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
, mais ce la fait plaisir de voir qui'il y a du débat ici !
En effet je disais à une amie égalment, "tu ne vends pas ton corps, tu le loues, et encore, c'est même faux, tu loues ta sexualité. Vendre son corps c'est vendre un organe, on te l'enleve et tu le vends". De meme louer son corps ca voudrait dire etre une planche à pain qui se laisse faire, ou n'est pas assez précis, on peut comprendre aussi louer son corps tiens pour du body painting, ca ne cible pas assez. Louer sa sexualité, ce serait plus parlant.
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Dans l' échange qui je cite au dessous, le journaliste parle du point de vue de la prostituée, et le philosophe ne semble pas comprendre la question, et traite le point de vue du client.
Question :
"_ Quand on paye un ou une prostitué(e), on verse une somme qui s’inscrit dans une grille de tarifs moyens (x euros la pipe dans telle quartier, x euros la nuit avec telle call-girl de telle agence…). Si l’on reçoit de l’argent en échange d’une « mise à disposition de son corps », selon quels critères évaluer la valeur, en euros (ou autre monnaie) de ce que l’on offre ?"
Réponse:
"_ Dans les deux cas, on peut laisser aux personnes concernées la liberté d’évaluer, en leur recommandant d’éviter de profiter injustement de leurs pouvoirs et en leur interdisant d’user du chantage, de la menace ou de la force. Comme dans tout autre échange, bien sûr."