Bonjour et bonne année à tous !
A la grande époque années 90-2000, il y en avait de partout : sur le 2em Prado, sur le cours Lieutaud (où j'ai connu mes premiers émois avec une ma-gni-fi-que Vénézuellienne qui faisait un signe de croix chaque fois qu'elle rentrait dans ma voiture, à l'époque j'étais uniquement actif...), aux Réformés, autour de la Gare St Charles, Bd Baille, sur Sakakini, et bien sûr, Curiol et rue Sénac .....partout je te dis !
Mais voilà, c'était avant.
Maintenant les amis et à ma connaissance, c'est morne plaine.
Reste le net. Oui je sais, c'est devenu un peu tristounet, mais c'est le signe des temps...
LOREN
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chaseylain
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J’ai également connu cette époque et cette ville et d’autres
Il faut également rappeler des rencontres dans des endroits sordides, dehors en voiture ou des apparts immondes surtout à Marseille
Mais les premieres rencontres apparts et par la suite sont d’excellents souvenirs malgré des filles qui travaillaient dans les rues
Et mes premières internet également
Je trouve qu’il y avait plus de sérieux qu’à présent, ce n’était pas’forcement des rencontres d’une heure, mais elles étaient intenses, cochones ou alors pros
Les filles étaient pros, il y avait moins d’arnaques en générale les arnaques c’était plutôt une belle trans qui avait trop niqué ou un peu bu et qui avait du mal à bander
Je crois que c’est Cilibez qui disait un jour : pourquoi se fatiguer puisque le prochain pigeon va venir payer 150 euros voire beaucoup plus ?
Il avait raison, avec 2 passes elles gagnent ce qu’elles gagnaient avant en une grosse nuit, la troisième ça paye les frais supp pour lappart un peu mieux et les voyages
La quatrième et elle bascule dans le luxe et tant mieux pour elles
On a sans doute ce qu’on mérite pour les laisser vivre l’enfer de la prostitution, alors je ne vais finalement pas trop me plaindre
Il faut également rappeler des rencontres dans des endroits sordides, dehors en voiture ou des apparts immondes surtout à Marseille
Mais les premieres rencontres apparts et par la suite sont d’excellents souvenirs malgré des filles qui travaillaient dans les rues
Et mes premières internet également
Je trouve qu’il y avait plus de sérieux qu’à présent, ce n’était pas’forcement des rencontres d’une heure, mais elles étaient intenses, cochones ou alors pros
Les filles étaient pros, il y avait moins d’arnaques en générale les arnaques c’était plutôt une belle trans qui avait trop niqué ou un peu bu et qui avait du mal à bander
Je crois que c’est Cilibez qui disait un jour : pourquoi se fatiguer puisque le prochain pigeon va venir payer 150 euros voire beaucoup plus ?
Il avait raison, avec 2 passes elles gagnent ce qu’elles gagnaient avant en une grosse nuit, la troisième ça paye les frais supp pour lappart un peu mieux et les voyages
La quatrième et elle bascule dans le luxe et tant mieux pour elles
On a sans doute ce qu’on mérite pour les laisser vivre l’enfer de la prostitution, alors je ne vais finalement pas trop me plaindre
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Samutprakan
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maxlamenace a écrit : à l'époque c'était rue Curiol en journée et rue St Pierre la nuit
Merci pour l'info. ça peut toujours servir si je passe à Marseille un jour.didmars a écrit :Bonjour et bonne année à tous !
A la grande époque années 90-2000, il y en avait de partout : sur le 2em Prado, sur le cours Lieutaud (où j'ai connu mes premiers émois avec une ma-gni-fi-que Vénézuellienne qui faisait un signe de croix chaque fois qu'elle rentrait dans ma voiture, à l'époque j'étais uniquement actif...), aux Réformés, autour de la Gare St Charles, Bd Baille, sur Sakakini, et bien sûr, Curiol et rue Sénac .....partout je te dis !
Mais voilà, c'était avant.
Maintenant les amis et à ma connaissance, c'est morne plaine.
Reste le net. Oui je sais, c'est devenu un peu tristounet, mais c'est le signe des temps...