[EV] Milet Trans Péruvienne
[EV] Milet Trans Péruvienne
Bonjour,
Je vous propose l'évaluation d'une transsexuelle d'origine péruvienne du nom de Milet
Belle, féminine, conforme aux photos, bien membré (18cm) avec une bonne conversation, parle plutôt bien français. Une belle surprise.
Sur Troyes en ce moment, convient aux débutants.
https://www.sexemodel.com/escort/Milet-433521/
Si vous êtes du coin, je ne peux que vous la conseillez !
Bonne journée.
Je vous propose l'évaluation d'une transsexuelle d'origine péruvienne du nom de Milet
Belle, féminine, conforme aux photos, bien membré (18cm) avec une bonne conversation, parle plutôt bien français. Une belle surprise.
Sur Troyes en ce moment, convient aux débutants.
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Si vous êtes du coin, je ne peux que vous la conseillez !
Bonne journée.
Bonjour,biboplove a écrit :Les péruviennes ont la côte visiblement !
Merci X103738 pour le retour, mais aurais-tu une ou deux précisions en plus ? (tarifs, chrono, ...)
Quelques photos de la belle, qui annonce être active de préférence.
30mn: 100€
1h: 150€
A pris son temps avec moi et est très câline et GFE
Active & Passive mais je pense qu'elle doit avoir une préférence pour le côté actif.
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X103738 a écrit :Bonjour,biboplove a écrit :Les péruviennes ont la côte visiblement !
Merci X103738 pour le retour, mais aurais-tu une ou deux précisions en plus ? (tarifs, chrono, ...)
Quelques photos de la belle, qui annonce être active de préférence.
30mn: 100€
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A pris son temps avec moi et est très câline et GFE
Active & Passive mais je pense qu'elle doit avoir une préférence pour le côté actif.
merci
Trop petit devant trop degueu derrière pas pour moi...
VOXXER75 EX-Translover75012
http://www.trans-girls.com/index.php?na ... oad&id=927
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Bonsoir à tous,
Je déterre ce sujet consacré à Milet. Comme ça. Pour le plaisir de me la jouer employé des pompes funèbres. On trépassera tous de toute façon. Reste à savoir quand et où.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'objection certaine d'incarner quelque chose de positif. Personne n'est parfait.
J'ai depuis quelques jours l'envie d'aborder des gens (principalement des femmes, hein. Mieux vaut ne pas me prendre comme quelqu'un de naturellement avenant, je risquerai de retomber dans la timidité qu'est la mienne) dans la rue. Il y a eu deux incartades à Strasbourg où, d'une façon assez notable d'ailleurs, j'ai pu constater mes considérables progrès. Le Guronsan de la veille n'a pas été pris. J'ai fauté. Je suis arrivé à Colmar comme un pucelard dans une partouze. Je ne suis plus pucelard. Je n'ai jamais cotoyé le milieu partouzard. Je vous laisse juges de cette métaphore relativement tirée par la queue de cheval d'une trentenaire à la poitrine agréable. Donc Colmar. J'ai commencé à marcher, l'air hagard, en me persuadant de ma vacuité. J'ai erré. J'ai contacté Milet, comme ça, sans réelle envie d'y aller. J'ai déambulé. Le verbe change, mais la finalité reste similaire. Elle m'a répondu presque directement en usant d'un message automatique au français relativement convenable. Relativement, car un traducteur automatique est sûrement derrière. J'ai traversé le centre-ville sans réelle volonté. J'étais un légume doté de deux jambes relativement musclées (pour le côté je tutoie les étoiles) et d'un visage plutôt banal (pour la redescente sur terre).
Je connaissais le chemin. Milet recevait dans la même rue que Sabrinita (cf. mon évaluation du mois de décembre 2020). Je n'ai pas attendu très longtemps avant de me faire ouvrir la porte. J'ai monté les escaliers à sa suite. Je revis ce que j'ai vécu avec Sabrinita. Mais, Milet n'est pas celle que j'ai rencontré à deux reprises dans le Colmar de la fin d'année dernière.
Elle ressemblait aux photos, même si certains traits de son visage demeuraient grossiers. Grossiers, donc masculins. La compréhension n'était pas très évidente. Elle avait un peu de mal à me comprendre, et vice-versa. Rien de véritablement dérangeant. Plutôt GFE, elle embrassait à profusion. J'ai senti que sa poitrine était, comment dire, siliconée ? Je ne suis pas un spécialiste, je suppute que c'est cela. Son sexe était de taille relativement moyenne : 10-12 cm. Je ne suis pas un spécialiste, je fais le choix de prendre une marge d'erreur pout qu'ainsi, je ne puisse être rabroué. Le rapport était convenable, bien qu'en-dessous de ceux que j'ai pu avoir avec Larissa Baccarin ou Sabrinita. Elle a joui sans supplément, contrairement à moi qui ai eu énormément de mal à finir. Le stress ? Elle n'a pas essayé d'être active. Peut-être un poil chrono, dans le sens où elle m'a clairement dit qu'un client allait bientôt arriver. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus cordial, mais bon, ça faisait, déjà, une cinquantaine de minutes. Je n'ai rien trouvé à redire. Je suis parti en prenant soin de ne pas chuter dans les escaliers, somme toute, caractéristiques des anciennes bâtisses d'une des plus belles villes de France. Colmar, pour ceux qui n'auraient pas encore devinés.
Mon sentiment était particulier. Je n'étais pas venu pour rencontrer une fille de joie. Je suis venu pour aborder des gens. Et bien, c'est ce que j'ai fait. Après. J'ai dû lancer une douzaine de discussions. J'ai demandé les emplacements de la gare, du tribunal, de la place Rapp, peut-être deux, trois fois à chaque fois. J'ai pris des gens en photos pour que ceux-ci puissent les mettre sur les réseaux sociaux. J'ai croisé quatre-cinq filles très mignonnes sans que je n'ose y aller. J'ai l'impression que c'est un leitmotiv éternel. Et puis. Je l'ai vu. Elle, en plein milieu de la place Rapp. Elle qui, splendide à mes yeux, portait une valise à roulettes. Une, deux secondes. J'y suis allé. Et, j'ai réussi. J'ai discuté avec elle deux petites minutes. J'ai réussi. Je suis Joshua Kimmich lorsqu'il s'agit de distribuer des offrandes pour ceux qui sont devant. J'ai réussi. Je n'ai pas pensé à prendre son numéro. Mais, j'ai réussi.
J'ai emprunté l'autoroute en siphonnant quelques bonbons à la menthe. La nana de la place me hante. Pas, Milet. C'est un signe. La métaphore de tout à l'heure. L'allégorie d'un quelque chose me laissant perplexe. Perplexe. Le maux est juste. Il a le mérite d'exister.
À retenir :
150€/h
Plutôt GFE
Ressemble aux photos bien que persistance de certains traits rudes au niveau de son visage
Ne pas s'attendre à quelque chose d'exceptionnel. De convenable. Pour ne pas être déçu.
13/20
Je déterre ce sujet consacré à Milet. Comme ça. Pour le plaisir de me la jouer employé des pompes funèbres. On trépassera tous de toute façon. Reste à savoir quand et où.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'objection certaine d'incarner quelque chose de positif. Personne n'est parfait.
J'ai depuis quelques jours l'envie d'aborder des gens (principalement des femmes, hein. Mieux vaut ne pas me prendre comme quelqu'un de naturellement avenant, je risquerai de retomber dans la timidité qu'est la mienne) dans la rue. Il y a eu deux incartades à Strasbourg où, d'une façon assez notable d'ailleurs, j'ai pu constater mes considérables progrès. Le Guronsan de la veille n'a pas été pris. J'ai fauté. Je suis arrivé à Colmar comme un pucelard dans une partouze. Je ne suis plus pucelard. Je n'ai jamais cotoyé le milieu partouzard. Je vous laisse juges de cette métaphore relativement tirée par la queue de cheval d'une trentenaire à la poitrine agréable. Donc Colmar. J'ai commencé à marcher, l'air hagard, en me persuadant de ma vacuité. J'ai erré. J'ai contacté Milet, comme ça, sans réelle envie d'y aller. J'ai déambulé. Le verbe change, mais la finalité reste similaire. Elle m'a répondu presque directement en usant d'un message automatique au français relativement convenable. Relativement, car un traducteur automatique est sûrement derrière. J'ai traversé le centre-ville sans réelle volonté. J'étais un légume doté de deux jambes relativement musclées (pour le côté je tutoie les étoiles) et d'un visage plutôt banal (pour la redescente sur terre).
Je connaissais le chemin. Milet recevait dans la même rue que Sabrinita (cf. mon évaluation du mois de décembre 2020). Je n'ai pas attendu très longtemps avant de me faire ouvrir la porte. J'ai monté les escaliers à sa suite. Je revis ce que j'ai vécu avec Sabrinita. Mais, Milet n'est pas celle que j'ai rencontré à deux reprises dans le Colmar de la fin d'année dernière.
Elle ressemblait aux photos, même si certains traits de son visage demeuraient grossiers. Grossiers, donc masculins. La compréhension n'était pas très évidente. Elle avait un peu de mal à me comprendre, et vice-versa. Rien de véritablement dérangeant. Plutôt GFE, elle embrassait à profusion. J'ai senti que sa poitrine était, comment dire, siliconée ? Je ne suis pas un spécialiste, je suppute que c'est cela. Son sexe était de taille relativement moyenne : 10-12 cm. Je ne suis pas un spécialiste, je fais le choix de prendre une marge d'erreur pout qu'ainsi, je ne puisse être rabroué. Le rapport était convenable, bien qu'en-dessous de ceux que j'ai pu avoir avec Larissa Baccarin ou Sabrinita. Elle a joui sans supplément, contrairement à moi qui ai eu énormément de mal à finir. Le stress ? Elle n'a pas essayé d'être active. Peut-être un poil chrono, dans le sens où elle m'a clairement dit qu'un client allait bientôt arriver. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus cordial, mais bon, ça faisait, déjà, une cinquantaine de minutes. Je n'ai rien trouvé à redire. Je suis parti en prenant soin de ne pas chuter dans les escaliers, somme toute, caractéristiques des anciennes bâtisses d'une des plus belles villes de France. Colmar, pour ceux qui n'auraient pas encore devinés.
Mon sentiment était particulier. Je n'étais pas venu pour rencontrer une fille de joie. Je suis venu pour aborder des gens. Et bien, c'est ce que j'ai fait. Après. J'ai dû lancer une douzaine de discussions. J'ai demandé les emplacements de la gare, du tribunal, de la place Rapp, peut-être deux, trois fois à chaque fois. J'ai pris des gens en photos pour que ceux-ci puissent les mettre sur les réseaux sociaux. J'ai croisé quatre-cinq filles très mignonnes sans que je n'ose y aller. J'ai l'impression que c'est un leitmotiv éternel. Et puis. Je l'ai vu. Elle, en plein milieu de la place Rapp. Elle qui, splendide à mes yeux, portait une valise à roulettes. Une, deux secondes. J'y suis allé. Et, j'ai réussi. J'ai discuté avec elle deux petites minutes. J'ai réussi. Je suis Joshua Kimmich lorsqu'il s'agit de distribuer des offrandes pour ceux qui sont devant. J'ai réussi. Je n'ai pas pensé à prendre son numéro. Mais, j'ai réussi.
J'ai emprunté l'autoroute en siphonnant quelques bonbons à la menthe. La nana de la place me hante. Pas, Milet. C'est un signe. La métaphore de tout à l'heure. L'allégorie d'un quelque chose me laissant perplexe. Perplexe. Le maux est juste. Il a le mérite d'exister.
À retenir :
150€/h
Plutôt GFE
Ressemble aux photos bien que persistance de certains traits rudes au niveau de son visage
Ne pas s'attendre à quelque chose d'exceptionnel. De convenable. Pour ne pas être déçu.
13/20
- MarechalTito
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J'adore tes récits à tiroirs, un peu énigmatiques, quelle patte d'écrivain. Je suis impressionné. Merci, c'est tellement beau que la Milet on s'en fout, c'est le reste qui fait voyager. Et ELLE. Chacun l'imagine à sa façon, nous avons tous des fantômes de ce calibre qui nous habitent…Gab.Fouquet a écrit :Bonsoir à tous,
Je déterre ce sujet consacré à Milet. Comme ça. Pour le plaisir de me la jouer employé des pompes funèbres. On trépassera tous de toute façon. Reste à savoir quand et où.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'objection certaine d'incarner quelque chose de positif. Personne n'est parfait.
J'ai depuis quelques jours l'envie d'aborder des gens (principalement des femmes, hein. Mieux vaut ne pas me prendre comme quelqu'un de naturellement avenant, je risquerai de retomber dans la timidité qu'est la mienne) dans la rue. Il y a eu deux incartades à Strasbourg où, d'une façon assez notable d'ailleurs, j'ai pu constater mes considérables progrès. Le Guronsan de la veille n'a pas été pris. J'ai fauté. Je suis arrivé à Colmar comme un pucelard dans une partouze. Je ne suis plus pucelard. Je n'ai jamais cotoyé le milieu partouzard. Je vous laisse juges de cette métaphore relativement tirée par la queue de cheval d'une trentenaire à la poitrine agréable. Donc Colmar. J'ai commencé à marcher, l'air hagard, en me persuadant de ma vacuité. J'ai erré. J'ai contacté Milet, comme ça, sans réelle envie d'y aller. J'ai déambulé. Le verbe change, mais la finalité reste similaire. Elle m'a répondu presque directement en usant d'un message automatique au français relativement convenable. Relativement, car un traducteur automatique est sûrement derrière. J'ai traversé le centre-ville sans réelle volonté. J'étais un légume doté de deux jambes relativement musclées (pour le côté je tutoie les étoiles) et d'un visage plutôt banal (pour la redescente sur terre).
Je connaissais le chemin. Milet recevait dans la même rue que Sabrinita (cf. mon évaluation du mois de décembre 2020). Je n'ai pas attendu très longtemps avant de me faire ouvrir la porte. J'ai monté les escaliers à sa suite. Je revis ce que j'ai vécu avec Sabrinita. Mais, Milet n'est pas celle que j'ai rencontré à deux reprises dans le Colmar de la fin d'année dernière.
Elle ressemblait aux photos, même si certains traits de son visage demeuraient grossiers. Grossiers, donc masculins. La compréhension n'était pas très évidente. Elle avait un peu de mal à me comprendre, et vice-versa. Rien de véritablement dérangeant. Plutôt GFE, elle embrassait à profusion. J'ai senti que sa poitrine était, comment dire, siliconée ? Je ne suis pas un spécialiste, je suppute que c'est cela. Son sexe était de taille relativement moyenne : 10-12 cm. Je ne suis pas un spécialiste, je fais le choix de prendre une marge d'erreur pout qu'ainsi, je ne puisse être rabroué. Le rapport était convenable, bien qu'en-dessous de ceux que j'ai pu avoir avec Larissa Baccarin ou Sabrinita. Elle a joui sans supplément, contrairement à moi qui ai eu énormément de mal à finir. Le stress ? Elle n'a pas essayé d'être active. Peut-être un poil chrono, dans le sens où elle m'a clairement dit qu'un client allait bientôt arriver. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus cordial, mais bon, ça faisait, déjà, une cinquantaine de minutes. Je n'ai rien trouvé à redire. Je suis parti en prenant soin de ne pas chuter dans les escaliers, somme toute, caractéristiques des anciennes bâtisses d'une des plus belles villes de France. Colmar, pour ceux qui n'auraient pas encore devinés.
Mon sentiment était particulier. Je n'étais pas venu pour rencontrer une fille de joie. Je suis venu pour aborder des gens. Et bien, c'est ce que j'ai fait. Après. J'ai dû lancer une douzaine de discussions. J'ai demandé les emplacements de la gare, du tribunal, de la place Rapp, peut-être deux, trois fois à chaque fois. J'ai pris des gens en photos pour que ceux-ci puissent les mettre sur les réseaux sociaux. J'ai croisé quatre-cinq filles très mignonnes sans que je n'ose y aller. J'ai l'impression que c'est un leitmotiv éternel. Et puis. Je l'ai vu. Elle, en plein milieu de la place Rapp. Elle qui, splendide à mes yeux, portait une valise à roulettes. Une, deux secondes. J'y suis allé. Et, j'ai réussi. J'ai discuté avec elle deux petites minutes. J'ai réussi. Je suis Joshua Kimmich lorsqu'il s'agit de distribuer des offrandes pour ceux qui sont devant. J'ai réussi. Je n'ai pas pensé à prendre son numéro. Mais, j'ai réussi.
J'ai emprunté l'autoroute en siphonnant quelques bonbons à la menthe. La nana de la place me hante. Pas, Milet. C'est un signe. La métaphore de tout à l'heure. L'allégorie d'un quelque chose me laissant perplexe. Perplexe. Le maux est juste. Il a le mérite d'exister.
À retenir :
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Ne pas s'attendre à quelque chose d'exceptionnel. De convenable. Pour ne pas être déçu.
13/20
Merci pour ce moment de bonheur.
Il y a un imposteur sur sexemodel qui usurpe mon identité : https://is.gd/LZDRzU
Ne pas croire ses commentaires, c'est un mac qui fait de la promo pour des arnaqueuses.
Voici mon vrai profil sexemodel : https://is.gd/xS7Ybj
Détesté par certains, copié par d'autres : la pathétique rançon du succès
Ne pas croire ses commentaires, c'est un mac qui fait de la promo pour des arnaqueuses.
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Oui, beau récit, belle prose riche, surprenante, déroutante par moment.. Je dois parfois relire 4 ou 5 fois certains passages mais ça vient de moi, pas du récit... Pas habitué en fait..ruben a écrit :J'adore tes récits à tiroirs, un peu énigmatiques, quelle patte d'écrivain. Je suis impressionné. Merci, c'est tellement beau que la Milet on s'en fout, c'est le reste qui fait voyager. Et ELLE. Chacun l'imagine à sa façon, nous avons tous des fantômes de ce calibre qui nous habitent…Gab.Fouquet a écrit :Bonsoir à tous,
Je déterre ce sujet consacré à Milet. Comme ça. Pour le plaisir de me la jouer employé des pompes funèbres. On trépassera tous de toute façon. Reste à savoir quand et où.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'objection certaine d'incarner quelque chose de positif. Personne n'est parfait.
J'ai depuis quelques jours l'envie d'aborder des gens (principalement des femmes, hein. Mieux vaut ne pas me prendre comme quelqu'un de naturellement avenant, je risquerai de retomber dans la timidité qu'est la mienne) dans la rue. Il y a eu deux incartades à Strasbourg où, d'une façon assez notable d'ailleurs, j'ai pu constater mes considérables progrès. Le Guronsan de la veille n'a pas été pris. J'ai fauté. Je suis arrivé à Colmar comme un pucelard dans une partouze. Je ne suis plus pucelard. Je n'ai jamais cotoyé le milieu partouzard. Je vous laisse juges de cette métaphore relativement tirée par la queue de cheval d'une trentenaire à la poitrine agréable. Donc Colmar. J'ai commencé à marcher, l'air hagard, en me persuadant de ma vacuité. J'ai erré. J'ai contacté Milet, comme ça, sans réelle envie d'y aller. J'ai déambulé. Le verbe change, mais la finalité reste similaire. Elle m'a répondu presque directement en usant d'un message automatique au français relativement convenable. Relativement, car un traducteur automatique est sûrement derrière. J'ai traversé le centre-ville sans réelle volonté. J'étais un légume doté de deux jambes relativement musclées (pour le côté je tutoie les étoiles) et d'un visage plutôt banal (pour la redescente sur terre).
Je connaissais le chemin. Milet recevait dans la même rue que Sabrinita (cf. mon évaluation du mois de décembre 2020). Je n'ai pas attendu très longtemps avant de me faire ouvrir la porte. J'ai monté les escaliers à sa suite. Je revis ce que j'ai vécu avec Sabrinita. Mais, Milet n'est pas celle que j'ai rencontré à deux reprises dans le Colmar de la fin d'année dernière.
Elle ressemblait aux photos, même si certains traits de son visage demeuraient grossiers. Grossiers, donc masculins. La compréhension n'était pas très évidente. Elle avait un peu de mal à me comprendre, et vice-versa. Rien de véritablement dérangeant. Plutôt GFE, elle embrassait à profusion. J'ai senti que sa poitrine était, comment dire, siliconée ? Je ne suis pas un spécialiste, je suppute que c'est cela. Son sexe était de taille relativement moyenne : 10-12 cm. Je ne suis pas un spécialiste, je fais le choix de prendre une marge d'erreur pout qu'ainsi, je ne puisse être rabroué. Le rapport était convenable, bien qu'en-dessous de ceux que j'ai pu avoir avec Larissa Baccarin ou Sabrinita. Elle a joui sans supplément, contrairement à moi qui ai eu énormément de mal à finir. Le stress ? Elle n'a pas essayé d'être active. Peut-être un poil chrono, dans le sens où elle m'a clairement dit qu'un client allait bientôt arriver. Ce n'est pas ce qu'il y a de plus cordial, mais bon, ça faisait, déjà, une cinquantaine de minutes. Je n'ai rien trouvé à redire. Je suis parti en prenant soin de ne pas chuter dans les escaliers, somme toute, caractéristiques des anciennes bâtisses d'une des plus belles villes de France. Colmar, pour ceux qui n'auraient pas encore devinés.
Mon sentiment était particulier. Je n'étais pas venu pour rencontrer une fille de joie. Je suis venu pour aborder des gens. Et bien, c'est ce que j'ai fait. Après. J'ai dû lancer une douzaine de discussions. J'ai demandé les emplacements de la gare, du tribunal, de la place Rapp, peut-être deux, trois fois à chaque fois. J'ai pris des gens en photos pour que ceux-ci puissent les mettre sur les réseaux sociaux. J'ai croisé quatre-cinq filles très mignonnes sans que je n'ose y aller. J'ai l'impression que c'est un leitmotiv éternel. Et puis. Je l'ai vu. Elle, en plein milieu de la place Rapp. Elle qui, splendide à mes yeux, portait une valise à roulettes. Une, deux secondes. J'y suis allé. Et, j'ai réussi. J'ai discuté avec elle deux petites minutes. J'ai réussi. Je suis Joshua Kimmich lorsqu'il s'agit de distribuer des offrandes pour ceux qui sont devant. J'ai réussi. Je n'ai pas pensé à prendre son numéro. Mais, j'ai réussi.
J'ai emprunté l'autoroute en siphonnant quelques bonbons à la menthe. La nana de la place me hante. Pas, Milet. C'est un signe. La métaphore de tout à l'heure. L'allégorie d'un quelque chose me laissant perplexe. Perplexe. Le maux est juste. Il a le mérite d'exister.
À retenir :
150€/h
Plutôt GFE
Ressemble aux photos bien que persistance de certains traits rudes au niveau de son visage
Ne pas s'attendre à quelque chose d'exceptionnel. De convenable. Pour ne pas être déçu.
13/20
Merci pour ce moment de bonheur.
J'ai même cru un moment que t'avais croisé Joshua Kimmich déguisé en travelo
- MarechalTito
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biboplove a écrit :Les péruviennes ont la côte visiblement !
je ne peux que confirmer !
les péruviennes m'ont toujours rempli de joie !
il me reste toujours en mémoire cette exxxxcellente rencontre datant de quelques années avec trans Karina
j'avais levé cette nana au BDB en RM 19 et je l'ai emmenée chez elle à Puteaux où j'ai passé un moment formidable
cela m'avait couté 100 euros mais pour ce prix-là, le bonheur avait été total et je n'ai vraiment pas regretté
je vous laisse son lien actuel pour mémoire :
https://www.escortsexe.net/Karina-trans-ad166981.html
vraiment désolé pour l'aparté sur le sujet de Milet mais j'ai pas pu m'en empêcher !