maxlamenace a écrit :sont craquantes les ladyboys thais, mais bon, sont à consommer sur place...ça s'exporte mal.
Je me suis dit qu'il y a matière à discussion pour répondre à cette question, et pas seulement une boutade ou quelques échanges dans le fil sur les vidéos.
La plupart des ladyboys viennent du nord de la Thaïlande ou d'Issan (Nord est). Le nord de la Thaïlande a longtemps été un royaume à part et l'Issan est la région où les khmers et les Siams se sont affrontés ou métissés pendant des siècles. Il y a aussi des ladyboys qui proviennent des villes autour de Bangkok mais elles restent à Bangkok.
Pour un ladyboy de province, aller à Pattaya, Bangkok ou Phuket, c'est déjà s'exporter un petit peu. Dans le prolongement de l'Issan, il y a le Cambodge et le Laos. Il y a une dizaine d'années, il y avait une (petite) vague de cambodgiennes dans le milieu des ladyboys à Bangkok et ces dernières années, on trouve des laotiennes dans les bars ou en freelance à Pattaya.
La carrière d'un ladyboy ressemble à celle d'une fille française de cité qui se projette dans l'escort sur vivastreet. ça peut durer 2 mois comme ça peut durer plus de 10 ans. Celles qui restent retournent en général dans leur campagne à la saison creuse.
Elles n'éprouvent que rarement le besoin d'aller à l'étranger tant qu'elles atteignent leurs objectifs : se payer uen première opération de chirurgie esthétique et de mammoplastie et éventuelement plus tard un changement de sexe (qui devient plus rare). Elles n'ont pas toujours intérêt à quitter la Thaïlande, car la Thaïlande a beaucoup de cliniques privées où elles peuvent trouver un suivi sérieux et des traitement hormonaux. Contrairement à ce que racontent des expats cynique, il doit y avoir moyen d'avoir une relation suivie avec une jolie créature qui vit en province avec un travail régulier et modeste en la rencontrant au début de sa vingtaine et en lui finançant ses soins en clinique. J'ai aussi rencontré quelques ladyboys qui sont revenues au pays et ont pris un job modeste plutôt que de faire la pute à Pattaya ou à Phuket. Une remarque qui peut intéresser Jeam Marc 78000 : une thaïlandaise qui travaille dans sa province peut offrir une relation plus sincère qu'une philippine qui souhaite se faire entretenir si on lui paye de quoi entretenir sa beauté et sa féminité dans une clinique.
Pour en revenir à celles qui bossent dans les bars, ils leur arrive de tourner d'un bar à l'autre, de passer des bars au freelance d'une ville à l'autre. certaines quittent le milieu une fois obtenue leur mamoplastie et vont travailler dans des cabarets (ou retournent dans leur province et utilisent un capital mis de coté pour monter uen petite affaire comme un salon de coiffure ou de beauté). J'ai omis de dire que certains ladyboys ne passent pas par la case prostitution et vont directement travailler dans des cabarets. Il leur arrive quand même d'apparaître comme des occasionnelles.
Les thaïlandaises qui s'exportent ne vont souvent pas très loin : Kuala Lumpur ou Singapour en premier lieu, mais l'immigration contrôle de plus en plus leurs mouvements.
Celles qui vont dans un pays occidental vont surtout en Australie, donc pas vraiment chez nous. Il y a bien quelques thaïlandaises qui vont Allemagne et il a du en passer quelques unes en France. Une star du porno, ex danseuse à Charades était en Allemagne lorsqu'a éclaté un scandale de proxénétisme. J'ignore si elle faisait partie des victimes mais elle travaille maintenant dans uen agence d'escort à Bangkok. Une autre star du porno anciennement dans un bar de Pattaya vit chez son copain en Allemagne; Le tyep doit avoir les moyens et ça doit lui coûter autrement plus qu'une visite chez une escort de temps en temps.
Sinon, on trouve des vietnamiennes à Kuala Lumpur (mais pas beaucoup).
Il y a une dizaine d'années, j'ai croisé des malaisiennes en France. J'ai pas trop aimé. Elles n'étaient pas très chaudes, elles prenaient du poids et ne valaient pas la somme payée. Je n'en vois plus guère. J'ai vu des annonces en Suisse avec des ladyboys thaïlandais. On en trouve quelques unes surtout en Suisse alémanique. Elles sont chères et assez âgées. Elles correspondent bien au marché suisse quand il s'agit pour un suisse de chercher quelque chose dans sa proximité.
Celles qui s'exportent le plus sont les philippines. Chez elles, elles n'ont le plus osuvent ni seins ni hormones et beaucoup resteront des ex candidates rebutées à l'entrée d'uen carrière de ladyboys. On trouve des philippines en Thaïlande (il y a eu une vague ces dernières années) et dans beaucoup de pays d'Asie. Dans certains pays, un occidental qui cherche principalement sur Internet a plus de chances de trouver une philippine qu'une locale. On trouve des philippines dans beaucoup de pays d'Asie jusqu'au proche Orient (Dubaï). Peronnellement, je n'aime pas trop leur coté peu intéréssées au sexe même si elles sont silicônées comme il faut. Elles se forcent, aiment plus l'argent que leur sexualité féminine. Elles sont rarement hormonées. On trouve des philippines juqu'en Europe.