Je crois également que c'est ce rattrapage de niveau de vie (niveau de vie Thaïlandais progressant plus vite que chez nous) qui est à l'origine de cette crise. Ce n'est pas que la question des prix. Les ladyboys sont aussi moins motivées pour se (faire) défoncer. J'envie ceux qui allaient à Bangkok au début des années 2000 et pouvaient trouver dans un bar les meilleures stars (ou futures stars) de l'époque. Une autre facette du problème, c'est que les ladyboys, employées de bars ou freelancers ne semblent pas réaliser que leur niveau de vie est meilleur que celui de la "génération" précédente et que les farangs ne peuvent plus payer aussi généreusement qu'avant. La générosité du passé coûtait peu alors que la retenue actuelle dénote qu'on n'est pas prêt à payer plus pour avoir moins.
Le problème est aussi aggravé par les bars qui en rajoutent sur les additions (j'en ai déjà parlé).
On peut rester en Thaïlande. Les freelancers restent abordables à Pattaya (moins à Bangkok où elles se sont alignées sur le prix de 2000 bahts). Ailleurs en Thaïlande, les prix sont très variables. Quand on tombe dans un coin touristique avec un cabaret où travaillent des anciennes des bars de Bangkok (comme par ex Ao Nang), le touriste est attendu avec le couteau entre les dents. Pour ceux qui sont habitués à la Thaïlande, il reste des endroits intéressants, mais j'ai trouvé que c'est diffcile de cumuler dans un même endroit rencontres de ladyboys et intérêt touristique.
Il y a bien Chiang Mai. La dernière fois que j'y suis passé (2013, ça commence à dater), celle qui demandait 800 baht parce qu'elle était plus jolie passait pour une "j'me la pète", mais depuis, j'ai lu que certains touristes payent spontanément jusqu'à 2000 baht en invoquant comme raison qu'ils sont satisfaitset que ceux qui donnent moins sont des "cheap charlie".
Pour l'instant, il y a encore beaucoup d'opportunités en Thaïlande et dans les pays autour (il faudra que je retourne aux Philippines un jour), mais il faut savoir repartir à zéro chaque année car les conditions évoluent rapidemment.
Y aurait-il une crise coté ladyboys et bars en Thaïlande ?
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Samutprakan
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A BAngkok, j'ai mes habitudes dans un hôtel au style un peu executive branché juste en dessous de 30 €. L'an dernier, j'ai payé 12,44 € un hotel un peu miteux assez loin de Silom. Il vaut mieux rester au dessus de 20 € à Bangkok.
Ailleurs en Thailande, je paye entre 10 et 15 €. J'ai eu de sacrés bonnes surprises en Issan où j'avais des chambres de bon standing (mais pas trop de surface autour de 12,50 €. Dans les coins touristiques, je suis entre 18 et 21 €.
Ce sont les stats de mon compte de réservation d'hôtels. Il y a quelques années, j'ai cherché un hôtel girlfriendly à Bangkok en utilisant le site WGfriendly puis au moment de commander, la réservation n'a pas fonctionné alors je suis passé par ce site de réservation. Je paye un prix à peu près équivalent au prix public et toutes les 10 réservations, j'ai droit à un bon de réduction équivalent à 10 % du prix moyen de mes 10 réservations. Autre avantage du site : je paye en direct sur ma CB et je n'ai pas besoin de recevoir un code pour valider. C'est appréciable depuis que j'ai changé de banque et que ma nouvelle banque ne veut pas changer mon numéro de téléphone pour m'envoyer des SMS.
Pour mon premier voyage en 2011, je me souviens avoir payé 400 baht la nuit à Pattaya et 200 en Issan (à Chayiaphum) avec mon ladyboy à 700 baht/24 heures. Je me fais souvent traiter de cheap charlie sur les forums en anglais mais je trouve absure de payer 50 ou 100 € pour une chambre d'hôtel. Certains le font et ramènent de la bouffe du KFC de Bangkok. A Pattaya, les années suivantes, je payais environ 650 baht (ou 13 € avec mon site).
En dehors de Bangkok, il m'arrive de payer plus de 20 € dans certains sites hautement touristiques et encore, les plus chers ne sont pas forcément les meilleurs. J'ai quelques bons plans dans des villes sans ladyboys à 500 baht ou 750 baht.
Au Vientnam, j'ai payé entre 18 et 23 €, et dans le même ordre de prix au Cambodge.
Ailleurs en Thailande, je paye entre 10 et 15 €. J'ai eu de sacrés bonnes surprises en Issan où j'avais des chambres de bon standing (mais pas trop de surface autour de 12,50 €. Dans les coins touristiques, je suis entre 18 et 21 €.
Ce sont les stats de mon compte de réservation d'hôtels. Il y a quelques années, j'ai cherché un hôtel girlfriendly à Bangkok en utilisant le site WGfriendly puis au moment de commander, la réservation n'a pas fonctionné alors je suis passé par ce site de réservation. Je paye un prix à peu près équivalent au prix public et toutes les 10 réservations, j'ai droit à un bon de réduction équivalent à 10 % du prix moyen de mes 10 réservations. Autre avantage du site : je paye en direct sur ma CB et je n'ai pas besoin de recevoir un code pour valider. C'est appréciable depuis que j'ai changé de banque et que ma nouvelle banque ne veut pas changer mon numéro de téléphone pour m'envoyer des SMS.
Pour mon premier voyage en 2011, je me souviens avoir payé 400 baht la nuit à Pattaya et 200 en Issan (à Chayiaphum) avec mon ladyboy à 700 baht/24 heures. Je me fais souvent traiter de cheap charlie sur les forums en anglais mais je trouve absure de payer 50 ou 100 € pour une chambre d'hôtel. Certains le font et ramènent de la bouffe du KFC de Bangkok. A Pattaya, les années suivantes, je payais environ 650 baht (ou 13 € avec mon site).
En dehors de Bangkok, il m'arrive de payer plus de 20 € dans certains sites hautement touristiques et encore, les plus chers ne sont pas forcément les meilleurs. J'ai quelques bons plans dans des villes sans ladyboys à 500 baht ou 750 baht.
Au Vientnam, j'ai payé entre 18 et 23 €, et dans le même ordre de prix au Cambodge.
https://www.bfmtv.com/international/un- ... 86393.html
Voili, voilou...La police thaïlandaise a mauvaise réputation, pour sa corruption mais aussi son implication dans le très lucratif monde des bars de nuit, haut lieu de la prostitution, officiellement interdite en Thaïlande.
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Samutprakan
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Ce n'est pas vraiment nouveau la police corrompue. Je trouvais même qu'on entendais moins parler d'affaires depuis quelques années.
Je me demande comment celui-ci va trouver une solution pour échapper à la justice. Il faudra savoir le prendre avec humour.
En tout cas, je ne crois pas que ce soit à l'origine de la crise des bars. Par contre, les pourboires de la police expliquent pourquoi les patrons de bars sont aussi accros à l'argent et pas très honnêtes.
Je me demande comment celui-ci va trouver une solution pour échapper à la justice. Il faudra savoir le prendre avec humour.
En tout cas, je ne crois pas que ce soit à l'origine de la crise des bars. Par contre, les pourboires de la police expliquent pourquoi les patrons de bars sont aussi accros à l'argent et pas très honnêtes.
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Je regarde le JT et qu'est-ce que je vois ? Une des 2 victimes du marché de Noël à Strasbourg est un jeune thaïlandais de Bangkok qui faisait du tourisme avec sa femme. Il avait disent ses cousins évité Paris parce que c'était dangereux. Triste ironie pour dire que ça fait 1 partout.
Par contre, j'ai oublié de mentionner ci-dessus : j'avais bien précisé dans un post sur les conseils à suivre : ne vous prenez pas la tête avec un thaïlandais. Ce français n'a pas eu de chance, il est tombé sur un policier ivre. Mais lui même devait être aussi éméché. C'est dangereux de boire de l'alcool en Thaïlande si on n'est pas bien accompagné.
Par contre, j'ai oublié de mentionner ci-dessus : j'avais bien précisé dans un post sur les conseils à suivre : ne vous prenez pas la tête avec un thaïlandais. Ce français n'a pas eu de chance, il est tombé sur un policier ivre. Mais lui même devait être aussi éméché. C'est dangereux de boire de l'alcool en Thaïlande si on n'est pas bien accompagné.
Un Français tué par un policier en Thaïlande après une dispute
Mercredi matin, un touriste français a été tué par un policier en Thaïlande, après une dispute alcoolisée.
Un touriste français a été abattu par un policier en Thaïlande mercredi matin, suite à une querelle après une nuit bien arrosée, selon la police thaïlandaise.
"Ils étaient saouls. L'enquête a montré qu'ils buvaient dans le même bar, où une querelle a éclaté" quand le policier, en civil étant en congé ce jour-là, se serait intéressé d'un peu trop près à la Thaïlandaise accompagnant le Français, a expliqué un responsable policier, Kantapong Huadsri.
Après une bagarre, le policier a suivi le Français alors qu'il rentrait à son domicile, dans le centre de Bangkok, et l'a abattu de deux balles. Le crime a été filmé par une caméra de surveillance.
Le policier arrêté et démis de ses fonctions
Des images du Français baignant dans son sang étaient diffusées dans les journaux télévisés en Thaïlande, pays où sont quotidiennement montrées des images de scènes de crime, y compris les plus violentes.
La police a également diffusé le passeport de la victime, âgée de 41 ans et domiciliée à Paris.
Le policier thaïlandais a été arrêté et démis de ses fonctions, dans l'attente de sa mise en examen pour meurtre.
Mauvaise réputation
L'ambassade de France, informée par la police thaïlandaise, n'était pas en mesure de commenter l'affaire dans un premier temps.
"Le Français habitait en Thaïlande depuis sept à huit mois, mais était sans emploi", a précisé le responsable de la police.
La police thaïlandaise a mauvaise réputation, pour sa corruption mais aussi son implication dans le très lucratif monde des bars de nuit, haut lieu de la prostitution, officiellement interdite en Thaïlande.
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Je reviens sur ce sujet bien que ça fasse pas mal de temps que je n'ai pas remis les pieds en Thaïlande je continue de garder un œil sur l'activité. Comme un certain lobby d'expats avec des patrons de bars anglo-saxons et leurs potes ont la main mise sur certains forums que je consulte, ce n'est pas toujours facile de trier le vrai du faux, mais il semble bien que certines tendances se confirment.
Les blancs en général fréquentent moins les bars à ladyboys. C'est dû en partie à la baisse des monnaies européennes et du dollars et à la montée du baht thaïlandais. Les thaïlandais ont su ouvrir leurs capacité d'accueil touristiques à d'autres publics : moyen orientaux, indiens, russes et aussi chinois. Les anglais vont diront toutes sortes de mal des chinois (mais ils oublient de se regarder dans la glace) qui ont aussi des caractéristiques intéressantes pour les pays d'accueil (se déplacent en groupe, suivent les guides de manière assez docile même s'ils crachent par terre, consomment en groupe ce qui fait peu multiplié par beaucoup et peut être intéressant). Pratiquement aucun chinois ne fréquente les ladyboys.
La crise liée au brexit a affecté le tourisme des anglais : peur de l'incertitude, baisse du pouvoir d'achat mais aussi des bars fréquentés par une majorité d'anglais intéressent moins les européens.
Plus profond : je lis de plus en plus de commentaire sur le vieillissement des ladyboys dans les bars. Auparavant, les jeunes remplaçaient leur collègues vieillissantes. Les nouvelles "stars" détrônaient les anciennes. Aujourd'hui, les jeunes racolent sur le net (voir ce que j'avais écrit sur thaifriendly et les applications de messagerie Line et Wechat). Elles font des études et trouvent plus facilement à s'intégrer dans les entreprises avec des jobs en relation avec leurs masters. Elles préfèrent se concentrer sur leurs études quitte à pousser à Pattaya (150 km) pour aller se faire de l'argent en freelance.
Depuis quelques temps, les bars étaient moroses. Il n'y a pas vraiment eu de haute saison au moment des fêtes de fin d'année (après la basse saison de l'automne) si bien que les ladyboys désertent les bars soi en retournant au pays, soit en se concentrant sur leurs études. La crise du coronavirus est en train de donner un coup de plus sur la tête des acteurs du business.
Certains disent qu'il faut en profiter puisque les acheteurs font ce qu'ils veulent en négociant. Pas si sûr si on n'est pas un habitué des négociations avec les thaïs.
Les blancs en général fréquentent moins les bars à ladyboys. C'est dû en partie à la baisse des monnaies européennes et du dollars et à la montée du baht thaïlandais. Les thaïlandais ont su ouvrir leurs capacité d'accueil touristiques à d'autres publics : moyen orientaux, indiens, russes et aussi chinois. Les anglais vont diront toutes sortes de mal des chinois (mais ils oublient de se regarder dans la glace) qui ont aussi des caractéristiques intéressantes pour les pays d'accueil (se déplacent en groupe, suivent les guides de manière assez docile même s'ils crachent par terre, consomment en groupe ce qui fait peu multiplié par beaucoup et peut être intéressant). Pratiquement aucun chinois ne fréquente les ladyboys.
La crise liée au brexit a affecté le tourisme des anglais : peur de l'incertitude, baisse du pouvoir d'achat mais aussi des bars fréquentés par une majorité d'anglais intéressent moins les européens.
Plus profond : je lis de plus en plus de commentaire sur le vieillissement des ladyboys dans les bars. Auparavant, les jeunes remplaçaient leur collègues vieillissantes. Les nouvelles "stars" détrônaient les anciennes. Aujourd'hui, les jeunes racolent sur le net (voir ce que j'avais écrit sur thaifriendly et les applications de messagerie Line et Wechat). Elles font des études et trouvent plus facilement à s'intégrer dans les entreprises avec des jobs en relation avec leurs masters. Elles préfèrent se concentrer sur leurs études quitte à pousser à Pattaya (150 km) pour aller se faire de l'argent en freelance.
Depuis quelques temps, les bars étaient moroses. Il n'y a pas vraiment eu de haute saison au moment des fêtes de fin d'année (après la basse saison de l'automne) si bien que les ladyboys désertent les bars soi en retournant au pays, soit en se concentrant sur leurs études. La crise du coronavirus est en train de donner un coup de plus sur la tête des acteurs du business.
Certains disent qu'il faut en profiter puisque les acheteurs font ce qu'ils veulent en négociant. Pas si sûr si on n'est pas un habitué des négociations avec les thaïs.