@KingDiamond
Oui, c’est vrai, c’est autorisé.
Précisément, c’est considéré en tant qu’ “activité commerciale”, comme n’importe quel commerce.
Mais c’est très cadré, tant au niveau fédéral que cantonal.
La concurrence est tout aussi forte qu’en France, les prix sont donc globalement alignés. Et non tirés vers le bas.
Quant à l’énergie, les prix sont plus élevés qu’en France, adaptés au niveau de vie.
En tant qu’importateur net (auto-suffisance tres relative), ils ne peuvent pas être moindres.
J’ajoute aussi que le logement est proportionnellement bien plus élevé.
Les trans vivent donc bien avec des tarifs proportionnellement bien moins chers qu’en France.
Mes conclusions, à mon avis tiennent donc : elles vous considèrent bien trop comme des vaches à lait
Sauf au Bois évidemment !
Ca existe encore ?
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Re: Ca existe encore ?
le truc c'est que les trans c'est devenu PLUS cher que les femmes.Joyce_paris a écrit : ↑30 oct. 2024, 17:36 mais ce sont des valeurs justes car les transsexuels investissent beaucoup dans la beauté, ils investissent dans de bons appartements, de la bonne lingerie, de bons parfums, un bon maquillage, alors pourquoi nous, les transsexuels, devons-nous être moins chers que les femmes ?
200 euro c'est de la folie, le mec viendra une fois mais ne reviendra pas.
Re: Ca existe encore ?
Oui les prix sont trop cher, je ne sais même pas pourquoi on débat là dessus. Raison de plus pour privilégier celle qui propose moins, la vie est dure pour tout le monde
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Re: Ca existe encore ?
C'est le tarif demie-heure annoncé qui a beaucoup augmenté je trouve. De mon observation, on est passé de 80/100 la demie-heure, 150/200 l'heure en moyenne vers 2018 à 150 la demie-heure 200/250, l'heure aujourd'hui.
Je me lance aussi au jeu des hypothèses :
- L'inflation a un effet mais plutôt marginal, surtout la démocratisation des Airbnb dont les prix ont nettement augmenté sur la même période.
- L'explosion de nouvelles plateformes type onlyfan/mym, les cams à distance qui sont une autre source de revenus parfois très lucrative, surtout pour des publics de niche comme celui des Ts
- Sans prostitution légale chez nous, les sites d'escortes en ligne ont absorbé les travailleuse de rue moins chère dans les années 2010 ce qui a stabilisé les prix sur ces sites à l'époque. L'absorption est terminée, les nouvelles arrivent directement sur ces sites en ligne et s'alignent sur les tarifs existants.
- La pénalisation du client : toujours moins de travailleuse de rue, un accès plus compliqué à la prostitution. Plus compliqué d'aller voir une trans sur un coup de tête, on ne peut pas improviser, il faut caler un rdv, ect. Des clients qui se font donc moins réguliers. Les escorts en ont plus par période et moins à d'autres mais l'offre ne s'adapte pas. En proposant des tarifs moins élevés, certaines s'assurent une forme d'épargne pour des périodes avec moins de clients.
- La hausse de l'insécurité et de sa médiatisation ( les deux, chacun à son avis là-dessus selon son bord politique mais on ne peut nier que l'insécurité a augmenté d'un côté, même si c'est dans des proportions moindre que ce qu'ont pourrait penser, et que la médiatisation des faits divers, les discours alarmants sur l'insécurité ont aussi augmenté). Les escortes proposent donc un tarif demie-heure plus élevé pour s'éviter la clientèle la plus populaire dont une partie pose problème, comme les bars qui mettent le café en terrasse à 2,50 et le demi à 5€.
De mon côté, je regarde surtout le ratio prix 1/2 heure/ prix heure. Souvent, une escorte avec peu de vrais commentaires qui met la demie heure à 150 et l'heure à 200 le fait car elle sait que son service est pourri et que demie heure ou heure, le client prendra ses jambes à son cou le plus rapidement possible.
Je me lance aussi au jeu des hypothèses :
- L'inflation a un effet mais plutôt marginal, surtout la démocratisation des Airbnb dont les prix ont nettement augmenté sur la même période.
- L'explosion de nouvelles plateformes type onlyfan/mym, les cams à distance qui sont une autre source de revenus parfois très lucrative, surtout pour des publics de niche comme celui des Ts
- Sans prostitution légale chez nous, les sites d'escortes en ligne ont absorbé les travailleuse de rue moins chère dans les années 2010 ce qui a stabilisé les prix sur ces sites à l'époque. L'absorption est terminée, les nouvelles arrivent directement sur ces sites en ligne et s'alignent sur les tarifs existants.
- La pénalisation du client : toujours moins de travailleuse de rue, un accès plus compliqué à la prostitution. Plus compliqué d'aller voir une trans sur un coup de tête, on ne peut pas improviser, il faut caler un rdv, ect. Des clients qui se font donc moins réguliers. Les escorts en ont plus par période et moins à d'autres mais l'offre ne s'adapte pas. En proposant des tarifs moins élevés, certaines s'assurent une forme d'épargne pour des périodes avec moins de clients.
- La hausse de l'insécurité et de sa médiatisation ( les deux, chacun à son avis là-dessus selon son bord politique mais on ne peut nier que l'insécurité a augmenté d'un côté, même si c'est dans des proportions moindre que ce qu'ont pourrait penser, et que la médiatisation des faits divers, les discours alarmants sur l'insécurité ont aussi augmenté). Les escortes proposent donc un tarif demie-heure plus élevé pour s'éviter la clientèle la plus populaire dont une partie pose problème, comme les bars qui mettent le café en terrasse à 2,50 et le demi à 5€.
De mon côté, je regarde surtout le ratio prix 1/2 heure/ prix heure. Souvent, une escorte avec peu de vrais commentaires qui met la demie heure à 150 et l'heure à 200 le fait car elle sait que son service est pourri et que demie heure ou heure, le client prendra ses jambes à son cou le plus rapidement possible.
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Re: Ca existe encore ?
Le soucis c'est que certaines ne peuvent se permettre de tels tarifs elles sont pas assez High level. Une Caroline Martins mérite entre guillemets un investissement plus élevé que certaines
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Re: Ca existe encore ?
Oui ça existe encore, mais c'est de plus en plus rare également.
Je ne me prononcerai pas sur les tarifs parisiens, évitant la capitale tant que faire se peut.
J'ai rencontré deux fois une Espagnole qui m'a dit quand on a discuté un peu qu'elle ne retournait plus en Espagne car elle gagnerait beaucoup moins bien sa vie chez elle.
Son "les prix sont pas pareils là bas" me laisse penser qu'il y a un "prix moyen du marché". Et que l'acceptable (qui demeure propre à chacun) est plus élevé ici que là bas (niveau de vie, et plein de choses mentionnées plus haut)... Et la Olnlyfanisation / Mymisation fait beaucoup de mal au type qui a envie de chair et pas de vidéos, augmentant les tarifs puisque ces dames n'ont plus besoin de passer autant de temps pour financer leur subsistance à se taper des types qui ne leur plaisent pas forcément...
Comme les marchés sont sensés s'équilibrer sur le temps long...
Je ne me prononcerai pas sur les tarifs parisiens, évitant la capitale tant que faire se peut.
J'ai rencontré deux fois une Espagnole qui m'a dit quand on a discuté un peu qu'elle ne retournait plus en Espagne car elle gagnerait beaucoup moins bien sa vie chez elle.
Son "les prix sont pas pareils là bas" me laisse penser qu'il y a un "prix moyen du marché". Et que l'acceptable (qui demeure propre à chacun) est plus élevé ici que là bas (niveau de vie, et plein de choses mentionnées plus haut)... Et la Olnlyfanisation / Mymisation fait beaucoup de mal au type qui a envie de chair et pas de vidéos, augmentant les tarifs puisque ces dames n'ont plus besoin de passer autant de temps pour financer leur subsistance à se taper des types qui ne leur plaisent pas forcément...
Comme les marchés sont sensés s'équilibrer sur le temps long...