Quelques photos de voyage
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Est-ce que tu as acheté un cochon ? Tu aurais pu le gaver dans ton appartement de Bangkok avec de la confiture (Bonne Maman )MarcoBDX a écrit :Ca me rappelle beaucoup de souvenirs...
J'ai vécu et travaillé 3 ans à Bangkok et j'y avais une
compagne native de Sisaket ou je suis allé souvent.
J'ai l'humour un peu agressif, mais j'estime que je suis déjà heureux de pouvoir aller y faire du tourisme de temps en temps sans trop me prendre la tête. (Ceci dit, si j'avais l'opportunité d'aller y bosser 3 ans, je ne la laisserais pas passer).
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L'Issan (Nord-Est de la Thaîlande) est réputé comme la partie la plus sous-développée du pays. Ce serait aussi l'ensemble de régions d'où proviendraient la majorité des ladyboys. J'ai voulu vérifier. (1ère photo)
J'avais aussi repéré de chouettes parcs nationaux pour aller me promener voire pour y emmener une conquête locale. Je suis allé à Nong Kaï où je n'ai pas trouvé de tour operator pour faire un trip intéressant. J'ai branché Wechat et me suis rendu compte qu'il y avait peu de ladyboys et encore, les rares que j'ai pu localiser se trouvaient de l'autre coté du Mékong (2ième photo) au Laos.
Je me suis rabattu sur Udon Thani (3ième photo). Le 1er soir, j'ai localisé 2 ladyboys avec Wechat. La premiière était dans un hôtel à 200 m de ma position, mais faute d'explication suffisante, j'ai eu le temps de vider 2 batteries avant de savoir où c'était. La 2ième était au complexe day & night bar. Mais comme je n'avais pas révisé ma leçon, en l'occurence le post que j'avais écrit sur Udon Thani, je n'ai pas pu y parvenir. Le lendemain, un ladyboy de 34 ans m'a contacté sur Wechat. On s'est rencontré chez moi, puis on est allé dans son bar au complexe day & night. Le jour suivant, j'ai contacté une jeunesse locale sur Wechat alors que je vérifiais les informations que j'avais postées (je les mettrais à jour plus tard). Il s'agit de celle dont j'ai posté la photo avec la jupe relevée.
Ensuite, je suis allé à Khon Kaen. Khon Kaen n'est pas "la capitale" de l'Issan mais c'est la plus grande ville aussi loin de Bangkok. J'ai aussi voulu vérifier les infos que j'avais postées. Le premier soir, je n'ai pas eu le temps de me rendre dans le quartier indiqué car je me suis fait brancher par un ladyboy en scooter, une bien joile créature qui rentrait du boulot. Je vous passe les détails mais elle a passé avec moi les 2 nuits où je suis resté à Khon Kaen. (Je posterai des infos sur le topic ad hoc). Je voulais renconter un ladyboy à Si Sa Ket qui cherchait un boyfriend. N'ayant pas pu trouver de bus pour Si Sa Ket, j'en ai pris un pour Ubon (Ratchathani) en passant par Maha Sarakham, Roi Et et le sud de la province de Yasothon (où j'avais eu un cotact en 2016). J'avais bien prévenu ma copine de Khon Kaen que je partais.
Mais le lendemain soir, alors que je venais d'alpaguer une étudiante (encore un ladyboy) à Ubon (4e photo), elle m'a appelé et m'a demandé à passer à mon hôtel. Quand elle a compris que j'étais parti, j'ai entendu des sanglots dans sa voix, pas des imitations de pleurs comme en font les putes de bars.
Mon étudiante d'Ubon était en retard. Dommage car c'était un bon coup. Puis j'ai repris la route pour Si Sa Ket.
Si Sa Ket ressemble à ... rien que je n'aie jamais vu auparavant en Asie. C'est juste une espèce de marché de gros de fruits et légumes et de poissons de rivières où tout le monde ou presque tire son rideau de fer 2 heures après la fermeture de l'université locale.
Ma promise (26 ans mais 14 ans d'âge mental) avait perdu son job de coiffeuse à Khon Kaen et rêvait d'ouvrir son propre salon. En attendant, elle bossait comme aide dans le garage de son père ou vendait des fruits achetés sur un marche de gros sur un marché local. Je l'ai reçue dans mon hôtel à petit prix qui était un vrai palace accompagnée de sa copine censée jouer le rôle de traductrice. J'ai réussi à m'isoler avec elle pour lui offrir (ou me défausser) du cadeau que je lui avais amené (et débarasser ma valise). Son seul intérêt d'avoir un copain était de trouver un sponsor pour financer son salon de coiffure mais comme elle n'avait aucune notion de gestion pour démarrer une petite affaire, son entreprise était vouée à l'échec, ce d'autant plus qu'elle était incapable de s'investir personnellement dans une relation, que ce soit d'un point de vue affectif ou en essayant un bon plan cul. Dommage, car elle avait un superbe petit cul.
Après notre deuxième rencontre, j'ai invité ma copine d'Ubon à partir avec moi dans le sud de la Thaïlande? Je lui ai proposé 1000 baht/jour pendant 15 jours. Elle a réclamé une somme globale de 20000 au lieu de 15000. J'ai accepté, puis elle a demandé 30000 alors je l'ai envoyée chier. J'ai estimé que je ne pourrais pas voyager avec quelqu'un qui remettais en cause en permanence les deals conclus. Je l'ai laissée pleurer en me traitant de menteur.
Peu importe car j'avais un bon contact sur thaifriendly (j'avais téléchargé l'appli thaifriendly et je remettais à jour ma position à chaque fois que je changeais de ville, ça marche comme Tinder ou Wechat, et c'est presque aussi efficace que Wechat). Il s'agissait d'une freelanceuse (ladyboy) qui officie d'ordinaire à Phuket et qui était en vacances dans sa famille.
Puis, j'ai repris la route. J'ai envisagé de pousser à Siem Reap (Cambodge) mais comme je m'étais levé tard, je me suis allé à Buriram (5e et 6e photos sur la route) où la chance a tourné. Je me suis dit que c'était la fin de la baraka et je suis parti à Ayuthaya. Si j'avais été plus malin, j'aurais fait une dernière étape à Korat (supposée être la "capitale" de l'Issan) mais j'étais momentanément rassasié de ladyboys et en manque de tourisme. J'ai effacé Korat et Sara Buri en une journée (7e et 8e photos) pour stationner à Ayuthaya (photos du 1er post). Je n'étais plus en Issan.
D'une certaine manière, j'ai gagné mon pari. En Issan, on trouve des ladyboys assez facilement et en se bougeant un peu, on en trouve des girlfriendly. PAr contre, niveau tourisme, tout est à revoir.
J'avais aussi repéré de chouettes parcs nationaux pour aller me promener voire pour y emmener une conquête locale. Je suis allé à Nong Kaï où je n'ai pas trouvé de tour operator pour faire un trip intéressant. J'ai branché Wechat et me suis rendu compte qu'il y avait peu de ladyboys et encore, les rares que j'ai pu localiser se trouvaient de l'autre coté du Mékong (2ième photo) au Laos.
Je me suis rabattu sur Udon Thani (3ième photo). Le 1er soir, j'ai localisé 2 ladyboys avec Wechat. La premiière était dans un hôtel à 200 m de ma position, mais faute d'explication suffisante, j'ai eu le temps de vider 2 batteries avant de savoir où c'était. La 2ième était au complexe day & night bar. Mais comme je n'avais pas révisé ma leçon, en l'occurence le post que j'avais écrit sur Udon Thani, je n'ai pas pu y parvenir. Le lendemain, un ladyboy de 34 ans m'a contacté sur Wechat. On s'est rencontré chez moi, puis on est allé dans son bar au complexe day & night. Le jour suivant, j'ai contacté une jeunesse locale sur Wechat alors que je vérifiais les informations que j'avais postées (je les mettrais à jour plus tard). Il s'agit de celle dont j'ai posté la photo avec la jupe relevée.
Ensuite, je suis allé à Khon Kaen. Khon Kaen n'est pas "la capitale" de l'Issan mais c'est la plus grande ville aussi loin de Bangkok. J'ai aussi voulu vérifier les infos que j'avais postées. Le premier soir, je n'ai pas eu le temps de me rendre dans le quartier indiqué car je me suis fait brancher par un ladyboy en scooter, une bien joile créature qui rentrait du boulot. Je vous passe les détails mais elle a passé avec moi les 2 nuits où je suis resté à Khon Kaen. (Je posterai des infos sur le topic ad hoc). Je voulais renconter un ladyboy à Si Sa Ket qui cherchait un boyfriend. N'ayant pas pu trouver de bus pour Si Sa Ket, j'en ai pris un pour Ubon (Ratchathani) en passant par Maha Sarakham, Roi Et et le sud de la province de Yasothon (où j'avais eu un cotact en 2016). J'avais bien prévenu ma copine de Khon Kaen que je partais.
Mais le lendemain soir, alors que je venais d'alpaguer une étudiante (encore un ladyboy) à Ubon (4e photo), elle m'a appelé et m'a demandé à passer à mon hôtel. Quand elle a compris que j'étais parti, j'ai entendu des sanglots dans sa voix, pas des imitations de pleurs comme en font les putes de bars.
Mon étudiante d'Ubon était en retard. Dommage car c'était un bon coup. Puis j'ai repris la route pour Si Sa Ket.
Si Sa Ket ressemble à ... rien que je n'aie jamais vu auparavant en Asie. C'est juste une espèce de marché de gros de fruits et légumes et de poissons de rivières où tout le monde ou presque tire son rideau de fer 2 heures après la fermeture de l'université locale.
Ma promise (26 ans mais 14 ans d'âge mental) avait perdu son job de coiffeuse à Khon Kaen et rêvait d'ouvrir son propre salon. En attendant, elle bossait comme aide dans le garage de son père ou vendait des fruits achetés sur un marche de gros sur un marché local. Je l'ai reçue dans mon hôtel à petit prix qui était un vrai palace accompagnée de sa copine censée jouer le rôle de traductrice. J'ai réussi à m'isoler avec elle pour lui offrir (ou me défausser) du cadeau que je lui avais amené (et débarasser ma valise). Son seul intérêt d'avoir un copain était de trouver un sponsor pour financer son salon de coiffure mais comme elle n'avait aucune notion de gestion pour démarrer une petite affaire, son entreprise était vouée à l'échec, ce d'autant plus qu'elle était incapable de s'investir personnellement dans une relation, que ce soit d'un point de vue affectif ou en essayant un bon plan cul. Dommage, car elle avait un superbe petit cul.
Après notre deuxième rencontre, j'ai invité ma copine d'Ubon à partir avec moi dans le sud de la Thaïlande? Je lui ai proposé 1000 baht/jour pendant 15 jours. Elle a réclamé une somme globale de 20000 au lieu de 15000. J'ai accepté, puis elle a demandé 30000 alors je l'ai envoyée chier. J'ai estimé que je ne pourrais pas voyager avec quelqu'un qui remettais en cause en permanence les deals conclus. Je l'ai laissée pleurer en me traitant de menteur.
Peu importe car j'avais un bon contact sur thaifriendly (j'avais téléchargé l'appli thaifriendly et je remettais à jour ma position à chaque fois que je changeais de ville, ça marche comme Tinder ou Wechat, et c'est presque aussi efficace que Wechat). Il s'agissait d'une freelanceuse (ladyboy) qui officie d'ordinaire à Phuket et qui était en vacances dans sa famille.
Puis, j'ai repris la route. J'ai envisagé de pousser à Siem Reap (Cambodge) mais comme je m'étais levé tard, je me suis allé à Buriram (5e et 6e photos sur la route) où la chance a tourné. Je me suis dit que c'était la fin de la baraka et je suis parti à Ayuthaya. Si j'avais été plus malin, j'aurais fait une dernière étape à Korat (supposée être la "capitale" de l'Issan) mais j'étais momentanément rassasié de ladyboys et en manque de tourisme. J'ai effacé Korat et Sara Buri en une journée (7e et 8e photos) pour stationner à Ayuthaya (photos du 1er post). Je n'étais plus en Issan.
D'une certaine manière, j'ai gagné mon pari. En Issan, on trouve des ladyboys assez facilement et en se bougeant un peu, on en trouve des girlfriendly. PAr contre, niveau tourisme, tout est à revoir.
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Je suis peut-être influencé par des forums anglais/australiens etc ... mais même lorsque c'était une girlfriend, je lui donnais de l'argent. Je n'étais pas leur régulier et j'estimais correct de leur donner quelque chose pour qu'elles puissent s'acheter des produits de beauté ou des fringues. La première à qui j'ai donné 500 bahts, m'a demandé plus. Après ça, je donnais 1000 bahts (et j'estime ne pas avoir été floué quand je l'ai fait) sauf à ma "promise" à qui j'ai kuste remis un cadeau et à la freelanceuse qui est restée 4 heures au lit avec moi.MarcoBDX a écrit :J'ai eu la chance de tomber sur une nana qui tenait beaucoup de boutiques au MBK....elle gagnait bien sa vie et n avait pas à me demander
quoique ce soit..je n'ai jamais été son sponsor