Nostalgies du Bois

Postez ici toutes vos infos sur le Bois de Boulogne
Répondre
Nostrabéru
Rank 3
Rank 3
Remerciements : 9
Messages : 80
Inscription : 24 mai 2020, 11:19

Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :C'est curieux comme les idées s'associent et s'enchaînent. . Valéria tapinait justement route de Suresne en PC1 vers la jonction avec PC8. Ce n’était pas la haie de trans décrite ci-dessus par Nosta, mais certains soirs, il y avait des jolies brochettes de trans dans certains coins. Valéria était une Equatorienne blonde aux cheuveux bouclés et à la peau clair un peu comme une photo d’Ophélie Winter dont on aurait photoshoppé le visage. .
Merci SamutPrakan pour ce récit criant de vérité.

Le spot(1) que j’évoquais dans mon précédent message se situe au croisement de la Route de Suresnes avec la Route de la Muette à Neuilly et non pas en PC1- PC8. Depuis que certaines routes du bois ont été interdites à la circulation, la Route de Suresnes est coupée en deux. Il y a donc deux Route de Suresnes :!:
Mais, effectivement, près du Pré Catelan, je me souviens parfaitement de ce petit pont qui conduisait à un baisodrome arboré où j’ai, moi aussi, souvent taquiné les rondelles de ces dames. Peut-être ai-je même baisé cette Valéria ? A quelle époque était-ce ?

Comme je m’en veux aujourd’hui de ne pas avoir noté le prénom de toutes ces créatures dont j’ai explosé le trou du cul :( :(
Le temps ayant passé, je ne me rappelle aujourd’hui que de celui de quelques régulières et de celui de celles qui, aujourd’hui encore, alimentent mes fantasmes.

Je n’aimais pas particulièrement ce spot. Certes il y avait du choix, mais certaines transsexuelles y étaient parfois peu aimables, voire franchement agressives. Une soir, alors que je faisais un premier repérage en voiture, l’une d’elles, avec laquelle j’avais brièvement échangé sans conclure, avait violemment martelé ma portière à coups de pieds alors que je redémarrais :shock:

Néanmoins, au début des années 2010, j’y avais quelques habitudes, comme Jennifer de l’autre côté de l’Allée de Reine Marguerite ou encore Tatiana(3). Il y avait aussi Samantha(2), une équatorienne comme Valéria. J’ai déjà longuement évoquée Samantha dans mon message du 12 décembre dernier. Je me souviens encore l’avoir défoncé un jour de pluie contre un arbre près du Ruisseau de Longchamp :D
De biens belles salopes que je n’ai pas oubliées ;) ;)

Et puis il y toutes les autres qui peuplaient ce même spot.
- Celles qui furent un choix par défaut parce que la superbe bimbo, qui tapinait au coin de la Route de Suresnes et de l’Allée de la Reine Marguerite, n’était jamais disponible et que vous ne vouliez pas quitter le bois les couilles pleines ;
- Celles qui avaient un horodateur dans la tête et s’activaient à vous faire gicler le plus vite possible ;
- Celles qui vous avaient proposé, moyennant "un petit cadeau en plus", une pipe nature, ou un doigt dans le cul ;
- Celles qui avaient plombé l’atmosphère en se faisant très insistantes pour essayer de vous faire sortir un troisième petit bleu pour finalement accepter de se faire démonter au tarif convenu ;
- Celles qui tentaient de vous faire prendre des vessies pour des lanternes et leurs entrecuisses pour leurs trous du cul ;

Toutes celles-là, je les effacées de ma mémoire même si,sur le moment, certaines m’ont sans doute fait jouir un de ces soirs tristes, ou un de ces matins glauques, où j’avais tellement les crocs que j’aurais explosé n’importe quelle gargouille à foutre.

Alexandre-Benoit

(1) C’est approximativement en 48°52’8.92’’ N 2°16’03.33’’ E que, ce soir-là, les ardeurs d’une superbe black avaient eu de fâcheuses conséquences pour mon pantalon ;) ;)
(2) Mon récit sur Samantha : http://www.trans-girls.com/index.php?na ... c&start=15 page 2
(3) J’ai baisé Tatiana (ou Katiana ?) une dernière fois début 2014 au milieu de cette parcelle de bois coincée entre PC8 et RM16. Il faisait froid, le sol était souillé de Kleenex et de capotes usagées, les arbres sans feuilles nous exposaient à la vue des voyeurs et des racailles qui écumaient la zone et, malgré tout, je regrette ces instants de plaisir intense où j’ai défoncé pour la dernière fois le petit cul ferme de cette blonde :(
Elle bandait et me suppliait de ne pas m’arrêter :D :D

Un de meilleurs souvenirs :D
Mais, comme l’a écrit mon créateur ;) , « Les souvenirs sont doux à qui les raconte, chiants à qui les écoute."
Avatar de l’utilisateur
Samutprakan
Banned
Banned
Rank 9
Rank 9
Remerciements : 401
Messages : 3150
Inscription : 30 mars 2017, 12:50
Avertissements : 10

Message par Samutprakan »

Valéria fait partie de ces souvenirs que j’ai du mal à dater avec précision . Ça devait être en 2001, 2002 ou bien 2003. La plupart de mes souvenirs les plus chauds datent d’une époque allant de 1998 à 2002. Je croyais avoir terminé mes anecdotes en 2002, mais ça s’est poursuivi en 2003. A l’été 2002, j’ai préféré un job moins qualifié en province à mes activités parisiennes et j’ai laissé le Bois derrière moi sans trop de regret sauf quelques passages en 2003.

Je me souviens avoir trainé mes guêtres à Nice l’été en 2001 et 2002. J’avais trouvé une hongroise (fille) belle mais pas trop, sachant passer inaperçue et prenant 80 € pour une heure dans son studio. Quand je ne l’ai plus revue, je me souviens avoir branché une trans sur la promenade des anglais à proximité de l’aéroport. Elle m’a emmené à quelques rues de là sous les sifflets des niçois, m’a demandé de l’argent à l’entrée de l’immeuble et nous sommes montés. Elle n’avait pas de chambre et prétendait baiser dans la cage d’escalier. Son coup était bien monté. Elle m’a fait chier jusqu’à me dégouter et m’a froidement annoncé «tu viens de perdre 100 €». Elle m’a un peu refroidi des trans.

A Nice, il y avait de plus en plus de (filles) bulgares. Dans d’autres villes, il y a eu plusieurs vagues : des yougoslaves, des russes, des roumaines, des bulgares et des africaines. J’avais trouvé une bulgare d’origine turque qui elle aussi m’a dit qu’une bite peut faire mal par où ça passe (et on ne pratiquait pas la sodomie). Puis, mes affaires personnelles m’emmenaient parfois à Bordeaux.

Il y avait des jolies filles près de la gare et la zone se prolongeait du côté de Bègles dans une zone industrielle mais il n’y avait pas de trans. Depuis l’élection de 2002, les politiciens parlaient de plus en plus d’insécurité et se mettaient à vilippender les prostituées. Les français ont été choqués par le World Trade Center et on voulait taper sur les putes pour les rassurer. Un soir, dans une rue sombre, j’ai croisé Claire Carthonnet, une leader des prostituées qui se battait contre cette loi. Des porcs (comme Bernard Tapis) la faisaient taire en menaçant de révéler son secret. Claire Carthonnet est une trans et alors ? Puis, la loi a été votée pour sanctionner le racolage. Quelques mois plus tard, j’ai vu la à télé des grands héros de la BAC de Bordeaux arrêter et menotter un client de pute qui s’était arrêté pour demander un prix. Je reconnaissait une rue où j’avais chassé à Bègles.


Comme j’ai eu l’occasion de passer en Suisse, j’ai trouvé un site d’annonces avec des escorts de tous les sexes, et un beau jour, j’allais dans un immeuble dans un quartier inconnu à Genève, je sonnais à une porte et une actrice de porno trans est venue m’ouvrir la porte. L’escorting par Internet s’est développé en France, mais surtout à Paris. Ça me faisait ch… de payer 150 € pour des coups vite faits. En Suisse, 200 francs faisaient environ 120 € à l’époque et le service était bon. Puis le Franc suisse a pris de la valeur et le service s’est dégradé. Ça m’emmerdait de payer 150 € (en France ou en Suisse) pour tomber sur une trans fatiguée au bout de 20 minutes. Pour mon dernier coup en Suisse, je suis tombé sur une trans pas à l’écoute à qui je ne plaisais pas et qui m’a lancé son soulier dans l’escalier lorsque je suis reparti. Je suis reparti avec le soulier vu ce que j’avais payé. Alors j’ai tourné la page pendant quelques temps et je me suis occupé de filles. J’avais l’impression de prendre des rendez-vous clandestins comme si je faisais de la résistance.

Sur le net, en France, ça craignait de plus en plus. Chaque site avait son style de snobisme. Les clients se vantaient de payer plus cher que les autres dans les forums, alors que ce n’était pas vraiment le but. (C’est toujours le cas sur escortfr). Partout, on voyait les prix flamber et surtout les fausses EV, les fans clubs, les secrétaires et bien d’autres cas de figure envahir le net. Puis j’ai lu quelque part que le B2B avait tenu le choc. Alors, j’ai retrouvé le chemin qui mène au bois en 2008.

Fin de ce nouveau post hors sujet. Mais ça m'a permis de faire une transition vers d'autres EV au B2B.
Avatar de l’utilisateur
Samutprakan
Banned
Banned
Rank 9
Rank 9
Remerciements : 401
Messages : 3150
Inscription : 30 mars 2017, 12:50
Avertissements : 10

Message par Samutprakan »

je suis revenu au B2B en 2008. Le paradoxe, c'est que j'ai trouvé toutes sortes d'informations sur les trans sur Inetrnet mais le Bois était tabou partout. Le premier site de trans que je trouvait sexy s'appelait boisdeboulogne.com . Il y avait un minimum de présentation commerciale. Puis j'ai fini par trouver des mots clés pour entrer mes goût dans Google et j'ai abouti sur Asian-TS où j'ai découvert des vraies trans très féminines sur une autre planète. Entretemps, j'ai réussi à savoir que le bois n'était pas mort et j'ai trouvé une occasion d'aller à Paris.

J'ai trouvé l'ambiance changée. Avec le recul, c'est normal. Je ne me suis pas posé la question de savoir si l'ambiance était changée en 1998 après avoir trainé là-bas pour la dernière fois avant 1995. La première chose qui frappait était que les trans étaient peu visibles au bord de l'ARM. Elles avaient tendances à tapiner dans les contre-allées à une dizaine de mètres ou plus de la route. La deuxième chose qui était bien visible était la nouvelle espèce de racailles qui hantait ces lieux : les voitures de police avec certains policier au style agressif. La première fois que j'ai utilisé une voiture avec des vitres tyeintées à l'arrière, une voiture de bleus est arrivée à ma hauteur et un des cow boy a envoyé un coup de projecteur pour voir à l'intérieur. Il fallait voir le niveau d'agressivité. Troisième point : il y avait beaucoup de marcheurs sur les contre allées. Je pense qu'il y avait beaucoup de voyeurs mais aussi beaucoup de "djeuns" qui ne me disaient rien qui vaille. Les caillerats profitaient de l'ambiance pour aller faire chier les trans.

ça s'est calmé un peu plus tard dans la soirée. Les trans se rapprochaient de la route, les patrouilles de flics se faisaient plus rares et les caillerats étaient toujours aussi nombreuses. Je me suis aventuré à faire le tour à pieds. J'ai fait gaffe à n'emporter que le strict nécessaire sur moi et je suis parti. Si un groupe de caillerats me rattrapais, soit je m'arrêtais pour les laisser passer, soit j'accélérait. J'ai aussi redécouvert un ancien truc réflexe. Je m'enfonçais dans le bois à 25 mètres de la contre allée et j'observais sans bouger comme j'avais appris à le faire en préparation militaire. C'est à cet époque que je suis devenu un brin voyeur aussi.

Concernant les trans, ce qui était évident est que les trois quarts des trans présentes au bois avaient leur fiche sur Niamodel. C'était le même principe que les filles russo-ukrainiennes dans escortfr. Elles tapinaient à l'extérieur pour des passes à 30 ou 40 € et rentraient chez elles pour les prestations d'ecort à 150 €.
J'ai levé une brésilienne en RM12 pour aller dans son appartement. Elle ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Même dans l'appartement, l'ambiance était bizarre. En fait, 2 de de ses copines se cachaient dans la salle de bain pendant qu'on occupait la chambre. A part, ça, la miss était plutôt pressée. Si j'avais payé 30 € pour m'occupper d'elle à l'abris des regards dans le bois, ça aurait pu passer, mais même à 100 €, j'ai trouvé que ça ne le faisait pas pour tomber sur une trans qui était somme toute assez vite fatiguée. Pourtant, j'étais décidé à emmener les trans à l'hôtel ou en appartement pour éviter des problèmes avec les keufs.
Avatar de l’utilisateur
Samutprakan
Banned
Banned
Rank 9
Rank 9
Remerciements : 401
Messages : 3150
Inscription : 30 mars 2017, 12:50
Avertissements : 10

Message par Samutprakan »

Avec cette nouvelle ambiance, je me suis trouvé un nouveau terrain de chasse en RM5 et RM7, ce pour une bonne raison : à cet endroit de l’ARM, la contre-allée s’éloigne de la route et se trouve parfois séparée du bord de la route par des arbres ou des buissons, du moins, c’était le cas en 2008. Il y avait à cette époque en début de RM5 quelques trans que j’appelais « les gueules cassées ». C’était des latinas jeunes et pas mal foutues, mais qui avaient un point commun: un visage pas très féminin et comme déformé par la chirugie esthétique, déformation que le maquillage n’arrivait pas à corriger. Plus près de RM7, il y a avait un terrain de chasse assez tranquille où on n’était pas perturbé par les interventions des keufs ou des racailles en voitures le long de l’ARM.

Un soir où il n’y avait pas beaucoup de trans, j’en ai repéré une habillée avec un pantalon en cuir et un haut en allure de latex dans le style d’une maîtresse SM. Ce n’était pas mon genre, mais j’ai décidé d’aller la taquiner un peu par curiosité et aussi par goût de la provocation. Je suis tombé sur une personne très cool qui m’a mis à l’aise dès que je l’ai abordée. Elle s’exprimait bien en français, m’a fait une offre sans équivoque, restait souriante et avait une jolie voix douce qui la rendait plus féminine.
Elle était péruvienne. Ça peut paraître banal étant donné le nombre de péruviennes qui se trouvent au Bois depuis plusieurs années mais à cette époque, c’était une première pour moi. J’avais bien levé une (fille) péruvienne quelques années avant à Rouen, mais c’était ma première trans péruvienne. Comme on trouvait presque toutes les nationalités d’Amérique du Sud au Bois, ça ne paraissait pas illogique qu’on en vînt à trouver des péruviennes.
Comme je l’interrogeais sur son accoutrement, elle me dit qu’elle faisait des prestations de maîtresse SM active à 150 € en appartement. Comme je lui ai répondu que je cherchais l’inverse et que j’étais actif, elle a parue intéressée et m’a offert une heure en appartement pour 100 €.

Nous sommes partis en direction de Saint-Cloud puis de Suresnes. Nous nous sommes arrêtés devant un petit immeuble et nous nous sommes retrouvés dans un appartement avec des murs décorés en revêtements de bois sombre.
Lorsqu’elle s’est déshabillée, surprise ! Elle avait une queue énorme comme j’en avais vu uniquement sur des sites porno et quelquefois dans niamodel. Je pensais que c’était du photoshoppage, mais cette fois-ci, le photoshoppage était devant moi sans écran. Sa queue avait une base très large sur la moitié de sa longueur qui à elle seule aurait fait une taille inférieure à la moyenne, mais similaire à ce qu’on voit parfois, puis elle se resserait (comme une fusée saturne 5) et se poursuivait sur une deuxième moitié qui à elle seule auarit constitué une petite bite sans être non plus très petite. Mais l’ensemble des 2 était énorme.
Elle m’a expliqué qu’elle avait commencé à se féminiser au début de l’adolescence et que ses parents effrayés l’avaient emmenée chez un docteur qui lui avait fait subir un traitement hormonal pour la masculiniser, mais rien n’avait fait, elle voulait se transformer en femme. Le traitement d’hormones masculines avait eu pour séquelle cette queue énorme qui lui permettait de bien gagner sa vie en sodomisant des clients soumis et elle était contente ce soir là sans grande clientèle de trouver un client qui la traite en trans passive.
Je crois que je n’avais jamais rencontré une trans aussi cool au Bois et même en appartement. Ça m’aurait fait plaisir de la revoir mais je ne l’ai pas revue. Heureusement qu’il y avait de quoi faire en RM7 à cette époque.
Takeit
Rank 1
Rank 1
Remerciements : 4
Messages : 22
Inscription : 30 janv. 2024, 23:29

Re: Nostalgies du Bois

Message par Takeit »

Bonjour amis punters,

Avant le covid j'avais pour habitude d'aller voir une merveille Colombienne au bois, elle se situait sur la route de la muette à Neuilly après le rond point du pavillon royal au niveau du renfoncement ou se gare certains routiers devant la barrière, elle était juste au niveau du passage piéton derrière les petits plots en bois à l'emplacement ou est aujourd'hui la petite mexicaine au bonnet rose.

C'était ma préférée du bois, assez petite 1.65 environ, brune avec de véritables cheveux bruns, très long et très doux pas de perruque, toujours habillée d'un jean et un long gilet/manteau noir, un visage très très féminin, pas mal de tatouages sympas, fine mais avec des seins bien ronds magnifiques et un cul mais alors un cul.. j'ai jamais compris pourquoi elle ne s'habillait pas plus sexy car c'était véritablement une bombe.. La presta coutait 40 sans chrono en main, une pipe nature incroyable, une gorge sans fond et de la bave qui coulait de partout et un cul rond parfait un petit 38 bien ferme dans lequel on s'enfonçait avec une facilité déconcertante et qu'on pouvait limer sans retenu, si vous la baisiez bien elle avait habitude de se branler jusqu'à jouir sous les coups de butoir, son seul bémol était de refuser l'éjac en bouche mais je lui pardonnais allègement tant elle excellait dans le reste ! Je l'ai emmené une fois chez elle pour 100 elle était à l'époque à Puteaux 2 bonnes heures à lui limer la gorge tête à l'envers au bord du lit et à la prendre dans tous les sens, son petit gabarit état parfait pour ça, je n'avais jamais aussi bien investi un billet de ma vie ! J'avais habitude d'aller la voir directement en arrivant au bois avant d'aller me vider dans la gorge d'une autre favorite quand je me finissais pas avec elle.

Elle s'appelait Rachel disait venir de Cali et était présente à son poste jusqu'à minuit.

A chaque sortie au bois j'y repasse dans l'espoir d'un jour la trouver là 🙏
Répondre