Nostrabéru a écrit :Savez-vous ce que sont devenues ces incontournables du petit matin :
- Lily ,qui officiait dans un BMC (répérable à son boa) qui stationnait en JA2 prés de jardin d'acclimatation ;
- Jennifer (et ses bottes rouges) qui tapinait en RM15 en face de la route de Suresnes ;
- Samantha qui se faisait défoncer la rondelle dans un BMC stationné en PC1;
- Candy qui vous suçait à fond dans son espace garée en PC5 ;
- Catherine qui ne parlait pas français mais acceptait tout, y compris les partouses, dans son BMC blanc posté en bas de la route du pré Catelan prés du lac.
- Nathalia qui avait sa tente en PC9 ;
J'aimerais partager quelques souvenirs avec ceux qui s'en souviennent.
Connaissez-vous, ou avez-vous connu, Lily ?
[Je vous donne ci-dessous quelques informations complémentaires concernant cette Lily que j’avais brièvement citée sur ce même forum le 24 mai dernier. C’est la seule des quatre coquines dont je ne vous avais pas encore présenté les « qualités »]
Lily est une sulfureuse transsexuelle sud-américaine, généralement blonde et doté(e) d’une forte poitrine. Elle travaillait dans un BMC, pas toujours très clean , stationné Porte des Sablons entre le Jardin d’Acclimatation et la porte Maillot (en JA2). Son physique n’était pas extraordinaire et certains la trouvaient trop maigre. Mais elle avait sa clientèle de fidèles.
Pour ma part, c’est surtout son côté salope prête à tout qui m’excitait et sur lequel je continue aujourd’hui encore de fantasmer.
Pour trente euros c’était un bon plan, que l’on soit actif ou passif. Même si personnellement je suis exclusivement actif cela m’excitait de la voir bander comme un taureau. Souvent elle se branlait pendant qu’elle me suçait et son engin prenait rapidement une dimension et une dureté remarquable. Bien que je ne lui aie jamais proposé, je pense aussi que Lily ne devait pas détester se faire sucer.
Dès qu’elle avait empoché mes billets, la créature se mettait complétement à poils. Sur son corps mince ses seins étaient impressionnants ! Puis elle collait sa bouche contre la mienne et commençait à m’embrasser goulument en se frottant contre moi. J’appréciais moyennement ces embrassades profondes car je ne pouvais pas m’empêcher de penser que c’est cette même bouche qui suçait des bites à longueur de journée .....
Ensuite, à ma demande, elle me bâchait la queue et commençait à me sucer. Sa pipe était agréable et ses lèvres pulpeuses tenaient toutes leurs promesses. Je comprenais alors ceux qui ne résistaient pas à lui demander « une pipe nature » …
Je l'ai parfois soupçonné de vouloir me finir ainsi pour éviter de se prendre ma bite dans le fion(*). En même temps qu’elle me pompait, Lily branlait sa grosse queue. Entre ses jambes fluettes, son gros chibre dressé, de couleur plutôt brune, tranchait, avec la couleur de sa peau. Il devenait dur comme un roc et je craignis souvent que Lily n’oubliât que j’étais exclusivement actif .... En effet, beaucoup de punters n’allaient la voir que pour se faire limer la rondelle !
Nous passions alors aux choses sérieuses. Lily s’allongeait sur le dos et relevait ses jambes. C’est ainsi que j’aimais l’enculer. Lily ramenait ses pieds contre mon buste ce qui me permettait, à chaque coup de butoir que je lui donnais, de comprimer ses cuisses contre ses superbes seins. Je la défonçais ainsi quelques minutes lui arrachant des soupirs de plaisir. Je lui éclatais le fion et elle semblait adorer cela !
Lily me faisait vraiment croire que je la faisais jouir. Alors, plus elle gémissait de plaisir, plus je la défonçais et plus elle gémissait. Je suppose qu’elle simulait ainsi avec tous ses clients, ce qui expliquait sans doute en partie son succès. L’inconvénient c’est que la voyant ainsi jouir, ou faire semblant, je ne pouvais me retenir très longtemps avant de me vider dans son cul.
Oui, Lily était une sacré salope et je suis sûr qu’ici beaucoup s'en souviennent encore ......
(*) En effet, une fois, tandis que je la besognais, elle avait eu un rictus qui ressemblait plus à une grimace de douleur qu’à une manifestation de plaisir. J’avais eu alors l’impression que Lily souffrait et je finis rapidement. Et quand elle me lâcha son « Oh ! Déjà chéri » son air désolé sonnait bien faux !
Je crois que certains jours le cul de Lily recevait trop de « visites » et qu’à chaque queue qui la défonçait elle endurait le martyr. Cela me culpabilisait et parfois me coupait toute envie de la revoir. Pourtant je finissais toujours par y revenir …