Un Trans est-il condamné à vivre seul ?
Ok ... merci ...
Mais si tu sors dans la rue avec une Trans très féminine à ton bras, je vois pas trop ce qu'il y a à craindre, c'est pas écrit "Trans" sur son front !
Là où la situation peut éventuellement se gâter, c'est si on croise quelqu'un qui la reconnaisse et qui soit de plus mal intentionné, ça laisse tout-de-même peu de probabilités, du moins en milieu urbain ...
Mais si tu sors dans la rue avec une Trans très féminine à ton bras, je vois pas trop ce qu'il y a à craindre, c'est pas écrit "Trans" sur son front !
Là où la situation peut éventuellement se gâter, c'est si on croise quelqu'un qui la reconnaisse et qui soit de plus mal intentionné, ça laisse tout-de-même peu de probabilités, du moins en milieu urbain ...
- Samutprakan
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Je préfère assumer d'une certaine manière que je suis un lâche. Ce serait peut-être différent si je trouvais une trans française, que nous soyons vraiment très attirés l'un par l'autre et que je sois arrivé à un stade où l'entourage ne compte plus vraiment pour moi.biboplove a écrit :La lâcheté, c'est la peur d'affronter l’opprobre de la société et le regard des autres. La raison, c'est la même chose, mais d'un autre point de vue (pour vivre heureux et éviter les emmerdes, vivons cachés comme l'a dit Ruben).
La voix et la pomme d'Adam, ça se corrige. ça fait partie des 27 ou phases de la transition. Même la bosse dans le maillot de bain peut se cacher (du moins beaucoup de ladyboys y arrivent très bien). Mais comme toi, je redouterais la réaction des femmes des potes. Même avec une trans opérée, elles se douteront de quelque chose, car une trans restera une femme avec des chromosomes XY.biboplove a écrit :sur son front non, mais dans sa voix, sur ses épaules, sur sa pomme d'adam.
Et le week-end avec les potes, il faut gérer les épouses des potes. A la fin du week-end, tout sera découvert (ou bien tu l'auras dit avant). Et si c'est un week-end en bord de mer en été, bon ben là, la messe est dite.
Je ne crains pas non plus le week end avec les postes car c'est ce qui s'éloigne le plus avec le temps. Ce que je redoute vraiment, c'est justement cette virilité naturelle qui fait que même hormonée et oopérée, une trans finira par avoir une machoire carrée, des épaules larges (comme tu l'indiques), voire des poils drus, du bide, une voix rauque et le comble serait qu'elle se mette à perdre ses cheveux. Je pense à ça quand j'essaye de me projeter dans un futur avec une trans.
(L'an dernier, j'ai vu un ladyboy à Khon Kaen qui travaillait dans le magasin de ses parents. Il s'agissait d'une boutique de vins et spiritueux. On voyait la tolérance thaïlandaise avec les trans et les parents soutenaient cet enfant à part en le faisant tarvailler dans leur affaire. Peut-être ressemblait-elle à une ancienne actrice de porno ladyboy, mais alors une des moins belles de perfectladyboy.com, je ne sais pas si ça pouvait être elle avec 10 ans de plus. Elle portait un pantalon long d'homme, un t-shirt à manches longues rouge bordeaux de caviste, des cheveux longs mal entretenus comme ceux d'un hippie dans les années 80 et avait un corps déjà bien "athlétique" pour ne pas dire gros.
Sa laideur semblait accuser ses modestes parents semblant leur dire "vous ne m'avez pas aidé à devenir ce que je suis". Bien sûr, il ne s'agit que du fruit de mon imagination. De mon côté, j'avais envie d'aller la voir et de lui dire "c'est mort. Coupe toi les cheveux et assume ton sexe masculin".
20 mn plus tard, j'ai rencontré Pam. Pam était très pudique jusque dans le couloir de l'hôtel, mais une fois au lit, c'était une bête furieuse. Pam értait toujours vêtue avec élégance comme une américaine des années 50, portait une fausse culotte de cheval, et des cheveux longs. Par contre c'était un femboy et je ne sais pas si elle avait les moyens de se payer des hormones. J'ai compris que j'avais touché quelque chose en elle quand elle m'a téléphoné le lendemain de mon départ. Puis, elle m'a relancé 2 ou 3 fois, et j'ai fini par faire taire toutes mes pensées cyniques sur les ladyboys. Mais il y a un truc qui m'a toujours conservé la tête froide. Je savais qu'en moins de 10 ans Pam risquait d'être aussi laide qu'un pilier de rugby. La nature est parfois plus cruelle que la condition sociale. J'ai eu beau me dire que j'étais un salaud, je ne me voyais pas me lancer dans une relation à long terme avec une trans que je voyais déjà comme un vieux monsieur.
J'espère que vous voudrez bien me pardonner cette parenthèse un peu longue. )
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bug le reste du message est bleu sur fond noir illisible à refaire,Samutprakan a écrit :Je préfère assumer d'une certaine manière que je suis un lâche. Ce serait peut-être différent si je trouvais une trans française, que nous soyons vraiment très attirés l'un par l'autre et que je sois arrivé à un stade où l'entourage ne compte plus vraiment pour moi.biboplove a écrit :La lâcheté, c'est la peur d'affronter l’opprobre de la société et le regard des autres. La raison, c'est la même chose, mais d'un autre point de vue (pour vivre heureux et éviter les emmerdes, vivons cachés comme l'a dit Ruben).
La voix et la pomme d'Adam, ça se corrige. ça fait partie des 27 ou phases de la transition. Même la bosse dans le maillot de bain peut se cacher (du moins beaucoup de ladyboys y arrivent très bien). Mais comme toi, je redouterais la réaction des femmes des potes. Même avec une trans opérée, elles se douteront de quelque chose, car une trans restera une femme avec des chromosomes XY.biboplove a écrit :sur son front non, mais dans sa voix, sur ses épaules, sur sa pomme d'adam.
Et le week-end avec les potes, il faut gérer les épouses des potes. A la fin du week-end, tout sera découvert (ou bien tu l'auras dit avant). Et si c'est un week-end en bord de mer en été, bon ben là, la messe est dite.
Je ne crains pas non plus le week end avec les postes car c'est ce qui s'éloigne le plus avec le temps. Ce que je redoute vraiment, c'est justement cette virilité naturelle qui fait que même hormonée et oopérée, une trans finira par avoir une machoire carrée, des épaules larges (comme tu l'indiques), voire des poils drus, du bide, une voix rauque et le comble serait qu'elle se mette à perdre ses cheveux. Je pense à ça quand j'essaye de me projeter dans un futur avec une trans.
(L'an dernier, j'ai vu un ladyboy à Khon Kaen qui travaillait dans le magasin de ses parents. Il s'agissait d'une boutique de vins et spiritueux. On voyait la tolérance thaïlandaise avec les trans et les parents soutenaient cet enfant à part en le faisant tarvailler dans leur affaire. Peut-être ressemblait-elle à une ancienne actrice de porno ladyboy, mais alors une des moins belles de perfectladyboy.com, je ne sais pas si ça pouvait être elle avec 10 ans de plus. Elle portait un pantalon long d'homme, un t-shirt à manches longues rouge bordeaux de caviste, des cheveux longs mal entretenus comme ceux d'un hippie dans les années 80 et avait un corps déjà bien "athlétique" pour ne pas dire gros.
Sa laideur semblait accuser ses modestes parents semblant leur dire "vous ne m'avez pas aidé à devenir ce que je suis". Bien sûr, il ne s'agit que du fruit de mon imagination. De mon côté, j'avais envie d'aller la voir et de lui dire "c'est mort. Coupe toi les cheveux et assume ton sexe masculin".
20 mn plus tard, j'ai rencontré Pam. Pam était très pudique jusque dans le couloir de l'hôtel, mais une fois au lit, c'était une bête furieuse. Pam értait toujours vêtue avec élégance comme une américaine des années 50, portait une fausse culotte de cheval, et des cheveux longs. Par contre c'était un femboy et je ne sais pas si elle avait les moyens de se payer des hormones. J'ai compris que j'avais touché quelque chose en elle quand elle m'a téléphoné le lendemain de mon départ. Puis, elle m'a relancé 2 ou 3 fois, et j'ai fini par faire taire toutes mes pensées cyniques sur les ladyboys. Mais il y a un truc qui m'a toujours conservé la tête froide. Je savais qu'en moins de 10 ans Pam risquait d'être aussi laide qu'un pilier de rugby. La nature est parfois plus cruelle que la condition sociale. J'ai eu beau me dire que j'étais un salaud, je ne me voyais pas me lancer dans une relation à long terme avec une trans que je voyais déjà comme un vieux monsieur.
J'espère que vous voudrez bien me pardonner cette parenthèse un peu longue. )
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Samutprakan a écrit :(L'an dernier, j'ai vu un ladyboy à Khon Kaen qui travaillait dans le magasin de ses parents. Il s'agissait d'une boutique de vins et spiritueux. On voyait la tolérance thaïlandaise avec les trans et les parents soutenaient cet enfant à part en le faisant tarvailler dans leur affaire. Peut-être ressemblait-elle à une ancienne actrice de porno ladyboy, mais alors une des moins belles de perfectladyboy.com, je ne sais pas si ça pouvait être elle avec 10 ans de plus. Elle portait un pantalon long d'homme, un t-shirt à manches longues rouge bordeaux de caviste, des cheveux longs mal entretenus comme ceux d'un hippie dans les années 80 et avait un corps déjà bien "athlétique" pour ne pas dire gros.
Sa laideur semblait accuser ses modestes parents semblant leur dire "vous ne m'avez pas aidé à devenir ce que je suis". Bien sûr, il ne s'agit que du fruit de mon imagination. De mon côté, j'avais envie d'aller la voir et de lui dire "c'est mort. Coupe toi les cheveux et assume ton sexe masculin".
20 mn plus tard, j'ai rencontré Pam. Pam était très pudique jusque dans le couloir de l'hôtel, mais une fois au lit, c'était une bête furieuse. Pam értait toujours vêtue avec élégance comme une américaine des années 50, portait une fausse culotte de cheval, et des cheveux longs. Par contre c'était un femboy et je ne sais pas si elle avait les moyens de se payer des hormones. J'ai compris que j'avais touché quelque chose en elle quand elle m'a téléphoné le lendemain de mon départ. Puis, elle m'a relancé 2 ou 3 fois, et j'ai fini par faire taire toutes mes pensées cyniques sur les ladyboys. Mais il y a un truc qui m'a toujours conservé la tête froide. Je savais qu'en moins de 10 ans Pam risquait d'être aussi laide qu'un pilier de rugby. La nature est parfois plus cruelle que la condition sociale. J'ai eu beau me dire que j'étais un salaud, je ne me voyais pas me lancer dans une relation à long terme avec une trans que je voyais déjà comme un vieux monsieur.
J'espère que vous voudrez bien me pardonner cette parenthèse un peu longue. )
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Ce n'est pas un bug, c'est juste que j'écrivais quelques paragraphe un peu hors sujet et assez personnels, alors, j'ai choisi une couleur un peu plus discrète. Pour le lire, il suffisait de sélectionner le paragraphe en bleu et il apparaissait en blanc. C'est suffisant pour parler de mes états d'âme au sujet de Pam.
Avec toutes mes excuses Samut, j'avais pas compris ça de cette manière là.Ce n'est pas un bug, c'est juste que j'écrivais quelques paragraphe un peu hors sujet et assez personnels, alors, j'ai choisi une couleur un peu plus discrète. Pour le lire, il suffisait de sélectionner le paragraphe en bleu et il apparaissait en blanc. C'est suffisant pour parler de mes états d'âme au sujet de Pam.
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Ok, d'accord, mais alors dans ce cas pourquoi en parler ?Samutprakan a écrit :C'est pas grave. Mais il est vrai que j'étais un peu réticent à en parler.
Soit tu évoques un sujet normalement, soit tu ne dis rien, parce que finalement, ce que tu voulais dire discrètement se retrouve étalé en grand ...