une certaine Pamela.....
Publié : 14 juin 2017, 20:30
Dimanche soir vers 21 heure, j'appelle la belle Anita https://www.escorts69.fr/escort-trans/ad115441-anita j'ai une sacré envie de me faire tringler et de m'amuser à faire un plan uro, je lui demande jusqu’à quelle heure elle reçoit, une heure du matin, me dit-elle.
Bon j'ai de la marge, à 22h30 je prends ma douche, me nettoie le trou de bal, parfumé et rasé je monte dans ma voiture et je la rappelle avant de me rendre à bonne nouvelle, pas de réponse, une fois arrivé sur place je l'appelle à nouveau, toujours pas de réponse, j'essaie plusieurs fois, rien de rien, j'ai les boules, du coup je tente la belle Rita, même chose aucune réponse, il est maintenant 23h45, je tente la belle Mara, toujours rien, j'essaie d'autres beautés sur escort 69, aucune ne répond.
Résigné je vais au bois, il y'a longtemps que je n'y suis pas allé, je vais allée de la Reine Marguerite, je fais des allers-retours, y'a pas grand monde, le temps passe il est maintenant 1h30, pas une, habillée comme j'aime, à savoir bas pj escarpin, je suis dégouté, finalement j'en vois une avec un superbe cul, je l'aborde, elle m'annonce les tarifs dans le bois, je décline et lui propose une baise chez elle, elle m’annonce 150 euros, je négocie à 100 euros, je l'embarque, elle va chercher ses affaires, elle revient avec un sac Liddle un parapluie et une paire de tongs aux pieds, c'est déja moins glamour.
On prend le périphérique, je peux la regarder un peu mieux maintenant, elle fait plus trav que transexuelle, lorsqu'on est au feu rouge, j'évite d’être a la hauteur des autres conducteurs, car certains coups d’œil me mettent mal à l'aise.
Arrivé non loin de Pigalle sur le boulevard de Clichy, elle me demande de me garer car elle habite une petite rue en impasse donnant sur ce boulevard, cité du midi, il est un peu plus de deux heure du matin le boulevard est bondé de monde, question, comment vais je faire pour affronter les regards voire les moqueries, car ce trav avec sa grosse poitrine ne passe pas inaperçu.
Ah j'ai une idée, je lui prends son sac Liddlle, comme ça je vais peut-etre passer pour un type qui la raccompagne, un uber, on marche sur le trottoir, on croise une multitude de gens, devant les sandwicheries, des jeunes beurs attablés, les regards se font insistants, dès qu'on passe on les entend palabrer, rigoler, c'est l'archouma......la honte en arabe, il manquerait plus que je rencontre une de mes connaissances .
Enfin on arrive devant sa porte, une vieille sorcière qui ne parle que brésilien vient nous ouvrir, je rentre dans cet espèce de studio glauque ou s'entasse pèle mêle des valises et des meuble style bric à brac une télé grand écran diffuse des séries brésiliennes.....où je suis ?
Je fouille dans mes poches pour être certain d'y trouver les cent euros promis
je ne les ai pas, ils sont restés dans le vide poche, j'explique la situation à Pamela et je file chercher les biffetons, je quitte l'impasse, les beurs me voient à nouveau passer, plutôt que de me casser, je reviens, l'envie de me prendre une bonne queue est plus forte que la raison, une fois sur place elle me demande de monter à l'étage, il y'a un genre de mezzanine où se trouve son lit , le drap sur le lit est crado, une tache suspecte, il faut ramper car il n'y'a pratiquement pas de hauteur sous plafond.
On passe à la partie baise, elle a une belle queue tout juste au dessus de la moyenne, on se suce, puis elle me prend, je dois insister pour qu'elle mette une capote, à un moment je me rend compte qu'elle n'a plus de capote, par manque de lubrifiant, elle s'est barrée, et cette salope qui continuait à me tringler, je lui demande à nouveau qu'elle enfile une capote, plusieurs positions se succèdent, puis elle vient dans mon cul, avec une capote, j'avais vérifié, vient mon tour pour qu'elle s'occupe de moi, elle me suce, puis je lui fais bouffer mes couilles pendant que je me branle, une fois terminé, j'ai hate de me casser, j'ai un peu honte de cette situation, aller dans un endroit aussi glauque parce qu'on a le feu au cul, c'est vraiment limite.
Je sors, un beur tient le mur à l'angle du boulevard et de l'impasse, je l'entends me dire "travesti, travesti", je me casse sans attendre mon reste en maudissant les transexuelles qui n'ont pas répondu à mes appels téléphoniques
Bon j'ai de la marge, à 22h30 je prends ma douche, me nettoie le trou de bal, parfumé et rasé je monte dans ma voiture et je la rappelle avant de me rendre à bonne nouvelle, pas de réponse, une fois arrivé sur place je l'appelle à nouveau, toujours pas de réponse, j'essaie plusieurs fois, rien de rien, j'ai les boules, du coup je tente la belle Rita, même chose aucune réponse, il est maintenant 23h45, je tente la belle Mara, toujours rien, j'essaie d'autres beautés sur escort 69, aucune ne répond.
Résigné je vais au bois, il y'a longtemps que je n'y suis pas allé, je vais allée de la Reine Marguerite, je fais des allers-retours, y'a pas grand monde, le temps passe il est maintenant 1h30, pas une, habillée comme j'aime, à savoir bas pj escarpin, je suis dégouté, finalement j'en vois une avec un superbe cul, je l'aborde, elle m'annonce les tarifs dans le bois, je décline et lui propose une baise chez elle, elle m’annonce 150 euros, je négocie à 100 euros, je l'embarque, elle va chercher ses affaires, elle revient avec un sac Liddle un parapluie et une paire de tongs aux pieds, c'est déja moins glamour.
On prend le périphérique, je peux la regarder un peu mieux maintenant, elle fait plus trav que transexuelle, lorsqu'on est au feu rouge, j'évite d’être a la hauteur des autres conducteurs, car certains coups d’œil me mettent mal à l'aise.
Arrivé non loin de Pigalle sur le boulevard de Clichy, elle me demande de me garer car elle habite une petite rue en impasse donnant sur ce boulevard, cité du midi, il est un peu plus de deux heure du matin le boulevard est bondé de monde, question, comment vais je faire pour affronter les regards voire les moqueries, car ce trav avec sa grosse poitrine ne passe pas inaperçu.
Ah j'ai une idée, je lui prends son sac Liddlle, comme ça je vais peut-etre passer pour un type qui la raccompagne, un uber, on marche sur le trottoir, on croise une multitude de gens, devant les sandwicheries, des jeunes beurs attablés, les regards se font insistants, dès qu'on passe on les entend palabrer, rigoler, c'est l'archouma......la honte en arabe, il manquerait plus que je rencontre une de mes connaissances .
Enfin on arrive devant sa porte, une vieille sorcière qui ne parle que brésilien vient nous ouvrir, je rentre dans cet espèce de studio glauque ou s'entasse pèle mêle des valises et des meuble style bric à brac une télé grand écran diffuse des séries brésiliennes.....où je suis ?
Je fouille dans mes poches pour être certain d'y trouver les cent euros promis
je ne les ai pas, ils sont restés dans le vide poche, j'explique la situation à Pamela et je file chercher les biffetons, je quitte l'impasse, les beurs me voient à nouveau passer, plutôt que de me casser, je reviens, l'envie de me prendre une bonne queue est plus forte que la raison, une fois sur place elle me demande de monter à l'étage, il y'a un genre de mezzanine où se trouve son lit , le drap sur le lit est crado, une tache suspecte, il faut ramper car il n'y'a pratiquement pas de hauteur sous plafond.
On passe à la partie baise, elle a une belle queue tout juste au dessus de la moyenne, on se suce, puis elle me prend, je dois insister pour qu'elle mette une capote, à un moment je me rend compte qu'elle n'a plus de capote, par manque de lubrifiant, elle s'est barrée, et cette salope qui continuait à me tringler, je lui demande à nouveau qu'elle enfile une capote, plusieurs positions se succèdent, puis elle vient dans mon cul, avec une capote, j'avais vérifié, vient mon tour pour qu'elle s'occupe de moi, elle me suce, puis je lui fais bouffer mes couilles pendant que je me branle, une fois terminé, j'ai hate de me casser, j'ai un peu honte de cette situation, aller dans un endroit aussi glauque parce qu'on a le feu au cul, c'est vraiment limite.
Je sors, un beur tient le mur à l'angle du boulevard et de l'impasse, je l'entends me dire "travesti, travesti", je me casse sans attendre mon reste en maudissant les transexuelles qui n'ont pas répondu à mes appels téléphoniques