Connaissez-vous, ou avez-vous connu, Samantha ?
[Je vous donne ci-dessous quelques informations complémentaires concernant cette Samantha que j’avais brièvement citée dans ma « bouteille à la mer » du 24 mai dernier.]
Samantha tapinait Chemin de la Croix Catelan, juste en face des grilles de l’entrée du Jardin du Pré Catelan. A la différence de certaines de ses collègues, qui sont parfois 2 ou 3 sur ce même spot, Samantha ne restait pas postée derrière son volant mais déambulait devant les grilles de l’entrée du Jardin du Pré Catelan. Perchée sur de hauts talons, cela lui permettait de mettre en valeur son corps largement dénudé. Samantha était une transsexuelle équatorienne, une brune plantureuse très sexy qui ne laissait pas indifférents les punters. Ses lèvres étaient souvent outrageusement maquillées, ce qui impliquait une vigilance particulière pour éviter des traces de rouge à lèvres sur les pans de chemise
C’est, en 2015, que j’ai flashé pour la première fois sur cette jeune transsexuelle que je trouvais féminine et très excitante. Elle s’exposait devant un BMC blanc, mais c’est dans un Espace que nous fîmes connaissance. Après m’être acquitté des droits d’entrée, je m’allongeai sur sa banquette. Samantha se mit à genoux et commença à me sucer d’une façon douce et sensuelle. Pendant ce temps je pouvais caresser ses fesses à la fois fermes et douces. Très vite je lui demandai de se retourner. Je lui écartai la raie et l’enculai à fond en forçant un anus plutôt étroit. J’ai adoré son cul, ni trop gros comme beaucoup de transsexuelles, ni trop plat comme celui de Lily. Je m’y sentais si bien
Mais je ne l’ai pas limée très longtemps, car, comme c’est souvent le cas pour une première fois, j’étais très excité et n’ai pas tardé à remplir la capote. Le seul point négatif de cette première rencontre fût son véhicule qui n’était hélas pas un BMC. En effet pour la sodomiser, il fallait impérativement se mettre à genoux !
Heureusement la deuxième fois où j’ai pu baiser Samantha, c’était dans le BMC blanc devant lequel elle tapinait. En fait Samantha partageait ce BMC avec d’autres « copines ». Au niveau confort ce fut nettement mieux !
La fois suivante, son Espace était là mais c’est encore dans le BMC blanc qu’elle m’a heureusement invité à la rejoindre. Elle a commencé par me passer une lingette sur le sexe et a voulu, cette fois-ci, me sucer sans capote
. Ce que j’ai refusé. Elle m’a alors enfilé la capote avec sa bouche et m’a délicieusement pompé. Ensuite j’ai pu, sans avoir à m’agenouiller
, la prendre en levrette tout en branlant sa petite queue qui, sous mes caresses, commença à durcir. Puis, une nouvelle fois, je lui éclatai le fion. Son anus resserré me procura bien du plaisir tandis que je la pilonnais. J’ai rarement expulsé mon foutre dans le plastique avec une telle jouissance. Je l’avais tellement défoncée qu’elle a dû rester accroupie un moment pour récupérer. Je lui ai alors demandé si je lui avais fait mal. Elle m’a gentiment répondu que non. Pour être franc, je crois malheureusement l’avoir ce jour-là un peu déchiré
. Cela m’avait attristé car c’était une fille gentille.
Au fil des rencontres Samantha devint peu à peu un PCR(*). Je me souviens encore d’une de mes rencontres avec elle, sans doute au début de l’année 2016. Il pleuvait et peu de clients s’aventuraient vers son spot habituel. Samantha et sa copine avaient donc abandonné leurs véhicules à la Croix Catelan pour faire le tapin à pied au croisement de la Route de Suresnes et de l’Allée de la Reine Marguerite. Cette nuit-là elle m’emmena dans le bois. Elle s’agenouilla derrière un arbre, baissa mon pantalon et se jeta sur ma queue pour la sucer voluptueusement tandis que je lui imprimai le bon rythme en prenant sa tête dans mes mains. Puis elle se releva, baissa son minuscule string noir et, s’appuyant contre le tronc, me tendit son cul. Je l’enfournai doucement pour épargner son anus que je découvris cette fois-ci bien dilaté
. La faute sans doute aux nombreux clients qui, à cette heure avancée de la nuit, l’avaient déjà visité. Ce fut, malgré la pluie, plus confortable et plus excitant de la prendre ainsi contre un arbre plutôt qu’à genoux dans son espace !
Au printemps 2016, juste avant que la nouvelle loi ne stoppe mes ardeurs, je suis retourné baiser Samantha une dernière fois et, comme il faisait une douceur exceptionnelle, c’est dans les bois que je l’ai entraînée pour la sauter au milieu de voyeurs qui se rinçaient l’œil. Quand elle s’agenouilla pour chercher un préservatif dans son sac je bandais déjà comme un âne en pensant à la pipe qu’elle allait me faire et à son cul que j’allais éclater. J’avais pris l’habitude de cet intermède qui durait parfois un certain temps car le sac à main de Samantha n’était pas un modèle d’organisation … Mais j’adorais cette attente où je pouvais sentir monter le désir de la prendre. Elle m’a alors sucé à fond avant que je lui défonce son cul en pensant que c’était sans doute la dernière fois. Depuis, je pense encore souvent à elle
Mais peut-être est-elle encore en activité ?
(*) PCR = Plan Cul Régulier (Rien à voir avec la Covid19 !)