Prévention

Ici les posts sur les trans en Franc eet dans d'autres pays SVP
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Rodox
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Prévention

Message par Rodox »

Message de l'administrateur:

Le fil sur la prévention du SIDA et des autres MST.

Si vous voulez être en mesure de continuer à profiter de la vie (et des jeunes belles transsexuelles bien montées): protégez vous!


Puisque j’ai eu le privilège d’initier le sujet sur la prévention dans le forum de transgirls, j’ai également demandé à bénéficier d’un droit de rectification du post initial. La sexualité avec des transexuelles est souvent perçu comme sans tabou car en effet, elle va au delà d’une simple sexualité hétérosexuelle ordinaire. Pourtant, je n’ai pas voulu que les messages de préventions ni que les arguments qui y sont liés puissent être utilisés à des fins castratrices et pour réduire au silence ou polémiquer contre l’expression de plaisir et de désir qui est à la base de ce site.

Non seulement la prévention ne saurait se réduire à une forme de censure, mais elle doit tout au contraire s’orienter vers la prise de parole afin de mettre en adéquation certaines pratiques qui se développent et les risques qui en découlent. La prévention et l’un de ses corollaires, l’usage du préservatif s’est développée avec l’apparition d’un risque majeur: le virus HIV. Cet usage semble parfois en recul ça et là.

On sait que le HIV s’est répandu à ses débuts essentiellement par la voie anale. On a mis en évidence par la suite que le frottement du sexe contre une muqueuse et l’échange de liquides favorisait la contamination. Il en résulte que les milieux des transsexuelles en tant que composantes des milieux gays (ce qui est discutable, mais l’est certainement de par le type de rapports sexuels) doivent être particulièrement conscients de ce risque. On ne connaît à ce jour aucun autre moyen que l’usage du préservatif pour se prémunir.

Mais il ne saurait y avoir de discussion sur la prévention sans parler des autres pratiques –la fellation- et des comportements et des risques spécifiques liés à cette pratique. Inutile de réclamer des interdictions ou des sanctions lorsqu’un punter se vante d’avoir pris le sperme d’une transsexuelle dans sa bouche, ce d’autant plus que les informations collectées au sujet de cette escort laissent à penser que ce n’était qu’un fantasme écrit par un provocateur.

La seconde grande problématique qui apparaît aujourd’hui concerne la pratique de la fellation non protégée, qu’on soit «donneur» ou bien «receveur» . Loin des invectives et des interdits proférés sur un ton de onzième commandement, j’ai préféré mener une recherche sur les risques tels qu’ils existent afin de les mettre en évidence de manière informative, afin d’élever la dignité des débats qui sont tenus sur ce forum et de faire en sorte que même un visiteur inattendu puisse trouver une information autant instructive que convaincante.
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arzengio
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Message par arzengio »

Dans un registre un peu moins drole:

LE TEXTE:

Fellation sans capote : attention !

Un sondage effectué sur Doctissimo révèle que plus d’un tiers de nos internautes estime que "pratiquer une fellation sans préservatif est sans risque". Bien que connu depuis de nombreuses années, le risque de contamination par le virus du sida est souvent sous-estimé. Ce type de rapport serait pourtant responsable de près de 8 % des infections.

Le risque de transmission du sida par fellation pourrait être revu à la hausse. Des études anglaises et américaines suggèrent que ce type de rapport est à l’origine de cas plus nombreux que prévus.
Un risque trop souvent minimisé

Fellation sans capote : danger !Longtemps, les chercheurs ont du faire face à un réel casse-tête : comment dissocier le risque associé aux rapports oraux des autres pratiques sexuelles ? Mais la généralisation du port du préservatif en particulier parmi la communauté homosexuelle a permis d’étudier spécifiquement cette pratique comme seul comportement à risque.

Les études1,2,3 effectués depuis 1998 ont conclu que bien que peu communes, les contaminations par fellation n’étaient pas négligeables.

Parmi les plus significatives, les conclusions de l’enquête4 conduite auprès de la communauté homosexuelle de Londres entre 1996 et 1998 a permis d’établir une première estimation. Sur 494 patients séropositifs, 6 % estimait avoir été contaminé par fellation.

Enfin, présentés lors de la septième conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes, d’autres résultats5 venaient bouleverser les idées reçues. Des chercheurs du prestigieux Center for Diseases Control and Prevention (CDC) associés à l’hôpital de l’Université de San Francisco ont suivi 102 homosexuels séropositifs, dont 8 se sont avérés avoir été contaminés suite à un rapport sexuel par voie orale (soit près de 8 %). "Nous ne pensions pas trouver autant de cas d’infections par rapports sexuels oraux" concluait Frederick Hercht co-auteur de l’étude.

Les campagnes de prévention se sont concentrées sur la transmission par voie vaginale et anale, qui représentent 90 % des infections. Cependant, il apparaît aujourd’hui que la transmission par fellation n’est pas négligeable et est plus importante que prévue, en particulier à cause de la généralisation de fellations sans préservatif. Des cas d’infections3 par cunnilingus ou anulingus ont même été rapportés.
D’autres MST transmises par fellation

Ainsi, le département de la santé britannique a décidé de relancer une campagne de prévention. S’appuyant sur les conclusions d’un rapport6, les autorités anglo-saxonnes estiment que le public doit être conscient des dangers et décider par lui-même du degré de risques qu’il estime acceptable.

Mais le sida n’est pas le seul danger, d’autres maladies sexuellement transmissibles peuvent également être transmises par fellation parmi lesquelles la syphilis, les gonorrhées, l’hépatite B ou l’herpès.

Ainsi, différentes épidémies localisées de syphilis en Europe (à Manchester, Dublin, Paris, Oslo, etc.) ont permis d’identifier le sexe oral comme un facteur de risque. Largement étudiée, le cas de Manchester7 a mis en lumière l’impuissance des autorités sanitaires d’Outre-Manche à enrayer le phénomène malgré des campagnes de prévention.

Dans la transmission de l’herpès8 et des chlamydiae9, les rapports oraux semblent également représenter un facteur important de transmission.

La capote, seul moyen de prévention !

Les risques les plus importants sont associés à des fellations avec éjaculation dans la bouche du partenaire mais le liquide pré orgasmique (sécrétion ayant pour rôle d’humidifier le gland en érection) peut lui aussi être porteur du VIH. De plus, des gouttes de sperme peuvent également s’écouler du pénis avant l’éjaculation.

Une bonne hygiène bucco-dentaire réduit les risques de transmission par voie orale, mais le brossage des dents avant une fellation a l’effet inverse. Des infections ou des maladies buccales faciliteront la contamination par le virus du sida. Enfin, l’utilisation de bains de bouche avant ou après une fellation aurait tendance à réduire plutôt qu’augmenter la protection en enlevant les substances protectrices naturellement présentes dans la bouche.


LE LIEN :

http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag ... lation.htm


LE TEXTE :

La fellation étant souvent associée à d'autres pratiques sexuelles, il était difficile de mettre en évidence un lien entre celle-ci et une infection par le VIH. Les tests de dépistage permettent dorénavant de réduire le délai entre la contamination et le moment où celle-ci est détectée. Il est ainsi plus aisé de déterminer les pratiques qui pourraient être à l'origine de l'infection. De plus, l'usage du préservatif pour les rapports vaginaux et anaux s'étant répandu, il est plus facile d'étudier des groupes de sujets n'ayant que la fellation sans préservatif comme comportement à risque.

Une étude américaine* récente vient ainsi bouleverser les croyances. Elle a été effectuée auprès de 102 homosexuels récemment infectés par le VIH. Dans au moins 7,8 % des cas, l'origine de la contamination serait la réalisation de fellations sans préservatif. Le risque est donc loin d'être négligeable d'autant que, par prudence, les auteurs ont éliminé tous les cas où d'autres pratiques pourraient être à l'origine de la séropositivité. Par conséquent, il est fort probable que ce risque soit sous-estimé. La majorité des hommes concernés pensait que la probabilité d'être contaminé lors d'un rapport oro-génital était très faible, voir inexistante. Compte tenu des risques importants associés aux relations vaginales et anales, les campagnes de prévention se sont surtout concentrées sur la nécessité d'utiliser des préservatifs pour ces pratiques. La fellation étant bien souvent considérée comme "à faible risque". Cette situation a développé une croyance sur la quasi-absence de risque de contamination. Il n'en n'est rien et cette étude américaine le rappelle.

Cette étude souligne la nécessité d'utiliser des préservatifs pour les rapports oro-génitaux. Pour l'instant, peu de données permettent d'expliquer précisément comment se transmet le virus. L'étude américaine met en évidence le risque pour celui qui effectue la fellation mais rien ne permet d'affirmer que l'autre ne risque rien. Si, bien évidemment avaler le sperme constitue un risque majeur, il est bon de savoir que le liquide préorgasmique (sécrétion des glandes de Cowper qui vient humidier le gland en érection bien avant l'éjaculation) peut lui aussi être porteur du VIH.

Il ne faut pas oublier que des gouttes de sperme peuvent également s'écouler du pénis bien avant l'éjaculation. Des études ont aussi montré que le prépuce pouvait être un réservoir pour le VIH. Le fait de saigner des gencives augmentant le risque, il est déconseillé de se brosser les dents avant de pratiquer une fellation.

LE LIEN:

http://www.doctissimo.fr/html/sexualite ... 03_da2.htm



C'est chiant à lire hein? Pourtant il y va de votre survie...
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Message par admin »

Ne pas oublier quelques-uns des fondamentaux en matière de prévention:

http://www.sida-info-service.org/index.php4

Sida info service
0 800 840 800


Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES)
http://www.inpes.sante.fr/


Et le site internet du ministère de l’Emploi et de la Solidarité
http://www.sante.gouv.fr/





Ainsi que le lien qui nous a été fourni par notre ami Niptuck:
Je vous souhaite sincèrement à tous de rester séronégatif si vous l'êtes

Juste un lien

Ni les liens fournis par Peroloco:

Un lien qui peut servir !!!
http://youthink.worldbank.org/fr/issues ... rmcare.php

Surement un aspect de la Thaïlande qui donne à réfléchir !!!
www.amnistia.net/exiles/thaisida/thaisid0.htm
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arzengio
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J’ai pris un risque hier, que dois-je faire ?

Message par arzengio »

Si la prévention reste la meilleure des protections, il est aujourd’hui impératif de réagir vite et bien en cas de prise de risque. Car des traitements de première intention existent aujourd’hui pour lutter contre le Sida, armes d’autant plus efficaces qu’elles sont utilisées rapidement.

Depuis 1996, de nouveaux traitements permettent de limiter la multiplication du virus chez la plupart des personnes traitées. En cas de prise de risque, ils sont aujourd'hui préconisés dans les 48 heures suivant l'exposition au virus. Ils peuvent diminuer le risque de contamination VIH, mais sans certitude d'eviter celle-ci.

48 heures pour agir

:shock: Vous avez eu un rapport non protégé (sans préservatif) hier soir ? Le préservatif s’est déchiré ? Vous vous êtes blessé(e) avec un objet souillé du sang d’une autre personne ? Vous avez partagé du matériel d’injection ? Autant de situations qui vous exposent au risque de contamination VIH contre lesquelles vous avez moyen de lutter aujourd’hui.

Pour cela, dans les 48 heures qui suivent cette exposition, vous devez consulte, à votre choix :

:arrow: Le service des urgences de l’hôpital ;
:arrow: Un médecin de la consultation de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) le plus proche ;
:arrow: Votre médecin.
:arrow: Un traitement préventif de 4 semaines

Le médecin hospitalier référent pour le Sida évaluera avec vous le danger encouru et la nécessité ou non de poursuivre un traitement prophylactique, qui agira comme un barrage contre la charge virale.

L’appréciation de la situation dépend de plusieurs critères : nature du rapport non protégé (les rapports anaux ou vaginaux sont à plus haut risque qu’un rapport oral, par exemple) et statut du (de la) partenaire (incertitude quant à sa séropositivité, etc.).

Si le risque est avéré, le médecin vous prescrira immédiatement une multithérapie (association de plusieurs anti-rétroviraux) à prendre pendant 4 semaines, pour tenter d’empêcher l’infection.

Dans les 3 à 6 semaines qui suivent l’arrêt du traitement, il vous prescrira un test Elisa (test de dépistage du virus du Sida) ainsi qu’un nouveau contrôle 5 mois plus tard, pour confirmer la contamination évitée.

En effet, malgré son important taux de succès, il n’est pas efficace à 100 %, et donc une menace, même infime, demeure. Ce doute doit vous inviter à la prudence pour les autres : vous pouvez être, à votre tour, un sujet à risque.

Six mois pour réduire la charge virale


Si vous avez dépassé ce délai de 48 heures, il n’est pas trop tard pour agir : une multithérapie prise dans les six mois suivant l’exposition au risque peut maintenir au plus bas la charge virale (le nombre de virus dans l’organisme), ralentissant ainsi l’évolution de la maladie. Il ne faut en effet pas attendre d’être malade pour démarrer le traitement mais le prendre précocement. Ne tardez pas à consulter un médecin qui pratiquera les tests permettant de savoir si vous avez été contaminé.

Dans tous les cas, la prise en charge devra s’effectuer le plus tôt possible. Aux environs du 15ème jour après l’exposition au risque apparaissent les signes de primo-infection (première attaque virale), le test de détection des antigènes viraux permet de détecter la présence du virus dans l’organisme ; à partir du 21e jour, on peut, par un test Elisa, détecter les anticorps indiquant la présence du virus.

Connaître son statut est aussi fondamental, pour endiguer immédiatement le risque de maladies opportunistes (qui ont tendance à se développer plus facilement chez un sujet dont les défenses immunitaires sont affaiblies). Ainsi, on pourra, par exemple, vous proposer une vaccination contre l’hépatite C.

N’oubliez pas que, si ces tests sont négatifs et ensuite confirmés négatifs, vous serez soulagé(e) ; s’ils sont positifs, vous vous donnez les moyens, en réagissant très tôt, de garder le contrôle.

D'après Anne Fouchard http://www.doctissimo.fr/html/sante/pri ... _ques3.htm
philgatsby
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La problématique du risque et du plaisir

Message par philgatsby »

On assiste aujourd'hui à un certain relachement, notamment celui signalé par Arzengio ci-dessus. Si chacun est conscient des risques liés à la pénétration anale ou au coït vaginal, la principale pratique à risque consiste à pratiquer la fellation sans préservatif. On a d'ailleurs vu fleurir un nouveau vocabulaire autour de cette pratique afin de la rendre plus acceptable: fellation nature, fellation royale, fellation impériale !

S'il parait dangeureux de s'y livrer en suçant une transsexuelle qu'on saura potentiellement contaminante, la problématique telle que je l'ai vue posée par un punteur sur un forum hétéro pouvait se résumer en ces termes: "si une fille me propose une "fellation nature" je sais que même si le risque est non nul en ce qui me concerne, il est tellement faible que je considère que je ne serai pas contaminé. En revanche, une professionnelle appelée à rencontrer beaucoup de clients avec de telles pratiques devrait inspirer à son client qu'elle n'est pas une personne sûre. Que se passera-t-il alors si lors d'un rapport normal ou d'une sodomie, le préservatif vient à lâcher ? Pensez-y, une rupture de préservatif avec une professionnelle qui n'a pas de sérieux au niveau de l'hygiène peut tourner à la catastrophe.


Le retour des MST classiques

Mais oublions le HIV et revenons à des MST plus classiques. Ce sont elles qui font un retour en force notamment grâce à l'arrivée de prostituées originaires de pays où les infections et le SIDA étaient si peu présents que les gestes élémentaires de précaution n'y sont pas pratiqués . Avec la pression concurrentielle, les filles de l'est et les transsexuelles sud-américaines qui se sont laissées convaincre de devenir des adeptes de la "fellation nature" sont debvenues les porteuses de nouveaux germes. Ces germes sont certes moins mortels, mais des épidémies développées notamment dans les maisons closes allemandes qui ne pratiquent pas de contrôles périodiques d'hygiène ont généré un risque élevé pour ne pas dire quasi certain d'attrapper une de ces infections.

Extraits d'un article:

Selon l'Institut de Veille Sanitaire (InVS), les infections sexuellement transmissibles sont en augmentation. Le constat est alarmant et traduit un retour des comportements sexuels à risque.
Selon l'Institut de Veille Sanitaire (InVS), les infections sexuellement transmissibles sont toutes en hausse : gonococcies, syphilis et infections dues aux chlamydiae connaissent un boom très inquiétant.

La syphilis en augmentation chez les hétérosexuels.
Les infections à Chlamydia trachomatis en augmentation
On constate depuis début 2000 une progression annuelle régulière du nombre de diagnostics d'infection à Chlamydia trachomatis.
Les infections à gonococcies (blennorragies ou "chaudes-pisses") sont en augmentation.


Quelles sont ces nouvelles IST ? (qui ne sont pas si nouvelles)

Voici un aperçu non exhaustif.

Les Chlamydiae ou chlamydioses
Le chlamydia trachomatis est une bactérie qui se transmet lors d'un rapport sexuel non protégé, et se multiplie ensuite dans l'appareil génital. C'est la maladie la moins connue et qui se répand le plus.
risques: Stérilité et cancer de l'uterus pour la femme. Plus bégnine chez l'homme : douloureux avec des brûlures à l'urêtre lors de la miction.
des liens utiles:
http://www.caducee.net/DossierSpecialis ... ydiose.asp
http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag ... amydia.htm

Mycose et papillomavirus
A l’origine des mycoses gynécologiques, également appelées "muguet vaginal", on retrouve souvent le même champignon de la famille des levures : le Candida albicans. Il est capable d’affecter n’importe quelle partie de l’organisme : bouche, pharynx, oesophage, peau, intestin, mais le plus souvent le vagin.
Plus fréquent dans les relations hétérosexuelles (mais le monde des amours tarifées est très fréquenté par des "bi" qui vont transmetre ces germes à diffusion rapide parmi les transexuelles). Ce sont les femmes qui en feront les frais: à connaître pour les hommes mariés. Il existe des traitements.
des liens utiles:
http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/ ... ycoses.htm

Syphilis
La syphilis est une infection bactérienne qui se traduit par un chancre au niveau des muqueuses génitales, anales ou buccales. Alors que la maladie avait quasiment disparu depuis 1990, elle a fait sa réapparition depuis 3 ans dans la capitale.La maladie est extrêmement contagieuse : 30 à 40 % des partenaires d'une personne infectée risquent de développer à leur tour l'infection dans les 30 jours qui suivent le rapport sexuel.
Dans sa forme primaire, elle disparaît d'elle-même au bout de 3 à 6 semaines. Sans traitement elle évolue en syphilis secondaire et dure 6 à 24 semaines, s'accompagnant d'éruptions cutanées sur le torse, les paumes ou les plantes de pied et/ou les muqueuses. La syphilis latente est le troisième stade. Elle peut provoquer des complications graves.
:arrow: Les homosexuels et les bisexuels sont considérés comme des populations à risque.

des liens utiles:
http://www.doctissimo.fr/html/sexualite ... alerte.htm
http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/ ... _force.htm
http://www.doctissimo.fr/html/sexualite ... alerte.htm

Les hépatites
Ces maladies affectent l'ensemble du tissu hépatique et s'accompagnent d'une réaction inflammatoire, pouvant évoluer vers la cirrhose ou le cancer du foie. Parmi les hépatites provoquées par un virus, on distingue les hépatites A, B, C, mais on a aussi identifié le virus D ou delta et le virus E.

A savoir: Hépatites Info Service : 0800 845 800

L'hépatite A se transmet par l'absorption d'eau. C'est l'hépatite B qui est répertoriée comme une IST. Quant à l'hépatite C, c'est un virus qui concerne surtout les toxicomanes mais on n'est pas totalement certain à ce jour que sa transmission ne se fasse pas aussi apr le sperme.

des liens utiles:
http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/hepatites.htm
http://www.hepatites-info-service.org/index.php3

Blennoragie ou Gonococcie
La gonococcie est une maladie sexuellement transmissible (sauf dans le cas d'atteinte oculaire) et cosmopolite. Elle est aussi appelée blennorragie, bléno ou "chaude pisse".
Les infections à gonococcies (blennorragies ou "chaudes-pisses") sont en augmentation. Elles causent des urétrites chez l'homme et des atteintes génitales (vaginite, cervicite, endométrite...) chez la femme, et certaines formes sont dénuées de symptômes. Ces infections sont en augmentation et sont de plus en plus résistantes aux antibiotiques.
Outre une amélioration des systèmes de dépistage, ces tendances traduisent un inquiétant relâchement de la prévention et une augmentation des comportements à risque dans l'ensemble de la population. C'est l'occasion de rappeler encore une fois que le préservatif est le meilleur moyen de prévenir ces infections. Alors, sortez couverts !
Complications chez l'homme : l'infection peut se compliquer d'une infection de la prostate, d'une orchi-épididymite (infection des testicules avec risque de stérilité). Si l'infection persiste plusieurs mois, des rétrécissements de l'urètre peuvent survenir.


des liens utiles:
http://www.doctissimo.fr/html/sante/enc ... gonoco.htm
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Dernière modification par philgatsby le 02 mars 2008, 20:24, modifié 4 fois.
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