Fabiane
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Fabiane
Un huis qui se verrouille ,le moteur qui démarre ,dans un grand raout bruyant .Ce moment que nous connaissons tous ,de l'ascenseur qui monte pendant que nous nous recoiffons rapidement dans le miroir (quand il y en a un )avant de découvrir un couloir avec une porte qui s'ouvre ,s'entrebâille plutôt ,doucement ,sans que celle qui est postée derrière la clenche n'apparaisse ,tapie dans la pénombre...Tout bascule à cet instant ,la porte se ferme et on découvre l'objet de notre concupiscence. On ne sait jamais exactement ce qui va se passer, fragile point d'équilibre où les masques tombent...Combien d'ours (velus) des Carpathes se sont fait passer pour d'accortes gazelles ? transformant immédiatement notre émoi en effroi !
Je ne pouvais m'empêcher d'y penser quand je pris le lift, baignant dans sa lumière jaunasse, direction le 8è étage, de ce bel immeuble nancéien. L’annonce de Fabiane est écrite en portugais ,les photos sont correctes ,les commentaires plutôt positifs ,mais le sage au vit pointé sait que l’illusion est partout et que seul compte ce premier regard ,quand la désirée créature entre dans la lumière de notre regard ,validant notre choix ou le disqualifiant nous entrainant dans le désenchantement ,voire la consternation .Me voici donc dans le corridor sombre, la porte qui grince ,je me faufile ,m’insinue par un preste mouvement et….suspense…Vénus m’apparut !
Fabiane est princesse de lumière, celle de ses yeux qui luisent, de son sourire magnifique et délicat qui vous met immédiatement à l’aise ; il flotte autour d’elle un parfum suave et elle met ses notables atouts en évidence avec de beaux atours, porte-jarretelles en dentelle, culotte de satin. Elle est très jolie. Vive, spirituelle aussi, amie chaude autant que salope décidée. Tandis qu’elle s’effeuillait avec grâce, je ne savais où darder mon regard. Outre ses manières mutines, sa poitrine est somptueuse, son ventre plat, ses jambes fuselées et son popotin exceptionnel, un foutre de nom d’un canon fumant de pétard fantastique !
Elle me suce avec application, dans tous les sens, n’oubliant pas de refroidir mes couilles en fusion en les lapant délicatement de sa petite langue fraiche…tout le catalogue y est passé.69, léchage de corps mutuel, galoches baveuses ; son regard était hypnotique, elle me fit basculer en levrette et me défonça le fondement avec adresse, rythme et ardeur. Après quinze minutes de ce traitement de choc, elle vint positionner son chibre aux proportions idéales (entre 18 et 20 sur 5, voire un peu plus de diamètre) près de ma bouche qui recueillit son nectar avec ravissement, ce que je fais très rarement. À mon tour d’enfiler le caoutchouc qui protège et de profiter de la vue de cette croupe splendide, ronde, harmonieuse, pleine et musclée, de quoi remplir mes robustes paumes mais pas plus. Le cul parfait, le croupion fécond, des fesses d’ivresse. La belle en voulait encore plus, elle se retourna, se mit sur le dos, rangea ses belles jambes encore gainées de bas noirs derrière sa tête et, ainsi ouverte, me lança « et maintenant ; défonce-moi à fond, fais-moi crier ! » C’est en ces rares instants que l’homme de bien se débarrasse de ses entraves, jette par-dessus cul ses bonnes manières et rejoins, de bon cœur, son frère animal du fond des forêts ou de la brousse vibrante…plus rien ne peut éviter ce court instant où nous ne sommes plus qu’un sexe, dardé de sang et de liqueur qui veut défoncer la corolle spongieuse et souple de cette salope écartelée. Je ne sais pas combien de temps s’est déchainé la tempête, mélange de souffle ardent et de cris d’encouragement mais la sarabande finit par atteindre son acmé et je me libérais jusqu’à la dernière goutte tandis qu’elle m’enserrait le membre en de saccadés soubresauts. Nous restâmes, un peu hébétés, quelques secondes, puis à regret, je me décollais de son délicieux corps. Retour sur terre, quelques petits mots doux, elle, légère, joyeuse, miel et petits baisers, moi, heureux, repu, badin, épanoui ; Une dernière étreinte, la promesse de revenir et me revoilà dans l’escalier (il fallait que je marche pour décompresser…) à me demander si je n’avais pas rêvé, si je n’avais pas été victime d’un envoûtement, devenant monomane de Fabiane, nymphomane, courtisane, gardant à fleur de peau les odeurs, les fluides, les effluves de cette diablesse… Pour qui je ne manquerai pas de me damner à nouveau.
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Re: Fabiane
baron555 a écrit :https://www.sexemodel.com/escort/Trans% ... al-238839/
Un huis qui se verrouille ,le moteur qui démarre ,dans un grand raout bruyant .Ce moment que nous connaissons tous ,de l'ascenseur qui monte pendant que nous nous recoiffons rapidement dans le miroir (quand il y en a un )avant de découvrir un couloir avec une porte qui s'ouvre ,s'entrebâille plutôt ,doucement ,sans que celle qui est postée derrière la clenche n'apparaisse ,tapie dans la pénombre...Tout bascule à cet instant ,la porte se ferme et on découvre l'objet de notre concupiscence. On ne sait jamais exactement ce qui va se passer, fragile point d'équilibre où les masques tombent...Combien d'ours (velus) des Carpathes se sont fait passer pour d'accortes gazelles ? transformant immédiatement notre émoi en effroi !
Je ne pouvais m'empêcher d'y penser quand je pris le lift, baignant dans sa lumière jaunasse, direction le 8è étage, de ce bel immeuble nancéien. L’annonce de Fabiane est écrite en portugais ,les photos sont correctes ,les commentaires plutôt positifs ,mais le sage au vit pointé sait que l’illusion est partout et que seul compte ce premier regard ,quand la désirée créature entre dans la lumière de notre regard ,validant notre choix ou le disqualifiant nous entrainant dans le désenchantement ,voire la consternation .Me voici donc dans le corridor sombre, la porte qui grince ,je me faufile ,m’insinue par un preste mouvement et….suspense…Vénus m’apparut !
Fabiane est princesse de lumière, celle de ses yeux qui luisent, de son sourire magnifique et délicat qui vous met immédiatement à l’aise ; il flotte autour d’elle un parfum suave et elle met ses notables atouts en évidence avec de beaux atours, porte-jarretelles en dentelle, culotte de satin. Elle est très jolie. Vive, spirituelle aussi, amie chaude autant que salope décidée. Tandis qu’elle s’effeuillait avec grâce, je ne savais où darder mon regard. Outre ses manières mutines, sa poitrine est somptueuse, son ventre plat, ses jambes fuselées et son popotin exceptionnel, un foutre de nom d’un canon fumant de pétard fantastique !
Elle me suce avec application, dans tous les sens, n’oubliant pas de refroidir mes couilles en fusion en les lapant délicatement de sa petite langue fraiche…tout le catalogue y est passé.69, léchage de corps mutuel, galoches baveuses ; son regard était hypnotique, elle me fit basculer en levrette et me défonça le fondement avec adresse, rythme et ardeur. Après quinze minutes de ce traitement de choc, elle vint positionner son chibre aux proportions idéales (entre 18 et 20 sur 5, voire un peu plus de diamètre) près de ma bouche qui recueillit son nectar avec ravissement, ce que je fais très rarement. À mon tour d’enfiler le caoutchouc qui protège et de profiter de la vue de cette croupe splendide, ronde, harmonieuse, pleine et musclée, de quoi remplir mes robustes paumes mais pas plus. Le cul parfait, le croupion fécond, des fesses d’ivresse. La belle en voulait encore plus, elle se retourna, se mit sur le dos, rangea ses belles jambes encore gainées de bas noirs derrière sa tête et, ainsi ouverte, me lança « et maintenant ; défonce-moi à fond, fais-moi crier ! » C’est en ces rares instants que l’homme de bien se débarrasse de ses entraves, jette par-dessus cul ses bonnes manières et rejoins, de bon cœur, son frère animal du fond des forêts ou de la brousse vibrante…plus rien ne peut éviter ce court instant où nous ne sommes plus qu’un sexe, dardé de sang et de liqueur qui veut défoncer la corolle spongieuse et souple de cette salope écartelée. Je ne sais pas combien de temps s’est déchainé la tempête, mélange de souffle ardent et de cris d’encouragement mais la sarabande finit par atteindre son acmé et je me libérais jusqu’à la dernière goutte tandis qu’elle m’enserrait le membre en de saccadés soubresauts. Nous restâmes, un peu hébétés, quelques secondes, puis à regret, je me décollais de son délicieux corps. Retour sur terre, quelques petits mots doux, elle, légère, joyeuse, miel et petits baisers, moi, heureux, repu, badin, épanoui ; Une dernière étreinte, la promesse de revenir et me revoilà dans l’escalier (il fallait que je marche pour décompresser…) à me demander si je n’avais pas rêvé, si je n’avais pas été victime d’un envoûtement, devenant monomane de Fabiane, nymphomane, courtisane, gardant à fleur de peau les odeurs, les fluides, les effluves de cette diablesse… Pour qui je ne manquerai pas de me damner à nouveau.
bravo, baron. ça rime presque comme ta poésie!
et cette belle était inconnue jusqu'à aujourd'hui??
personne parmi nos globe trotters du forum ne l'avait croisé?
en plus sur se fiche elle met parlé français,
avec ta descriiption je dirais 300 pour une heure?
a moins que d'ici la, hollywood nous l'enlève?
enfin tenons nous au courant, et toi Baron écris nous vite le 2e round!!
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Re: Fabiane
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Re: Fabiane
vers quelle heure es tu allé la voir ?
Re: Fabiane
Et merci à toi Baron pour ton récit qui donne très envie et pour ta prose poétique ...
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(pour répondre à raymont,j'ai été la voir de 19h30 à 20h30/40....)
raymont a écrit :on fait le voyage Pépito ?
Elle ne viendrait pas à Paris par hasard ?


Et un grand merci à toi pour ta proposition de rencontre, mais ne t'inquiètes pas, Raymont et moi avons un minimum de savoir-vivre et si on vient, ce ne sera pas à tes seuls frais
