J'habitais dans le nord de l'Italie.
La sortie de l'autoroute était la plus incroyable concentration de filles sublimes (en provenance des pays de l'est).
A force de tourner sur la zone, je suis arrivé dans une partie plus discrète où j'ai vu une bombe atomique, une beauté à coupe le souffle.
Elle est montée, m'a sucé en mettant ses doigts dans un endroit qui me fit rougir...
A pris ma main et l'a posé sur son sexe ???
Je l'ai déposé sous le choc...
Quelques jours de réflexions et j'y suis retourné, ce jour la elle m'a dépucelé et depuis, vive les trans !!!!
La même chose que Chelmi, mais au bois :
Je suis du sud, et un soir alors que j'étais monté à Paris en voiture, me voila passer par le bois, que je ne connaissais pas !!! et finalement prends une "fille" qui m'a fait le coup : me suce... puis me prend la main pour la mettre sur son sexe ) et elle a voulu que je la suce à mon tour. J'ai refusé.
Le lendemain je suis retourné la voir et depuis je recherche des trans
Je vous raconte mes premières expériences avec un trans . Cela remonte à biens des années déjà et le phénomène « trans » était encore très confidentiel. J’étais moi-même totalement innocent et ignorant dans ce domaine.
Un soir où je me promenais dans les quartiers chauds pour une expérience tarifée, j’ai été attiré comme par un aimant vers une péripatéticienne du nom de Nathalie. Elle déployait une aura incroyablement sexy.
Je l’aborde et je suis tout de suite sous le charme de cette belle dont la voix un peu rauque et très légèrement zezeyante m’excite aussi. Les discussions tarifaires terminées elle m’emmène dans son studio à deux pas de la. Immeuble vétuste donc par l’escalier. J’en profite pour admirer son superbe cul mais pas question de toucher.
Arrivé dans la studio à la belle lumière très tamisée la belle me roule une pelle d’anthologie qui fait monter tout de suite la température, ma tension et ….
Je commence par lui pelotonner les seins qu’elle a très réactile. Une petite poitrine menue et douce sous les doigts cela fait aussi son effet et donc ma queue est devenue parfaitement dure.
Bien entendu je veux poursuivre mon exploration vers le bas mais Nathalie se dérobe. Elle s’agenouille, déboucle ma ceinture et fait baisser mon pantalon et caleçon pour s’emparer de ma bitte. Elle me lèche le gland, mes couilles et ma queue en me lançant des regards de braise. Elle pompe mon dard jusqu’à la garde et caresse mes couilles avec sa main : divin.
Je sens que ce soir je ne vais pas tenir très longtemps et lui demande de passer sur le lit.
Je ne me souviens plus comment Nathalie s’est débrouillée pour se déshabiller et venir sur le lit sans que je ne voie son clito mais elle y a réussi.
Re fellation sur le lit c’était pour moi une découverte : variée caressante. De temps en temps sa main et ses doigts qui s’égarait vers mon périnée : du grand art avec un A majuscule.
Brutalement elle me dit : prend moi en levrette et me présente un petit cul et guide la queue vers ce qui je l’apprendrai plus tard est son trou du cul.
Avec les préliminaires qu’elle m’avait offert je n’ai pas tardé à remplir le capuchon.
Pendant que je me rhabille je vois sur la table de nuit un godemiché et lui demande s’il lui arrive de s’en servir avec ses clients. Elle me réponds : on en parlera la prochaine fois que tu viens.
J’avais trouvé cette expérience très excitante et la perspective de me faire sodomiser par Nathalie m’attirait très fort : au bout de deux jours retour sur les lieux du crime. Nathalie me reconnaît tout de suite et m’embrasse goulûment. J’en suis un peu gêné (mais fier aussi …) vis-à-vis des autres punters.
Rebelotte dans l’escalier pas touche. Dans le studio de nouveau le grand jeu caresse, fellation, french kiss. La belle se déchaîne en me fais jouir en moins de dix minutes tant sa pipe est endiablée.
Je suis un peu déçu d’avoir joui si vite quand Nathalie lache : tu voulais savoir si je sais me servir d’un gode sur toi et bien j’ai beaucoup mieux à te proposer ; Elle m’entraîne sur le lit ou on recommence à se caresser. Au bout de deux minutes j’ai découvert son petit plus qui n’était déjà plus si petit que ça.
J’étais très coincé mais après un très court moment d’hésitation j’ai commencé à lui caresser sa bitte et ses bourses. Nathalie appréciait mes caresses et son sexe grandissant en était la meilleure preuve.
Elle m’a doucement guidé la tête vers son pénis. Drôle de sensation la première fois que l’on goûte au sexe d’une autre : sensation de douceur et de fragilité mais aussi de force quand Nathalie m’a pris la tête pour que je la pompe. Elle me donnait des conseils et ses petits cris m’encourageaient à contituer.
Et puis j’ai senti un doigt qui jouait sur mon anus d’abord doucement en le faisant massant puis avec plus d’insistance. « Détends toi et laisse moi faire » me dit Nathalie .Elle me demande de me coucher sur le ventre et s’assied sur mes jambes ; Elle lubrifie ses doigts et doucement elle m’ouvre et dilate mon anus. Elle me demande de me relever un peu et le sens sa queue contre mes fesses. Gentiment elle tapote sa bitte sur ma rondelle et puis rentre doucement en moi.
Quelle magnifique découverte : de sentir cette queue vivante et chaude aller et venir et exciter ma prostate.
Elle a joui assez rapidement en moi et nous sommes rester enlacés un long moment plein de douceur
Nathalie et moi nous nous sommes régulièrement vu par la suite (on était réciproquement « amoureux ») jusqu’à ce qu’elle déménage sous d’autres cieux.
Réponse rapide à ce message Réponse Réponse avec citation Réponse avec citation Multi-Quote This Message
07/05/2018, 21h51
Pietje.Scramouille a écrit :Je vous raconte mes premières expériences avec un trans . Cela remonte à biens des années déjà et le phénomène « trans » était encore très confidentiel. J’étais moi-même totalement innocent et ignorant dans ce domaine.
Un soir où je me promenais dans les quartiers chauds pour une expérience tarifée, j’ai été attiré comme par un aimant vers une péripatéticienne du nom de Nathalie. Elle déployait une aura incroyablement sexy.
Je l’aborde et je suis tout de suite sous le charme de cette belle dont la voix un peu rauque et très légèrement zezeyante m’excite aussi. Les discussions tarifaires terminées elle m’emmène dans son studio à deux pas de la. Immeuble vétuste donc par l’escalier. J’en profite pour admirer son superbe cul mais pas question de toucher.
Arrivé dans la studio à la belle lumière très tamisée la belle me roule une pelle d’anthologie qui fait monter tout de suite la température, ma tension et ….
Je commence par lui pelotonner les seins qu’elle a très réactile. Une petite poitrine menue et douce sous les doigts cela fait aussi son effet et donc ma queue est devenue parfaitement dure.
Bien entendu je veux poursuivre mon exploration vers le bas mais Nathalie se dérobe. Elle s’agenouille, déboucle ma ceinture et fait baisser mon pantalon et caleçon pour s’emparer de ma bitte. Elle me lèche le gland, mes couilles et ma queue en me lançant des regards de braise. Elle pompe mon dard jusqu’à la garde et caresse mes couilles avec sa main : divin.
Je sens que ce soir je ne vais pas tenir très longtemps et lui demande de passer sur le lit.
Je ne me souviens plus comment Nathalie s’est débrouillée pour se déshabiller et venir sur le lit sans que je ne voie son clito mais elle y a réussi.
Re fellation sur le lit c’était pour moi une découverte : variée caressante. De temps en temps sa main et ses doigts qui s’égarait vers mon périnée : du grand art avec un A majuscule.
Brutalement elle me dit : prend moi en levrette et me présente un petit cul et guide la queue vers ce qui je l’apprendrai plus tard est son trou du cul.
Avec les préliminaires qu’elle m’avait offert je n’ai pas tardé à remplir le capuchon.
Pendant que je me rhabille je vois sur la table de nuit un godemiché et lui demande s’il lui arrive de s’en servir avec ses clients. Elle me réponds : on en parlera la prochaine fois que tu viens.
J’avais trouvé cette expérience très excitante et la perspective de me faire sodomiser par Nathalie m’attirait très fort : au bout de deux jours retour sur les lieux du crime. Nathalie me reconnaît tout de suite et m’embrasse goulûment. J’en suis un peu gêné (mais fier aussi …) vis-à-vis des autres punters.
Rebelotte dans l’escalier pas touche. Dans le studio de nouveau le grand jeu caresse, fellation, french kiss. La belle se déchaîne en me fais jouir en moins de dix minutes tant sa pipe est endiablée.
Je suis un peu déçu d’avoir joui si vite quand Nathalie lache : tu voulais savoir si je sais me servir d’un gode sur toi et bien j’ai beaucoup mieux à te proposer ; Elle m’entraîne sur le lit ou on recommence à se caresser. Au bout de deux minutes j’ai découvert son petit plus qui n’était déjà plus si petit que ça.
J’étais très coincé mais après un très court moment d’hésitation j’ai commencé à lui caresser sa bitte et ses bourses. Nathalie appréciait mes caresses et son sexe grandissant en était la meilleure preuve.
Elle m’a doucement guidé la tête vers son pénis. Drôle de sensation la première fois que l’on goûte au sexe d’une autre : sensation de douceur et de fragilité mais aussi de force quand Nathalie m’a pris la tête pour que je la pompe. Elle me donnait des conseils et ses petits cris m’encourageaient à contituer.
Et puis j’ai senti un doigt qui jouait sur mon anus d’abord doucement en le faisant massant puis avec plus d’insistance. « Détends toi et laisse moi faire » me dit Nathalie .Elle me demande de me coucher sur le ventre et s’assied sur mes jambes ; Elle lubrifie ses doigts et doucement elle m’ouvre et dilate mon anus. Elle me demande de me relever un peu et le sens sa queue contre mes fesses. Gentiment elle tapote sa bitte sur ma rondelle et puis rentre doucement en moi.
Quelle magnifique découverte : de sentir cette queue vivante et chaude aller et venir et exciter ma prostate.
Elle a joui assez rapidement en moi et nous sommes rester enlacés un long moment plein de douceur
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07/05/2018, 21h51
trés bonne idée d'avoir détérré ce fil de 2011, un débat c'était instauré et tu reprends le flambeau, je ne sais si d'autres post ont été ouverts (sans doute) il me semble
en tout cas il permet de voir que le BDB des années 80, 90 était autre chose que celui d'aujourd'hui!!
ains que le bord de mer niçois où j'ai fait mes premières armes avec les trans
on ne dit pas grand chose des Tahitiennes qui fleurissaient partout vers chez nous et certainement à paris je pense
des personnes douces et bien sur au français parfait, avec un accent délicieux mais le temps passe
Oui Valsaint, cette question a même été ajoutée en point n° 7 ou 8 dans la rubrique "présentez-vous" mais depuis un moment personne ne réponds aux questions 7 et 8.
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Il y a un imposteur sur sexemodel qui usurpe mon identité : https://is.gd/LZDRzU
Ne pas croire ses commentaires, c'est un mac qui fait de la promo pour des arnaqueuses.
Voici mon vrai profil sexemodel : https://is.gd/xS7Ybj
Détesté par certains, copié par d'autres : la pathétique rançon du succès
Il était en mode "repos" depuis quelques années apparemment, jusqu'à ce qu'un nouveau venu sur ce forum ne nous le ressorte de derrière les fagots: bravo à toi Pietje.Scramouille !
A vrai dire, je ne me souviens plus très bien avec exactitude comment j'ai connu ce monde merveilleux des Trans, mais cela doit remonter pour moi au milieu des années '80: je fréquentais déjà le BDB pour des femmes (des vraies !) et puis un jour, j'ai dû "tomber" sur une Trans qui, en plus d'être belle et charmante, a dû et su se révéler persuasive et entreprenante et qui a commencé à me faire toucher sa bite, puis à me la faire sucer et a ensuite réussi à me convaincre de s'introduire en moi ...
Cela a été une vraie révélation: voir ce joli corps de femme (avec une bite !) passer derrière moi pour me prendre le fondement, non seulement cela ne m'a pas déplu mais j'y ai même pris du plaisir ...
Après cela, je suis revenu visiter d'autres Trans et j'allais aussi voir des (vraies) femmes: c'était à peu près du 50-50 à cette époque-là .
Ensuite, les déceptions féminines aidant, je me suis orienté de plus en plus souvent vers nos chères Trans et depuis plusieurs années, je n'ai quasiment plus aucune relation sexuelle avec des femmes biologiques : vive nos amies créatures du 3e sexe !!!
Avec elles, je prend énormément de plaisir que ce soit en mode actif ou en mode passif en ayant une légère préférence pour ce dernier ...
Pour répondre à ce point précis, j'ai découvert les trans avec émerveillement à 20 ans dans une revue porno, puis j'ai loué qques films, mais c'était uniquement ou presque des trans passives et très peu montés (Lilienne Li, Dana Douglas, les "stars" de l'époque). Évidemment, dans ma campagne provençale, il n'était même pas imaginable d'en rencontrer une en vrai. Puis internet est arrivé, j'ai commencé à aller sur des forums pour tâter le terrain, et finalement grâce à Escualita, j'ai rencontré ma première trans à 38 ans, évidemment un plan ou j'étais uniquement actif car elle uniquement passive, comme les autres que j'ai aussi pu rencontrer sur Netech. Du coup, les plans trans à grosses bites actives, ce ne sont que des escorts, et ce depuis 2014.
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Pour ma part, cela a coïncidé avec la découverte de ma bisexualité il y a une vingtaine d’années et après avoir eu le plaisir visuel de balades au bois de Boulogne... J’ai tout d’abord commencé par fréquenter des travestis et principalement une certaine Fiorella qui recevait rue de Crimée à Paris et que j’avais rencontré via un réseau téléphonique... J’ai été passif dès le début car je ne me voyais pas être actif... j’ai toujours trouvé des femmes à sodomiser donc c’etait Pour vivre cette sensation d’etre Sodomisé... Ma première trans a été une certaine Crystal qui recevait dans le 92, je ne me souviens plus de la ville car cela date un peu et ensuite Venus sur Paris... Ayant été déçu par Venus car très brutale et sans considération vis à vis de moi, j’ai mis en stand-by les rencontres avec les trans pendant quelques années... Puis je m’y suis remis depuis avec quelques belles rencontres dont j’ai fait part ici...
hiltidu93 a écrit :Pour ma part, cela a coïncidé avec la découverte de ma bisexualité il y a une vingtaine d’années et après avoir eu le plaisir visuel de balades au bois de Boulogne... J’ai tout d’abord commencé par fréquenter des travestis et principalement une certaine Fiorella qui recevait rue de Crimée à Paris et que j’avais rencontré via un réseau téléphonique... J’ai été passif dès le début car je ne me voyais pas être actif... j’ai toujours trouvé des femmes à sodomiser donc c’etait Pour vivre cette sensation d’etre Sodomisé... Ma première trans a été une certaine Crystal qui recevait dans le 92, je ne me souviens plus de la ville car cela date un peu et ensuite Venus sur Paris... Ayant été déçu par Venus car très brutale et sans considération vis à vis de moi, j’ai mis en stand-by les rencontres avec les trans pendant quelques années... Puis je m’y suis remis depuis avec quelques belles rencontres dont j’ai fait part ici...
ma première rencontre, c'était il y a bien longtemps, le long de la promenade des anglais, il y a vait en ces temps années 70 et80 surtout des françaises tahitiennes et autres
j'aborde à pieds une grande blonde nommé "ponpon" je la savais trans, trés sympa aguichante le prix en francs?
elle m'emmène avec sa voiture dans un bel appart, elle était encore plus canon à poil, et me voila à tailler ma première pipe, j'ai plutôt aimé, ensuite elle a avalé la mienne et m'a faire jouir, j'ai aimé, je l'ai revu une fois
puis 1 an aprés le grand saut, une autre blonde française, à qui je pose la question si elle veut bien m'enculer? ok çà marche, nous voila à deux pas chez elle et là ouille ouille, elle m'a peut être pas trop lubrifier en tout cas qu'est ce que j'ai pris!!! depuis des femmes en couple, des trans de temps en temps et maintenant seul depuis quelques années des trans plutôt en passif que j'éssaie de selectionner, c'est bon point final
J'ai toujours aimé les femmes fortes. Quand j'en rencontre une qui manifeste cette qualité soit dans son mental, soit dans son caractère, soit dans un physique athlétique, ça m'attire toujours et ça peut m'exciter très fortement.
Par ailleurs, comme c'estle cas pour de nombreux hommes, voir 2 lesbiennes s'ébattre avec passion est toujours très émoustillant pour moi...
quand j'ai commencé à consommer du porno dans la fin des années 90, j'étais intéressé exclusivement par les lesbiennes. Puis dans les années 2000, on pouvait trouver sur Internet des vidéos de femmes qui se baisaient avec des godes ceintures. Mon goût pour ces pratiques sexuelles féminines et mon attirance pour les femmes fortes m'ont conduit rapidement à apprécier les vidéos de femmes qui sodomisaient des hommes (on parle de "pegging"). Quand je regardais du porno, mes choix de vidéos se sont limités pendant de nombreuses années à ces 2 genres. Puis, l'idée a germé un jour qu'il serait diablement excitant que le gode ceinture soit connecté le plus intimement possible à l'anatomie de la femme. On trouve dans le commerce depuis plusieurs années des objets qui commencent à répondre à ce fantasme : ainsi peut-on se procurer des doubles (voire triple) godes, un tourné vers l'extérieur destiné à l'anus masculin et un ou deux autres vers l'intérieur destinés à remplir les orifices féminins ; la base de certains godes peut être modifiée afin d'exciter le clitoris pendant les va et vient ; une technologie vibratoire peut être combinée sur certains de ces sextoys pour augmenter encore le plaisir féminin. Ensuite, les fabricants ont réalisé de gros efforts pour vendre des produits qui ressemblent de plus en plus à l'organe mâle, par leur consistance, leur allure, leur texture, leurs "nervures", l'irrégularité des détails. Par ailleurs, certains de ces godes peuvent simuler, assez grossièrement pour le moment, l'excitation masculine : ainsi la femme peut-elle gonfler sur certains modèles le volume de leur pénis artificiel, soit pour rendre visible l'accroissement de leur propre excitation sexuelle (ce qui peut être très excitant pour le partenaire) soit pour s'exciter cérébralement. Enfin, une dernière option permet de simuler l'éjaculation masculine lorsque la partenaire presse sur un petit ballon rempli de liquide et connecté au gode.
Petit à petit, l'industrie du sexe vend à ses clientes des godes qui ont de plus en plus l'allure, le comportement d'une vraie queue qui peut leur procurer du plaisir et le partenaire peut avoir de plus en plus l'impression de se faire prendre par une femme dotée d'une vraie bite. On n'en est pas encore là, mais on est sur ce chemin. Il me parait assez "naturel" qui les hommes excités par le pegging le deviennent un jour par les transsexuelles, ça me parait presqu'inéluctable.
En ce qui me concerne, j'ai dû regarder une vidéo porno avec trans par curiosité pour voir si cela allait m'exciter il y a 6 ou 7 ans. Je n'ai éprouvé ni honte, ni culpabilité, mais un certain dégout et je n'ai pas continué... Puis, j'ai dû revoir une autre vidéo il y a 2 ans environ. J'étais alors plus familier avec ce fantasme et j'ai éprouvé un mélange de dégout, moindre que la fois précédente, et d'excitation. Depuis un an, j'apprécie beaucoup le porno avec trans, je consulte beaucoup les sites d'annonces d'escortes trans et ce forum de conseils très intéressants. Je pense que j'irai voir ma première trans d'ici fin octobre, je sais à peu près qui j'irai voir, ce qui m'intéresse, c'est une trans féminine et vicieuse avec laquelle je pourrai me comporter en vrai salope en chaleur
Je croyais avoir déjà posté. Dans les années 1980, j'ai vu ma première trans dans un film intitulé "La France Interdite". Je n'arrivais pas à croire qu'une femme avec un corps si féminin et une si grosse poitrine pût sortir une bite des poils de son pubis. Un jor, une prostituée avec qui je parlais de sodomie m'a dit d'aller voir au B2B, ce que je fis. Je suis passé de l'autre coté du miroir. J'ai un peu oublié ces aventures mais il m'arrivait de voir des photos de trans dans les sex shops et ça m'excitait. Lorsque j'ai vécu aux Etats Unis, j'ai croisé une trans mexicaine qui avait une vie de femme rangée (et n'était pas si sexy que ça) mais ça a tenu mes vieux démons pas si endormis. J'ai aussi croisé une ou deux trans qui rentraient de boite.
A mon retour en France, après une série de déceptions avec des filles sur les trottoirs parisiens, je suis passé au B2B et j'y ai pris mes habitudes pendant un an ou deux. J'avais basculé. Je me suis trouvé assez malheureux à l'aire d'Internet car Internet a signifié pour moi des tapineuses à 30 € reconverties en soi disant escorts à 150 €. C'est aussi à cette époque que j'ai découvert des sites porno de trans comme boisdeboulogne.com . Comme je trouvais les trans pas assez féminines et comme j'ai compris que je les aimais jeunes au B2B, j'ai commencé à cibler mes recherches sur Google et j'ai abouti sur des sites de ladyboys. Un jour, après plusieurs expériences asez bof bof avec des trans, j'ai décidé que j'arrêtais. et je suis passé à autre chose. En fait, en dehors du B2B, j'étais le plus souvent déçu par le rapport qualité/prix.
Après de nouveaux changements dans ma vie, j'ai pris un billet d'avion pour Bangkok et j'ai été à Pattaya. Pendant cette décennie, j'ai exploré quelques pays asiatiques à la recherche de ladyboys.
J'ai trouvé dommage que trans-girls n'aie pas assez d'informations sur les ladyboys, alors j'ai écrit quelques posts. J'hésite à monter un site du style blog un peu plus développé pour guider les personnes intéressées en plusieurs langues. En fréquentant trans-girls, j'ai replongé dans les escorts au tarif league, mais je trouve le service assez cher.
J'espère surtout que dans 10 ou 15 ans ou avant, un type s'inscrira sur trans-girls, utilisera mes posts pour réaliser des voyages de plaisirs dans les pays asiatiques et apportera des mises à jour, histoire de transmettre la flamme.
d'abord en navigant sur le net ensuite j'en ai contacté une ou deux aux philippines avec skype et je me suis décidé à m 'y rendre en 2014 et je suis toujours avec la même
j'avais 62 ans et je ne regrette qu'une chose de ne pas l'avoir connu avant
Bah, des déçus, je suppose qu'il doit bien peut-être y en avoir quelque part, mais dans ce cas, je doute qu'ils fréquentent ce site pour venir nous le dire ...