Nostalgies du Bois
- Samutprakan
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Nostalgies du Bois
J'ouvre cette discussion pour poster des EV anciennes, des histoires qui vous ont marqué ou des vieux trucs dignes d'intérêt sur le Bois. Il s'agit autant de ne pas encombrer la discussion principale alors qu'on n'a pas grand chose à raconter dans cette dernière que de poster des expériences vécues qu'on n'aurait pas racontées autrement.
Je vais commencer par une anecdote à la fois dans le sujet et hors sujet. ça se passait dans les années 1990. Au gré des alternances politiques, il y avait des politiques plus ou répressives contre les tapins et ça se voyait dans les différents lieux de michetonnage de la capitale. Ce jour là, au Bois, j'ai surpris une discussion entre 2 clients, route de Suresnes. La route de Suresnes est située en haut et à droite du plan en dessous du segment noté JA6, en dessous de l'Allée des poteaux. Il avait du y avoir une baisse d'activité car c'était un endroit que je ne fréquentais pas vraiment même si à l'époque, on pouvait y trouver quelques jolis spécimens.
J'avais dû me rabattre vers cet endroit car je n'avais pas trouvé de trans où j'avais l'habitude d'en voir, je ne me souviens plus où. A l'époque, il n'y avait pas ces barrières qui interdisent l'accès à certains endroit du Bois la nuit. Il se pouvait que les trans chassées d'un coin décidassent d'aller tapiner dans un autre coin, donc il n'était pas vraiment démontré qu'il y avait ce jour là une baisse d'activité. Or la discussion se tenait entre 2 types dont l'un avait la cinquantaine, l'autre la soixantaine des vieux croutons un peu comme la plupart d'entre nous maintenant. Le sujet qui revenait sans cesse dans leur bouche était "c'est la fin du Bois de Boulogne".
Après ça, il y a eu une remontée de l'activité, d'autres alternaces politiques puis 2 tempêtes à la fin du siècle dernier. Ensuite, ça a été le sarkozisme qui prétendait faire de la sécurité en envoyant les forces de l'ordre harceler les prostituées en tout genre (ça a duré près de 10 ans ces conneries) puis le féminisme moralisateur qui s'en prend aux clients.
Le Bois de Boulogne est toujours là. Il y a toujours des trans, très belles, très moches, avec des cul énormes , une féminité exacerbée ou des bites à faire frémir d'envie les passifs les plus fous. Bon, le confinement a mis un coup d'arrêt provisoire, mais dès que ça va dé-confiner, il y a ura bien des jobards pour retourner au Bois.
En attendant, racontez ici vos vieilles histoires (ou vos commentaires).
Je vais commencer par une anecdote à la fois dans le sujet et hors sujet. ça se passait dans les années 1990. Au gré des alternances politiques, il y avait des politiques plus ou répressives contre les tapins et ça se voyait dans les différents lieux de michetonnage de la capitale. Ce jour là, au Bois, j'ai surpris une discussion entre 2 clients, route de Suresnes. La route de Suresnes est située en haut et à droite du plan en dessous du segment noté JA6, en dessous de l'Allée des poteaux. Il avait du y avoir une baisse d'activité car c'était un endroit que je ne fréquentais pas vraiment même si à l'époque, on pouvait y trouver quelques jolis spécimens.
J'avais dû me rabattre vers cet endroit car je n'avais pas trouvé de trans où j'avais l'habitude d'en voir, je ne me souviens plus où. A l'époque, il n'y avait pas ces barrières qui interdisent l'accès à certains endroit du Bois la nuit. Il se pouvait que les trans chassées d'un coin décidassent d'aller tapiner dans un autre coin, donc il n'était pas vraiment démontré qu'il y avait ce jour là une baisse d'activité. Or la discussion se tenait entre 2 types dont l'un avait la cinquantaine, l'autre la soixantaine des vieux croutons un peu comme la plupart d'entre nous maintenant. Le sujet qui revenait sans cesse dans leur bouche était "c'est la fin du Bois de Boulogne".
Après ça, il y a eu une remontée de l'activité, d'autres alternaces politiques puis 2 tempêtes à la fin du siècle dernier. Ensuite, ça a été le sarkozisme qui prétendait faire de la sécurité en envoyant les forces de l'ordre harceler les prostituées en tout genre (ça a duré près de 10 ans ces conneries) puis le féminisme moralisateur qui s'en prend aux clients.
Le Bois de Boulogne est toujours là. Il y a toujours des trans, très belles, très moches, avec des cul énormes , une féminité exacerbée ou des bites à faire frémir d'envie les passifs les plus fous. Bon, le confinement a mis un coup d'arrêt provisoire, mais dès que ça va dé-confiner, il y a ura bien des jobards pour retourner au Bois.
En attendant, racontez ici vos vieilles histoires (ou vos commentaires).
- blackshemalelover
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Le bois, pour moi un véritable Disneyland
Fin des années 2000 début 2010, je me souviens à quel point j'étais excité au fait d'arriver au bois. Quand il faisait beau, le bois était remplis.
À tel point que j'ai toujours eu du mal à me décider.
Je faisais plusieurs tour en voiture et procédait par élimination.
J'adorais tester des nouvelles comme ça si j' étais déçu, j'en prenais une autre.
Je trouve que l'ambiance était top. Au petit matin, plusieurs d'entre elle laissaient les gens regarder.
La 1ere fois qu'on m'a matter, j'étais très gêner. Par la suite ça m'a moins gêner tant que c'est pas trop près.
Il y avait aussi cette ambiance quand tu pars avec une belle et sur le chemin tu croises un autre mec defoncer une autre. Ça m'excitait fort.
Sinon pour l'anecdote, je me souviens d'une blonde Mature. (malheureusement je connais plus son nom) celle ci prenait des clients à la chaîne.
C'est à dire, une voiture se gardait et il y a avait 5 mecs qui passaient l'un après l'autre.
Ça m'excitait fort
Cette période me manque
Fin des années 2000 début 2010, je me souviens à quel point j'étais excité au fait d'arriver au bois. Quand il faisait beau, le bois était remplis.
À tel point que j'ai toujours eu du mal à me décider.
Je faisais plusieurs tour en voiture et procédait par élimination.
J'adorais tester des nouvelles comme ça si j' étais déçu, j'en prenais une autre.
Je trouve que l'ambiance était top. Au petit matin, plusieurs d'entre elle laissaient les gens regarder.
La 1ere fois qu'on m'a matter, j'étais très gêner. Par la suite ça m'a moins gêner tant que c'est pas trop près.
Il y avait aussi cette ambiance quand tu pars avec une belle et sur le chemin tu croises un autre mec defoncer une autre. Ça m'excitait fort.
Sinon pour l'anecdote, je me souviens d'une blonde Mature. (malheureusement je connais plus son nom) celle ci prenait des clients à la chaîne.
C'est à dire, une voiture se gardait et il y a avait 5 mecs qui passaient l'un après l'autre.
Ça m'excitait fort
Cette période me manque
Je rejoint blackshemalelover. J’y ai passé des moments inoubliables! Et même si y’a eu quelques inconvénients (vol de mon portable, vitres cassés, et une altercation...) c’est bien peu de choses face aux rencontres, situations, excitations comme nul autre part ailleurs sinon les meilleures soirées libertines ou si certains ont lu mes posts j’y ai emmené des trans !
Bref retour dans le bois à cette atmosphère si étrange dangereuse et exquise. Je dois dire que non la nostalgie ne me vient pas à l’esprit. Chaque époque est différente. Des creux et des sommets... j’y ai connu le pire et le meilleur. Sans doute ce qui permet de déguster le meilleur quand on a connu ... le pire.
Transland et non pas Disneyland je dirais. Ça vend du rêve du sexe sur un territoire où une ballade de 3h te permet juste de faire le tour... encore que à force de s’y balader on repère les bons spots. Lire mon EV Kimberly ou d’autres dans le bois de Boulogne ... ce lieu confine à la magie. Bien sûr l’envers du décor n’est pas folichon, faut pas être naïf mais pourtant c’est bien moins glauque que bien des vidéos et autres reportages racoleurs ...question de point de vue !
Clair que ça me manque aussi...
Bref retour dans le bois à cette atmosphère si étrange dangereuse et exquise. Je dois dire que non la nostalgie ne me vient pas à l’esprit. Chaque époque est différente. Des creux et des sommets... j’y ai connu le pire et le meilleur. Sans doute ce qui permet de déguster le meilleur quand on a connu ... le pire.
Transland et non pas Disneyland je dirais. Ça vend du rêve du sexe sur un territoire où une ballade de 3h te permet juste de faire le tour... encore que à force de s’y balader on repère les bons spots. Lire mon EV Kimberly ou d’autres dans le bois de Boulogne ... ce lieu confine à la magie. Bien sûr l’envers du décor n’est pas folichon, faut pas être naïf mais pourtant c’est bien moins glauque que bien des vidéos et autres reportages racoleurs ...question de point de vue !
Clair que ça me manque aussi...
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Hello,
Je rejoins mon bon ami BLONDX, Kim fait cruellement défaut au bois ...
Il y a aussi une petite blonde, Paola, vers RM14 qui est bloquée au pays depuis bientôt un an.
La dernière fois que je l'ai vue, c'était en décembre, trois jours avant son départ.
Eh oui, ça fait peut etre pas aussi longtemps que vos histoires, mais je ne consomme que depuis peu (2018)
Je rejoins mon bon ami BLONDX, Kim fait cruellement défaut au bois ...
Il y a aussi une petite blonde, Paola, vers RM14 qui est bloquée au pays depuis bientôt un an.
La dernière fois que je l'ai vue, c'était en décembre, trois jours avant son départ.
Eh oui, ça fait peut etre pas aussi longtemps que vos histoires, mais je ne consomme que depuis peu (2018)
Bah y’a pas de mauvaise époque (hors covid évidemment) ...
D’ailleurs en 2020 encore des bonnes surprises
Voir mon post bois de Boulogne. (Y’a d’autres histoires d’autres membres tout aussi extraordinaires ! )
http://www.trans-girls.com/index.php?na ... start=3165
D’ailleurs en 2020 encore des bonnes surprises
Voir mon post bois de Boulogne. (Y’a d’autres histoires d’autres membres tout aussi extraordinaires ! )
http://www.trans-girls.com/index.php?na ... start=3165
Bonjour,
Pour moi le bois de Boulogne c'est l'évasion ultime de l'âme. C'est un endroit que j'ai découvert très jeune à 18 ans en m'y retrouvant par hasard. J'étais pas loin, j'ai dis pourquoi ne pas aller voir. J'ai arpenter les rues, les allées, les sous-bois de jour comme de nuit, été comme hiver. J'ai surtout appris à appréhender sa population que ce soit les femmes, les transsexuelles, les travesties ou les punters, les chaland.
Je suis très nostalgique de cette époque, car j'ai appris à connaitre ce lieu à travers des forums. D'ailleurs peut-être qu'il y a un topic ici, mais il y en avait un sur une que j'appréciais beaucoup, une certaine Claudine, très âgée elle bosse encore ?
Pour moi le bois de Boulogne c'est l'évasion ultime de l'âme. C'est un endroit que j'ai découvert très jeune à 18 ans en m'y retrouvant par hasard. J'étais pas loin, j'ai dis pourquoi ne pas aller voir. J'ai arpenter les rues, les allées, les sous-bois de jour comme de nuit, été comme hiver. J'ai surtout appris à appréhender sa population que ce soit les femmes, les transsexuelles, les travesties ou les punters, les chaland.
Je suis très nostalgique de cette époque, car j'ai appris à connaitre ce lieu à travers des forums. D'ailleurs peut-être qu'il y a un topic ici, mais il y en avait un sur une que j'appréciais beaucoup, une certaine Claudine, très âgée elle bosse encore ?
Au Klub des Loosers, la vie est comme dans un musée. On passe notre temps à regarder sans jamais pouvoir toucher.
- Samutprakan
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Voilà une petite histoire qui s'est passée au siècle dernier. J'étais relativement novice au B2B. J'ai du mal à dater l'expérience. Je crois parfois avoir payé en Euros mais c'est parce que mes souvenirs s'embrouillent. Ce soir là, je me suis aventuré dans un coin du bois où je n'allais jamais. J'aimais bien tourner sur les lieux de tapinage que ce soit à pied ou en voiture. Ce qui me fait dire que c'était avant l'arrivée de l'euro, c'est que c'était sur une route qui n'a plus été accessible le soir avant l'arrivée de l'euro.
Je suivais une grande courbe avec ma voiture. A l'intérieur de la courbe sur ma droite, il y avait un champs où il ne se passait rien. Sur la gauche, il y avait une butte avec des arbres assez espacés, pas de buisson mais plutôt de l'herbe au pied des arbres. Le terrain était en pente et derrière les arbres à 100 m, je pouvais voir un grand espace vide avec quelques arbres très éloignés les uns des autres. ça m'agace de ne pas arriver à me souvenir ni à retrouver le coin dans Google maps avec street view.
Dans le coté avec les arbres, il ya avait quelques trans assez loin de la route derrière quelques arbres. Le coin était calme et il n'y avait presque pas de trafic sur la route. Les trans étaient espacées les unes des autres, une pour 5 ou 6 arbres, voire plus (avec des arbres grand et espacés). Pratiquement toutes avaient des guêpières, des bas et des porte jaretelles qui avaient une signification non équivoque : "pute". Je suis allé voir de plus près.
J'ai rapidement laissé celles qui étaient trop grandes, ou habilées en noir et je me suis intéressé à un spécimen de taille moyenne avec des bas blancs un string si je me souviens bien, un blouson rouge par dessus sa guêpîère blanche. Ses cheveux ou sa perruque étaient assez courts (un peu comme Marlène Jobert) et teintés en blond avec le brun qui ressortait en dessous. J'ai négocié une pipe dans le bois.
On s'est éloigné de quelques arbres où le semblant de bois était un peu plus sombre mais la vue portait assez loin dans toutes les directions. Elle n'a pas voulu s'agenouiller parce que la terre était grasse et elle aurait sali ses bas blancs, alors elle s'est livrée à toutes sortes de contorsions pour me sucer. Elle m'envoyait des coups de langue sur ma queue qu'elle avait engloutie dans sa bouche pour essayer d'accélérer le coup. Curieux mais pas efficace.
Je me souviens surtout de l'ambiance très décontractée. Il n'u avait pas de voyeur, chacun dans son coin, pas de trans qui s'interpellaient à distance en poussant des cris de perroquet dans la forêt amazonienne, personne qui se méfiait de personne.
Quand ce fut terminé, je l'ai regardée une fois debout et j'ai regretté de ne pas avoir pris ce joli cul si bien mis en valeur par l'habit érotique. Je crois que c'était mon deuxième trans au bois. Le premier était un vieux travelo en perruque et j'avait regretté de l'avoir pénétré. Par contr, c'est peut-être à cause ou grâce à celle-ci et à ce coin du Bois que je me suis mis à aimer le Bois de Boulogne.
Je suivais une grande courbe avec ma voiture. A l'intérieur de la courbe sur ma droite, il y avait un champs où il ne se passait rien. Sur la gauche, il y avait une butte avec des arbres assez espacés, pas de buisson mais plutôt de l'herbe au pied des arbres. Le terrain était en pente et derrière les arbres à 100 m, je pouvais voir un grand espace vide avec quelques arbres très éloignés les uns des autres. ça m'agace de ne pas arriver à me souvenir ni à retrouver le coin dans Google maps avec street view.
Dans le coté avec les arbres, il ya avait quelques trans assez loin de la route derrière quelques arbres. Le coin était calme et il n'y avait presque pas de trafic sur la route. Les trans étaient espacées les unes des autres, une pour 5 ou 6 arbres, voire plus (avec des arbres grand et espacés). Pratiquement toutes avaient des guêpières, des bas et des porte jaretelles qui avaient une signification non équivoque : "pute". Je suis allé voir de plus près.
J'ai rapidement laissé celles qui étaient trop grandes, ou habilées en noir et je me suis intéressé à un spécimen de taille moyenne avec des bas blancs un string si je me souviens bien, un blouson rouge par dessus sa guêpîère blanche. Ses cheveux ou sa perruque étaient assez courts (un peu comme Marlène Jobert) et teintés en blond avec le brun qui ressortait en dessous. J'ai négocié une pipe dans le bois.
On s'est éloigné de quelques arbres où le semblant de bois était un peu plus sombre mais la vue portait assez loin dans toutes les directions. Elle n'a pas voulu s'agenouiller parce que la terre était grasse et elle aurait sali ses bas blancs, alors elle s'est livrée à toutes sortes de contorsions pour me sucer. Elle m'envoyait des coups de langue sur ma queue qu'elle avait engloutie dans sa bouche pour essayer d'accélérer le coup. Curieux mais pas efficace.
Je me souviens surtout de l'ambiance très décontractée. Il n'u avait pas de voyeur, chacun dans son coin, pas de trans qui s'interpellaient à distance en poussant des cris de perroquet dans la forêt amazonienne, personne qui se méfiait de personne.
Quand ce fut terminé, je l'ai regardée une fois debout et j'ai regretté de ne pas avoir pris ce joli cul si bien mis en valeur par l'habit érotique. Je crois que c'était mon deuxième trans au bois. Le premier était un vieux travelo en perruque et j'avait regretté de l'avoir pénétré. Par contr, c'est peut-être à cause ou grâce à celle-ci et à ce coin du Bois que je me suis mis à aimer le Bois de Boulogne.
- blackshemalelover
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Ma première experiance voyeurisme:
Je ne me souviens plus exactement de la date, mais c'etait vers 2012-2013 je pense, à cette epoque en RM7 il y avait des grillages qui coupaient la petite allé en sous-bois des bois
Je suis dans le bois et je ne fais que tourner car je ne sais pas laquelle choisir. j'en suis hyper excité.
La je vois Katty et son enorme derrière (avec les recherches, on trouvera facilement une photo d'elle) j'hesite entre elle et plein d'autre
La, un jeune de quartier populaire l'accoste, (il n'est pas d'origine africaine ou magrebhine).. Ce jeune lui parle, elle le trippote.. elle se retourne et frotte son gros derrière. Ca doit durer 5 minutes, ils ont l'air de negocier.
Hop tout à coup ils decident d'y aller.
J'avoue que ça m'excite fort. Ils passent tout deux en dessous du grillage, s'enfoncent dans les bois, suivent un petit sentier qui au final les ramène à 5 metre de moi
Je n'ai meme pas bougé, je ne les ai meme pas suivis et je peux tout voir...
Et ça commence, Katty lui fait des gorges profonde à s'en ettoufer durant un bon moment, ensuite elle se decide de se retourner et il la chevauche aussi pendant un petit moment... moi j'avoue que j'en peux plus, ça me donne enormement envie.
le mec fait son affaire en y mettant enormement d'energie. on pourrait dire qu'il la defonce.
Une fois finis, j'en peux plus, j'attend que le mec sort et direct je fonce vers elle, qui n'est meme pas encore habillé.
J'ai envi de vivre la meme chose et ce fut l'une de mes première leçon au bois: NE JAMAIS ENCHAINER AVEC UNE TRANS qui vient de se faire defoncer.
Bien sur elle a accepté mon argent mais sa prestation etait totalement baclée. au point ou je suis parti avant la fin.
A sa decharge, je pense qu'elle devait reprendre de l'energie apres une telle defonce et pour ne pas lui faire de la mauvaise pub, j'ai eu le plaisir de la retesté quelques semaines plus tard et là, c'etait top
Je ne me souviens plus exactement de la date, mais c'etait vers 2012-2013 je pense, à cette epoque en RM7 il y avait des grillages qui coupaient la petite allé en sous-bois des bois
Je suis dans le bois et je ne fais que tourner car je ne sais pas laquelle choisir. j'en suis hyper excité.
La je vois Katty et son enorme derrière (avec les recherches, on trouvera facilement une photo d'elle) j'hesite entre elle et plein d'autre
La, un jeune de quartier populaire l'accoste, (il n'est pas d'origine africaine ou magrebhine).. Ce jeune lui parle, elle le trippote.. elle se retourne et frotte son gros derrière. Ca doit durer 5 minutes, ils ont l'air de negocier.
Hop tout à coup ils decident d'y aller.
J'avoue que ça m'excite fort. Ils passent tout deux en dessous du grillage, s'enfoncent dans les bois, suivent un petit sentier qui au final les ramène à 5 metre de moi
Je n'ai meme pas bougé, je ne les ai meme pas suivis et je peux tout voir...
Et ça commence, Katty lui fait des gorges profonde à s'en ettoufer durant un bon moment, ensuite elle se decide de se retourner et il la chevauche aussi pendant un petit moment... moi j'avoue que j'en peux plus, ça me donne enormement envie.
le mec fait son affaire en y mettant enormement d'energie. on pourrait dire qu'il la defonce.
Une fois finis, j'en peux plus, j'attend que le mec sort et direct je fonce vers elle, qui n'est meme pas encore habillé.
J'ai envi de vivre la meme chose et ce fut l'une de mes première leçon au bois: NE JAMAIS ENCHAINER AVEC UNE TRANS qui vient de se faire defoncer.
Bien sur elle a accepté mon argent mais sa prestation etait totalement baclée. au point ou je suis parti avant la fin.
A sa decharge, je pense qu'elle devait reprendre de l'energie apres une telle defonce et pour ne pas lui faire de la mauvaise pub, j'ai eu le plaisir de la retesté quelques semaines plus tard et là, c'etait top
Rm7 s's'est le coin que je sollicite ou sollicité le plus, cette katty s'est un sacré morceau (katty perez de nom). Même si des fois, elle a des manière arrogante (mais un sacré gros cul) . Blackshemalelover, je pense que on a les même gouts car je t'ai lu à plusieurs reprise (on kiff les gros derrière et avec une grosse poitrine s'est le plus pour moi);
Je pense ta du connaitre Julietta et paloma ou pamela (ancien nom brisa) et même maya, une trans à lunette dans la rm7.
Sinon, t'es sacré fort pour faire le voyeur car dans ce coin , pas mal de monde (biensur , je parle de époque)
Je pense ta du connaitre Julietta et paloma ou pamela (ancien nom brisa) et même maya, une trans à lunette dans la rm7.
Sinon, t'es sacré fort pour faire le voyeur car dans ce coin , pas mal de monde (biensur , je parle de époque)
- blackshemalelover
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Rm7 est vraiment aussi le coin qui me plaît le plus.black.idf a écrit :Rm7 s's'est le coin que je sollicite ou sollicité le plus, cette katty s'est un sacré morceau (katty perez de nom). Même si des fois, elle a des manière arrogante (mais un sacré gros cul) . Blackshemalelover, je pense que on a les même gouts car je t'ai lu à plusieurs reprise (on kiff les gros derrière et avec une grosse poitrine s'est le plus pour moi);
Je pense ta du connaitre Julietta et paloma ou pamela (ancien nom brisa) et même maya, une trans à lunette dans la rm7.
Sinon, t'es sacré fort pour faire le voyeur car dans ce coin , pas mal de monde (biensur , je parle de époque)
Effectivement pour Katty, moi son attitude m'a saoulé.
Et oui, en lisant tes interventions, je pense aussi qu'on a les même goûts.
Juliette bien sur, d'ailleurs elle a vraiment bien refait son corps.
Pamela est tres très excitante.
Des fois, je regrette de ne pas vivre à Paris juste pour cet endroit
moi aussi après avoir quitté paris et la région parisienne, il y a des années maintenant. Faut dire que la rm7 est plus comme avant, même si il a toujours de bons coup à se faire.
Sinon, pour Katty, je te rejoins à 100% après eux quelque expériences avec elle , arrogante et peu aimable et ont sens que elle est là que pour son fric (même si s'est le but de chaque trans) mais faut être un minimum courtois et aimable, comme elle font les autres. Il a que son gros cul qui m'attire en elle car il donne envie de la défoncer hard.
Julietta, elle , toujours avec son legging blanc et string qui dépasse et un bon cul qui ressort bien , quand on avait envie de défoncer et elle, j'ai du la baisé, pas mal de fois en ressent qu'elleaime et prend plaisir.
Pamela s'est le contraire de Katty , pamela toujours souriante et gentille et poli et une bonne grosse poitrine et très très sexy (quand elle mettai sa robe rouge s'était le feu). Quand elle fait une fellation et vous regarde et sourit oulaaa, elle vous fait monter excitation et là quand vous la baisé s'est du plaisir.
Sinon, la RM7 pour moi s'est ce que je trouve de mieux et la seul évoqué comme escorte sur le site s'été Cécilia et pour moi, il a mieux. Mais, sinon sa fait plaisir de parler avec quelqu'un qui connait bien la rm7. Ils a des bons autres coups aussi, que me rappelle plus de leurs prénom.
Sinon, pour Katty, je te rejoins à 100% après eux quelque expériences avec elle , arrogante et peu aimable et ont sens que elle est là que pour son fric (même si s'est le but de chaque trans) mais faut être un minimum courtois et aimable, comme elle font les autres. Il a que son gros cul qui m'attire en elle car il donne envie de la défoncer hard.
Julietta, elle , toujours avec son legging blanc et string qui dépasse et un bon cul qui ressort bien , quand on avait envie de défoncer et elle, j'ai du la baisé, pas mal de fois en ressent qu'elleaime et prend plaisir.
Pamela s'est le contraire de Katty , pamela toujours souriante et gentille et poli et une bonne grosse poitrine et très très sexy (quand elle mettai sa robe rouge s'était le feu). Quand elle fait une fellation et vous regarde et sourit oulaaa, elle vous fait monter excitation et là quand vous la baisé s'est du plaisir.
Sinon, la RM7 pour moi s'est ce que je trouve de mieux et la seul évoqué comme escorte sur le site s'été Cécilia et pour moi, il a mieux. Mais, sinon sa fait plaisir de parler avec quelqu'un qui connait bien la rm7. Ils a des bons autres coups aussi, que me rappelle plus de leurs prénom.
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Je raconte ici la nostalgie d’une aventure au bois non consommée …
Un punter, avec qui j’avais brièvement échangé lors d’une « promenade » au bois, m’avait chaudement recommandé une certaine Paola qui, selon ses propres termes, « se faisait remplir » très tôt le matin dans un BMC rouge stationné Chemin de la Croix Catelan, juste derrière le Lagardère Paris Racing (48° 51’ N ; 2° 15’ E). De passage au bois un matin de bonne heure, je décidai donc d’y faire une reconnaissance.
Il était 5 heures 30 et je remarquai un BMC stationné à l’endroit indiqué. La pute devait être occupée car il n’y avait personne au volant et une voiture garée derrière. A en juger par les mouvements du BMC, la pute était en train de prendre cher. Je suis donc repassé plusieurs fois en attendant qu’elle finisse son client. Finalement après quatre ou cinq « tours de pistes » pendant lesquels celui-ci avait du bien profiter de son cul, je l’aperçus traversant la route pour s’enfoncer dans les bois avec un homme d’une soixantaine d’année qui devait l’attendre sur le trottoir d’en face. On m’avait dit qu’elle était blonde mais ce matin-là elle portait une perruque noire et d’interminables cuissardes rouges vifs. Elle était assez grande et plutôt mince. Elle tortillait du cul en s'éloignant.
Une fois garé un peu plus loin, je pénétrai à mon tour dans les sous-bois. Il y avait un peu de clarté et je pus mater une partie de la scène . Quand j’arrivai, elle était déjà à genoux en train de sucer son client. C’est d’ailleurs grâce au mouvement de va et vient de sa tête si caractéristique que j’avais pu repérer l’arbre derrière lequel elle s’était accroupie.
Mes pas faisaient crisser les brindilles et je restai à bonne distance pour ne pas déranger. A un moment la pute s’est relevée et s’est appuyée contre l’arbre en présentant au vieux sa croupe bien écartée. Le client se mit en position et commença à l’enculer. Puis soudain il recula, enleva son anorak et le jeta sur le sol. Je vis alors la pute de mettre à quatre pattes dessus, se cambrer et lui tendre son cul . C’est en levrette que le vieux cochon bedonnant se remit alors à la besogner. Il devait être très excité car cela n’a pas duré très longtemps. Il a accéléré puis s’est retiré.
La pute m’avait vu mais visiblement cela ne la dérangeait pas d’être ainsi observé en train de se faire démonter. D’ailleurs elle m’avait discrètement fait signe d’approcher. Pour elle c’était une sorte de « teasing » pour attirer sa prochaine « victime » en l’excitant.
D’ailleurs je bandais comme un cerf et fus à deux doigts de rejoindre cette Paola avant qu’elle ne quitte les sous-bois pour regagner son BMC rouge.
Mais nous étions quelques semaines après l’entrée en vigueur de la loi de pénalisation des clients et la peur du gendarme me reteint
D’autres ici ont peut-être connu cette Paola ?
Dans ce cas merci d’avance à ceux qui compléteront mon récit.
Portez-vous bien.
Un punter, avec qui j’avais brièvement échangé lors d’une « promenade » au bois, m’avait chaudement recommandé une certaine Paola qui, selon ses propres termes, « se faisait remplir » très tôt le matin dans un BMC rouge stationné Chemin de la Croix Catelan, juste derrière le Lagardère Paris Racing (48° 51’ N ; 2° 15’ E). De passage au bois un matin de bonne heure, je décidai donc d’y faire une reconnaissance.
Il était 5 heures 30 et je remarquai un BMC stationné à l’endroit indiqué. La pute devait être occupée car il n’y avait personne au volant et une voiture garée derrière. A en juger par les mouvements du BMC, la pute était en train de prendre cher. Je suis donc repassé plusieurs fois en attendant qu’elle finisse son client. Finalement après quatre ou cinq « tours de pistes » pendant lesquels celui-ci avait du bien profiter de son cul, je l’aperçus traversant la route pour s’enfoncer dans les bois avec un homme d’une soixantaine d’année qui devait l’attendre sur le trottoir d’en face. On m’avait dit qu’elle était blonde mais ce matin-là elle portait une perruque noire et d’interminables cuissardes rouges vifs. Elle était assez grande et plutôt mince. Elle tortillait du cul en s'éloignant.
Une fois garé un peu plus loin, je pénétrai à mon tour dans les sous-bois. Il y avait un peu de clarté et je pus mater une partie de la scène . Quand j’arrivai, elle était déjà à genoux en train de sucer son client. C’est d’ailleurs grâce au mouvement de va et vient de sa tête si caractéristique que j’avais pu repérer l’arbre derrière lequel elle s’était accroupie.
Mes pas faisaient crisser les brindilles et je restai à bonne distance pour ne pas déranger. A un moment la pute s’est relevée et s’est appuyée contre l’arbre en présentant au vieux sa croupe bien écartée. Le client se mit en position et commença à l’enculer. Puis soudain il recula, enleva son anorak et le jeta sur le sol. Je vis alors la pute de mettre à quatre pattes dessus, se cambrer et lui tendre son cul . C’est en levrette que le vieux cochon bedonnant se remit alors à la besogner. Il devait être très excité car cela n’a pas duré très longtemps. Il a accéléré puis s’est retiré.
La pute m’avait vu mais visiblement cela ne la dérangeait pas d’être ainsi observé en train de se faire démonter. D’ailleurs elle m’avait discrètement fait signe d’approcher. Pour elle c’était une sorte de « teasing » pour attirer sa prochaine « victime » en l’excitant.
D’ailleurs je bandais comme un cerf et fus à deux doigts de rejoindre cette Paola avant qu’elle ne quitte les sous-bois pour regagner son BMC rouge.
Mais nous étions quelques semaines après l’entrée en vigueur de la loi de pénalisation des clients et la peur du gendarme me reteint
D’autres ici ont peut-être connu cette Paola ?
Dans ce cas merci d’avance à ceux qui compléteront mon récit.
Portez-vous bien.
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Nostrabéru a écrit :Je raconte ici la nostalgie d’une aventure au bois non consommée …
Un punter, avec qui j’avais brièvement échangé lors d’une « promenade » au bois, m’avait chaudement recommandé une certaine Paola qui, selon ses propres termes, « se faisait remplir » très tôt le matin dans un BMC rouge stationné Chemin de la Croix Catelan, juste derrière le Lagardère Paris Racing (48° 51’ N ; 2° 15’ E). De passage au bois un matin de bonne heure, je décidai donc d’y faire une reconnaissance.
Il était 5 heures 30 et je remarquai un BMC stationné à l’endroit indiqué. La pute devait être occupée car il n’y avait personne au volant et une voiture garée derrière. A en juger par les mouvements du BMC, la pute était en train de prendre cher. Je suis donc repassé plusieurs fois en attendant qu’elle finisse son client. Finalement après quatre ou cinq « tours de pistes » pendant lesquels celui-ci avait du bien profiter de son cul, je l’aperçus traversant la route pour s’enfoncer dans les bois avec un homme d’une soixantaine d’année qui devait l’attendre sur le trottoir d’en face. On m’avait dit qu’elle était blonde mais ce matin-là elle portait une perruque noire et d’interminables cuissardes rouges vifs. Elle était assez grande et plutôt mince. Elle tortillait du cul en s'éloignant.
Une fois garé un peu plus loin, je pénétrai à mon tour dans les sous-bois. Il y avait un peu de clarté et je pus mater une partie de la scène . Quand j’arrivai, elle était déjà à genoux en train de sucer son client. C’est d’ailleurs grâce au mouvement de va et vient de sa tête si caractéristique que j’avais pu repérer l’arbre derrière lequel elle s’était accroupie.
Mes pas faisaient crisser les brindilles et je restai à bonne distance pour ne pas déranger. A un moment la pute s’est relevée et s’est appuyée contre l’arbre en présentant au vieux sa croupe bien écartée. Le client se mit en position et commença à l’enculer. Puis soudain il recula, enleva son anorak et le jeta sur le sol. Je vis alors la pute de mettre à quatre pattes dessus, se cambrer et lui tendre son cul . C’est en levrette que le vieux cochon bedonnant se remit alors à la besogner. Il devait être très excité car cela n’a pas duré très longtemps. Il a accéléré puis s’est retiré.
La pute m’avait vu mais visiblement cela ne la dérangeait pas d’être ainsi observé en train de se faire démonter. D’ailleurs elle m’avait discrètement fait signe d’approcher. Pour elle c’était une sorte de « teasing » pour attirer sa prochaine « victime » en l’excitant.
D’ailleurs je bandais comme un cerf et fus à deux doigts de rejoindre cette Paola avant qu’elle ne quitte les sous-bois pour regagner son BMC rouge.
Mais nous étions quelques semaines après l’entrée en vigueur de la loi de pénalisation des clients et la peur du gendarme me reteint
D’autres ici ont peut-être connu cette Paola ?
Dans ce cas merci d’avance à ceux qui compléteront mon récit.
Portez-vous bien.
OUPS ! Un lecteur m’a fait remarquer que les coordonnées GPS indiquées dans mon dernier message étaient erronées
Bien que ceci ait peu d’importance, puisqu’il ne s’agit dans ce topic que d’évoquer des souvenirs, voici quand même, pour ceux qui connaissent le bois, les coordonnées exactes de cette Paola :
48° 51’ 55.17’’ N 2° 15’ 19.23’’ E
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Le souvenir du bois que je vais vous raconter ici n’est pas un conte de Noël. J’espère seulement que ce récit vous fera oublier la période triste et austère que nous traversons. Et peut-être cela rappellera-t-il à certains les talents de cette Lily, transsexuelle sans tabou, que j'ai déjà évoquée dans une autre rubrique de ce forum …..
http://www.trans-girls.com/modules.php? ... 823#100823
Ce matin-là, j’étais très excité et c’est avec l’idée de baiser Lily que je traversai le bois.
En arrivant sur zone, la belle n’était pas au volant . Je me garai et m’approchai de son BMC.
Celui-ci était agité de mouvements dont le rythme ne laissait aucun doute sur leurs origines : Lily était en train de se faire défoncer ou bien d’enfiler un client. Il me fallait donc patienter. Souvent, quand le client était d’accord, elle laissait le rideau rouge à l’avant de son BMC volontairement ouvert pour attirer les voyeurs …. Mais cette fois-ci ce n’était pas le cas. Donc impossible de mater et l’attente paraissait plus longue … D’autant plus que je n’étais pas seul et qu’un autre punter faisait les cents pas un peu plus loin. Lui aussi attendait …..
Quand la place se libéra je montai rapidement dans le BMC. Lily, qui se souvenait de mon goût pour les parties fines, me demanda immédiatement si j’étais intéressé par un plan à trois. Je me laissai tenter en me doutant que ce serait avec le jeune punter qui attendait son tour. Lily rouvrit sa portière et l’appela. Celui-ci rappliqua illico. Nous étions maintenant tous les trois dans le BMC.
Lily qui semblait bien le connaître se mit immédiatement complétement à poil.
J’engageai la conversation avec « mon partenaire » de débauche :
- Vous êtes aussi un habitué de Lily ? lui demandai-je.
- Oui vous aussi ? répondit-t-il.
- Tout à fait et qu’est-ce que vous aimez lui faire ? continuai-je.
- Oh moi rien ! C’est elle qui m’encule ! lança-t-il en finissant d’ôter son pantalon.
Voilà qui était franc et clair !
Lily s’assit sur sa banquette et commença à me sucer tout en se branlant. L’homme s’agenouilla et s’empara de la queue de Lily pour la sucer.
Lily bandait désormais comme un cerf. C’est alors que l’homme, abandonnant le membre de Lily, engloutit mon sexe dans sa bouche Sa bouche s'activa sur ma queue et, bien que surpris, je me laissai faire car le bougre suçait divinement bien
Nous étions maintenant tous les trois « en forme ». L’homme se releva, se mit à genoux sur la banquette et tendit son cul. Lily prit de la crème et lui en enduisit la raie. Elle en approcha ensuite sa queue et commença de lui dilater la rondelle avec un doigt. Puis elle le pénétra violemment. Son gros sexe s’enfonça sans problème. Lily se mit à le besogner tout en lui tripotant la bite. Il encaissait bien. Puis elle accéléra le mouvement en le tenant fermement par les hanches. L’homme commençait à gémir de plaisir …
J’observai la scène ne sachant plus trop que faire Habituellement, quand il m’arrivait de partouzer avec un autre punter, c’était la transsexuelle que nous défoncions à tour de rôle. La situation était donc anormale pour moi. Surtout lorsque Lily décula et me proposa de prendre sa suite dans le cul de son client
Décontenancé, je fis alors quelque chose de terriblement ridicule en demandant à l’homme qui me présentait son cul offert s’il souhaitait vraiment que je l’encule. Evidemment, n’attendant que cela, il accepta. Je le pénétrai donc et, prenant son cul à pleines mains, je commençai à le limer tandis que Lily me caressait les fesses et l’entre jambes. Son cul était accueillant bien que pas assez serré à mon gout. L’homme semblait apprécier et m’encourageait en haletant « Vas-y encore, profites, fais-toi plaisir ! ». Effectivement je ne tardai pas à me "faire plaisir" … en crachant mon foutre au fond de son cul. Quand je me retirai la capote en était pleine.
Fin de la séquence. Une séquence inhabituelle pour moi, mais pas totalement inédite puisque c’était, je crois, la seconde fois que j’enculais ainsi un homme qui n’était pas une transsexuelle. En effet, cela m’était arrivé avec une certaine Esméralda, une transsexuelle qui, il y a une vingtaine d’années, officiait tôt le matin dans un BMC Route de la Porte Dauphine à la Porte des Sablons. Elle y « accueillait » des clients venus spécialement se faire défoncer par d’autres clients. Ceux-ci défilaient ainsi à tour de rôle. Un gang-bang à l’envers en quelque sorte ! Une fois je m’étais laissé tenter
Aujourd’hui cette aventure, me laisse un goût bizarre. En plus d’avoir conscience d’avoir ce jour-là brisé un tabou, j’ai ressenti le sentiment d’avoir joué le supplétif de Lily qui, ce matin-là, avait fait d’une pierre deux coups : épargner ses efforts phalliques et éviter que je l’encule ? La salope
http://www.trans-girls.com/modules.php? ... 823#100823
Ce matin-là, j’étais très excité et c’est avec l’idée de baiser Lily que je traversai le bois.
En arrivant sur zone, la belle n’était pas au volant . Je me garai et m’approchai de son BMC.
Celui-ci était agité de mouvements dont le rythme ne laissait aucun doute sur leurs origines : Lily était en train de se faire défoncer ou bien d’enfiler un client. Il me fallait donc patienter. Souvent, quand le client était d’accord, elle laissait le rideau rouge à l’avant de son BMC volontairement ouvert pour attirer les voyeurs …. Mais cette fois-ci ce n’était pas le cas. Donc impossible de mater et l’attente paraissait plus longue … D’autant plus que je n’étais pas seul et qu’un autre punter faisait les cents pas un peu plus loin. Lui aussi attendait …..
Quand la place se libéra je montai rapidement dans le BMC. Lily, qui se souvenait de mon goût pour les parties fines, me demanda immédiatement si j’étais intéressé par un plan à trois. Je me laissai tenter en me doutant que ce serait avec le jeune punter qui attendait son tour. Lily rouvrit sa portière et l’appela. Celui-ci rappliqua illico. Nous étions maintenant tous les trois dans le BMC.
Lily qui semblait bien le connaître se mit immédiatement complétement à poil.
J’engageai la conversation avec « mon partenaire » de débauche :
- Vous êtes aussi un habitué de Lily ? lui demandai-je.
- Oui vous aussi ? répondit-t-il.
- Tout à fait et qu’est-ce que vous aimez lui faire ? continuai-je.
- Oh moi rien ! C’est elle qui m’encule ! lança-t-il en finissant d’ôter son pantalon.
Voilà qui était franc et clair !
Lily s’assit sur sa banquette et commença à me sucer tout en se branlant. L’homme s’agenouilla et s’empara de la queue de Lily pour la sucer.
Lily bandait désormais comme un cerf. C’est alors que l’homme, abandonnant le membre de Lily, engloutit mon sexe dans sa bouche Sa bouche s'activa sur ma queue et, bien que surpris, je me laissai faire car le bougre suçait divinement bien
Nous étions maintenant tous les trois « en forme ». L’homme se releva, se mit à genoux sur la banquette et tendit son cul. Lily prit de la crème et lui en enduisit la raie. Elle en approcha ensuite sa queue et commença de lui dilater la rondelle avec un doigt. Puis elle le pénétra violemment. Son gros sexe s’enfonça sans problème. Lily se mit à le besogner tout en lui tripotant la bite. Il encaissait bien. Puis elle accéléra le mouvement en le tenant fermement par les hanches. L’homme commençait à gémir de plaisir …
J’observai la scène ne sachant plus trop que faire Habituellement, quand il m’arrivait de partouzer avec un autre punter, c’était la transsexuelle que nous défoncions à tour de rôle. La situation était donc anormale pour moi. Surtout lorsque Lily décula et me proposa de prendre sa suite dans le cul de son client
Décontenancé, je fis alors quelque chose de terriblement ridicule en demandant à l’homme qui me présentait son cul offert s’il souhaitait vraiment que je l’encule. Evidemment, n’attendant que cela, il accepta. Je le pénétrai donc et, prenant son cul à pleines mains, je commençai à le limer tandis que Lily me caressait les fesses et l’entre jambes. Son cul était accueillant bien que pas assez serré à mon gout. L’homme semblait apprécier et m’encourageait en haletant « Vas-y encore, profites, fais-toi plaisir ! ». Effectivement je ne tardai pas à me "faire plaisir" … en crachant mon foutre au fond de son cul. Quand je me retirai la capote en était pleine.
Fin de la séquence. Une séquence inhabituelle pour moi, mais pas totalement inédite puisque c’était, je crois, la seconde fois que j’enculais ainsi un homme qui n’était pas une transsexuelle. En effet, cela m’était arrivé avec une certaine Esméralda, une transsexuelle qui, il y a une vingtaine d’années, officiait tôt le matin dans un BMC Route de la Porte Dauphine à la Porte des Sablons. Elle y « accueillait » des clients venus spécialement se faire défoncer par d’autres clients. Ceux-ci défilaient ainsi à tour de rôle. Un gang-bang à l’envers en quelque sorte ! Une fois je m’étais laissé tenter
Aujourd’hui cette aventure, me laisse un goût bizarre. En plus d’avoir conscience d’avoir ce jour-là brisé un tabou, j’ai ressenti le sentiment d’avoir joué le supplétif de Lily qui, ce matin-là, avait fait d’une pierre deux coups : épargner ses efforts phalliques et éviter que je l’encule ? La salope