Samutprakan a écrit :Puisque Nostrabéru évoque les chapardeuses qui fouillaient les vide poche, je vais vous parler de Yesica. Vous pouvez toujours aller la voir. Si vous sentez votre gland gonfler comme un ballon prêt à éclater en éjaculant, c’est que c’est peut-être elle.
Merci, Samutprakan, pour ce récit excitant. Penses-tu qu’il s’agisse de cette personne :
https://escortsexe.net/Trans-yesica-ven ... 08122.html ?
En ces temps de couvre feux, je voudrais ici vous redonner de l’espoir en vous montrant, qu’en journée aussi, on pouvait faire de surprenantes rencontres au bois.
C’était, je crois, au printemps 2015. Une réunion à Paris qui s’était achevée plut tôt que prévue m’avait permis de profiter d’une belle fin d’après-midi au bois. En « reconnaissance » du côté du Pré Catelan, je dépassai ce BMC
http://doxyspotting.com/?p=80623
en stationnement Route de la Grande Cascade. J’effectuai un second passage en ralentissant. Mon attention fût alors attirée par son rideau jaunâtre qui était agité de mouvements saccadés, signe que la boutique était ouverte
Je me garai un peu plus loin et revint à pied vers cette camionnette prometteuse. Son rideau était maintenant suffisamment ouvert pour que je puisse y mater un couple, complément à poil, faisant sauvagement l’amour. Un jeune homme y besognait une transsexuelle. Entre chacun de ses violents coups de reins, je pouvais contempler la croupe, typiquement brésilienne, de la créature en train de se faire défoncer
Habituellement j’étais plutôt attiré par les petites fesses, comme celles de Nicole, récemment évoquées avec émotion sur ce même fil, mais cette après-midi-là, la vision de ce gros cul de Latina me fit bander
L’homme me fit signe de les rejoindre.
Excité par cette scène qu’on m’avait volontairement laissé brièvement découvrir, je ne me fis pas prier et grimpai dans la petite camionnette.
La bimbo me réclama une participation financière, très modeste compte tenu de l’orgie qui s’annonçait, et commença à me sucer goulument. Elle engloutit mon membre, déjà bien dur, et me prodigua une délicieuse fellation que je dus interrompre pour ne pas passer à côté des autres plaisirs que promettait cette rencontre imprévue.
Le jeune homme commença alors à sucer la transsexuelle dont la queue devint rapidement ferme et turgescente.Il était temps de passer aux choses sérieuses et de m’occuper de son superbe cul !
A ma demande la« créature » se mit alors à nouveau à quatre pattes sur le lit et, à mon tour, je pus l’enculer et jouir de son orifice accueillant, ni trop serré ni trop lâche
Avec mon compagnon de débauche nous l’avons ainsi sodomisée tour à tour pendant un bon quart d’heure. Elle semblait apprécier ces pilonnages successifs qui lui éclataient la rondelle. Sous nos assauts répétés son anus s’était beaucoup assoupli. Je me souviens cependant avoir beaucoup apprécié, quand je sortais de son cul, la contraction de son muscle anal autour de ma bite comme si elle essayait de la retenir en elle
La salope savait s’occuper d’une queue
Pour finir, mon partenaire de jeu lui demanda gentiment de se cambrer encore davantage et, malgré l’exiguïté du lieu, il parvint à se positionner quasiment à califourchon sur son dos. Puis d’un violent coup de reins, il l’encula à nouveau en enfonçant sa queue jusqu’à la garde au fond de son cul en m’invitant à le rejoindre dans son orifice bien graissé
 
Je ne croyais pas que cela fut « physiquement » possible mais c’est la pute qui m’y encouragea avec autorité. « Vas-y, qu’est-ce que tu attends ! » s’écria-t-elle. Je m’exécutai. Effectivement son anus hyper dilaté accepta sans problème nos deux bites
Après quelques va et vient, j’explosai au fond de son cul et abandonnai le premier les ébats. En retirant ma capote je fus soulagé de constater que celle-ci ne s’était pas déchirée.
C’est ainsi que je connus ma première double pénétration, la seule jusqu’à aujourd’hui ! Ce fût une expérience troublante mais plutôt décevante au niveau des sensations. Finalement, deux queues plastifiées qui se frottent dans un orifice de plus en plus béant ce n’était pas si excitant que j’avais pu me l’imaginer dans mes fantasmes
Il me revint alors curieusement à l’esprit cet échange grivois entendu aux Grosses Têtes. Laurent Ruquier avait demandé à un chauffeur de bus quel était l’arrêt de son parcours le plus fréquenté et Karine Lemarchand l’avait interrompu pour s’exclamer : « la mienne » !
Cet après-midi, Route de la Grande Cascade, c’était la raie de cette pute que nous avions démontée ensemble qui avait été la plus fréquentée
!
En descendant du BMC je demandais à cette exceptionnelle transsexuelle quel était son « petit nom ».
Elle me répondit, avec un clin d’œil salace, « Salope »
!