Au bois, personnellement je n'y suis pas retourne depuis un certain temps.
Depuis le lancement du sarkhozisme aigu en gros, mais meme quand j'y allais ,je ne descendais que rarement de voiture. Trop de "racailles" et de trous du cul c'est un lieu tres hot, attirant, mais le risque du pv, de la voiture avec sabot, c'est moyennement comique.
Mais j'avoue, en ete, ou en hiver gouter une glace d'un bon 20cm puissant , etouffant en pleine nature est tres excitant, surtout si comme ca m'est arrive une copine arrive et sorte son chibre pour pas une tune de plus. mais snif snif pas de double ration a l'anis, ça ca manque par contre...
nouvelle ou pas pour une premiere
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philgatsby
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Perso le début du Sarhozisme aigü a marqué pour moi le début d'une période de provincialisme aigüe. Il y avait en 2002 suffisamment d'endroits où on pouvait se garer et partir dans la discrétion du décor. La racaille, ne s'aventurait jamais très loin des transes qu'on voit sur le bord des artères principales (allée de la Reine Marguerite).
L'approche à pieds permet d'améliorer la qualité du dialogue par rapport à une discussion avec la transe sur le trottoir et le client dans la voiture pris dans le traffic. Il y avait également de bonnes affaires à dénicher derrière le restaurant du Pré Catalan, impossibles à soupçonner depuis son véhicule. Le plus paradoxal, c'est qu'en y a allant en sans envie de batifoler dans les broussailles, on peut se prendre au jeu (pas en hivers: broussailles pas assez touffues et trop froid) et trouver la aussi des plans sympas.
En regardant, de plus près, on se rend compte que les "filles" sont regroupées plus ou moins par ethnies, par genre et/ou tranches d'age. Contre la racaille, un peu de sang froid suffit (mes billets sont aussi planqués ailleurs que dans mon portefeuille, j'ai un jean, un blouson et des chaussures qui permettent la marche en "campagne") et en dernière extrémité, la bombe lacrymo (jamais utilisée). Autre mauvaise rencontre: la police. Il suffit d'un peu de patience. Il faut dire que je ne me suis pas fait prendre avec le pantalon baissé. Même si le lieu est louche, les policiers recherchent avant tout des dealers et s'attaquent aux types (surtout jeunes) dès lors qu'ils sont plusieurs dans une voiture.
A pieds ou en voiture, bonne chasse à ceux qui y vont.
L'approche à pieds permet d'améliorer la qualité du dialogue par rapport à une discussion avec la transe sur le trottoir et le client dans la voiture pris dans le traffic. Il y avait également de bonnes affaires à dénicher derrière le restaurant du Pré Catalan, impossibles à soupçonner depuis son véhicule. Le plus paradoxal, c'est qu'en y a allant en sans envie de batifoler dans les broussailles, on peut se prendre au jeu (pas en hivers: broussailles pas assez touffues et trop froid) et trouver la aussi des plans sympas.
En regardant, de plus près, on se rend compte que les "filles" sont regroupées plus ou moins par ethnies, par genre et/ou tranches d'age. Contre la racaille, un peu de sang froid suffit (mes billets sont aussi planqués ailleurs que dans mon portefeuille, j'ai un jean, un blouson et des chaussures qui permettent la marche en "campagne") et en dernière extrémité, la bombe lacrymo (jamais utilisée). Autre mauvaise rencontre: la police. Il suffit d'un peu de patience. Il faut dire que je ne me suis pas fait prendre avec le pantalon baissé. Même si le lieu est louche, les policiers recherchent avant tout des dealers et s'attaquent aux types (surtout jeunes) dès lors qu'ils sont plusieurs dans une voiture.
A pieds ou en voiture, bonne chasse à ceux qui y vont.