Nostalgies du Bois

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Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit : J'ai encore quelques anecdotes un peu plus hard du B2B, mais ça restera en dessous des histoires de Nostrabéru.

J’ai effectivement sélectionné pour ce fil mes expériences les plus croustillantes qui sont aussi celles dont je me souviens le plus.

Ce n’était pas « mon quotidien » au bois, ponctué d’aventures très « classiques(*) » dont le récit n’aurait aucun intérêt.

(*) Repérages, sélections, fellations et sodomies …
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MarechalTito
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Message par MarechalTito »

ruben a écrit :Merci pour toutes vos infos, j'essayais juste de retrouver la yesica dont le lien d'Alexandre-Benoît était cassé.
La fameuse vénézuelienne dont Josip fait les louanges, effectivement je la "connais", elle me plaît bcp, ce n'est pas une jeunette mais elle est terrible. Je sais aussi qu'il y a une autre yesica, mais bon, je n'ai pas eu la patience de chercher plus loin, la seule fiche qui sortait suite à ma requête "Yesica" dans escortesexe était celle là. J'ai donc supposé que c'était elle.
Aucun souci Ruben, je me doute que tu as cru bien faire :wink: mais tu ne pouvais pas deviner qu'il ne s'est produit qu'un simple "conflit de génération" autour du prénom de Yesica.

Yesica (l'actuelle) est une trans excellente à TOUS points de vue: physiquement, sexuellement et moralement.
Passer un moment en sa compagnie n'est que du bonheur intégral et cela s'est vérifié à chacune de mes rencontres avec la belle, aussi bien au BDB du temps où elle s'appelait Francesca que dans son appartement.


Et puisque nous en sommes à parler de qualités humaines au dessus de la moyenne, je me permet de faire un petit aparté:

I had a dream: si une autorité suprême pouvait nous débarrasser de toutes ces trans à la moralité douteuse, et si toutes les trans pouvaient avoir la même mentalité que Yesica et de quelques autres (*), tous les punters que nous sommes nageraient perpétuellement dans le bonheur et nous ne lirions plus tous ces compte-rendus de rencontres désastreuses que nous lisons ici trop souvent.


* parmi ces quelques autres, que j'ai rencontrées une fois (minimum) et qui m'ont davantage marqué que les autres, je peux citer (dans le désordre):

Alice (celle de Montmagny), Nicolle, Gabryella, Anitta-Coîmbra, Thaïs Furakao, Victoria/Monica, Anita Marquez, Sasha, Samantha Asian, Fiorella, Marcella Marques, Flavia Santos, Aracelly, Kiara, Melissa, Esmeralda, Marcela Lima, Helen Paula Pocahontas, Maria/Penny, Linda (celle de Nîmes), Claudia Blonde, Roberta dite jolie blonde, Rebecca, Andrea (celle de Villeurbanne), liste bien évidemment non exhaustive, à chacun de la compléter ...

Avec toutes ces Trans que je viens d'évoquer, et naturellement sous réserve de ne pas se comporter comme des goujats, on se trouve "en lieu sûr", sans arnaque à redouter, comme dans un havre de paix où le sexe n'est plus que plaisir et bonheur, alors, Messieurs, faîtes votre (bon) choix !
Dernière modification par MarechalTito le 20 févr. 2021, 10:09, modifié 1 fois.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :
Je garde également des souvenirs mitigés de mes trios, une fois avec 2 filles et une autre fois avec 2 trans. Je dois dire qu'objectivement, j'étais loin d'avoir une chaudasse qui aurait cherché à "créer une synergie" en étant à 3. Pourtant, je n'ai aucun regret. Je crois qu'il vaut mieux assouvir certains fantasmes quitte à être blasé après coup en se disant que ce n'est pas si top que ça.
Pour ma part, comme en témoignent mes différents récits sur ce site, les plans à trois (ou plus ...) m’ont parfois surpris, mais rarement déçu.

Au bois, j’ai autant pratiqué les plans à trois avec une fille, le plus souvent au camp des latinas(*), que les partouzes avec une transsexuelle, en plein air (Solange, Jennifer, Sandra…) ou en BMC (Lily, Jennifer, Catherine, « Salope »,… ). Mais, dans tous les cas, il s’agissait d’une fille, ou d’une transsexuelle, qui s’offrait à plusieurs clients. Je n’ai jamais expérimenté un trio avec deux filles ou deux transsexuelles.

Il me reste encore des choses à découvrir … Aurais-tu une recommandation pour une expérience avec deux transsexuelles ou deux filles ?

(*) Pour ceux qui connaissent, Violetta, Rosie ou Carmela étaient des habituées de ce type de pratiques …
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Pmcfly
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Message par Pmcfly »

@Nostrabéru Ton récit sur cette fameuse clairière vers RM7 a réveillé mes souvenirs même si je n'ai jamais croisé cette Solange dont tu parles je me rappelle avoir déjà errer vers cet endroit dans les années 90.

A l'époque, il m'arrivait de rester au bois de 23h jusqu'au petit matin. Je partais quand le jour pointait le bout de son nez.

Une fois, peu avant 7h vers RM7, j'avais affaire avec une certaine Dyana brune aux cheveux longs et de taille moyenne. Elle m'avait fait spontanément un tarif préférentiel et je l'avais culbuté derrière un arbre sous le regard de voyeurs.

Ensuite elle m'avait proposé de l'emmener elle et sa copine au palace ou il y avait un after.

Arrivés sur place, me voilà à faire la queue avec ma dernière conquête au milieu d'autres trans. J'y reconnaissais bien sûr énormément de belles que j'avais l'habitude de croiser au bois.

Une fois à l'interieur c'était un peu fou de voir toutes ces trans réunies à 8h du matin pour faire la fête. Je suis resté à peu près une heure, abandonnant lâchement cette Dyana.

Je venais d'arriver sur Paris et de découvrir le 3ème sexe, cette expérience était un peu tout much pour moi.

Bien des années plus tard, une autre belle m'emmena jusqu'au Banana café. cette fois ci, l'expèrience fût plus complète 😉.
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

@Pmcfly : bravo pour ton joli coup. Je dirais presque que ça me rend jaloux ou alors que tu a eu la chance du débutant. Non, en fait je rage de ne pas y être arrivé parce qu'à une époque, il m'est arrivé de trainer de 23 heures jusqu'au petit matin et d'essayer de ramener une trans chez elle.


@Nostrabéru mes plans à 3 ont été réalisés à l'étranger. Celui avec 2 filles s'est fait bizarrement. J'avais une régulière qui avait un super beau cul et je lui ai dit qu'elle avait un cul à sodomiser. Un jour, elle m'a présenté sa copine et elles ont arrangé une nuit dans un hôtel où on ne serait pas emmerdés. En fait de plan à 3, il y en avait une dans la salle de bain pendant que l'autre se faisait baiser, puis elles ont inversé les rôles. Ces filles venaient d'un ghetto de pauvres. Mais pas question de faire des figures à 3.

Après les avoir tirées toutes les deux, elles ont voulu dormir, une de chaque côté. Pendant que ma régulière dormait, sa copine m'a réveillé pour me demander une sodo. Le lendemain, ma régulière m'a demandé si j'avais apprécié la sodo offerte par sa copine. J'ai alors compris le malentendu. Elle m'avait mis avec elle parce qu'elle pensait que j'aimais sodomiser les filles. Je ne donnerai pas plus de détail vu le tollé que ça avait causé sur escortfr à l'époque où j'avais posté une EV.
Dire qu'au départ j'avais eu peur qu'elle me fassent un numéro de lesbiennes qui se seraient pelotées et m'auraient ignorées. J'ai même essayé de les pousser à me faire ce numéro mais elles y étaient complètement réfractaires.


***

Concernant les trans, ça s'est passé à Kuala Lumpur. Le choix était un peu limité et je ne connaissais pas encore certaines possibilités dans la ville. Ce jour là, j'ai décidé de retourner voir une jeune philippine assez belle mais pas un super plan. Elle était occupée à tchatter avec ses copines dans son hôtel. Au dernier moment, elle m'a proposé un plan à 3 avec une de ses copines.
ça les a bien arrangées car j'avais affaire à 2 feignasses de la baise. ça a commencé de manière un peu mécanique. Le petite mignonne demandait à sa copine de me sucer pendant qu'elle me caressait la tête et me roulait une galoche de temps en temps. Il n'y a avait rien de spontané, rien de coordonné. La petite avait tenté le coup pour donner un client à sa copine qui n'en avait pas eu ou qui débutait.
Puis au moment de la pénétrer, sa copine a quitté la scène. La miss que j'avais déjà tirée 10 jours avant m'a vraiment déçu. Elle n'a pas supporté plus de 5 minutes et sa copine s'était barrée dans une autre chambre avec d'autres trans pour taper la causette. Je ne dis pas qu'un plan à 3 n'est pas possible. Mon fantasme aurait été une fille avec un ladyboy bi mais il vaut peut-être mieux s'assurer que les 2 partenaires savent faire et aient envie d'y prendre leur pieds.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :.
« Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » :?:
C’est, intrigué par ces étranges bruits, qu’un soir d’été des années 80, je pénétrai dans le bois.

« Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » :?:
A quelques encablures de l’allée qui longe l’Allée de la Reine Marguerite, un punter, le pantalon sur les chevilles, besognait une transsexuelle appuyée contre un arbre. A chacun de ses coups de reins rapides et violents, son bassin frappait les grosses fesses molles de la pute. Le bois alentour résonnait de ces « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » provoqués par ce fougueux pilonnage.
Je venais de trouver l’explication de ces claquements bizarres mais je n’étais pas au bout de mes surprises .... ;)

Le punter me fit signe d’approcher. Coincée entre RM2 et BMC2, la zone du bois où se déroulait l’action, n’était pas aussi bien entretenue qu’aujourd’hui et permettait de discrètes exhibitions. Je m’approchai donc.
La pute n’était ni jeune, ni jolie. Avec son gros cul, son sexe mou pendant entre ses cuisses grasses et son visage bouffi outrageusement maquillé, elle était même effroyablement vulgaire :oops: :oops:
C’était une véritable caricature des créatures fantasmagoriques que Fellini mettaient en scène dans des films comme Armacord ou Fellini Roma … Mais je n’étais pas au cinéma !!
Le punter me lança « Tu veux en profiter aussi ? Elle est bien chaude ! ». J’étais décontenancé :o :shock:
J’étais alors tout nouveau au bois. C’était bien avant Solange et toutes les autres coquines qui m’en feront, quelques années plus tard, découvrir tous les charmes cachés. Je ne suis suis plus très sûr, mais je crois que cette première fois, peu rassuré, je m’éloignai sans consommer :(

Pourquoi revins-je à nouveau sur ces mêmes lieux aux mêmes heures ? Curiosité malsaine ou fantasme Fellinien :?:
Toujours est-il qu’un soir de vadrouille, je rencontrai le même punter sur le même spot. Il était sympathique, sans doute un peu mytho quand il m’affirma que sa femme était commissaire de police et qu’il ne lui cachait rien de ses activités nocturnes, mais qui ne s’invente pas une autre vie quand il est en chasse au bois :?:
Il m’invita à l’accompagner dans sa recherche de celle qui semblait être pour lui un plan cul régulier. Nous traversâmes ensemble le sous-bois qui monte de RM2 à BMC2. C’était le baisodrome attitré des tapineuses de ces deux spots. Nous y croisâmes « sa régulière » qui redescendait vers la route. A en juger par les traces de rouge à lèvres qu’elle avait sur tout le visage, sa bouche n'avait pas dû restée inactive sur la queue du client précédent ;)

Elle reconnut mon compagnon. Après un échange un peu compliqué car elle avait un accent qui la rendait peu compréhensible, elle accepta de nous « prendre » tous les deux et rebroussa chemin vers « son » arbre. Dans cette zone chaque pute avait « son » arbre.

Avec sa bouche elle nous enfila une capote à chacun et commença à nous sucer, l’un après l’autre d'abord puis les deux en même temps. Pour moi c’était la première fois :o
Ensuite nous l’avons prise à tour de rôle … « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » ;)
Elle avait l’anus complétement éclaté, un vrai garage à bites. Elle ne devait pas sentir grand-chose car, pendant que je l’enculais, elle papotait en portugais (?) avec sa copine de l’arbre d’à côté, elle aussi en train de se faire défoncer. Bonjour l’ambiance :oops:

Malgré tout, j’ai dû renouveler l’expérience une autre fois, peut-être fasciné par son côté glauque ...
La dernière fois elle m’avait laissé un petit souvenir un peu gênant sous la forme de larges traces de rouges à lèvres sur mon slip :oops: :oops:
Ce fut mon dernier « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » avec cette créature !
valsaint
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flouf

Message par valsaint »

Nostrabéru a écrit :
Samutprakan a écrit :.
« Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » :?:
C’est, intrigué par ces étranges bruits, qu’un soir d’été des années 80, je pénétrai dans le bois.

« Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » :?:
A quelques encablures de l’allée qui longe l’Allée de la Reine Marguerite, un punter, le pantalon sur les chevilles, besognait une transsexuelle appuyée contre un arbre. A chacun de ses coups de reins rapides et violents, son bassin frappait les grosses fesses molles de la pute. Le bois alentour résonnait de ces « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » provoqués par ce fougueux pilonnage.
Je venais de trouver l’explication de ces claquements bizarres mais je n’étais pas au bout de mes surprises .... ;)

Le punter me fit signe d’approcher. Coincée entre RM2 et BMC2, la zone du bois où se déroulait l’action, n’était pas aussi bien entretenue qu’aujourd’hui et permettait de discrètes exhibitions. Je m’approchai donc.
La pute n’était ni jeune, ni jolie. Avec son gros cul, son sexe mou pendant entre ses cuisses grasses et son visage bouffi outrageusement maquillé, elle était même effroyablement vulgaire :oops: :oops:
C’était une véritable caricature des créatures fantasmagoriques que Fellini mettaient en scène dans des films comme Armacord ou Fellini Roma … Mais je n’étais pas au cinéma !!
Le punter me lança « Tu veux en profiter aussi ? Elle est bien chaude ! ». J’étais décontenancé :o :shock:
J’étais alors tout nouveau au bois. C’était bien avant Solange et toutes les autres coquines qui m’en feront, quelques années plus tard, découvrir tous les charmes cachés. Je ne suis suis plus très sûr, mais je crois que cette première fois, peu rassuré, je m’éloignai sans consommer :(

Pourquoi revins-je à nouveau sur ces mêmes lieux aux mêmes heures ? Curiosité malsaine ou fantasme Fellinien :?:
Toujours est-il qu’un soir de vadrouille, je rencontrai le même punter sur le même spot. Il était sympathique, sans doute un peu mytho quand il m’affirma que sa femme était commissaire de police et qu’il ne lui cachait rien de ses activités nocturnes, mais qui ne s’invente pas une autre vie quand il est en chasse au bois :?:
Il m’invita à l’accompagner dans sa recherche de celle qui semblait être pour lui un plan cul régulier. Nous traversâmes ensemble le sous-bois qui monte de RM2 à BMC2. C’était le baisodrome attitré des tapineuses de ces deux spots. Nous y croisâmes « sa régulière » qui redescendait vers la route. A en juger par les traces de rouge à lèvres qu’elle avait sur tout le visage, sa bouche n'avait pas dû restée inactive sur la queue du client précédent ;)

Elle reconnut mon compagnon. Après un échange un peu compliqué car elle avait un accent qui la rendait peu compréhensible, elle accepta de nous « prendre » tous les deux et rebroussa chemin vers « son » arbre. Dans cette zone chaque pute avait « son » arbre.

Avec sa bouche elle nous enfila une capote à chacun et commença à nous sucer, l’un après l’autre d'abord puis les deux en même temps. Pour moi c’était la première fois :o
Ensuite nous l’avons prise à tour de rôle … « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » ;)
Elle avait l’anus complétement éclaté, un vrai garage à bites. Elle ne devait pas sentir grand-chose car, pendant que je l’enculais, elle papotait en portugais (?) avec sa copine de l’arbre d’à côté, elle aussi en train de se faire défoncer. Bonjour l’ambiance :oops:

Malgré tout, j’ai dû renouveler l’expérience une autre fois, peut-être fasciné par son côté glauque ...
La dernière fois elle m’avait laissé un petit souvenir un peu gênant sous la forme de larges traces de rouges à lèvres sur mon slip :oops: :oops:
Ce fut mon dernier « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » avec cette créature !


Merveilleuse composition de français Nostra,
d'évidence tu es un littéraire, et quand cela te sert pour narrer des aventures cocasses de trans que tout le monde ne pratique comme nous, c'est même enchanteur, surtout pour ceux qui comme moi vivent très loin de ce au lieu de la débauche!!!
continue à nous régaler de tes aventures
merci à toi
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Moi aussi j'adore cette dernière EV. :D C'était chaud dans les années 80. Je suis encore plus jaloux. Grrr !


Pour répondre à un commentaire ci-dessus, j'ai choisi de vous raconter mes 2 rencontres avec Eunice. Je lui ai donné ce nom parce que c'est plus pratique de l'appeler par un prénom, mais elle ne s'appelait pas Eunice. Je me suis juste creusé pour trouver un pseudo qui ne fasse pas d'homonymie avec une escort de sexemodel ou je ne ne sais quoi et avec laquelle on viendrait me séca les yeucoux avec en plus des sous-entendus déplaisants.

J'ai vu Eunice pour la première fois en RM6 ou RM4. Je lui ai demandé ses prix et j'ai eu du mal à la comprendre mais ur le coup, ça m'a paru clair. je l'ai emmenée pour une pipe en voiture. Son coin était le parking mentionné en page 3 au bord de la Seine; Arrivé là-bas, gros moment de solitude. Elle en faisait pas la pipe. Elle faisait "la pipe et l'amour" et encore la pipe juste pour s'assurer que le mec bande. A ce moment, j'ai flairé une embrouille alors j'ai tout annulé et j'ai repris la direction du bois. J'étais furieux parce qu'il se faisait tard et que je n'aurais plus le temps d'en trouver une autre.

Eunice aussi était furieuse, furieuse au point que la situation m'a échappé. J'ai vu le coup où il faudrait se battre, qu'elle allait casser un truc dans la bagnole, ça llait mal tourner etc ... Elle ne voulait passer pour une arnaqueuse et a insisté (c'est le moins qu'on puisse dire) pour me sucer pour 200 FF ou 30 €. J'ai cédé mais elle n'a pas voulu que je retourne au parking et on a fait ça sous les fenêtres d'un immeuble sur le chemin du retour. Personnellement, je n'avais plus la tête à ça.
Quand elle a eu terminé, elle a jeté un silence glaciale et je l'ai posée à son spot.

Fin du 1er acte.

J'ai oublié Eunice et j'ai rencontré d'autres trans au bois. Je n'arrive pas à dater ce 1er acte, mais peut-être était-ce avant l'époque d'Henrietta ou avant Yesica ou Valeria (dont je n'ai pas encore parlé).

Quelques mois ou 1 ou 2 ans plus tard, je passe une soirée à chasser au bois. Selon ce que j'aurais à faire le lendemain, j'essayais de me fixer une heure de départ à respecter. Cette heure approchait, je n'avais rien trouvé de motivant et j'allais rentrer brocouille quand j'ai vu en RM2 une jolie trans blonde, habillée de manière assez soignée avec un jeans blanc, une chemise rouge à rayures et ce même air désabusé et méprisant. C'était Eunice et j'ai décidé d'aller la taquiner. J'avais envie d'aller lui coller un coup de pieds au cul même si je savais que je n'oserais pas de peur de me prendre une bagarre avec ses copines.

Je m'arrête et je la laisse parler. Cette fois-ci l'offre était calaire et sans ambiguïté : 30 € la totale en voiture et elle ne m'avait pas reconnu. Au lieu d'aller au bord de la Seine, elle m'a emmené dans Boulogne. On fait un premier spot mais c'était occupé, puis un deuxième mais il y avait une voiture qui attendait avant d'aller prendre le spot. J'en profitais pour observer Eunice. Elle était assez belle, et devait se faire faire des injections de botox ce qui lui donnait un air pas réveillé à toujours fermer les yeux à moitié. Elle donnait aussi l'impression de mépriser le monde autour d'elle. On a galéré à tourner et on était sur le point d'abandonner quand on a trouvé une place libre dans une rue, quasiment sous un lampadaire mais située de telle manière que nous n'étions pas éclairés. Vu l'heure on a escompté qu'il ne passerait pas de voiture.

J'ai failli lui parler la fois précédente pendant qu'elle me suçait puis j'ai décidé d'attendre ou de la fermer. Puis on a baissé le dossier du siège passager et Eunice s'est mise ne levrette avec une allure assez soumise. Après quelques va et vient dans ses reins, j'ai décidé de me venger à coup de gourdins. Alors je l'ai défoncée comme dans les films porno, sans pitié pour elle et sans tenir compte de ses râles. Quand je fatiguais, je restais planté dans son cul et je regardais qu'aucun passant n'arrive ou qu'aucunne voiture ne déboule dans la rue, puis je reprenais de plus belle. Au bout d'un moment, il apparaissait que les râles d'Eunice n'exprimait pas une plainte mais une douleur mêlée de satisfaction. Alors je lui a flanqué sa correction à coup de gourdin jusqu'au bout. Et j'ai bien pris mon pieds.

Quand j'ai terminé, je me suis méfié "du coup de griffe de la lionne" après m'être retiré mais il n'en a rien été. Eunice avait toujours ce même air distant mais elle m'a dit qu'elle était fatiguée et qu'elle avait mal au cul. Elle a pris son temps pour se rhabiller et m'a gratifié de 20 minutes de social time. Elle était pleine d'humilité et me racontait qu'elle était une vieille trans. C'est vrai qu'elle était un peu plus âgée que celles dont j'appréciais la chair fraiche d'ordinaire mais elle ne me donnait pas non plus l'impression d'être vieille et elle restait bien gaulée.

Je l'ai reposée en RM2 et pour conclure notre rencontre, elle a tenu à m'embrasser avant de descendre de la voiture. Normal, je me suis comporté en bon chrétien avec elle et comme le disait le slogan des nuls sur Canal+ à l'époque "le bonheur, c'est simple comme un coup de pine" et si 1 ne suffit, mettez en quelques uns de plus. :grin:

Eunice est ensuite partie à Barcelone et j'ai vu son profil dans Distintas ou Taiakshemale.

Quand je lis qu'il faudrait une autorité suprême qui pourrait nous débarrasser de toutes ces trans à la moralité douteuse, je cris à l'hérésie. Personne n'est pur, personne n'est parfait, on ne sait pas toujours pourquoi ça cloche certains jours et pourquoi ça s'est bien passé le jour où j'ai pris le risque de me jeter dans la gueule du loup. J'ai vu 2 visages à Eunice et je ne comprends toujours pas l'embrouille la première fois. Je me méfie énormément de cette idée selon laquelle nous devrions avoir un jugement définitif sur une seule rencontre. Je n’apprécie pas non plus les sous entendus par contraste sur cette Yesica que j’aimais revoir. Même s’il y a peu de chances, si ça se trouve, c’est la même.
Nostrabéru
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Re: flouf

Message par Nostrabéru »

valsaint a écrit :
Nostrabéru a écrit :
Samutprakan a écrit :
Ce fut mon dernier « Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf Flouf-Flouf » avec cette créature !
Merveilleuse composition de français Nostra,
d'évidence tu es un littéraire, et quand cela te sert pour narrer des aventures cocasses de trans que tout le monde ne pratique comme nous, c'est même enchanteur, surtout pour ceux qui comme moi vivent très loin de ce au lieu de la débauche!!!
continue à nous régaler de tes aventures
merci à toi
Merci Valsaint de ton indulgence pour mes récits. Adolescent, j’étais effectivement plutôt littéraire ;)
Des études, puis une carrière, scientifiques m’ont sans doute un peu frustré pour que, l’âge venant, je trouve du plaisir à jeter ici en pâture à des internautes libertins quelques chroniques de mes turpitudes passées.

Sur ce fil, les souvenirs des uns et des autres nous aident à supporter cette période où un diabolique petit virus nous prive des plaisirs de la vie.
J’espère y contribuer un peu.

Hier, j’ai eu une pensée particulière pour toi, quand ont été annoncées les nouvelles restrictions sur Nice. Ce doit être une torture de voir les beaux jours et les coquines ;) arriver sur la Promenade des anglais, devenue aujourd'hui celle du variant anglais :( , sans pouvoir en profiter :cry:
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Message par valsaint »

salut ami, c'est par une personne rencontré dans mon village(à 25km de nice) que j'ai appris la nouvelle ne regardant plus la tv depuis un certain temps
perso cela ne me dérange pas ne descendant que rarement à Nice
c'est plutôt le couvre feu qui me pose problème car une ou deux fois par mois j'aimais bien traquer la gueuse sur la prom!! enfi je fais sans
et comme pour visiter une belle vue sur un site c'est toujours avant 18h et que là aussi je prèfère le soir pour ces fantaisies donc depuis le mois d'octobre
CEINTURE
je conjugue donc le verbe Attendre à tout les temps......
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Samutprakan
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Re: flouf

Message par Samutprakan »

Nostrabéru a écrit :
Merci Valsaint de ton indulgence pour mes récits. ...

Sur ce fil, les souvenirs des uns et des autres nous aident à supporter cette période où un diabolique petit virus nous prive des plaisirs de la vie.
J’espère y contribuer un peu.
Ce n'est pas de l'indulgence. J'aime tes récits moi aussi. Il n'y a pas que la qualité littéraire, il y a aussi le niveau de performance de tes histoires. Comme je l'ai dit plus haut, je n'ai jamais vu de plan à 3 ou plus dans les bois, et ça me rend carrément jaloux. Je suis sur le cul de savoir que la bonne ambiance a repris entre 2010 et 2015.

J'avais lancé cette discussion dans l'espoir que ça aide à supporter nos restrictions actuelles et j'espérais quelques anecdotes croustillantes; je ne m'attendais pas à tant.

@Valsaint : t'étais parti où ? Tu es allé pêcher les loups blancs avec une canne à pêche ? :grin:
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit : Pour répondre à un commentaire ci-dessus, j'ai choisi de vous raconter mes 2 rencontres avec Eunice.

......

Puis on a baissé le dossier du siège passager et Eunice s'est mise ne levrette avec une allure assez soumise. Après quelques va et vient dans ses reins, j'ai décidé de me venger à coup de gourdins. Alors je l'ai défoncée comme dans les films porno, sans pitié pour elle et sans tenir compte de ses râles.

.......

J'ai vu 2 visages à Eunice et je ne comprends toujours pas l'embrouille la première fois. Je me méfie énormément de cette idée selon laquelle nous devrions avoir un jugement définitif sur une seule rencontre. Je n’apprécie pas non plus les sous entendus par contraste sur cette Yesica que j’aimais revoir. Même s’il y a peu de chances, si ça se trouve, c’est la même.
Merci Samutprakan pour ce récit instructif.

Ta pièce en deux actes m’a rappelé quelques souvenirs et inspiré quelques réflexions.

La première est que faire monter une pute dans sa voiture est, quand on n’est pas un de ses michetons habituels, toujours un exercice risqué. Une fois à bord, celle-ci peut essayer de négocier des « avenants au contrat », provoquer une embrouille inattendue, voire visiter ta boîte à gants …
En cas de problème, il est plus facile de quitter un spot dans les bois que de faire descendre la belle de ton véhicule. Cela pourra te paraître bizarre mais personnellement, au moins pour une première fois, je me suis toujours senti plus en sécurité dans le bois.

Ensuite, ton aventure avec Eunice illustre parfaitement l’erreur qu’il y aurait à porter un jugement définitif sur la base d’une première rencontre. Comme je l’évoquerai un peu plus loin, nos amies exercent un métier difficile et, certains jours, elles peuvent ne pas être en forme, au sens figuré comme au sens propre ;) ;)
Un précédent client insupportable, un chiffre d’affaires en baisse ou des problèmes personnels peuvent affecter la qualité d’une prestation.
Même si on ne voit que son cul, baiser une transsexuelle qui fait la gueule n’est pas très excitant, mais peut-être que, la fois suivante, tu la trouveras au top :D :D
En ces temps anciens où les réseaux sociaux n’existaient pas encore, j’aimais échanger les bons plans du bois avec les punters. Même si beaucoup s’enfuyaient quand je leur adressais la parole, certains ne dédaignaient pas bavarder un peu et donner des conseils. Ce n’était pas aussi exhaustif que le véritable «Guide du queutard » qu’internet est devenu aujourd’hui, mais cela m’a sans doute permis d’éviter certaines rencontres qui m’avaient été déconseillées 8-)

Enfin, ta vengeance « à coups de gourdins » et le « mal au cul » d’Eunice qui en résulta, m’interpelle sur un sujet qui m’a parfois culpabilisé.
J’ai, en effet, toujours été fasciné par l’endurance des créatures du bois à cet endroit essentiel pour leur business ;)
Combien n’en n’avons-nous pas aperçues sortir des fourrés en claudiquant et se repositionner immédiatement au bord de la route pour attendre le prochain punter qui leur exploserait à nouveau le cul ?
Certes, il y en avait certaines, comme la vieille pute évoquée dans mon précédent récit, que leur béance anale mettait à l’abri des douleurs, mais comment faisaient toutes celles dont le fion étroit voyait défiler toute la nuit des queues de tous calibres :?:
Enduraient-elles en silence leurs souffrances ou refusaient-elles les clients « hors normes » :?:
Etant doté d’une anatomie « normale », j’ai rarement été confronté à une transsexuelle se plaignant de mes assauts sodomites. Mais peut-être souffraient-elles en silence ou peut-être ai-je oublié :?:

Je me souviens pourtant d’une magnifique transsexuelle de couleur qui officiait dans les années 90 en RM7, juste en face du camp des latinas, et qui ne cachait pas ses souffrances. Elle arrivait vers 17 heures avec les filles du camp et traversait la route pour installer sa tente avec les autres transsexuelles. Rosie, une habituée du camp des latinas, m’avait dit plusieurs fois que c’était son frère … La couleur blanche des petites fesses de Rosie n’ayant absolument rien à voir avec le corps noir ébène de cette transsexuelle, j’en avais déduit qu’il s’agissait sans doute de la part de Rosie d’une plaisanterie pour me faire comprendre qu’elle n’ignorait rien de mes fréquentations de l’autre côté de la route ;)
Je ne faisais pas partie des nombreux punters qui rencontraient cette jolie black pour profiter de son membre avantageux, mais de ceux qui étaient fascinés par son petit cul. Un petit cul dont l'entrée en était si serrée que certains jours on entendait la jolie black gémir dans sa tente à chaque coup de reins qu’un punter lui infligeait. Ces jours-là je renonçais ou me contentais d’une pipe :(

Il me revient également en mémoire d'avoir été très mal à l’aise lors d’une passe avec LiLy, ce jour où j’avais cru la voir cacher sa souffrance (cf. le PS de mon message du 17/12 en page 3 du fil « Lily, Jennifer, Samantha, Candy » ) :oops: :oops:

Plus récemment, au début des années 2010, je me souviens d’un plan à trois au Pré Catelan où je me suis retrouvé, avec un autre punter, à besogner au petit matin une transsexuelle contre un arbre.
Pendant qu’il se faisait sucer, j’avais été impressionné par la taille de la queue de mon « compagnon de jeux » :o :o
La transsexuelle m’avait alors demandé de la sodomiser en premier pour, disait-elle, bien la « préparer » à recevoir son « gros truc ». Et quand ce fut au tour de mon compagnon de la pénétrer, elle lui demanda « d’y aller très doucement et de ne pas « la rentrer en entier ». Mais celui-ci ne l’écouta pas.
D’un violent coup de reins il enfonça son énorme membre jusqu’à la garde et commença à aller et venir en elle :shock:
La fille hurla de douleur :shock: :shock:
En plein bois à cinq heures du matin, ses cris faisaient froid dans le dos. On se serait cru dans un film d’épouvante :oops:
J’ai dû intervenir pour stopper cette horreur. Arguant qu’il avait payé, l’homme refusa d’abord de s’arrêter. Finalement, plus à cause des cris que grâce à mon intervention, il renonça et jouit en se branlant. Je regagnai ma voiture et vit la transsexuelle ressortir seule du bois en boitillant.
J’ai ressenti ce jour-là un tel sentiment de culpabilité que je suis repassé le lendemain, seulement pour prendre de ses nouvelles.

Mon récit d’aujourd’hui n’est pas aussi léger que d’habitude. Peut-être n’est-il finalement qu’une invitation à réfléchir sur la vie de nos amies du bois, aux risques qu’elles prenaient et aux souffrances qu’elles devaient parfois endurer :?:
Désolé, j’essaierai d’être plus gai la prochaine fois …

« Le sentiment de culpabilité et la mauvaise conscience sont les deux traits majeurs de la morale d'esclave » Nietzsche
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Personnellement, je n'avais pas ce genre de scrupules et surtout pas à cette époque pour plusieurs raisons.
La première, c'est que je m'adaptais malgré tout à la réaction de la personne à qui j'avais affaire. Il y a tout de même un échange de feeling lorsqu'on baise, sinon on ne baiserait pas. Quand je me plantais jusqu'à la garde avec Henrietta, c'était pour m'assurer qu'elle n'irait pas plus loin. Quand j'avais l'impression de défoncer Yessica, j'y allais pourtant doucement. Mais elle était tellement féminine que j'avais des éjaculations explosives qui l'effrayaient. Pour "Eunice", je n'ai pas eu de vergogne. Je me suis vengé insidieusement. Ce qui m'a le plus étonné, c'est justement qu'elle a eu l'air d'apprécier. J'ai encore une ou deux anecdotes de trans que j'ai "défoncées" en y allant un peu fort, mais je parle surtout de celles qui m'ont marqué.

J'ai commencé assez timidement mais je me rendais compte que les trans semblaient apprécier ma bite, ce qui n'était pas le cas des filles, du coup, j'ai basculé petit à petit sur les trans. C'est ce qui caractérise cette période me concernant. Plus d'une dénnie plus tard, j'ai eu baisé des thaïlandaises que j'ai vu se faire déchirer dans des vidéos pornos et qui avaient pourtant l'air plus fragiles et surtout plus pressées de terminer. Donc, je laisse un petit peu mes scrupules à la maison.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :Personnellement, je n'avais pas ce genre de scrupules et surtout pas à cette époque pour plusieurs raisons.
La première, c'est que je m'adaptais malgré tout à la réaction de la personne à qui j'avais affaire. Il y a tout de même un échange de feeling lorsqu'on baise, sinon on ne baiserait pas. Quand je me plantais jusqu'à la garde avec Henrietta, c'était pour m'assurer qu'elle n'irait pas plus loin. Quand j'avais l'impression de défoncer Yessica, j'y allais pourtant doucement. Mais elle était tellement féminine que j'avais des éjaculations explosives qui l'effrayaient. Pour "Eunice", je n'ai pas eu de vergogne. Je me suis vengé insidieusement. Ce qui m'a le plus étonné, c'est justement qu'elle a eu l'air d'apprécier. J'ai encore une ou deux anecdotes de trans que j'ai "défoncées" en y allant un peu fort, mais je parle surtout de celles qui m'ont marqué.

J'ai commencé assez timidement mais je me rendais compte que les trans semblaient apprécier ma bite, ce qui n'était pas le cas des filles, du coup, j'ai basculé petit à petit sur les trans. C'est ce qui caractérise cette période me concernant. Plus d'une dénnie plus tard, j'ai eu baisé des thaïlandaises que j'ai vu se faire déchirer dans des vidéos pornos et qui avaient pourtant l'air plus fragiles et surtout plus pressées de terminer. Donc, je laisse un petit peu mes scrupules à la maison.

Je ne confonds pas scrupules et sentiment de culpabilité à postériori.
Comme toi, je n’avais pas trop de scrupules puisque, même si j’avais quelques « flashs » de mauvaise conscience, j’y retournais toujours.
A certaines périodes, il m’arrivait de défoncer deux ou trois coquines par semaine, parfois plus. Les tarifs du bois favorisaient ce genre d’addiction ;)

Je n’évoquais pas non plus dans mon précédent message les nombreuses putes avec lesquelles j’avais le feeling. Un feeling que j’ai souvent cru partagé ...
Avec ces salopes, ou ces comédiennes ( :?: ), j’avais, comme certains de mes récits en témoignent ici, peu de retenue.
C’est l’évocation du « mal au cul » de ton « Eunice » qui a réveillé en moi quelques mauvais souvenirs et cette interrogation à la fois existentielle et anatomique. En excluant, celles qui se droguaient ou picolaient, celles qui ne sentaient rien et celles qui aimaient plus ou moins cela, comment faisaient toutes les autres pour s’enfiler autant de queues chaque nuit qu’elles passaient au bois :?:

Pour en revenir à des souvenirs beaucoup plus classiques, il me revient à l’esprit une autre rencontre avec une transsexuelle de couleur qui, elle, n’avait aucun problème avec sa chatte anale :)
C’était un soir des années 80. Après un dîner avec des collègues, la fermeture nocturne périphérique m’avait contraint à sortir Porte Dauphine. Ces fermetures imprévues étaient souvent pour moi l’occasion d’un détour coquin par le bois ;)

Je remontai donc la Route de Suresnes. Sur ma droite c’était comme une haie d’honneur de superbes bimbos. Il y avait quasiment une «femme à bite » tous les cinq ou dix mètres. Largement dénudées, complétement à poil pour certaines, elles s’approchaient de la route en prenant des poses lascives à chaque fois qu’une voiture ralentissait. Un festival de seins et de queues auquel il était difficile de résister :D

Je me garai en haut de la Route de Suresnes pour m’offrir un petit « lèche-vitrine ». C’était une belle soirée de juin qui sentait bon la liberté et ..... le patchouli dont certaines créatures devaient abuser :shock:
Je fus abordé et tâté par les plus hardies. Difficile de choisir :!:
Elles étaient toutes plus excitantes les unes que les autres. Mais j’étais pressé et j’avais très faim ;)

C’est finalement par une gazelle noire ébène que je me laissais entrainer derrière un arbre à quelques mètres de la route. Elle était superbe avec de beaux seins fermes en obus. Je me jetais sur eux pour les pétrir et en sucer les tétons. La belle semblait apprécier 8-)
Elle s’accroupit, me bâchât la queue avec sa bouche. Ensuite elle fit glisser ses lèvres sur mon membre, d’abord très doucement, puis de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Conscient que je n’allais pas tenir bien longtemps je lui demandais de se retourner pour profiter de son petit trou. Quand elle se releva je constatai que la coquine bandait :D :oops:
En prenant appui sur le tronc de l’arbre, elle se cambra pour m’offrir son cul. Elle était si grande que je dus quasiment me hausser sur la pointe des pieds pour l’enculer. Quel plaisir divin ce fut, sous la douceur d’un paisible ciel étoilé, de s’enfoncer dans ce petit cul de black bien serré :D :D
Hélas, trop excité, je jouis très vite et éjaculai en abondance au fond de la capote. Je voulus la retirer moi-même et m’éclaboussai.
J’allais me réajuster quand la gazelle me proposa de me sucer pour remettre ça :o
Hélas je ne saurais jamais si cette prolongation était un bonus gratuit pour le plaisir, car, épuisé, j’avais décliné la proposition :(

Et c’est ce soir-là, que rentré chez moi, je dus faire disparaitre discrètement un pantalon dont la braguette était pleine de trace de foutre et de rouge à lèvres :oops: :oops:
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

C'est curieux comme les idées s'associent et s'enchaînent. J'avais hésité à Parler de Valéria avant Yesica et « Eunice» mais comme je ne me souvenais plus de l’ordre chronologique, j’ai répondu en fonction de vos posts surtout ceux de Nostrabéru. Valéria tapinait justement route de Suresne en PC1 vers la jonction avec PC8. Ce n’était pas la haie de trans décrite ci-dessus par Nosta, mais certains soirs, il y avait des jolies brochettes de trans dans certains coins. Valéria était une Equatorienne blonde aux cheuveux bouclés et à la peau clair un peu comme une photo d’Ophélie Winter dont on aurait photoshoppé le visage. Elle était habillée avec une guêpière qui couvrait ses seins siliconés, un string pour permettre la baise rapide dans les bois et des bas. Elle devait mesurer 1m70 avec ses hauts talons qu’elle ne maîtrisait pas ce qui lui donnait l’allure d’un jeune travelo quand elle marchait avec son corps androgyne où le féminin et le masculin se battaient en duel. 

Valéria était alignée avec ses collègues le long de la route. Quand je lui ai demandé ses prix, elle s’est mise à parler avec un ton assez arrogant comme une petite racaille. Ça contrastait assez fortement avec sa panoplie qui semblait dire « pute à baiser, servez-vous ». Ma réaction à son arrogance a été encore plus arrogante. Je lui ai dit « Toi, tu vas jouir » et j’ai redémarré ma voiture pour aller la garer dans un coin tranquille en l’occurrence en PC7 si j’ai bonne mémoire et je suis revenu à pieds. Lorsque je lui ai adressé à nouveau la parole, je lui ai dit « viens, tu vas jouir », elle n’a rien compris, ne se souvenait pas de moi et m’a donné ses prix à nouveau avec la même arrogance. Le tableau ne faisait que m’exciter un peu plus, Il a fallu passer par des « on y va » et la suivre sur le pont qui passe au dessus d’un ruisseau qui longe la route. On s’est enfoncé dans le bois jusqu’à son arbre. 

Valéria ne m’a pas épargné des petits trucs de pute pour chercher à me faire jouir plus vite comme me palper avant de commencer ou me branler pendant qu’elle me suçait. Ça se sentait qu’elle était un peu pressée de terminer avant d’avoir commencé et qu’elle jouait aussi sur le facteur stress pour parvenir à ses fins. Mais à cette époque, on était encore tranquille dans les bois surtout que son coin était bien situé. Valéria devait réussir à expédier certains clients avant de se faire pénétrer à ce jeu là, mais j’avais vu clair à travers son jeu et je ne me laissais pas prendre. Quand fut arrivé le moment de la pénétrer (ou alors quand elle a renoncé à me faire jouir avec sa pipe) j’étais un peu agacé par son jeu et il était temps de la corriger d’un bon coup de gourdin. Elle s’est mise debout sur ses hauts talons instables et s’est cramponée à son arbre. Je me suis positionné de manière à pouvoir la tenir avant qu’elle ne tombe, elle a écarté son string et je me suis enfoncé en elle. Quand j’ai bien vérifié que j’étais en elle, je me suis enfoncé d’un coup net jusqu’à la garde. Un coup qu’on appellera plus tard une DSK.

Valeria a poussé un cri curieux, un rugissement difficile à décrire. D’ailleurs, ce n’était pas un cri. Pour le décrire, le mieux est de dire ce qui m’est venu en tête en l’entendant : le klaxon de la voiture de Gaston Lagaffe. J’étais dans l’obscurité du bois entre PC1, RM18 et L4 et ma trans klaxonnait dans l’obscurité. J’ai observé autour de nous. Les autres trans en action n’y prêtaient aucune attention. Alors plus elle faisait de bruit plus j’y allais fort et plus elle essayait de faire de bruit. Mais petit à petit, son rugissement, se faisait plus doux, plus suave et le bruit de sa voix moins rauque montait dans les aigües. Moi aussi, je me faisais plus doux, disons plutôt plus souple comme dans une chorégraphie. Valéria se féminisait sous mes yeux si bien qu’à la fin, elle miaulait comme une chatte, un peu comme une actrice féminine de film porno. Quel pied !

Quand j’ai eu terminé et qu’elle semblait reprendre ses esprits, je lui ai dit «je te l’avais dit que tu allais jouir» mais elle ne comprenait pas et n’y prêtait pas plus d’attention. Quand je l’ai revue pour une deuxième fois, j’ai été garer ma voiture directement et je suis allé la voir à pieds. Elle m’a refait son numéro de racaille et elle a pris ses coups de gourdin où ça allait bien. Je crois que c’est ce soir-là qu’elle a crié le plus fort. Un soir, elle a pris un client le temps que j’aille garer ma voiture. Je suis allé faire un tour dans le bois de l’autre côté du ruisseau et lorsque je suis revenu, elle avait repris le tapin. Elle a cherché à me coincer de ce côté du bois alors je suis parti en direction de son emplacement. Elle me hélait avec son arrogance de racaille et je l’ai laissée me rattraper. Elle chassait sur son territoire, mais elle a compris que la proie était la chasseuse et elle s’est fait dévorer encore une fois. 

J’aimais bien la voir retourner au bord de la route en dandinant comme si son cul avait passé la soirée à se faire défoncer. J’aimais bien jouer avec elle, mais je ne l’aurais jamais emmenée à l’hôtel. Je ne la croyais pas capable de faire une prestation longue et j’ai toujours pensé qu’il pouvait y avoir un risque qu’elle s’emballe, sans compter que je ne l’aurais pas fait entrer même en direct dans l’ascenseur juste avec sa guêpière, son string et ses bas.
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