Nostalgies du Bois

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Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :
ça faisait aussi partie du jeu de se faire palper par des trans en train de racoler. Un mec fauché aurait pu y passer sa soirée. Il m'arrivait d'errer dans une partie du bois tout en sachant que j'irais faire affaire dans une autre partie du bois, mais uen bonne soirée commençait toujours par une visite des lieux à la recherche des plus belles et des plus salopes. Ensuite, j'allais voir ma préférée du moment si j'en avais une ou j'en changeais.
Tout à fait exact. C’était, au bois, une pratique habituelle que personne n’avait encore évoquée sur ce fil.

A cette époque il m’arrivait parfois de me garer sur Boulogne, puis de remonter à pied l’Allée de la Reine Marguerite de RM1 à RM17 puis de RM16 à RM2. Dès que l’on s’approchait pour engager la conversation (voire plus si affinités …. ) avec une créature, la palpation accompagnait souvent le sourire racoleur. J’avais toujours du mal à résister et, seule la possibilité de découvrir au spot suivant une pute encore plus salope, me retenait.
Ces soirs-là, je n’avais pas de plan prémédité et ma promenade pouvait se terminer très vite si je flashai sur un visage, un sourire, un cul .....
Je pouvais alors découvrir une fille qu'on ne reverra jamais ou une perle comme Solange, une super salope ou une professionnelle attentionnée, une experte en fellation ou une jeunette inexpérimentée, un « garage à bites » ou un petit cul aussi serré que le prochain confinement ;)
C’était une loterie mais, ces soirs-là, je quittais le bois soulagé et souvent heureux :D :D

Mais je pouvais également revenir en RM2 sans être parvenu à me décider :(
Par lassitude et pour ne pas rentrer bredouille, je me laissais alors entrainer par une des dernières tapineuses rencontrées. La transsexuelle m’emmenait alors dans des fourrés un peu à l’écart de la route, s’agenouillait, sortait ma queue puis la faisait coulisser au fond de se gorge. Dés que je bandais suffisamment, elle se relevait, se retournait . D'un coup de reins je l’enculais et très vite me vidais dans son cul.
Ces passes « par défaut » rapides et sans surprises me satisfaisaient rarement :( :( .

Merci encore Samutprakan d’avoir eu l’idée de ce fil où chaque contribution ravive des souvenirs 8-)
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Knight_X
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Message par Knight_X »

Vos récits sont vraiment super agréables à lire, on est en immersion, surtout des gens comme moi qui fréquente le bois de boulogne depuis peu, ça nous permet d'avoir des fragments du passé grâce à vos expériences, j'aurai aimé connaître cette période, je pense que certains d'entre vous pourrez écrire un bouquin de 1000 pages sur le bois de boulogne, plus qu'a trouvé la maison d'edition :mrgreen:

Souvent on entend cette phrase que certains qualifient de vieux bobo ou de vieux con : " c'était mieux avant "
Et bien pour le coup en jugeant vos récits, je confirme je pense que c'était mieux avant ;)
Nouvelle vidéo du bois de Boulogne
https://www.youtube.com/watch?v=benulrBnsp8

Trombinoscope 3D du bois de Boulogne
https://www.google.com/maps/d/viewer?mi ... 99975&z=14
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

@Nostrabéru : "code d'honneur" est peut-être un terme un peu fort. Disons qu'il s'agissait d'usage ou de règles de savoir vivre. J'avais entendu parler de scènes au cours desquelles voyeurs et clients se mélangeaient dans une partouze spontanée. Je pensais surtout que ça relevait de fantasmes de porno (il y a des pornos qui les mettent en scène). Personnellement, je ne me serais pas senti en sécurité avec des inconnus d'autant qu'à cette époque (en 1998) je me suis aussi fait voler un manteau avec mon portefeuille dans ma voiture en ayant été moins imprudent que ça.

@Knight_X: merci pour le commentaire. Je veux bien écrire des récits vécus mais il faudra les illustrer avec des extraits de vidéos d'Attila et de tes vidéos.
Les situations au cours desquelles je me sentais vraiment à l'aise était plus rares que ce qu’il n’y parait. C'était l'époque où le B2B n'avait pas de zones interdites à la circulation la nuit. Si des décisions ont été prises dans le sens de fermetures de certaines zones, c'est peut-être aussi parce qu'une certaine délinquance s'y développait autour de l'activité des trans.

Je pense vraiment que ce qui a pourri l'ambiance a été la première loi d'interdiction du racolage et même ce qui s'est passé avant. Sarkozy avait besoin d'envoyer la flicaille casser de la pute pour montrer que la police se préoccupait de la sécurité des français. Mais indépendamment de ça, il y avait aussi une délinquance opportuniste (principalement des pick-pockets) autour de tels rassemblements de trans, de clients et voyeurs. Malgré ces premières vagues de répression, il y a aussi eu des périodes fastes vers 2010 décrite par Nostrabéru (ce qui m’a étonné).

Quand il n'y a plus eu que l'ARM pour les trans la nuit, certains soirs, il y avait trop de trans. Quand je ne trouvais pas une trans que je connaissais, j'étais souvent déçu par la prestation avec une inconnue. Elles n'en avait rien à foutre. C'était la vieille règle de la putasserie: aguicher le client, le faire payer d'avance et s'en débarrasser au plus vite. Quand les trans redoublaient d’efforts pour racoler, on ne se sentait pas en sécurité. Le trafic auto sur l’ARM ou la zone du Pré Catelan était parfois bloqué par une trans en train de s’exhiber au milieu de la route; ça n’intéressait pas forcément tous les conducteurs, même les clients de trans. Dans les petites routes, si un groupe de trans se lançait dans une exhibition au milieu de la route, je ne me sentais des plus rassurés, d’autant qu’elles avaient parfois l’air bien défoncées (pas par les coups de b…).

Ce n’était pas non plus des plus agréable ni des plus faciles de trouver un coin tranquille quand la densité de trans dans le bois était trop élevée.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :@Nostrabéru : "code d'honneur" est peut-être un terme un peu fort. Disons qu'il s'agissait d'usage ou de règles de savoir vivre. J'avais entendu parler de scènes au cours desquelles voyeurs et clients se mélangeaient dans une partouze spontanée. Je pensais surtout que ça relevait de fantasmes de porno (il y a des pornos qui les mettent en scène). Personnellement, je ne me serais pas senti en sécurité avec des inconnus d'autant qu'à cette époque (en 1998) je me suis aussi fait voler un manteau avec mon portefeuille dans ma voiture en ayant été moins imprudent que ça. ée.

Pour clarifier les périodes et si ma mémoire m’est encore fidèle, je dois préciser que la plupart de mes récits publiés sur ce fil, en particulier ceux concernant Solange, racontent mes expériences au cours des années 90 ou au tout début des années 2000.
Il ne s’agit pas de fantasmes. Les scènes au cours desquelles voyeurs et clients se mélangeaient existaient réellement. Certaines étaient spontanées, d’autres plus ou moins provoquées, ou tout du moins encouragées, par la prostituée.

Ceux concernant Lily, Jennifer, Candy, Samantha ou Candy (cf. http://www.trans-girls.com/index.php?na ... ic&t=13053 ) rapportent des expériences plus récentes (milieu des années 2010).

Je remercie également Knigt_X pour son commentaire mais, pour ce qui me concerne, je doute que mes récits puissent intéresser un quelconque éditeur car il n’y a ni intrigue, ni suspense …
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Loin de moi l'idée qu'il s'agisse de fantasmes. Je dis simplement que les parties à plusieurs devaient être assez discrètes car on ne les voyait pas tous les jours. Je n'en ai jamais vu peut-être aussi parce que je me tenais à l'écart de certaines trans ou de s groupes de trans.

Ce qui m'a le plus étonné, ce sont des récit comme celui de Sandra : une vraie scène digne des années 1980 à la fin des années 2000 (alors que je n'allais presque plus au Bois), celui de Catherine avec un autre client vers 2015-2016 et celui avec Paola en juin 2016. Je n'avais pas été au Bois depuis 2011 et je n'imaginais pas de telles scènes possibles, d'autant que ça commençait à verbaliser méchamment (pour le second).


****************************************************************************************************************************


Toujours vers la fin des années 1990, je me mettais à préférer les trans. J'étais bien conscient que je ne les faisais pas jouir par pénétration anale mais je prenais du plaisir à les faire se tortiller et gémir en les empalant avec ma queue. Je ne me prend pas pour Rocco Siffredi mais je voyais bien que les trans étaient souvent admiratives au moment de me sucer. Je dirais simplement qu'étant un peu au dessus de la moyenne les trans aimaient jouer avec ma queue même si les séances de sodomie avaient quelque chose de légèrement SM les concernant. En tout cas, ça me faisait du bien pour mon égo (mal placé dirait une féministe ou un moralisateur) et ça me motivait.

Pour ma sécurité, j'évitais les trans qui tapinaient en groupe avec leur comportement de bande qui ne me rassurait pas. J'ai trouvé Henrietta (oui je sais à croire que la réflexion d'Elie Semoun sur le prénom périmé lui allait à merveille) en H6 à proximité de la RM10, en d’autres termes à proximité du feu après avoir tourné de l'ARM sur l'avenue de l'hippodrome en direction de Paris. Henrietta n'était ni belle ni moche, un peu trop grande pas assez bien roulée à mon goût, pas chaudasse mais pas prise de tête non plus et surtout pas dangereuse. C’était une carioca avec des cheveux noirs bien lisses et attachés en chignon, un corps «athlétique», des cuisses un peu grosses et un gros cul qu’elle cachait derrière son manteau épais. J’ai compris dès la première discussion qu’elle serait assez moyenne mais qu’elle était fiable.

Pour 200 FF, l’amour. On a suivi en voiture l’avenue de l’Hippodrôme direction Paris pour tourner dans la première impasse à droite (avenue de Saint Cloud). On se retrouvait souvent à 3/4 voitures sagement garées au bord de la route dans l’impasse. Ni Henrietta ni moi n’aimait se rapprocher des autres. C’était un bon compromis entre exhibitionnisme, voyeurisme et discrétion. On pouvait voir où en étaient les autres. On pouvait aussi voir les voitures passer sur l’avenue de l’Hippodrome mais c’était moins probables que les conducteurs ne nous voient sauf les nuits de pleine lune à condition de savoir où regarder (et encore pourvoir juste des voitures garées au loin).

Henrietta commençait par une pipe après m’avoir emballé avec un préservatif. Puis, elle se mettait en position. Dès la première fois, elle se livrait à un petit rituel. Quand j’avais le gland prêt à lui dilater son passage anal, elle se livrait à une prière en brésilien «Santa Maria, ...», ça devait dire un truc du style «donnez moi le courage de supporter cette épreuve» à moins qu’elle ne demandât pardon pour son pêcher. A partir de la deuxième rencontre, elle avait un geste «de recul» au moment où j’allais la pénétrer, en l’occurrence en avançant son bassin au maximum contre le dossier du fauteuil comme si elle s’enfuyait. Une fois calée contre le dossier, elle ne pouvait pas aller alors elle y avait droit. Quand je me retirais après avoir terminé, il lui arrivait de rester encore 2 secondes sans bouger. On se rhabillait et je la ramenais.

Je l’ai revue 2 ou 3 ans plus tard à la télé. Les journalistes étaient en pleine campagne de dénigrement de la prostitution en vue de la loi de Sarkozy pour interdire le racolage (et qui voulait aussi s’en prendre aux punters). Un client était interviewé dans sa voiture et se vantait de se taper toutes sortes de prostituées. La voiture passe sur l’ARM et tourne sur l’avenue de l’Hippodrome et on voit Henrietta floutée. Le mec se vante alors de se la taper parce qu’elle est soumise. P… ! Ne parlez pas aux journalistes. Ils retourneront vos propos contre la communauté des punters.

Henrietta, c'était le plan tranquille. J'avais l'impression d'en avoir bien pour mon argent. Le plus souvent, je voyais d'autres voitures arriver après nous et repartir avant. Elle n'était pas pressée. Elle semblait juste avoir un peu de mal à subir l'épreuve du pal.
valsaint
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Message par valsaint »

Nostrabéru a écrit :
Samutprakan a écrit :@Nostrabéru : "code d'honneur" est peut-être un terme un peu fort. Disons qu'il s'agissait d'usage ou de règles de savoir vivre. J'avais entendu parler de scènes au cours desquelles voyeurs et clients se mélangeaient dans une partouze spontanée. Je pensais surtout que ça relevait de fantasmes de porno (il y a des pornos qui les mettent en scène). Personnellement, je ne me serais pas senti en sécurité avec des inconnus d'autant qu'à cette époque (en 1998) je me suis aussi fait voler un manteau avec mon portefeuille dans ma voiture en ayant été moins imprudent que ça. ée.

Pour clarifier les périodes et si ma mémoire m’est encore fidèle, je dois préciser que la plupart de mes récits publiés sur ce fil, en particulier ceux concernant Solange, racontent mes expériences au cours des années 90 ou au tout début des années 2000.
Il ne s’agit pas de fantasmes. Les scènes au cours desquelles voyeurs et clients se mélangeaient existaient réellement. Certaines étaient spontanées, d’autres plus ou moins provoquées, ou tout du moins encouragées, par la prostituée.

Ceux concernant Lily, Jennifer, Candy, Samantha ou Candy (cf. http://www.trans-girls.com/index.php?na ... ic&t=13053 ) rapportent des expériences plus récentes (milieu des années 2010).

Je remercie également Knigt_X pour son commentaire mais, pour ce qui me concerne, je doute que mes récits puissent intéresser un quelconque éditeur car il n’y a ni intrigue, ni suspense …


pourquoi pas je vois même le titre "Anthologie du BDB"
il y a même un photographe qui poste des photos parfois
la mairie de Paris pour aider à la publication, cela ferait un peu de Pub pour la ville non??????
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ruben
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Message par ruben »

valsaint a écrit : pourquoi pas je vois même le titre "Anthologie du BDB"
il y a même un photographe qui poste des photos parfois
la mairie de Paris pour aider à la publication, cela ferait un peu de Pub pour la ville non??????
Oublie la mairie de Paris : elle est noyautée par les féministes et les lesbiennes anti-hommes et abolitionnistes, il n'y a que des coups à prendre et des mauvais prétextes à plus de pénalisation à leur donner.
Il y a un imposteur sur sexemodel qui usurpe mon identité : https://is.gd/LZDRzU
Ne pas croire ses commentaires, c'est un mac qui fait de la promo pour des arnaqueuses.
Voici mon vrai profil sexemodel : https://is.gd/xS7Ybj

Détesté par certains, copié par d'autres : la pathétique rançon du succès :grin: :grin: :grin:
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Message par valsaint »

ruben a écrit :
valsaint a écrit : pourquoi pas je vois même le titre "Anthologie du BDB"
il y a même un photographe qui poste des photos parfois
la mairie de Paris pour aider à la publication, cela ferait un peu de Pub pour la ville non??????
Oublie la mairie de Paris : elle est noyautée par les féministes et les lesbiennes anti-hommes et abolitionnistes, il n'y a que des coups à prendre et des mauvais prétextes à plus de pénalisation à leur donner.


il fallait le prendre pour une vanne , je me doute bien que la mairie de paris n'apprécierai pas ce genre d'Anthologie, tant qu'on y est Ruben pourquoi pas demander l'appui des Verts!!
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

valsaint a écrit :

pourquoi pas je vois même le titre "Anthologie du BDB"
il y a même un photographe qui poste des photos parfois
la mairie de Paris pour aider à la publication, cela ferait un peu de Pub pour la ville non??????

Je plaisantais bien évidemment !

Je connais bien sûr les super vidéos de Knigt_X et Attila, qui me rappellent aussi des souvenirs (bravo et merci à eux !), mais quel est ce photographe que vous évoquez ?
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Message par valsaint »

Nostrabéru a écrit :
valsaint a écrit :

pourquoi pas je vois même le titre "Anthologie du BDB"
il y a même un photographe qui poste des photos parfois
la mairie de Paris pour aider à la publication, cela ferait un peu de Pub pour la ville non??????

Je plaisantais bien évidemment !

Je connais bien sûr les super vidéos de Knigt_X et Attila, qui me rappellent aussi des souvenirs (bravo et merci à eux !), mais quel est ce photographe que vous évoquez ?

il me semble qu'avec des vidéos de Knigt il y avait aussi de bonnes photos pour "l'anthologie" lol
autrement elles restent à faire
perso je suis à 1000km, mais j'ai idée de m'entrainer, si l'on nous permet un jour (soir) de revoir les belles sur le tapin, de faire des photos sur la Prom ou plutôt la californie de nos belles
mais au bois cela doit pourvoir se faire et avec le mystère de la forêt en plus
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :
Toujours vers la fin des années 1990, je me mettais à préférer les trans. J'étais bien conscient que je ne les faisais pas jouir par pénétration anale mais je prenais du plaisir à les faire se tortiller et gémir en les empalant avec ma queue. Je ne me prend pas pour Rocco Siffredi mais je voyais bien que les trans étaient souvent admiratives au moment de me sucer. Je dirais simplement qu'étant un peu au dessus de la moyenne les trans aimaient jouer avec ma queue même si les séances de sodomie avaient quelque chose de légèrement SM les concernant. En tout cas, ça me faisait du bien pour mon égo (mal placé dirait une féministe ou un moralisateur) et ça me motivait.

Pour ma sécurité, j'évitais les trans qui tapinaient en groupe avec leur comportement de bande qui ne me rassurait pas. J'ai trouvé Henrietta (oui je sais à croire que la réflexion d'Elie Semoun sur le prénom périmé lui allait à merveille) en H6 à proximité de la RM10, en d’autres termes à proximité du feu après avoir tourné de l'ARM sur l'avenue de l'hippodrome en direction de Paris. Henrietta n'était ni belle ni moche, un peu trop grande pas assez bien roulée à mon goût, pas chaudasse mais pas prise de tête non plus et surtout pas dangereuse. C’était une carioca avec des cheveux noirs bien lisses et attachés en chignon, un corps «athlétique», des cuisses un peu grosses et un gros cul qu’elle cachait derrière son manteau épais. J’ai compris dès la première discussion qu’elle serait assez moyenne mais qu’elle était fiable.

Pour 200 FF, l’amour. On a suivi en voiture l’avenue de l’Hippodrôme direction Paris pour tourner dans la première impasse à droite (avenue de Saint Cloud). On se retrouvait souvent à 3/4 voitures sagement garées au bord de la route dans l’impasse. Ni Henrietta ni moi n’aimait se rapprocher des autres. C’était un bon compromis entre exhibitionnisme, voyeurisme et discrétion. On pouvait voir où en étaient les autres. On pouvait aussi voir les voitures passer sur l’avenue de l’Hippodrome mais c’était moins probables que les conducteurs ne nous voient sauf les nuits de pleine lune à condition de savoir où regarder (et encore pourvoir juste des voitures garées au loin).

Henrietta commençait par une pipe après m’avoir emballé avec un préservatif. Puis, elle se mettait en position. Dès la première fois, elle se livrait à un petit rituel. Quand j’avais le gland prêt à lui dilater son passage anal, elle se livrait à une prière en brésilien «Santa Maria, ...», ça devait dire un truc du style «donnez moi le courage de supporter cette épreuve» à moins qu’elle ne demandât pardon pour son pêcher. A partir de la deuxième rencontre, elle avait un geste «de recul» au moment où j’allais la pénétrer, en l’occurrence en avançant son bassin au maximum contre le dossier du fauteuil comme si elle s’enfuyait. Une fois calée contre le dossier, elle ne pouvait pas aller alors elle y avait droit. Quand je me retirais après avoir terminé, il lui arrivait de rester encore 2 secondes sans bouger. On se rhabillait et je la ramenais.

Je l’ai revue 2 ou 3 ans plus tard à la télé. Les journalistes étaient en pleine campagne de dénigrement de la prostitution en vue de la loi de Sarkozy pour interdire le racolage (et qui voulait aussi s’en prendre aux punters). Un client était interviewé dans sa voiture et se vantait de se taper toutes sortes de prostituées. La voiture passe sur l’ARM et tourne sur l’avenue de l’Hippodrome et on voit Henrietta floutée. Le mec se vante alors de se la taper parce qu’elle est soumise. P… ! Ne parlez pas aux journalistes. Ils retourneront vos propos contre la communauté des punters.

Henrietta, c'était le plan tranquille. J'avais l'impression d'en avoir bien pour mon argent. Le plus souvent, je voyais d'autres voitures arriver après nous et repartir avant. Elle n'était pas pressée. Elle semblait juste avoir un peu de mal à subir l'épreuve du pal.

Le prénom d’Henrietta me dit quelque mais pas plus que cela. A l’époque on pouvait se garer sur les trottoirs en H5 et H6 et il y avait des tentes dans les bois à droite et à gauche. Mais je crois me rappeler qu’il n’y avait que des filles.

L’avenue de St Cloud me rappelle ainsi des souvenirs.

Il y a bien longtemps c’est dans cette impasse que je me garais l’après-midi pour accéder au camp des latinas en coupant à travers bois. Cela me paraissait plus discret que de stationner Allée de la Reine Marguerite. La nuit, il y avait aussi de bons plans en s’enfonçant dans le bois au fond de l’impasse à gauche.

Pour en revenir aux transsexuelles, il y en avait une qui travaillait l’après-midi en voiture dans cette impasse. Il m’arrivait d’aller visiter son petit trou pour me changer des chattes très fréquentées des latinas du camp. Une fois qu’elle avait protégé l’habitacle de sa voiture avec un rideau noir pour nous cacher des regards, je la prenais d’une façon très particuliére. Elle s’asseyait normalement à la place du mort, reculait son siège au maximum et écartait les cuisses. Je devais alors me mettre à genoux pour l’enculer.

Je devais être bien jeune car je ne me vois pas refaire cela aujourd’hui ! Celle-ci, je m’en souviens, ni à cause de son cul ou de sa queue, ni à cause de ses talents, mais grâce à la position originale qu’elle m’imposait pour la baiser.
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MarechalTito
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Message par MarechalTito »

Nostrabéru a écrit : Une fois qu’elle avait protégé l’habitacle de sa voiture avec un rideau noir pour nous cacher des regards, je la prenais d’une façon très particuliére. Elle s’asseyait normalement à la place du mort, reculait son siège au maximum et écartait les cuisses. Je devais alors me mettre à genoux pour l’enculer.
Autrefois, j'ai aussi connu plusieurs fois cette pratique et cette position, mais je suis quasi persuadé que cela ne se pratique plus souvent: maintenant, nos amies sont organisées différemment, plus efficacement et plus confortablement en fourgon ou en monospace
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

MarechalTito a écrit :
Nostrabéru a écrit : Une fois qu’elle avait protégé l’habitacle de sa voiture avec un rideau noir pour nous cacher des regards, je la prenais d’une façon très particuliére. Elle s’asseyait normalement à la place du mort, reculait son siège au maximum et écartait les cuisses. Je devais alors me mettre à genoux pour l’enculer.
Autrefois, j'ai aussi connu plusieurs fois cette pratique et cette position, mais je suis quasi persuadé que cela ne se pratique plus souvent: maintenant, nos amies sont organisées différemment, plus efficacement et plus confortablement en fourgon ou en monospace
Les BMC n’ont pas encore remplacé toutes les berlines, plus discrètes ;)
Pour moi la pratique de ce type de position est cependant resté assez exceptionnelle. Je préférais passer sur la banquette arrière pour une bonne levrette …

Il existe aussi des BMC « bas de plafonds » qui imposent cette pratique comme l'espace de cette Candy que j’ai très brièvement évoquée dans un précédent message.

La première fois que j’ai rencontré Candy, c’était par un petit matin froid de novembre alors que je cherchais la bonne aventure du côté du Pré Catelan. Ce devait être en 2013 ou 2014. J’étais souvent passé sans m’arrêter devant son espace garé en épi sur un parking près du Lac intérieur. Quand on vient du chemin de ceinture du Lac Intérieur, celui-ci est situé en PC5 à quelques mètres à droite après avoir tourné pour emprunter la Route de la Grande Cascade.

Pourquoi ai-je ce matin-là, plutôt qu’un autre, cédé à la tentation de faire cette nouvelle rencontre ? Je ne m’en souviens plus ! Sans doute était-ce par lassitude ou par indisponibilité d’une de mes coquines habituelles. En tout cas, après un premier un début un peu froid, je ne fus pas déçu :D

Candy était une transsexuelle plutôt jolie et très professionnelle. Après s’être mise totalement nue, elle me prodigua une pipe si excitante que je dus l’arrêter pour pouvoir aussi profiter de son cul. Son corps était superbe. Elle se disait exclusivement passive mais, tandis qu'elle me suçait, elle accepta que je lui caresse son sexe. D’une taille très respectable celui-ci se mit à bander 8-)
Je lui demandai de se positionner en levrette. Elle se mit alors à genoux sur le plancher, le haut de son corps nu collé à plat sur la banquette de son BMC. Dans cette position, sa jolie croupe, soulignée par un tatouage en bas des reins, était un appel à la pénétration auquel je ne résistai pas longtemps. A genoux également :( , je la pénétrai doucement et commençai à la besogner. Elle accompagnait bien mes mouvements de va et vient en gémissant doucement. Mon plaisir éclata quand je me vidai enfin au fond de son cul :D
Elle me nettoya ensuite soigneusement en prenant son temps. Son hygiène était irréprochable et son espace très propre 8-) Le seul défaut était que ce dernier ne permettait pas de se tenir debout :(

Après cette première prestation inoubliable, je suis retourné souvent la baiser. J’alternais ainsi, dans cette même zone pleine de tentatrices, les rencontres très coquines avec Tatiana (quand je passais au bois avant 6 h 15 !), Sandy, Jennifer, Samantha et autres créatures qui peuplaient à l’époque ce carré magique du Pré Catelan. D’abord ce que j’appréciais chez elle, par rapport à ses collègues de tapin, c’est qu’elle commençait par se mettre totalement à poil avant de nettoyer ma queue avec une lingette pour me sucer. Je crois qu’elle suçait nature d’entrée et ne proposait la capote qu’en "option". Sa pipe est délicieuse et si excitante qu’il fallait avoir de la volonté pour l’arrêter si je voulais aussi profiter de son petit trou ;)

Candy recevait aussi l’après-midi, près de périphérique, à Aubervilliers. Peut-être exerce-t-elle toujours ?
Je fantasme encore sur ce tatouage au bas des reins qui soulignait sa croupe quand je pilonnais son cul en levrette ? Rien qu’à l’évoquer, j’ai envie d’y retourner ....
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :Loin de moi l'idée qu'il s'agisse de fantasmes. Je dis simplement que les parties à plusieurs devaient être assez discrètes car on ne les voyait pas tous les jours. Je n'en ai jamais vu peut-être aussi parce que je me tenais à l'écart de certaines trans ou de s groupes de trans.

Ce qui m'a le plus étonné, ce sont des récit comme celui de Sandra : une vraie scène digne des années 1980 à la fin des années 2000 (alors que je n'allais presque plus au Bois), celui de Catherine avec un autre client vers 2015-2016 et celui avec Paola en juin 2016. Je n'avais pas été au Bois depuis 2011 et je n'imaginais pas de telles scènes possibles, d'autant que ça commençait à verbaliser méchamment (pour le second).

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Même si je n’ai pas partouzé avec celle-ci, j’évoque ci-après une autre adepte des plans à plusieurs en plein air. Elle s’appelait Sacha et c’était, je crois, au début des années 2010. Certains, peut-être, s’en souviendront …

Sacha était une marcheuse, plus ou moins occasionnelle, qui levait ses clients entre le Pré Catelan et la route de la grande cascade. C’est au pied de la Croix Catelan que j’ai chargé Sacha la première fois. D’entrée elle m’avait proposé « la totale » pour le tarif syndical en vigueur dans cette zone. Habituellement je ne prenais jamais de prostituée dans ma voiture mais cette fois-ci j’avais accepté et elle était montée.

Sacha était sympathique, gouailleuse et surtout très dévergondée. En chemin elle me raconta comment elle s’était fait démonter toute la nuit dans une partouze privée dans le 16ième avant d’aller « se finir au bois ». J’aurais, d’après elle, eu de la chance de la rencontrer car elle n’était pas une habituée. Pour des raisons de sécurité, ou plutôt sans doute de conflit de territoires avec des collègues de tapin présentes plus régulièrement en ces lieux, elle me fit faire plusieurs fois le circuit Route de Suresnes/Chemin de ma Croix Catelan/Route de la Grande Cascade. Pendant ces tours de reconnaissance elle me raconta sa vie quotidienne de pute et ses aventures de jeunesse quand elle tapinait au Bois l’après-midi.

En fait, comme elle me l’expliquera plus tard, Sacha opérait sur deux spots principaux. Le premier se situait dans le bois en face des grilles au départ de l’Allée St Denis (48°51'47.6" N 2°15'11.6"E) où elle entrainait ensuite ses clients, le second à la Croix Catelan. Dans ce cas, elle les emmenait de préférence dans le parking du restaurant du Pré Catelan. Celui-ci était toujours ouvert le matin. Il y avait de la place et c’était tranquille. C’était un parking avec beaucoup de fourrés … Elle m’y a entrainé une ou deux fois. Je n’aimais pas cet endroit.

Mais, pour cette première fois, je me souviens qu’elle avait finalement opté pour le bois. Je m’étais donc garé devant les grilles du jardin et, après avoir traversé la Route de la Grande Cascade, nous fîmes quelques pas dans le sable de cette allée cavalière. Et c’est en lisière du bois que je l’ai baisée cette première fois.

Depuis le « coin tranquille » où elle m’avait entrainé, je pouvais apercevoir la route de la Grande Cascade et les voitures des punters qui y patrouillaient. Elle s’agenouilla et se jeta sur ma queue qu’elle voulut sucer sans préservatif :shock: Je refusai fermement et exigeai une capote. Elle sembla déçue mais sa pipe fût d’excellente facture :D :D La semaine précédente, un punter qui venait de la quitter et avec qui j’avais brièvement échangé, me l’avait d’ailleurs chaudement recommandée pour son savoir-faire dans ce domaine. Effectivement, Sacha suçait bien et acceptait la « gorge profonde ». Elle savait aussi vous lécher les couilles avec gourmandise. Après ces préliminaires il me fallait conclure en l’enculant car c’était cela que j’avais en tête depuis le début

Elle se releva, se retourna et pris la posture de la vache pour me présenter son cul. Elle n’eut pas à baisser sa petite culotte. En effet, elle ne portait qu’un collant en résille noire dont le fond était complétement, et sans doute volontairement, déchiré. Cela lui évitait d’avoir à le baisser à chaque fois qu’un punter voulait s’enfoncer dans son cul …. Elle avait un petit cul encore ferme pour son âge et un fion bien dilaté que je m’employai à limer vigoureusement, ce qui la fit gémir de plaisir. Peut-être faisait-elle semblant mais c’était tout de même très excitant et je pris rapidement mon pied :D :D

Sur le chemin du retour Sacha m’expliqua qu’elle aimait le sexe et que quand je l’avais abordée elle était très excitée par son précèdent client qui lui avait longuement léché l’anus et qu’elle avait adoré quand la langue de celui-ci l’avait profondément pénétrée. Je recommençais à bander :oops:
Elle me raconta aussi qu’elle était bisexuelle et qu’elle « faisait » aussi les couples. Parfois des clients venaient la voir avec leurs copines, affirma-t-elle. Une autre fois peut-être ....

En résumé Sacha était une bonne affaire. Ce n’était pas un canon de beauté mais elle était nature et surtout elle aimait le cul 8-) Elle était sans aucun tabou et acceptait tout, les pipes natures avec CIM mais aussi de se faire enculer sans capote. Mais, pour moi, c’était aussi là son défaut. Sacha aimait se faire remplir la chatte anale. Je sais qu’il y avait des punters qui venaient la voir pour cela mais ce n’était pas du tout mon truc. Même couvert, je n’aimais pas l’idée, qu’en la défonçant, je tassais peut-être le foutre des clients précédents :shock: :shock:

Enfin ses spots, bien connus des voyeurs, étaient devenus des baisodromes à ciel ouvert. Avec Sacha c’était souvent « Open Bar » ! On pouvait mater car cela ne la gênait pas et même cela l’excitait qu’on la regarde se faire prendre. Certains punters s’approchaient ainsi tout près, sortaient leur queue et se masturbaient sans aucune gêne en attendant que la place se libère ... Sa chatte anale était un vrai garage à bites et au bois cela se savait. Parfois elle renonçait même à ce que je la ramène en voiture pour satisfaire des mateurs impatients. Je me souviens ainsi d’une fois où, à peine étais-je rajusté, qu’un homme surgit de derrière un arbre proche. Sacha semblait le connaître. Sans aucune gêne celui-ci lui donna un billet, sortit son engin et l’encula sans aucun préliminaire. En m’éloignant, j’entendis Sacha lui crier en gémissant « Vas-y plus fort ! Ta grosse bite me fait du bien » …

Mais c’est pour des raisons, plus hygiéniques que morales, que mes rencontres matinales avec Sacha s’espacèrent, ce malgré tout le plaisir qu’elle savait me donner :( .
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Superbe anecdote. Et dire que je n'allais plus du tout au bois à partir de 2011.

Je vais faire un petit hors sujet en allant boulevard Bessière à côté de la porte de Clichy. J'avais l'habitude de chercher des fifilles sur la petite ceinture et je suis arrivé un soir dans ce lieu maléfique comme disait Renaud. Il y avait une trans au look gothique habillée d'un set de lingerie fait de lanière de simili cuir qui dessinaient une toile d'araignée sur son corps nu avec des cuissardes dont le haut était en latex. Le latex, ce n'est pas mon genre, mais c'était une chaudasse très professionnelle prête à s'adapter à toutes les situations et à prendre son pieds. Elle était capable de réveilelr tout l'immeuble depuis son appartement au rez de chaussée quand elle se faisait dilater l'anus dans son studio. Le prix d'une heure en appartement était à l'époque de 500 FF.

Porte de Clichy, si on tournait en direction du Périph' puis encore à droite, rue Saint just et rue Pierre Rebière, il y avait quelques spécimens monstrueux qui exhibaient des braquemards énormes dans le même style que celles qu'on trouvait en PC5. Ceux qui sont intéressés peuvent aller voir dans ce quartier s'il y a toujours du monde. J'ai jeté un oeil sur Google Earth, le boulevard a été complètement refait avec un terre plein pour le tramway. Je ne suis pas certain qu'il y ait encore des trans maintenant mais ceux qui sont intéressés peuvent aller voir.

Il m'arrivait de prendre des trans en stop au Bd Bessière et de les emmener au B2B. Je suis naturellement revenu au bois. La porte de Clichy a pourtant été une bonne alternative car j'estimais que la qualité baissait quand il y avait trop de trans au B2B.

Après ça, j'avais une régulière en RM2. C'était une tahitienne de 1m90 (sans chaussure) qui se promenait en hivers avec juste un haut de maillot de bain et des bottes. Je ne sais pas ce qui m'a pris de m'attacher à elle quelques temps. Elle était douce et féminine mais ça dénotait bien quand je marchait avec cette grande perche juchée sur des talons de plus de 10 cm. On allait dans son appartement du côté de Pigalle. Il fallait prendre le périph' et sortir à la porte de Clichy et remonter l'avenue de Clichy pour s'arrêter au milieu de la jungle parisienne des immeubles.

Elle avait l'air bien roulée de loin, c'est à dire que sa silhouette était belle et élancée mais elle était tellement grande que lorsque je la pénétrais en levrette, ça donnait l'impression d'un cul énorme devant moi. J'ai d'alleurs fini par me lasser d'elle. Un jour, je lui ai demandé comment elle faisait pour résister au froid par -10°c avec juste son haut de maillot et un foulard pour se couvrir les épaules. Elle m'a répondu "j'ai l'habitude". Finalement, j'ai repris les recherches dans les autres segments de l'ARM. J'aui un peu paillonné en passant d'une trans pas passionnante à une autre. Je n'en ai pas gardé de grand souvenir. Je me souviens d'un cas ramassé en RM6 et qui m'a demandé de pousser jusqu'en PC4. A l'endroit où la route du Pré Catelan était un peu sombre, il a fallu monter sur le trottoir et s'enfoncer dans le bois en voiture au milieu des arbres et des branches de plantes de toutes sortes. L'aventure eut pu être amusante si ça n'avait pas été une passe chrono et mécanique.

Quelques mois plus tard, la mairie à installé des plots en béton pour empêcher le franchissement des trottoirs pour aller dans le bois en voiture. ça devenait vraiment n'importe quoi.
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