Samutprakan a écrit :Loin de moi l'idée qu'il s'agisse de fantasmes. Je dis simplement que les parties à plusieurs devaient être assez discrètes car on ne les voyait pas tous les jours. Je n'en ai jamais vu peut-être aussi parce que je me tenais à l'écart de certaines trans ou de s groupes de trans.
Ce qui m'a le plus étonné, ce sont des récit comme celui de Sandra : une vraie scène digne des années 1980 à la fin des années 2000 (alors que je n'allais presque plus au Bois), celui de Catherine avec un autre client vers 2015-2016 et celui avec Paola en juin 2016. Je n'avais pas été au Bois depuis 2011 et je n'imaginais pas de telles scènes possibles, d'autant que ça commençait à verbaliser méchamment (pour le second).
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Même si je n’ai pas partouzé avec celle-ci, j’évoque ci-après une autre adepte des plans à plusieurs en plein air. Elle s’appelait Sacha et c’était, je crois, au début des années 2010. Certains, peut-être, s’en souviendront …
Sacha était une marcheuse, plus ou moins occasionnelle, qui levait ses clients entre le Pré Catelan et la route de la grande cascade. C’est au pied de la Croix Catelan que j’ai chargé Sacha la première fois. D’entrée elle m’avait proposé « la totale » pour le tarif syndical en vigueur dans cette zone. Habituellement je ne prenais jamais de prostituée dans ma voiture mais cette fois-ci j’avais accepté et elle était montée.
Sacha était sympathique, gouailleuse et surtout très dévergondée. En chemin elle me raconta comment elle s’était fait démonter toute la nuit dans une partouze privée dans le 16ième avant d’aller « se finir au bois ». J’aurais, d’après elle, eu de la chance de la rencontrer car elle n’était pas une habituée. Pour des raisons de sécurité, ou plutôt sans doute de conflit de territoires avec des collègues de tapin présentes plus régulièrement en ces lieux, elle me fit faire plusieurs fois le circuit Route de Suresnes/Chemin de ma Croix Catelan/Route de la Grande Cascade. Pendant ces tours de reconnaissance elle me raconta sa vie quotidienne de pute et ses aventures de jeunesse quand elle tapinait au Bois l’après-midi.
En fait, comme elle me l’expliquera plus tard, Sacha opérait sur deux spots principaux. Le premier se situait dans le bois en face des grilles au départ de l’Allée St Denis (48°51'47.6" N 2°15'11.6"E) où elle entrainait ensuite ses clients, le second à la Croix Catelan. Dans ce cas, elle les emmenait de préférence dans le parking du restaurant du Pré Catelan. Celui-ci était toujours ouvert le matin. Il y avait de la place et c’était tranquille. C’était un parking avec beaucoup de fourrés … Elle m’y a entrainé une ou deux fois. Je n’aimais pas cet endroit.
Mais, pour cette première fois, je me souviens qu’elle avait finalement opté pour le bois. Je m’étais donc garé devant les grilles du jardin et, après avoir traversé la Route de la Grande Cascade, nous fîmes quelques pas dans le sable de cette allée cavalière. Et c’est en lisière du bois que je l’ai baisée cette première fois.
Depuis le « coin tranquille » où elle m’avait entrainé, je pouvais apercevoir la route de la Grande Cascade et les voitures des punters qui y patrouillaient. Elle s’agenouilla et se jeta sur ma queue qu’elle voulut sucer sans préservatif
Je refusai fermement et exigeai une capote. Elle sembla déçue mais sa pipe fût d’excellente facture
La semaine précédente, un punter qui venait de la quitter et avec qui j’avais brièvement échangé, me l’avait d’ailleurs chaudement recommandée pour son savoir-faire dans ce domaine. Effectivement, Sacha suçait bien et acceptait la « gorge profonde ». Elle savait aussi vous lécher les couilles avec gourmandise. Après ces préliminaires il me fallait conclure en l’enculant car c’était cela que j’avais en tête depuis le début
Elle se releva, se retourna et pris la posture de la vache pour me présenter son cul. Elle n’eut pas à baisser sa petite culotte. En effet, elle ne portait qu’un collant en résille noire dont le fond était complétement, et sans doute volontairement, déchiré. Cela lui évitait d’avoir à le baisser à chaque fois qu’un punter voulait s’enfoncer dans son cul …. Elle avait un petit cul encore ferme pour son âge et un fion bien dilaté que je m’employai à limer vigoureusement, ce qui la fit gémir de plaisir. Peut-être faisait-elle semblant mais c’était tout de même très excitant et je pris rapidement mon pied
Sur le chemin du retour Sacha m’expliqua qu’elle aimait le sexe et que quand je l’avais abordée elle était très excitée par son précèdent client qui lui avait longuement léché l’anus et qu’elle avait adoré quand la langue de celui-ci l’avait profondément pénétrée. Je recommençais à bander
Elle me raconta aussi qu’elle était bisexuelle et qu’elle « faisait » aussi les couples. Parfois des clients venaient la voir avec leurs copines, affirma-t-elle. Une autre fois peut-être ....
En résumé Sacha était une bonne affaire. Ce n’était pas un canon de beauté mais elle était nature et surtout elle aimait le cul
Elle était sans aucun tabou et acceptait tout, les pipes natures avec CIM mais aussi de se faire enculer sans capote. Mais, pour moi, c’était aussi là son défaut. Sacha aimait se faire remplir la chatte anale. Je sais qu’il y avait des punters qui venaient la voir pour cela mais ce n’était pas du tout mon truc. Même couvert, je n’aimais pas l’idée, qu’en la défonçant, je tassais peut-être le foutre des clients précédents
Enfin ses spots, bien connus des voyeurs, étaient devenus des baisodromes à ciel ouvert. Avec Sacha c’était souvent « Open Bar » ! On pouvait mater car cela ne la gênait pas et même cela l’excitait qu’on la regarde se faire prendre. Certains punters s’approchaient ainsi tout près, sortaient leur queue et se masturbaient sans aucune gêne en attendant que la place se libère ... Sa chatte anale était un vrai garage à bites et au bois cela se savait. Parfois elle renonçait même à ce que je la ramène en voiture pour satisfaire des mateurs impatients. Je me souviens ainsi d’une fois où, à peine étais-je rajusté, qu’un homme surgit de derrière un arbre proche. Sacha semblait le connaître. Sans aucune gêne celui-ci lui donna un billet, sortit son engin et l’encula sans aucun préliminaire. En m’éloignant, j’entendis Sacha lui crier en gémissant « Vas-y plus fort ! Ta grosse bite me fait du bien » …
Mais c’est pour des raisons, plus hygiéniques que morales, que mes rencontres matinales avec Sacha s’espacèrent, ce malgré tout le plaisir qu’elle savait me donner
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