Il est composé de plusieurs rues appelées Lorang Haji Taib 1, 2, 3 ou 4. Le quartier est assez connu. Il est assez loin du centre ville de KL et les rues sont assez sales. Voici une vidéo le décrivant assez bien. On peut y faire un short time pour un prix entre 50 et 100 RYM (12/25 €).
Faire attention si on y va le soir de ne pas louper le dernier métro. Ce serait dommage de devoir payer un taxi après avoir une économie sur le short time.


Mon EV : la vidéo décrit le quartier de manière assez fidèle. Lorsque je suis passé la première fois en fin d’après midi, je n’ai pas vu de trans. Elles ont commencé à se montrer à la tombée de la nuit un peu après 18 heures. J’ai négocié un short time avec une belle jeune trans au look malais pour 50 RYM. Après une fellation moyenne, elle a essayé de négocier une rallonge. N’étant pas encore familier avec les prix locaux et les taux de change, je suis resté ferme et ai pu lui faire poursuivre la prestation tout en l’écoutant protester, ce qui a un peu gâché le ST.
Je suis retourné à Chow kit lors de mon passage suivant. Pas de jolie trans, surtout des trans qui ne m’ont pas inspiré sauf une indienne qui m’appelait depuis sa fenêtre en hurlant «honey». Ça ne m’a pas inspiré.
Juste pour info : il y a un poste de police au milieu du quartier. La présence de ladyboys qui racolent à l’entrée de leur habitation n’a pas l’air de susciter la moindre réaction de leur part.

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Les annonces sur internet

On peut trouver des annonces sur plusieurs sites assez facilement mais à en Malaisie, il y a un site dans lequel on retrouve les annonces des autres sites, il s’agit de backage. Le lien : http://kualalumpur.backpage.com/TranssexualEscorts/

Aujourd’hui, j’ai dénombré plus de 100 annonces. Il y en avait à peine plus de 10 quand j’étais à KL. Si on enlève les doublons, les annonces à Kuantan, les moches et les prétentieuses, il doit rester encore du choix. Attention toutefois car il y a beaucoup de philippines, y compris par mi celles qui prétendre être d’une autre nationalité. On ne peut pas être sûr à 100 % . Il faut compter 200 RYM pour une heure, peut-être 250 aujourd’hui. Inutile de monter les prix plus haut. Il y avait une prétentieuse qui demandait 600 RYM (150 €) il y a quelques années. Ne perdez pas votre temps avec des prétentieuses.

Mon EV : après ma première visite à Chow Kit, je me suis intéressé aux annonces. Une fois qu j’ai effectué un premier tri, il ne restait pas grand-chose. J’ai contacté une jeune philippine qui m’a proposé un trio avec sa copine pour 350 RYM et qui logeait dans un hôtel plutôt luxueux . C’était très mécanique et pour tout dire, moins fun que le jour où 2 médecins me cousaient des points sur le visage et sur les bras après un accident. J’ai congédié la copine de ma trans pour m’occuper d’elle. Joli trans, chair fraiche mais pas hormonée (ou avait cessé), pleine de bonne volonté mais fatiguait vite et pas très pro. J’en ai conservé une impression plutôt bonne malgré tout.
Je l’ai revue lors de mon 2e passage à KL. Elle n’avait pas l’air pressée d’honorer son rendez-vous, même quand je lui ai demandé son n° de chambre en lui précisant que j’étais dans les couloirs de son hôtel. J’ai refusé le trio avec sa copine et elle m’a demandé 250 RYM. Elle n’en pouvait plus rapidement. Je suis reparti avec une opinion moins bonne que la fois précédente.

Ces trans faisaient parti de ces philippines qu’on retrouve dans tout l’Asie. Elles font des tours dans toute l’Asie, dans les pays où l’immigration les laisse entrer, y compris en Chine et même dans les Emirats. Elles ont tendance à se surcoter. KL, Singapour ou Bali sont leurs terres de prédilection.
Un jour, j’ai retrouvé une annonce de ma petite philippine à Bangkok. Je l’ai incendiée dans un forum. Acceptable à KL, elle demandait un prix supérieur à la moyenne à Bangkok alors que son niveau de prestation était bien inférieur.
J’espère qu’avec le choix, le rapport qualité/prix s’est amélioré. Je n’ai pas vu de Thaïlandaise dans les annonces (les ladyboys thaïs annonçaient leur nationalité car c’était un gage de qualité).
Rassurez vous, il y a mieux à KL.



Bukit Bintang
www.google.fr/maps/place/Changkat+Bukit ... +Malaisie/

C’est l’adresse à connaître pour la vie nocturne à KL.
Jalan Bukit Bintang est une rue assez longue avec des discothèques et des bars avec des filles. En tournant, un peu plus loin dans dans Changkat Bukit Bintang, on trouve des bars, des magasins, des salons de massage ( je ne sais pas quel genre de massage), et des restaurants. Sur la gauche, Jalan Alor est une rue pleine de restaurants de toutes nationalités asiatiques avec terrasses et des prix intéressants.
Si on reste sur Changkat Bukit Bintang, passer le 7/11 (qui est sur la gauche, il y a aussi un KK mart maintenant) et prendre la première à droite. L’ambiance est plus calme et un peu plus sombre dans Jalan Nagassari. C’est la rue où j’ai vu des trans locales. Elles sont assez athlétiques et grandes un peu comme certaines trans du bois de Boulogne et je n’en ai pas trouvé qui soit motivante.


J’ai pris plusieurs photos. La moins foireuse de toutes était la moins belle du paquet.
Les autres, mieux roulées devaient porter des perruques. Elles ne m’ont pas inspiré,
Juchées sur leurs hauts talons (trop grandes).

Mon EV : Quand j’ai fouillé le quartier pour la première fois, il n’y avait rien. A mon deuxième passage, il y avait bien quelques trans mais pas superbes.
J’ai repéré une petite vietnamienne un peu plus loin et nous sommes allés dans son appartement pour 200 RYM. C’était un travesti, débutante dans le milieu. J’arrivais de Brunei et j’avais ma boite de présos avant d’y aller. Elle n’en avait pas. J’ai commencé un bareback, puis je me suis ravisé. Autant perdre 50 € que de le regretter toute ma vie.
A mon 3e passage à KL, il y avait plus de choix mais les plus attirantes étaient grandes et portaient probablement une perruque, ce qui m’a rebuté. Je suis allé voir ailleurs.


Blue boy club
https://www.facebook.com/pages/Blue-Boy ... 3543684106
J’avais cette adresse de club. J’ai du passer 10 fois devant tant c’est difficile à trouver. Il y a des spectacles de ladyboys tous les soirs. Quand j’y suis allé, j’ai trouvé un petit bar gay sans ambiance et je n’ai pas voulu attendre. Pas de regret.



Jalan P Ramlee
https://www.google.fr/maps/place/Jalan+ ... +Malaisie/
Depuis Bukit Bintang, descendez la Jalan Sultan Ismail à pieds ou en métro sur une station (dans ce cas descendez à Raja Chulan ou si vous venez par une autre ligne Bukit Nanas ou KLCC afin d’éviter de prendre une correspondance pour une station supplémentaire).

Dans cette rue, on trouve plusieurs clubs assez selects, dont le Beach Bar club. Le Beach Bar club filtre les entrées (en plus de les faire payer) tellement il y a de monde. C’est le rendez-vous de la jeunesse dorée de KL, des friqués et c’est le lieu où les putes mondaines vont racoler.
Si vous arrivez par le KLCC (un des plus grands malls de KL avec les tours jumelles à plus de 500 m au dessus), sortez par la porte au sud ouest et remontez la rue (sur votre gauche en direction du beach club. Juste après le KLCC, vous verrez des filles dans la rue.

Passez le Beach club et vous verrez des trans.

Mon EV : je me suis senti plus à l’aise dans ce coin là. Je ne sais pas pourquoi. J’ai abordé une belle blonde, un femboy (ladyboy sans poitrine refaite) vietnamien. Elle ne voulait pas quitter son spot mais j’ai pris ses coordonnées. Je l’ai revue le lendemain. Nous nous sommes retrouvés dans un short time hotel. Très bonne expérience avec un ladyboy parfait. ( 200 RYM pour elle; 30 RYM pour la chambre et 5 RYM pour les préservatifs). C’était un peu improvisé mais sympa.
J’ai retrouvé son contact dans Wechat il y a3 mois.
Elle est un peu plus agée et elle s’est fait faire une poitrine siliconée.
Une bonne motivation pour aller à KL.




Conclusion : KL est une ville de ouf. Le centre ville est plus petit qu’il n’y parait à condition de ne pas se laisser désorienter. J’avais cru bien faire en me logeant dans China town à mon premier passage mais sans imposer d’hôtel, je conseille plutôt le quartier de Berjaya Times square (un des nombreux malls construits presque les uns à coté des autres dans le centre ville). On peut y trouver des chambres en auberges d’un très bon rapport qualité/prix ou des hôtels de plusieurs niveaux tout en étant assez proche des quartiers de vie nocturne.

Il faut savoir rester prudent car la police fait parfois des descentes dans les rues où les trans racolent (surtout quand il y en a trop). Par ailleurs, ça n'engage que moi, les trans qui passent des annonces ne sont pas top. Il faut savoir jouer futé en demandant des contacts aux personnes qu'on veut revoir et prendre rendez-vous comme avec uen copine. La police malaisienne ne met pas le nez dans ce business.

Philippines – les coins chauds

Aussi appelé le pays aux 7107, il abrite une population assez pauvre. Le contraste est fort avec la Thaïlande, la Malaisie ou le Vietnam. Les îles vont du petit îlot à des grandes terres. Pour simplifier, je divise les Philippines en 3 grands ensembles et 2 archipels.
- 3 grands ensembles : Luzon (île de Manille au nord), quelques grandes îles (Mindoro, Panay, Negros) et l’archipel des Visayas au centre (Incluant Cebu, Samar et Leyte) et la grande île de Mindanao au sud.
- 2 archipels : Palawan est une île toute en longueur prolongée par un archipel qui rejoint la pointe nord de Bornéo. Sulu est un archipel qui part de Mindanao et rejoit l’est de l’état de Sabah à Bornéo.

Des français et d’autres occidentaux ont été pris en otage dans l’archipel de Sulu par le passé. Il existe aussi des guérillas dans certaines provinces de Mindanao. Les grandes villes sont assez sûres mais les philippines peuvent être assez sauvages.

Bars et prostitution de rue
Jusqu’à présent, lorsque j’affirmais quelque chose sur un lieu, j’avais eu l’occasion de vérifier (sauf les bars à Sihanoukville). Concernant les Philippines, je n’ai jamais été dans un bar à filles ou à ladyboys et je n’ai jamais rencontré un ladyboy dans la rue. J’ai juste collecté quelques informations sur le net.


Manille
https://www.google.fr/maps/place/Manill ... ilippines/

On trouve des ladyboys dans certains bars à Malate (j’en ai vu dans Adriaco street), dans le quartier de Makati dans P Burgos street( ne pas confondre avec Burgos street à Pasay à 5 km de là). . C’est dans P Burgos street que se trouve le plus célèbre bar (et peut-être unique bar à 100 % ladyboys des Philippines), le Mixed Nuts bar. https://www.facebook.com/pages/Mixed-Nu ... 8978638403
https://www.google.fr/maps/place/P+Burg ... ilippines/
On trouverait aussi facilement des freelancers dans P Burgos st ainsi que dans certains malls comme Robinson Mall (J’en ai bien vu une, elle m’a bien branché, mais c’était dans la cadre de son boulot de vendeuse).


Angeles city (80 km au nord de Manille)
https://www.google.fr/maps/place/%C3%81 ... ilippines/
Dans le RLD de Fields avenue walking street, il y a un bar où les ladyboys se mélangent avec les filles de bar : le Sea Star.
Le meilleur endroit pour trouver des ladyboys en freelance est le bar Phillie’s à l’angle de Fields avenue et Raymond street. Prix : 500/700 PHP en ST.

Ladyboys attendant la sortie des clients devant le bar Phillie's __________

Olongapo (Subic bay)
https://www.google.fr/maps/place/Olonga ... ilippines/
Nocturnal disco: freelancers
The Shed entre Baloy beach et Manga beach est un lieu de rendez-vous de freelancers

Puerto Galera
https://www.google.fr/maps/place/Puerto ... ilippines/

PG est situé au nord de Mindoro avec juste un bras de mer à traverser depuis Manille. L’endroit est réputé pour ses couples vraiment atypiques : une fille d’à peine 20 ans ou moins avec un européen de 60 ans ou plus.
Concernant les ladyboys, j’ai lu des informations contradictoires. Selon certains punters, il vaut mieux y aller accompagné, d’autres disent qu’on trouve des ladyboys dans les bar à comme danseuses dans certains bars ou dans les karaokes. Certains punters disent qu’on les trouve plus facilement à White beach, d’autres à Sabang et se contedisent les uns les autres.

Boracay
https://www.google.fr/maps/place/Boracay/

C’est une petite île constituée d’une lande de sable de plusieurs kilomètres de long à quelques centaines de mètres au nord de la grande île de Panay. A l’origine, Boracay était décrite comme un coin de paradis par les premiers touristes de la génération hippie. Aujourd’hui, c’est une usine à business avec des hôtels de plus en plus chers. C’est un coin que j’ai soigneusement évité bien qu’on y ai rapporté que certains coins de plages sont des lieux de racolages de ladyboys.

Des ladyboys sur la plage de Boracay la nuit. _______

Cebu
https://www.google.fr/maps/place/Cebu,+Philippines/

La grande île des Visayas est réputée comme l’endroit où on trouverait les plus beaux ladyboys d’Asie. Ceci ne tient pas compte du fait que les ladyboys d’autres pays se payent plus facilement des soins de beauté ou des opérations de chirurgie esthétique.

On trouve des ladyboys principalement dans Mango square à Cebu city autour des bars où les filles de bar sont employées. Les ladyboys racolent en freelance et le quartier est réputé comme dangereux (J’ai lu le rapport d’un habitué des Philippines qui n’a pas froid aux yeux. Il s’est fait branché par une fille et un ladyboy qui se sont invités à sa table. Puis le ton est monté entre la fille et le ladyboy. Le type s’est réveillé à l’hôpital avec la bouche amochée et un pronostic réservé le concernant). Si j’avais été seul, je me serais peut-être aventuré dans une rue près du port de Cebu où on n’hésite pas à planter un couteau dans le dos des «cano» (cano = americano, un blanc par extension).

On trouverait aussi assez facilement des ladyboys dans le mall Robinson et dans la mall Ayala. J’ai pas mal trainé à Ayala avec mon ladyboy. J’étais peut-être trop bien accompagné, mais je n’ai rien vu.
Du coté de l’île de Mactan (aéroport de Cebu), des ladyboys tapinent sur les boulevards la nuit.

Dumaguete (Sud de l’île de Negros)
https://www.google.fr/maps/place/Dumagu ... ilippines/

Il y aurait beaucoup de freelancers du coté de la discothéque Why Not disco avec beaucoup de ladyboys mélangés au fille

Davao (capitale de Mindanao)
https://www.google.fr/maps/place/R%C3%A ... ilippines/

Il y aurait une vie nocturne assez riche avec des ladyboys dans les bars et les discothèques. Ne pas confondre avec Danao sur l’île de Cebu

El Nido (île de Palawan)
https://www.google.fr/maps/place/El+Nid ... ilippines/

Des bloggeur rapportaient la présence de ladyboys à El Nido avant que la région ne devienne hautement touristique. Aujourd’hui, le tourisme de masse se développe à El Nido et je ne serais pas surpris que les ladyboys ne cherchent pas leur part de profit.


Prix
J’ai lu quelque part qu’un ladyboy de Manille contacté sur Craigslist demandait : 10000 pesos pour un rendez-vous. Ça ne m’étonne pas, c’est prétentieux, mais les philippines attaquent assez haut pour baisser par la suite, ce qui ne permet pas d’engager une relation sur une base appaisée.

J’ai pu collecter certains tarifs que je donne sous toutes réserves:
Une fellation dans un bar (ce n’est pas précisé dans quel coin du bar) par une fille ou un trans : 600 PHP (12 €)
Un petit tour à l’hôtel de 2 heures coûterait entre 2000 et 3000 PHP (barfine inclus soit 40/60 € ) pour une fille de bar et moitié moins pour un freelancer. Il faut ajouter 300 PHP (6 €) pour le taxi. Les négociations de prix commencent parfois autour de 5000 à 6000 PHP pour descendre ensuite.
A cela, il faut ajouter le prix des verres dans les bars. Le lady’s drink coûte environ 150 PHP (3 €). Dans les bars de la région de Manille il y a souvent des doubles lady’s drinks. Si la fille en choisit un, ça coûte 300 PHP (6 €).

Lors de mes recherches dans les forums de ladyboys, toutes les discussions sur les philippines étaient coupée de posts disant "à quoi bon, ce n'est pas moins cher que la Thaïlande et les ladyboys y sont moins bien".

Philippines - Autres cas

Il y a des ladyboys partout aux Philippines. J’ai lu que le truc que j’ai utilisé en Thaïlande et au Vietnam avec Wechat se répand aussi aux Philippines. Pour mémoire, sélectionnez «découvrir» puis personnes à proximité et commencez à contacter vos cibles. Les ladyboys aussi ne manqueront pas de vous contacter.


Une expérience de girlfriend
On trouvait des ladyboys en masse sur le site dateinasia.com . Il y avait parmi elles des arnaqueuses mais aussi beaucoup qui recherchent l’âme sœur, disons qui cherchent à se faire adopter.
Aujourd’hui, on compte plus de 9000 ladyboys dans Pinalove.com. Une petite minorité s’affiche comme filles de bar ou cherchant des rendez-vous vénaux. Les vraies vénales sont plus nombreuses mais impossibles à dénombrer.
La majorité recherche une relation à long terme. Certaines y parviennent, mais il y a peu d’élus.
Je connais un français qui s’est installé à Pattaya (la ville où il y le plus de bars à ladyboys au monde) et qui s’est maqué avec un ladyboy rencontré aux Philippines. (Ce n’est pas cohérent d’habiter à Sin city et de se ranger dans la fidélité, mais c’est sa vie). Le ladyboy prend soin de lui, il la trouve jolie et la rémunère entre 100 et 200 € par mois les 7 mois où il est en Thaïlande (c’est in exilé fiscal). Voici pour le bon coté de la médaille.

Le revers, c’est que beaucoup de ladyboys philippins sur les sites de rencontre sont des arnaqueurs(euses) et parfois même inconsciemment. Ce n’est pas pour rien que beaucoup ont été virés de dateinasia.com car ils se faisaient passer pour des filles (ceci dit, beaucoup de filles philippines sont aussi des arnaqueuses).
J’ai arrêté de compter tous les contacts que j’ai établis qui passaient assez rapidement sur Skype, tournaient rapidement à un «I love you» ou «you are my friend» puis demandaient de l’argent dans la foulée. Les philippines ont tellement peur de l’avenir qu’elles cherchent un «cano» pour être leur boyfriend et leur servir d’assurance vie. (une fois c’est une fille sans cervelle et à peine sortie de l’adolescence qui voulait m’épouser après moins d’une heure de chat). Il vaut mieux le savoir avant de s’engager auprès d’un ladyboy.
J’ai eu beaucoup de contacts avec des ladyboys qui ont eu un boyfriend (anglais) m’ont dit avoir cru au grand amour et se sont retrouvés blessés lorsqu’il a disparu. On pourrait se moquer de leur naïveté feinte ou non. Mais ces histoires sont porteuses de rames.
Il y a aux Philippines une morale venue du catholicisme espagnol du 16e siècle. Pour un ladyboy, un boyfriend, c’est un espoir d’émancipation. Il y a beaucoup de chômage aux Philippines, la plupart des ladyboys sont exclus du marché de l’emploi (sauf à être hautement qualifiés), on ne les accepte pas non plus dans les bars. Si un ladyboy quitte sa famille pour un boyfriend et revient après avoir été largué, il/elle est susceptible d’être abandonné par sa famille ou alors il lui faudra se couper les cheveux et chercher du travail comme un homme. Avec un ladyboy philippin, on risque de se faire massacrer à coup de couteau en cas de rupture.

Mon EV : j’ai suivi le conseil d’un hollandais voyageant plusieurs fois par an aux Philippines de chercher une girlfriend (sur dateinasia car Pinalove.com n’existait pas encore). J’ai bien ramé. J’ai vu beaucoup de caractérielles et j’ai déjoué beaucoup de tentatives d’arnaques (de toutes manières, si elle me demande de lui envoyer de l’argent, je ne le fais pas). Je me suis fait bloquer des dizaines de fois par des ladyboys qui auraient voulu que je leur sois soumis ou je ne sais quoi. Petit à petit, j’ai découvert des points communs.

Un jour, j’’ai branché une brune qui cherchait un européen parce qu’elle aimait le sexe. J’ai tenu le contact plusieurs mois.

Capture d'écran d'une vidéo de concours de beauté _____

Puis j’ai eu une opportunité de partir aux Philippines. J’ai pris le temps d’avoir un vidéo chat sur skype pour vérifier que je n’avais pas affaire à un fake, et j’ai pris mon billet d’avion. Arrivé à Manille, il me fallait changer d’aérogare à l’aéroport. Je n’avais pas encore été en ville, mais l’ambiance avait changé. J’étais une proie pour les gens. Chacun avait son service bidon à me vendre pour me tirer du fric.

A la recherche de dauphins entre Cebu et Negros __________

Nous nous sommes rencontrés à Cebu (city). Coté sexe, ce n’était pas folichon (pour faire court), mais c’était une non vénale. Coté activité non plus ce n’était pas une courageuse. Elle préférait rester à l’hôtel, ne rien visiter et téléphoner à ses copines/cousines qu’elle avait un «Cano». Qui plus est, elle devenait jalouse et cherchait à tout savoir de mes affaires sur dateinasia.

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De retour à Manille, j’ai à nouveau senti cette ambiance d’insécurité. Quand j’ai demandé mon chemin à un militaire, il m’a dit de me méfier de Malate. J’ai trouvé un hôtel correct et j’ai commencé à recevoir des messages de harcèlement. Elle me surveillait.

J’avais rendez-vous avec une autre trans de Manille, pour laquelle je n’avais aucune attirance. Nous voulions nous voir pour parler d’autre chose que de sexe et de transsxuelles.

De retour en France, je me suis occupé d’autre chose. Puis j’ai un jour reçu un message de mon ex. Elle s’était fait voler son smartphone et elle avait besoin d’argent pour en racheter un. Le mois suivant, elle avait besoin d’argent pour acheter un «broad band» pour faire de l’internet à la campagne. Je n’ai rien dit et j’ai coupé les ponts. J’ai profité d’un message dans lequel elle me disait de ne plus lui parler pour le faire.
Je continuais de communiquer avec le ladyboy rencontré à Manille qui m’a dit que mon ex était devenue très agressive en messagerie privée.

J’ai cherché une autre copine aux Philippines. Je me suis rendu compte que dans certaines régions (vers Manille), j’étais pris pour un pigeon et dans d’autres régions, je risquais de me faire enlever par un mouvement de guérilla. Je me suis également rendu compte que pour ne pas être emmerdé, je serais mieux à ne pas m’engager avec une seule copine. L’année précédente, j’avais visité la Thaïlande avec un ladyboy en LT, et celle-ci aussi faisait barrage entre la population et moi.

J’ai décidé que les trans philippines n’étaient pas assez souples et que le pays cachait des dangers et j’ai décidé de partir en Thaïlande. A peine arrivé, j’ai appris qu’un tremblement de terre avait tué des gens à Cebu. Avant de quitter la Thaïlande, j’ai appris qu’un gros typhon avait inondé Manille et après être rentré, un super typhon ravageait sur les Visayas. Je l’ai pris comme un signe du destin.

J’ai vu des ladyboys philippins aller travailler dans les bars de Thaïlande. Parmi elles, une avec qui j’avait discuté particulièrement est même devenue une escort ladyboy assez cotée dans le milieu des punters. J’ai aussi remarqué qu’on trouve des shemales philippines dans beaucoup de pays d’Asie du Sud Est. Je les trouve prétentieuses, moins jolies que la moyenne et souvent moins performantes.



Puis, j’ai supprimé mon compte à dateinasia. Quelques semaines plus tard, mon ex changeait sa photo. Ce n’était plus un ladyboy mais un gay aux cheveux courts.

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En Malaisie, j’ai croisé des philippins et un chrétien malaisien à l’aéroport de Johor Baru. C’étaient des gens d’un niveau social élevé mais j’ai retrouvé cette manie des philippins à fouiller dans les affaires des autres sous prétexte de se rendre sympathique.
Après mon passage en Malaisie, j’ai décidé de garder mes distances avec les baklas.

J'ai découvert Pinalove.com cette année. J'ai retrouvé la même typologie de ladyboys. J'ai sympathisé avec un ange qui cherchait un copain après avoir été largué par son boyfriend anglais. Je n'ai pas les moyens d'entretenir une relation à distance. J'ai arrêté de jouer.

Le tableau des Philippines n'est pas bien joli, dis donc ...

Et pourtant, sur les réseaux, elles occupent 70% des annonces. (transsexualdate par exemple)

biboplove a écrit :Le tableau des Philippines n'est pas bien joli, dis donc ...

Et pourtant, sur les réseaux, elles occupent 70% des annonces. (transsexualdate par exemple)

Tout à fait. C'est ce que j'explique dans certains paragraphes : elles font de l'escorting partout en Asie. mais elles on tendance à vouloir faire le jackpot avec chaque client. Je vais poster sur Singapour, c'est la même chose.

Le plus effrayant est à Bangkok. On peut trouver une trans thaïlandaise parfait pour 1500 baht et les prix peuvent monter à 3000 si la trans a quelque chose de particulier. Les philippines demandent 5000 baht dans les annonces de craigslist. J'ai envie d'hurler "elle ne s'est pas regardée celle-là". Elle a du gras au bide, elle ne ressemble à rien et en cherchant ailleurs, on trouve un canon bien roulé pour moins cher. C'est la vie.

Par contre, une philippine peut être une bonne occasion pour avoir une petite amie trans ou un trans "au pair" chez soi (j'éviterais de faire ça en France tout de même).

Je pourrais en balancer d'autres sur les philippines, peut-être quand je parlerai de la Thaïlande.

Singapour

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Ambiance différente dans la cité état. Réputée pour sa discipline, j’ai trouvé l’ambiance assez cool. Il est vrai que je ne fume pas, je ne crache pas par terre et je n’ai pas acheté de chewing gum pour le jeter dans la rue. J’ai vu des policiers avec des uniformes verbaliser des fumeurs. Mais c’est agréable de marcher sans avoir à respirer la fumée des autres.



Orchard Tower
https://www.google.fr/maps/place/Orchard+Tower/

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C’est l’endroit le plus connu de Sinagpour.
Dans la tour, un centre commercial occupe les premiers étages. On y voit surtout des boutiques, des boutiques de massage traditionnel et des bars de nuit fermés.

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Au niveau 3, le club Romeo et au niveau 4, le club Crazy Horse sont des bars à ladyboys. On y trouve des ladyboys d’origine locale et philippines ainsi que quelques thaïs ou d’autres encore. Si on a de la chance, on peut s’en tirer à 200 SG$ (135 € au cours actuel) mais les prix montent facilement à 300 SG$ (200 €).

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A l’extérieur en soirée, des freelancers s’installent dans le centre commercial, vers les entrées des tours et plus tard dans la nuit sur une partie Orchard Road. Les prix demandés sont de 200 SG$ pour 2 heures. Ce sont des ladyboys assez athlétiques.

Les plus jolies dans le centre commercial ___________________________

Quelques vidéo sur Orchard Tower :






Geylang Road Lorong 16
https://www.google.fr/maps/place/Lor+16 ... Singapour/

Il y aurait des ladyboys Lorong 16, 18 & 20 Geylang road. Quand je suis passé voir, je n’en ai pas vu. Par contre, le quartier avait beaucoup de chinoises (sans guillemets). Il m’aurait fallu passer après 22 heures pour voir, mais je logeais au centre ville et j’étais un peu à cours d’argent.

Ladyboy thailandais (Lorong 16) ____________________________________
Photo prise par un punter en 2013



Escorts sur le net

Singapour ne manque pas de ladyboys passant des annonces.
http://singapore.craigslist.com.sg/sear ... &query=t4m
http://singapore.backpage.com/TranssexualEscorts/

Les prix peuvent flamber assez vite de 300 SG$ (200 €) à 400 SG$ (270 €). Dans ces annonces, je retrouve des philippines vues dans les annonces en Malaisie.
La police de Singapour fait régulièrement des descentes dans les hôtels où les philippines se logent pour des contrôles d’immigration, puis les expulsent. On peut inviter une escort (même trans) dans les hôtels selects, mais si on commence à en inviter plusieurs dans la même nuit, la police se rendra compte de quelque chose. Les invitées doivent présenter une pièce d’identité à la réception et certaines refusent de le faire.



Rowell Road
https://www.google.fr/maps/place/79+Row ... ur+208013/

L'entrée du 79 en journée _________________________________________

Dans la journée, Rowell Rd est une rue ordinaire, sympathique et ensoleillée. Tous ceux qui ont découvert cette adresse (moi au d’autres) l’ont fait par hasard en passant par là sans avoir à passer.

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Les ladyboys travaillent dans des bordels aménagés au premier étage des maisons. Il y en a un au 79 et un au numéro 9. Derrière une grille solidement cadenassée, les ladyboys attendent le client en file indienne et seule la première de la file peut négocier avec le client qui se présente. Derrière la grille, il n’y a pas de couloir, mais un escalier qui mène au premier étage. A l’étage, la pièce est un peu vieillotte et crade. Les ladyboys «opèrent» dans des box séparés par des cloisons et fermés par des rideaux sur des matelas posés sur le sol. Curieuse ambiance avec un mélange d’intimité et d’exhibitionnisme à la fois. Lorsqu’un client commence à pénétrer un ladyboy dans un box voisin, on entend un «han» de douleur et de soulagement. Ça a un coté un peu glauque mais j’ai bien aimé d’autant plus que c’est le meilleur rapport qualité/prix à Singapour : 50 SG$ (30 € à l’époque) pour 30-45 minutes.

Des indiens devant le 79 hésitent avant de choisir __________________________

Il y a un autre bordel similaire au numéro 9 de la même rue. Pour info, j’ai aussi vu une voiture de police stationnée à proximité le soir et les policiers surveillaient l’affaire de loin. Selon des posts trouvés sur le net, il s’agirait d’une zone de tolérance pour la prostitution.

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J’ai découvert sur le net qu’il existait une autre adresse à proximité, dans une rue de l’autre coté du même bloc Desker Rd. Voici une vidéo sur Desker :



Clark Quay
https://www.google.fr/maps/place/Clarke+Quay+Singapour/

Personnellement, je n’y ai pas été. Apparemment, ce seraient des philippines et quelques thaïs, filles ou ladyboys qui viennent profiter des prix élevés à Singapour dans ce centre commercial assez chic. Les prix demandés seraient de 200 SG$ (135 €).


Changi village
https://www.google.fr/maps/place/Lor+Be ... Singapour/

Changi village est une zone à coté de l’aéroport de Singapour (Changi airport). Il y aurait des ladyboys qui tapinent la nuit, principalement pour des prestations en voiture. Les prix commencent à 30 SG$ (20 €) pour une fellation en voiture ou 50 SG$ (34 €) pour un coup vite fait en voiture jusqu’à 300 SG$ (200 €) pour la nuit. Il y auarait 2 spots : proche du 7/11 du Changi Village Rd, des ladyboys de plus de 30 ans et un peu plus loin dans Lorong Bekukong, des ladyboys d’un peu plus de 20 ans viennent finir la nuit après l’avoir commencée à Orchard tower.
Un lien semblant confirmer (posté en 2013) : http://www.sgexposed.com/2013/02/singap ... llage.html



Mon EV : je suis arrivé à Singapour par le nord en bus. Le bus s’est arrêté quelque part du coté de Changi mais je n’ai rien vu de jour. J’ai été fortement handicapé lors de ce séjour car j’avais du payer une grosse dépense la veille et l’agence de voyage a refusé ma carte de crédit alors j’ai du payer en cash et j’avais du mal à en retirer (ce genre de problèmes se gèrent en amont avec sa banque et c’est toujours gênant de se retrouver coincé comme ça). J’ai trouvé un hôtel modeste qui acceptait les paiements par CB et j’ai commencé à visiter. Le premier soir, je suis rentré précipitamment à cause de la pluie des orages équatoriaux. Le lendemain, j’ai visité la tour Orchard mais je ne pouvais pas faire grand-chose par manque d’argent. Qui plus est, à 200 SG$ les 2 heures, j’ai préféré garder mon argent pour plus tard.
En fin d’après midi, je suis allé du coté de Geylang Rd ou j’ai vu des filles en provenance de Chine mais pas de ladyboy. On m’a dit plus tard au’il aurait fallu revenir entre 22 h et 3 heures du matin.
Le lendemain, j’ai pu retire un peu d’argent. J’ai acheté un forfait pour me promener en illimité dans les bus touristiques. J’ai fait un circuit et ai commencé un autre quand j’ai voulu retourner à mon hôtel. Je me suis retrouvé dans Rowell Road par hasard et j’ai décidé de repasser un peu plus tard. J’ai fait affaire avec une petite trans australienne au look européen. Il m’a fallu revenir car j’étais à cours d’argent. Dommage car l’expérience était amusante et je l’aurais volontiers invitée pour une plus longue durée.

Récemment, j’ai lu qu’il y aurait moins de ladyboys à Singapour. Je prends ces informations avec des pincettes. La police de Singapour intervient assez souvent dans les milieux de la prostitution pour faire le ménage au niveau de l’immigration clandestine. J’ai aussi constaté que les expats vivant à Singapour ou les punters de Singapour essayent de cacher l’information voire de la fausser.
Selon les dernières informations, la police aurait supprimé les zones de tolérance (Rowell rd), et aurait vidé Clark Quay (si tant est qu’il y ait eu beaucoup d’activité). Les trans ne seraient plus intéressées par Changi car la position est trop excentrée et les reportages télé incessants du coté de Geylang Rd auraient fait fuir les trans. Autant de bas en même temps, ça me parait suspect. J’ai trouvé des vieux posts sur le net faisant état de baisse d’activité en 2007 et d’autres parlant de reprise plus tard.
N’allez pas à Singapour pour courir après les laydyboys. Mais si vous passez par là, vous avez une idée des endroits où vous pouvez aller jeter un œil pour passer le temps.