luis a écrit :J'ouvre ce petit fil pour ceux qui souhaitent nous dire qu'est ce qui est à l'origine de leur attirance pour les trans.
Pour ma part et très longtemps je n'étais pas attiré par les belles.
A 32 ans (j'en ai aujourd'hui 41) en regardant notre regretté niamodel, j'ai soudain eu une attirance, un trouble causé par l'éventualité d'une rencontre surprenante et déstabilisante.
J'ai mis des mois à me décider, j'étais un peu honteux même alors qu'aujourd'hui j'assume et je suis comblé.
J'ai finalement eu ma première expérience avec Leila (
http://www.leila-glamour.com/). Inoubliable et extraordinaire.
Depuis je suis accro aux trans.
J'adore ce moment où je les suce et qu'elles me regardent avec ce regard si particulier mêlé de satisfaction et de domination.
Les sentir en moi est également un moment de plaisir. Le nec plus ultra étant bien sûr l'éjaculation.
Les rapports avec les trans (mis à part quelques cas évidemment), je trouve qu'il y a aussi une certaine complicité qu'on ne retrouvera pas avec une escort femme.
J'ai toujours été beaucoup mieux reçu et traité par une escort trns que par une escort femme.
Voilà pour mon cas.
Pour ma part j'ai découvert mon attirance pour les transsexuelles en même temps que le bois de Boulogne.
Dans les années 80, je fréquentais le quartier de l’Avenue Foch et ses sulfureuses contre allées.
J’ai le souvenir des « petites gâteries » que ces dames me prodiguaient en voiture quand, malgré la nuit tombante, la crainte de se faire repérer accentuait mon excitation. J’adorais également tourner autour du rond-point de l’Arc de triomphe par la rue de Presbourg et la rue de Tilsitt pour faire mon choix et y lever une marcheuse qui m’entrainerait dans un studio proche pour la sauter.
A la fin des années 80 je descendais de plus en plus souvent vers la porte Dauphine et ma curiosité m’amenait alors à la lisière du Bois de Boulogne. Le soir, en traversant le bois, j’étais troublé par les superbes créatures aux poitrines dénudées que je pouvais apercevoir dans la lumière de mes phares. A l’époque, je croyais naïvement qu’il s’agissait majoritairement de femmes à l’exception de quelques-unes qui exhibaient leur queue
Ces dernières me dégoutaient même un peu
Un soir, à la nuit tombante j’avais chargé dans ma voiture une superbe bimbo qui tapinait au coin de la Route des cascades et du Chemin de ceinture du Lac Intérieur. A l’époque n’était pas encore piétonnier. Elle était très sexy, avec de longues jambes cuivrées qui n’en finissaient pas et un petit cul bombé de salope qui appelait la bite
Elle m’avait alors emmené un peu plus loin sur ce parking où se posaient parfois des cirques et où se tient en septembre la célèbre « fête à Neu-Neu ». C’est sur ce terre-plein très fréquenté que les putes avaient l’habitude d’amener leurs clients pour les sucer et plus si affinités
Après m’avoir bâché le poireau, indispensable précaution en ces années SIDA, la bimbo avait commencé à me prodiguer une pipe délicieuse
C’est en cherchant à caresser sa chatte que je découvris alors, non pas la fente humide que je rêvais de doigter mais une grosse pine à demi-molle
Ma conquête du jour était une transsexuelle ! Je venais donc de me faire sucer par un homme
C’était ma première transsexuelle !
Comme elle suçait divinement, je l’avais laissé me finir en jurant que l’on ne m’y reprendrait plus !
Mais, comme je passais souvent à cet endroit à la même heure et que le souvenir de sa pipe délicieuse me poursuivait, je l’ai revue et j’ai de nouveau cédé à la tentation. Elle était très sympa et elle devint peu à peu un plan régulier. Au début ce n’était que pour la pipe, bien que plusieurs fois elle m’ait proposé de la prendre moyennant bien sûr un petit supplément. Un soir je finis par sauter le pas. Je l’enculai doucement en y prenant un plaisir dont je ne pensais pas qu’il puisse être plus fort que celui que je prenais quand je forçais la rondelle d'une femme
A moins qu’elle ne simulât et que je fus là encore naïf, elle semblait aussi apprécier de se faire ainsi sodomiser dans ma voiture et ce quasiment à la vue de tous, car il y avait sur ce parking beaucoup de mateurs … Cela m’importait peu, je venais de briser un autre tabou !
J’ai continué ainsi de passer épisodiquement défoncer son joli petit cul. Chaque soir où je la rencontrais c’était la fête à nœud-nœud
Et ce n’était pas seulement à cause de ce parking où nous nous envoyions en l'air
!
C’est ainsi que j’ai commencé à prendre goût à la fréquentation de ces créatures qui hantaient le bois. Une fois franchi ces deux premiers caps, je me suis progressivement enhardi et ai pris l’habitude de faire des visites de plus en plus nombreuses au bois en y « consommant » désormais indifféremment, femmes sans bite et femmes à bite.
Puis, au fur à mesure que j’apprivoisais le bois, ses lieux, ses pratiques et ses codes, je brisais d’autres tabous. C’est dans les bois, plutôt qu’en voiture, que peu à peu je préférais baiser, puis je découvris et apprécia les plans à trois et enfin je fis sauter une de mes dernières pudeurs en découvrant le plaisir de sucer une belle queue. Je ne pratiquais toutefois cet exercice qu’avec mes plans réguliers. Certains jugeront cette évolution comme une descente aux enfers mais pour moi ce ne fut qu’excitations et découverte de nouveaux bonheurs
Cependant, même si depuis trente ans la proportion de transsexuelles dans mes rencontres a eu tendance à augmenter, je reste définitivement actif malgré quelques propositions repoussées et quelques doigts qui se sont parfois égarés