Trois personnes transgenres sauvagement agressées à Paris par une «brigade anti-trav»
Si les lieux ont pu être facilement identifiés, les auteurs sont difficilement reconnaissables. Mais des éléments ont permis de faire avancer rapidement les investigations des enquêteurs. L’auteur de la vidéo postée sur Snapchat a pu être identifié. Il s’agirait d’un rappeur du XVIIe connu sous le nom de Billal.
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris ... 636569.php
" brigade anti-trav " 1 rappeur interpellé 17e
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brigade anti trav suite
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 50363.html
L'agression remonte à au moins deux mois. Des travailleuses du sexe transsexuelles sont prises pour cible, un soir, rue de la Jonquière, dans le 17e arrondissement de Paris, par plusieurs personnes. Ces dernières, qui se surnomment "brigade anti trav", les agressent à coups de poings et de chaises. Filmée, l'agression est diffusée sur le réseau social Snapchat cette semaine. Repérée par des internautes et relayée par des associations LGBT, la vidéo est rapidement devenue virale.
Elles se font agresser tous les soirs, toutes les nuits !", assure Terrence Katchadourian, le secrétaire général de l'association Stop homophobie, qui a longuement parlé avec elles pour les inciter à aller au commissariat. C'est désormais chose faite : trois personnes transsexuelles victimes ont déposé plainte pour "violences aggravées". Stop homophobie et l'Amicale des jeunes du Refuge se sont constituées parties civiles à leurs côtés. Suite à cette agression, l'une des victimes "est incapable à 35%", continue Terrence Katchadourian.
Deux agresseurs, connus de la police, en garde-à-vue
Deux personnes, dont l'une habite le XVIIe arrondissement, ont été arrêtées. Elles sont connues des services de police et ont été placées en garde-à-vue. "C'est un miracle que ce soit allé aussi vite !", se réjouit l'associatif. Interpellé sur Twitter, Geoffroy Boulard, le maire (LR), a condamné cette agression et "signal[é] les éléments [au] commissariat".
Une vision que conteste Stop homophobie. "Ils sont une quinzaine ou vingtaine de personnes", poursuit Terrence Katchadourian. "Dès qu'une personne trans est aperçue, ils reçoivent un appel et ils y vont tous pour l'agresser. Un jour, j'ai vu une personne totalement défigurée, mais elle n'a pas voulu porter plainte." Une décision qui s'explique par la crainte de représailles. En 2016, le ministère de l'Intérieur avait recensé 1020 victimes d'agressions anti-LGBT. L'association Stop homophobie, de son côté, assure avoir reçu plus de 8.000 appels sur cette même période.
L'agression remonte à au moins deux mois. Des travailleuses du sexe transsexuelles sont prises pour cible, un soir, rue de la Jonquière, dans le 17e arrondissement de Paris, par plusieurs personnes. Ces dernières, qui se surnomment "brigade anti trav", les agressent à coups de poings et de chaises. Filmée, l'agression est diffusée sur le réseau social Snapchat cette semaine. Repérée par des internautes et relayée par des associations LGBT, la vidéo est rapidement devenue virale.
Elles se font agresser tous les soirs, toutes les nuits !", assure Terrence Katchadourian, le secrétaire général de l'association Stop homophobie, qui a longuement parlé avec elles pour les inciter à aller au commissariat. C'est désormais chose faite : trois personnes transsexuelles victimes ont déposé plainte pour "violences aggravées". Stop homophobie et l'Amicale des jeunes du Refuge se sont constituées parties civiles à leurs côtés. Suite à cette agression, l'une des victimes "est incapable à 35%", continue Terrence Katchadourian.
Deux agresseurs, connus de la police, en garde-à-vue
Deux personnes, dont l'une habite le XVIIe arrondissement, ont été arrêtées. Elles sont connues des services de police et ont été placées en garde-à-vue. "C'est un miracle que ce soit allé aussi vite !", se réjouit l'associatif. Interpellé sur Twitter, Geoffroy Boulard, le maire (LR), a condamné cette agression et "signal[é] les éléments [au] commissariat".
Une vision que conteste Stop homophobie. "Ils sont une quinzaine ou vingtaine de personnes", poursuit Terrence Katchadourian. "Dès qu'une personne trans est aperçue, ils reçoivent un appel et ils y vont tous pour l'agresser. Un jour, j'ai vu une personne totalement défigurée, mais elle n'a pas voulu porter plainte." Une décision qui s'explique par la crainte de représailles. En 2016, le ministère de l'Intérieur avait recensé 1020 victimes d'agressions anti-LGBT. L'association Stop homophobie, de son côté, assure avoir reçu plus de 8.000 appels sur cette même période.
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Re: brigade anti trav suite
gameboy a écrit :https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 50363.html
L'agression remonte à au moins deux mois. Des travailleuses du sexe transsexuelles sont prises pour cible, un soir, rue de la Jonquière, dans le 17e arrondissement de Paris, par plusieurs personnes. Ces dernières, qui se surnomment "brigade anti trav", les agressent à coups de poings et de chaises. Filmée, l'agression est diffusée sur le réseau social Snapchat cette semaine. Repérée par des internautes et relayée par des associations LGBT, la vidéo est rapidement devenue virale.
Elles se font agresser tous les soirs, toutes les nuits !", assure Terrence Katchadourian, le secrétaire général de l'association Stop homophobie, qui a longuement parlé avec elles pour les inciter à aller au commissariat. C'est désormais chose faite : trois personnes transsexuelles victimes ont déposé plainte pour "violences aggravées". Stop homophobie et l'Amicale des jeunes du Refuge se sont constituées parties civiles à leurs côtés. Suite à cette agression, l'une des victimes "est incapable à 35%", continue Terrence Katchadourian.
Deux agresseurs, connus de la police, en garde-à-vue
Deux personnes, dont l'une habite le XVIIe arrondissement, ont été arrêtées. Elles sont connues des services de police et ont été placées en garde-à-vue. "C'est un miracle que ce soit allé aussi vite !", se réjouit l'associatif. Interpellé sur Twitter, Geoffroy Boulard, le maire (LR), a condamné cette agression et "signal[é] les éléments [au] commissariat".
Une vision que conteste Stop homophobie. "Ils sont une quinzaine ou vingtaine de personnes", poursuit Terrence Katchadourian. "Dès qu'une personne trans est aperçue, ils reçoivent un appel et ils y vont tous pour l'agresser. Un jour, j'ai vu une personne totalement défigurée, mais elle n'a pas voulu porter plainte." Une décision qui s'explique par la crainte de représailles. En 2016, le ministère de l'Intérieur avait recensé 1020 victimes d'agressions anti-LGBT. L'association Stop homophobie, de son côté, assure avoir reçu plus de 8.000 appels sur cette même période.
en 1922 en italie les fascistes ont commencé comme çà les batons 's'appelaient manganello" les cibles étaient autre (socialistes etc) on a vu comme cela a fini, aujourd'hui des trav demain?? c'est grave, la baraque "Société " prend l'eau de toute part