Nostalgies du Bois

[CHINO93]

Question de novice: vous n'avez pas trop peur de vous "enfoncer" dans le bois comme cela dans l'obscurité? Je fréquente regulièrement le bois et le mieux que j'ai fait c'est de longer les petites allées qui mènent au bois et légèrement obscurcie.

Et aussi, ça me plairait bien de mater, mais j'ai peur de me faire repérer et me faire casser la gueule ou embrouiller par un mec...
Peut être que je flippe un peu je sais pas lol...

[Nostrabéru]

Question de novice: vous n'avez pas trop peur de vous "enfoncer" dans le bois comme cela dans l'obscurité? Je fréquente regulièrement le bois et le mieux que j'ai fait c'est de longer les petites allées qui mènent au bois et légèrement obscurcie.

Et aussi, ça me plairait bien de mater, mais j'ai peur de me faire repérer et me faire casser la gueule ou embrouiller par un mec...
Peut être que je flippe un peu je sais pas lol...

Pour ma part cela fait plusieurs années que je ne vais plus au bois que très rarement , d’abord parce que certains spots sont effectivement devenus dangereux pour les punters(*) et également à cause de la loi de pénalisation des clients. Aussi ma réponse à vos peurs mérite d’être actualisée par des punters qui fréquentent encore aujourd’hui le bois régulièrement car, pour moi, il ne s’agissait que d’évoquer ici quelques souvenirs inoubliables.

A l’époque, il n’était d’ailleurs pas nécessaire de s’enfoncer profondément dans les bois pour « consommer », donc aussi pour mater. Par exemple cette Paola, que j’évoquai dans mon post du 18 décembre dernier travaillait habituellement en BMC et quand elle acceptait de se faire prendre dans le bois, elle ne s’éloignait guère de la route.

Ainsi quand elle garait son BMC chemin de la Croix Catelan, c’est derrière l’arbre situé en 48° 51’ 55.22’’ N 2° 15’ 20.57’’ E qu’elle se faisait défoncer. Ce n'était donc qu'à quelques mètres à peine de la route.
Plus tard, quand son BMC stationnait Route du Pré Catelan et qu’elle attirait les punters en agitant une torche blanche depuis le bois en face, c’est derrière le gros arbre situé en 48° 51’ 57.55’’ N 2° 15’ 30.35’’ E qu’elle suçait ses clients avant de se faire éclater le cul en s’appuyant contre son tronc. Quand l’aube pointait vous ne pouviez par rater la scène

Vous pourrez constater, avec les coordonnés GPS citées ci-dessus, que, là aussi, cela se passait très près de l’allée longeant la route. Les punters et les mateurs connaissaient bien ces deux spots

Plus généralement, il y avait même à cette époque une sorte de coexistence pacifique, voire de complicité, entre les mateurs, les putes et leurs clients. Certains punters aimaient s’exhiber et aucune pute n’ignorait que le mateur était un client en devenir qu’il convenait d’exciter en le laissant observer ce qu’il ratait

L’essentiel était de ne pas s’imposer et de respecter ceux qui préféraient la discrétion.
En plus de trente ans de « promenades » au bois, je n’ai jamais eu de problème (**). Il m’arrivait même de préférer baiser dans le bois plutôt qu’enfermé dans un BMC d’où on ne pouvait pas voir ce qui se passait à l’extérieur. D’ailleurs je suppose qu’aujourd’hui, pour cause de Covid19, il est « sanitairement » moins risqué de se faire éponger dans le bois que dans l’espace clos d’un BMC ....

Il m’est ainsi souvent arrivé d’être épié en train de baiser ou de mater moi-même. Parfois cela pouvait même finir en partouze si affinités …

A l’époque le bois était un lieu magique.
Vous y partiez à l'aventure à l’aventure sans savoir ce que vous alliez y rencontrer, une sculpturale transsexuelle que vous sodomiserez contre un arbre tout près d’un punter en train d’en défoncer une autre , une pute assise sur une souche en train de sucer un client qui vous fera signe d’approcher pour partager sa bouche, un mini gang-bang improvisé où vous rejoindrez quelques punters se succédant dans le cul d’une salope offerte , une étreinte tendre et sensuelle avec une jolie pute qui vous aura émue, ou encore simplement un punter sympathique avec qui vous échangerez quelques bons plans. Tout contribuait à faire monter votre excitation. Mais, parfois, votre visite pouvait aussi s’avérer n’avoir été finalement qu’une simple promenade lorsque nous n’aurez pas réussi à choisir entre toutes les créatures excitantes qui se seront offertes à vous. Vous quitterez alors le bois la queue entre les jambes , mais plein d’envies et de fantasmes dans la tête…. lesquels vous pousseront à y revenir. C’était aussi cela le bois ! Une passion qui pouvait aller jusqu’à l’addiction et plus tard conduire certains à exprimer ici leur nostalgie ....

Profitez-en tant que vos désirs sont plus forts que vos peurs.


(*) Surtout d’ailleurs pour leurs véhicules qui peuvent être cambriolés pendant qu’ils font prendre l’air à popaul ...

(**) Mais attention il n’y a pas que le sexe ! Les personnes qui m’ont dit avoir été agressées dans le bois l’ont été pour se faire dépouiller (portables, blousons, portefeuilles, …) par des lascars qui étaient venus au bois pour voler et non pour "consommer". Il fallait donc rester très vigilant par rapport à cette faune qui, au fil des années, a pourri l’ambiance magique du bois des années 1990 et 2000.

[luis]

C'est parfait tout est bien résumé.

[BLONDX]

Ah tout n’est pas si différent... hormis cette année pourri et depuis la loi de pénalisation du client, qui certes brident notre nonchalance sur ce sujet .. il est possible d’y trouver encore son compte,
Voir mon post de 2019: http://www.trans-girls.com/index.php?na ... torder=asc

Je pense aussi que nous changeons avec le temps puis on oublie ne gardant que les bons plutôt que les mauvais souvenirs et comme si bien dit par nostrab@cru: tant que nos désirs sont plus forts que nos peurs!
Bon je n’irais sans doute pas jusque là mais sans doute que le bois a changer mais sans doute pas autant que nous les individus de ce coin historique et cul turel comme peu d’autres endroits.
Évidemment très jeune debut 90 jeune permis (de conduire pas de punter ! Lol)je me souviens la première fois là bas la densité et l’omniprésence devant chaque arbre imposant d’une créature (souvent brésilienne) et aussi de ses jaguars (berlines des « riches » à l’époque) ...une ambiance magique et un effet whaouuu. Plus tard j’y suis retourné début 2000 puis Arès une longue période à partir de 2010. Et bien la magie était toujours là! Certes les péruviennes, vénézuéliennes et autres équatoriennes avaient remplacé les brésiliennes...mais ça le faisait toujours autant. Alors docteur ? Bah vous avez vieilli c’est normal... et puis internet a tout changé aussi. Mais bon je reste un optimiste. Nul doute que post pandémie la nature reprendra ses droits tout en évoluant aussii... c’est normal
Quand à la violence je ne crois pas que ce soit plus mais ce qui est sure ce que l’information arrive à nos oreilles dorénavant pour tout (trop)!
Sur ce je vous laisse je vais y aller courir ... dans le bois , on sait jamais !

[valsaint]

bien sûr tout change
en premier chacun de nous
quand aux lieux de rencontres filles et belles n'en parlons pas
de jour le centre de Nice était occupé par une vingtaine de filles la nuit il fallait multiplier par 3 la nuit
déjà quelques trans sur la promenade

puis arriva une zone pietonne, un coup terrible au tapin de jour, moins la nuit
transfert des filles vers la promenade et augmentation dans le même temps des trans avec répartition des portions selon le sexe...
puis l'internet, alors là tout a volé en éclat
deux catégories, les tapineuses en régression surtout pour les filles
et les trans qui fleurissent par période (sauf maintenant couvre feu oblige)
l'ambiance un peu, il n'y a pas de problème de casse de voitures, sur la promenade car il n'a aucun isolement et le trafic est permanant
mais pour les trans tapineuses il n'a rien à voir avec le BDB en nombre et pour le folklore
elles s'adaptent et nous aussi!!

mais les filles de l'est et albanaises sont un pourcentage trés faible de la vie nocturne

[Nostrabéru]

Bonjour,

Pour moi le bois de Boulogne c'est l'évasion ultime de l'âme. C'est un endroit que j'ai découvert très jeune à 18 ans en m'y retrouvant par hasard. J'étais pas loin, j'ai dis pourquoi ne pas aller voir. J'ai arpenter les rues, les allées, les sous-bois de jour comme de nuit, été comme hiver. J'ai surtout appris à appréhender sa population que ce soit les femmes, les transsexuelles, les travesties ou les punters, les chaland.

Je suis très nostalgique de cette époque, car j'ai appris à connaitre ce lieu à travers des forums. D'ailleurs peut-être qu'il y a un topic ici, mais il y en avait un sur une que j'appréciais beaucoup, une certaine Claudine, très âgée elle bosse encore ?

Bonjour Overlord,

S’agirait-il de la célèbre Claudine qui opérait dans une vielle Mazda bleue souvent stationnée au croisement de l’Allée de la Reine Marguerite et de la Route de Suresnes, sur la droite en allant de Boulogne vers Neuilly : http://doxyspotting.com/working-granny/ ?

C’était sans doute la meilleure fellatrice du bois . Pour un petit bleu, la Mamie vous suçait nature et aspirait votre foutre jusqu’à la dernière goutte, avant de le recracher dans un sac en plastique en s’exclamant, satisfaite, « Et voilà ! » .

Bien sûr il ne fallait y aller que pour se faire pomper car Claudine était plus que mature …
Si c’est bien elle, je crois, qu’hélas, elle a arrêté de dispenser ses inoubliables prestations buccales depuis quelques années et qu’elle a bien sa place ici, au rayon des souvenirs

[Nostrabéru]

Ah tout n’est pas si différent... hormis cette année pourri et depuis la loi de pénalisation du client, qui certes brident notre nonchalance sur ce sujet .. il est possible d’y trouver encore son compte,
Voir mon post de 2019: http://www.trans-girls.com/index.php?na ... torder=asc

Je pense aussi que nous changeons avec le temps puis on oublie ne gardant que les bons plutôt que les mauvais souvenirs et comme si bien dit par nostrab@cru: tant que nos désirs sont plus forts que nos peurs!
Bon je n’irais sans doute pas jusque là mais sans doute que le bois a changer mais sans doute pas autant que nous les individus de ce coin historique et cul turel comme peu d’autres endroits.
Évidemment très jeune debut 90 jeune permis (de conduire pas de punter ! Lol)je me souviens la première fois là bas la densité et l’omniprésence devant chaque arbre imposant d’une créature (souvent brésilienne) et aussi de ses jaguars (berlines des « riches » à l’époque) ...une ambiance magique et un effet whaouuu. Plus tard j’y suis retourné début 2000 puis Arès une longue période à partir de 2010. Et bien la magie était toujours là! Certes les péruviennes, vénézuéliennes et autres équatoriennes avaient remplacé les brésiliennes...mais ça le faisait toujours autant. Alors docteur ? Bah vous avez vieilli c’est normal... et puis internet a tout changé aussi. Mais bon je reste un optimiste. Nul doute que post pandémie la nature reprendra ses droits tout en évoluant aussii... c’est normal
Quand à la violence je ne crois pas que ce soit plus mais ce qui est sure ce que l’information arrive à nos oreilles dorénavant pour tout (trop)!
Sur ce je vous laisse je vais y aller courir ... dans le bois , on sait jamais !

Merci BLONDX pour votre récit concernant Kimberly. Il restitue parfaitement l’atmosphère si particulière du bois et les belles rencontres que l’on pouvait y faire. Cela donne envie d’y retourner

Même si j’ai vieilli, je préférerai toujours le bois à Internet !

Cependant en 30 ans « notre » bois a quand même beaucoup changé, ne serait-ce que parce qu’au fil des années la Mairie de Paris a restreint notre « espace de jeux » en interdisant certaines voies(*) à la circulation. Cela a attiré les bobos et les sportifs mais a fait fuir nos amies. Dans les années 90, la totalité du pourtour du Lac Intérieur était accessible en voiture. C’était un vaste « baisodrome » à ciel ouvert. Même les activités commerciales non sexuelles y étaient alors tolérées. Les soirs d’été, c’était la fête Il y avait des food trucks et une multitude de marchands ambulants qui ravitaillaient putes et clients. Ça sentait le shit et la saucisse. Les bouteilles vides de Négrita, que les putes s'enfilaient pour se donner du cœur à l'ouvrage, parsemaient les bois . Le punter avait l’impression de musarder dans les allées d’une kermesse populaire et glauque pour choisir tranquillement la bimbo qui s’occuperait de lui derrière le tronc d’arbre le plus proche Je n’ai jamais retrouvé une telle ambiance autour des spots de l’Allée de la Reine Marguerite ou du Pré Catelan

Puis il y a eu les nouvelles lois, contre le racolage d’abord puis, en 2016, contre les clients. Adieu le temps où tout était possible et légal
Quant aux actes de violences, ils ne sont peut-être pas devenus plus nombreux mais, comme vous le soulignez très justement, leurs plus grandes publicités ne rassurent pas. Tout cela a contribué à plomber un peu l’ambiance

Donc pour moi, si tout n’est pas globalement si différent, il y a une incontestable évolution que je regrette. Mais sans doute ne suis-je qu’un boomer(**) qui assume ici sa profonde conviction que « c’était mieux avant »
Pour préserver ce lieu mythique et sa faune singulière , son classement au patrimoine mondial de l’Unesco s’impose

(*) Avenue de St Cloud, chemin de ceinture du Lac Intérieur, Carrefour des Cascades, …. etc.
(**) « Boomer » est le nouveau synonyme pour vieux c...

[ruben]

Boomer à l'origine c'est la génération du papy boom, donc ceux nés entre 1945 et 1960, en gros. Je n'en fait pas partie puisque né en 68. Je sais que certains ici en font partie (Valsaint, pepito, d'autres).
Cependant, vu le contexte actuel de réécriture de l'histoire par l'extrême gauche, je suppose que même les soixantehuitards comme moi sont catalogués comme boomers.

Ceci dit, je confirme qu'il y a 30 ans c'était bien mieux, à tous les niveaux : plus de libertés, plus d'amusement, plus de tolérance, moins de violences, moins de tensions, moins de chômage.

[blackshemalelover]

Moi je vais revenir sur le bois que j'ai commencé réemmelement a frequenter en 2005.

Depuis lors, effectivement le bois a beaucoup changé mais je pense qu'on peut toujours s'y amuser

Je me souviens vers 2010-2013, vers 4,5h du matin, les mecs sortaient de boite de nuit pour venir passer leur enenrgie sur les trans. C'etait souvent tres tres excitant à regarder.

comme lu precedement, certaines trans laissaient matter (et meme aujourd'hui) mais c'est surtout au petit matin.

Niveau de violence, on a ete sous le choc des differents meurtres au bois, mais selon mes souvenirs (des on dit) c'est pas nouveau, mais je pense qu'on en parlait moins. Sinon niveau des agression, j'en ai moins vu ses 5 dernières années meme si je vais beaucoup moins au bois.
Apres, la prudence est d'usage: vaut mieux laisser sa voiture hors du bois et marcher un peu.

Question de novice: vous n'avez pas trop peur de vous "enfoncer" dans le bois comme cela dans l'obscurité? Je fréquente regulièrement le bois et le mieux que j'ai fait c'est de longer les petites allées qui mènent au bois et légèrement obscurcie.

En journée non, de nuit, quand on s'enfonce, c'est mieux d'etre avec un trans lol sinon ça n'a pas d'interet.. ou bien si tu comptes mater

Et aussi, ça me plairait bien de mater, mais j'ai peur de me faire repérer et me faire casser la gueule ou embrouiller par un mec...
Peut être que je flippe un peu je sais pas lol...

Souvent le matin, punters et trans te laissent. Si le mec te demande de partir, fait le.. mais beaucoup de gens viennent le matin n'ont aucun probleme à se faire mater

Je me rappel d'un soir un mec qui defonçat une à 5 metre de la route. c'etait trop excitant

humm le bois est vraiment magique. plein de magnifique souvenir

(petite transgression) ce qui a vraiment changé pour moi sont les soirées escualita.
Avant je m'y amusait comme un fou (loco, madame, folies,..) depuis le nouvel endoit, ça doit faire 3 ans que j'y ai plus mis les pieds mais honnetement c'est plus ça

[Nostrabéru]

[quote="blackshemalelover"]

Depuis lors, effectivement le bois a beaucoup changé mais je pense qu'on peut toujours s'y amuser

Je me souviens vers 2010-2013, vers 4,5h du matin, les mecs sortaient de boite de nuit pour venir passer leur enenrgie sur les trans. C'etait souvent tres tres excitant à regarder.

comme lu precedement, certaines trans laissaient matter (et meme aujourd'hui) mais c'est surtout au petit matin.



Bonjour blackshemalelover,

J’ai longtemps fréquenté le bois très tôt le matin. Ce n’était pas en sortant de boîte mais avant d’aller au bureau. Effectivement c’était une bonne heure pour mater.

Je me souviens en particulier de cette courte période, juste après la promulgation de la loi de pénalisation des clients, où certaines putes avaient abandonné leur BMC parce que leurs clients ne voulaient plus prendre le risque de se faire surprendre par la police en sortant de leur petit nid d’amour. Beaucoup de punters préféraient alors baiser dans les fourrés. C’était moins risqué et bien plus excitant

C’était le cas de Jennifer (devenu depuis Pamela) qui avait abandonné son BMC en RM17 et faisait le tapin sur le trottoir quasiment à poil et avait donc recommencé de bosser dans les bois comme à ses débuts.

Mais ce matin de juin 2016 la sculpturale Jennifer n’était pas là Je poursuivis donc ma reconnaissance par le Pré Catelan. En passant devant les grilles je jetai un coup d’œil à droite vers la chemin de la Croix Catelan pour voir si la Paola, que l’on m’avait recommandée, était « en piste » mais sa voiture avec ses lumières clignotantes rouges et bleues si caractéristiques n’était pas là non plus Mais, en revenant par le chemin de la Croix Catelan, quelle ne fut pas ma surprise de la découvrir faire les cents pas en lisière du bois Elle non plus ne travaillait donc plus en voiture et exhibait sur le trottoir ses longues cuissardes blanches.

Je passai rapidement sans m’arrêter et refis un tour pour venir me garer sur le parking des tennis. Il était 5 heures 30 et j’avais donc encore le temps de faire une petite promenade de santé dans les bois avant de rejoindre mon bureau. Je revins donc, à pied cette fois-ci, vers l’endroit où je venais d’apercevoir la salope en plein racolage actif. Elle n’était plus là. Me doutant qu’elle devait être en train de se faire défoncer par un lascar, j’empruntai le petit chemin qui longe les tennis et, au bout de quelques mètres, je l’aperçue, agenouillée contre un arbre, en train de sucer la bite d’un petit vieux bedonnant

Ce n’était pas le genre de mec à sortir de boîte mais plutôt le profil retraité … De l’endroit où j’étais, soit la pute ne m’avait pas vu ou soit, plus probablement, cela ne la gênait absolument pas qu’on la mate en plein travail en espérant sans doute que cela m’exciterait suffisamment pour que je la rejoigne ensuite. J’ai donc pu me rincer l’œil sans problème en matant toute la scène de très prés

Le vieux se faisait sucer nature Je le découvris quand, avant de se relever, la pute lui enfila une capote. Elle se tourna ensuite vers l’arbre sur lequel elle prit appui afin de bien se cambrer pour lui offrir sa croupe bien tendue. Ainsi offerte elle avait un cul d’enfer à damner un saint J’enviais le vieux cochon qui allait l’enculer. Elle écarta son string, passa une main dans sa raie sans doute pour la lubrifier, puis le vieux lui écarta les fesses et enfonça d’un coup sa queue dans sa chatte. Une chatte sans doute bien dilatée, à en juger par la facilité avec laquelle sa bite allait et venait dedans. Cette salope semblait apprécier de se faire ainsi limer sa chatte anale. Le vieux accéléra en enfonçant jusqu’à la garde sa queue dans son cul, visiblement il était en train de se vider. Il décula. Très vite elle lui retira la capote, lui donna un kleenex et s’éloigna rapidement pour reprendre son poste au bord de la route. Au suivant ….

Tandis que je m'éloignai pour rejoindre le parking, un nouveau punter pénétrait déjà avec elle dans les bois …. Elle devait être sacrément bonne pour enchainer ainsi les passes.

En tout cas pour ceux qui, comme moi, résistaient à la tentation et respectaient la loi, le bois restait encore un bon plan pour mater

Portez-vous bien,

[blackshemalelover]

Bonjour blackshemalelover, ...

Salut, Magnifique recit. ça me donne juste envi d'aller passer quelques jours sur paris...

Le matin, je me postait souvent en RM5, RMV1 et RMV2. Le matin c'est tellement facile de voir.
Je me rappel d'une dont j'ai oublié le nom mais facile à reconnaitre au virage RMv2, avec pas de tres grosse fesse mais une enorme poitrine et des levres pulpeuse.
Celle-ci le matin des fois prenait des mecs à la chaine.
Un jour, je l'ai vu se faire defoncer par un black extrement membré. Elle criait.. c'etait tres excitant. D'ailleurs, je pense que le mec etait tellement membré qu'elle lui a demandé d'arreter.

quand elle est retrouné à sa place, elle ne marchait plus normalement

j'avoue que c'etait hyper excitant

[Fred27]

A cette époque y avait aussi une Alexia, une grande péruvienne, en RM19, très bien montée et sympa. Elle était là en début de soirée jusqu à minuit. Je l ai pratiquée souvent, c'était top, dans le bois dans l'obscurité, mais de temps un mateur se pointait ... ça me dérangeait pas et en se tenant à distance le mec se branlait. J'étais aussi allé la voir chez elle, et là c 'était encore mieux, elle était endurante et bien chaude... et toujours une belle ejac pour finir.... Après je ne l ai plus vu...

[Pmcfly]

Vraiment excitant tous vos récits.
Pour ma part je vais vous parler non pas d'un matin mais d'une fin d'après midi / début de soirée je ne me souviens plus très bien. C'était vers le milieu des années 90. Il y avait moins de pression que maintenant.
Souvent le soir, je finissais ma journée en passant par le bois surtout pour mater car j'étais fasciné par le troisième sexe.
Un soir donc, vers RM15 une grande trans blonde tapinait et aller faire ses affaires à quelques mètres de la route dans un tente de fortune dont le tissu allait jusqu'au sol.
Le soleil était rasant et dessinait les silhouettes derrière le tissu...
Un mec en scooter s'arrête et rentre dans la tente avec la miss. Chose dingue le mec n'a même pas enlevé son casque et il s'est mis à besogner la pute qui était à quatre pattes.
Le spectacle était parfaitement visible de la route, c'était dingue ! On aurait dit la fausse pub Nokia si vous voyait ce que je veux dire.
L'ombre chinoise de ce mec casqué enculant cette pute est restée dans ma mémoire. C'était furtif mais indélébile.

[Nostrabéru]

Qui se souvient de « Catherine » ?

Catherine était une transsexuelle qui travaillait dans un vieux BMC blanc stationné au bout de la Route du Pré Catelan. Les toutes premières fois où je l’ai connue elle se garait aussi de temps en temps en épi devant le lac.

Pour attirer le client, elle s’exhibait souvent torse nu au volant de sa vielle camionnette où apparaissait encore l’inscription « JC Decaux » à moitié effacée. Son physique était moyen mais, comme le prouvait le nombre important de ses habitués, son expertise était reconnue Mais si, pour sucer des bites, Catherine savait parfaitement user de sa langue, elle ne parlait pas le français, à tel point que je ne suis même pas sûr qu’elle s’appelait Catherine tant j’avais du mal à la comprendre. Catherine était une fille simple et sympathique. C’était une bonne fellatrice qui possédait un cul accueillant que l’on pouvait pilonner en profondeur pour s'y vider les couilles sans complexe. C’était un bon coup du matin pour se décontracter le gland avant une journée de travail

Catherine acceptait également les plans à trois. Entre cinq et sept heures du matin il y avait toujours un ou deux punters qui rôdaient autour de son BMC en attendant cette occasion. C’était le rendez-vous des cadres supérieurs déjà stressés et des ouvriers pas encore épuisés. Une mixité sociale réussie qui faisait aussi le charme du bois J’ai souvent partouzé avec elle au petit matin. Je me souviens encore aujourd’hui de cette fois où elle avait même fait monter trois clients en même temps Ce fut une inoubliable orgie où, face aux assauts des trois queues insatiables qui se succédaient dans sa bouche et son cul, elle avait assuré sans faiblir ....

Je me rappelle également de ce petit matin d’hiver de 2015 ou 216 où j’avais été réveillé en sursaut en plein milieu d’un rêve érotique, dont elle était l’héroïne. Ce matin-là, en allant au bureau, je décidai de faire détour par le bois pour terminer mon rêve

Catherine était occupée mais, quand déjà complétement à poil, elle m’avait aperçu à travers son vieux rideau, elle m’avait quand même fait signe de monter pour rejoindre le client qu’elle venait de lever. Nous étions tous les deux des habitués de sa bouche et de son cul et c’est pour cela qu’elle nous avait naturellement proposé une partouze. Pendant que j’ôtais mes vêtements, Catherine continua de lécher les tétons du client. Cela semblait être son petit fantasme Puis, après une bonne pipe profonde pour chacun, elle s’était mise à quatre pattes sur la banquette, les fesses bien surélevées et la raie bien graissée. On l’avait alors bien défoncée en la prenant chacun notre tour. Quand l’un sentait qu’il allait cracher, il se retirait et c’est l’autre qui prenait le relais. Un bon travail d’équipe

On l’avait ainsi limée comme ça un bon moment en la traitant de grosse salope et en lui donnant des claques sur son gros cul. Comme elle ne parlait pas un mot de français, j’ignorais, si elle comprenait toutes les horreurs qu’on lui criait Elle semblait aussi prendre son pied ... ou faisait semblant. Mon « coéquipier », ayant craché le premier, s’était rapidement rhabillé et était parti. J’avais donc fini seul. Après une ultime pipe pour raffermir mes ardeurs, j’enculai violemment la salope en levrette pour la pilonner à fond une dernière fois avant de finir enfin par jouir dans son cul. J’étais épuisé mais j’avais rattrapé mon rêve

Sacré Catherine ce n’était pas une beauté fatale, mais, foutrebleu, qu’est-ce qu’elle encaissait bien !

[Nostrabéru]

Hello les nostalgiques !

J’adore ce fil où l’on peut faire revivre et partager des souvenirs. J’espère que, parmi ceux qui liront le récit qui suit, il se trouvera un internaute qui lui aussi aura connu Sandra et me répondra.

Sandra était une transsexuelle élégante et bien membrée qui tapinait tôt le matin au début de l’Allée de la Reine Marguerite entre RM1 et RDPT1.

J’ai découvert Sandra à la fin des années 2000. La première fois je l’avais aperçue depuis la route en train de s’occuper d’un client d’une vingtaine d’année. Je m’étais garé et m’était approché pour mater. La scène était très chaude. Les deux acteurs, quasiment à poil, s’embrassaient à pleine bouche avant que l’un des deux ne s’accroupisse pour sucer l’autre . Puis la pute commença à enculer son client. J’étais très excité. Cela dura un bon moment. A la fin la pute se retira et branla le jeune homme. Celui-ci sortit des fourrés et regagna sa voiture. Peu après la belle revint se poster à la sortie de l’allée piétonne (48° 50' 56.47" N 2° 14' 31.10" E). C’est là que je l’abordai alors qu’elle était en train de s’essuyer le ventre encore maculé du foutre de son client. Je me souviens de ce détail qui m’avait terriblement excité et qui a marqué le début de ma relation avec Sandra.

Après un bref échange, et bien qu’un peu surpris par sa voix un peu rauque et la modestie de sa poitrine, je suivis dans l’allée celle qui me dit être espagnole et s’appeler Sandra. Un peu plus loin elle m’entraina dans un bosquet sur la gauche de l’allée piétonnière. Je n’étais pas très à l’aise car le jour commençait à poindre et les habitants d’un immeuble du Boulevard Anatole France avaient une vue plongeante sur nos ébats Malgré ce désagrément, je pris mon pied. Pour le tarif syndical, la prestation fut classique mais sut apaiser mon excitation. Après qu’elle m’eût sucé, j’avais pu l’enculer longuement et profondément. Si la quasi absence de ses seins, qui pouvait laisser croire que Sandra était plus un travesti qu’une transsexuelle, m’avait d'abord décontenancé, je la trouvais finalement très sexy. Et surtout j’adorais son cul En même temps que je défonçais sa petite rondelle, je branlais sa queue épaisse qui prit des proportions très respectables. Sandra était active et passive. Sans être un « anaconda » Sandra avait une belle queue. Elle me demanda si je voulais la sucer. J’avais pour cette première fois fermement refusé préférant me vider au fond de son cul.

Après ce premier contact, Sandra devint peu à peu, et ce pendant plus de dix ans, un plan cul régulier. Au début je la baisais dans les bois, soit dans le parc en face (48° 50' 56 .59" N 2° 14' 33.16" E), soit le plus souvent dans les bosquets jouxtant l’allée piétonne où je l’avais découverte la première fois. Une fois elle me proposa de faire cela en voiture.

Ainsi, en fonction de la météo et de la saison, c’est souvent dans sa voiture que nous baisions. Elle avait une petite voiture noire qui stationnait au bout de l’Allée de la Reine Marguerite (48° 50' 56.08" N 2° 14' 31.18" E). Nous nous garions alors Boulevard d’Auteuil, derrière les tennis de Roland Garros, ou dans un parking plus discret au bord de la Seine (48° 51' 19.62" N 2° 13' 31.18" E). Nous passions tous les deux à l’arrière de son véhicule. Elle me suçait puis elle se retournait pour que je puisse la sodomiser tandis qu’elle s’agrippait à la lunette arrière. Moins facile que de la prendre contre un arbre mais nettement plus confortable quand il pleuvait ou gelait

Elle me proposa également d’aller baiser chez elle à Courbevoie. Ce n’était pas le même tarif mais je m’étais laissé tenter. Et c’est ainsi que pendant plusieurs années, suivant l’humeur, j’alternais avec Sandra les plans au bois et les allers retours à Courbevoie. Si j’étais en retard je la suivais avec ma voiture jusqu’à Courbevoie pour pouvoir regagner plus vite mon bureau. Mais, quand j’étais en avance, je me garais Boulevard Anatole France et c’est elle qui m’emmenaient à Courbevoie dans sa voiture. J’adorais ces brefs trajets de Boulogne à Courbevoie. Ils me permettaient de bavarder avec elle et de la caresser pendant qu’elle conduisait

Sandra disposait d’un petit studio propret au 10 ième étage d’un immeuble moderne. Nous nous garions dans le parking au sous-sol et nous y montions par l’ascenseur le plus discrètement possible. Les 10 étages nous donnaient l’occasion de s’embrasser et de se caresser … Des préludes qui me faisaient déjà bander

Une fois dans son studio, tandis que je me déshabillais, elle enfermait son gros chat angora dans la kitchenette et baissait les stores. C’est dans une semi pénombre que nous baisions ..

Visiblement Sandra n’habitait pas là. A part une petite table avec un ordinateur, il n’y avait quasiment rien dans son studio, sauf le lit bien sûr. Ce n’était visiblement là que son « lieu de travail » où elle emmenait ses clients. Il m’arrivait aussi de prendre rendez-vous avec elle dans la journée. J’avais son téléphone et le code de la porte d’entrée de l’immeuble. A condition de la prévenir suffisamment tôt elle était souvent disponible. Souvent, quand j’arrivais elle sortait de sa douche, ce qui m’incitait à des audaces corporelles que je n’aurais pas osées au bois, comme par exemple lui sucer son bel organe. « Tu peux y aller Chéri, il est tout propre » me disait-elle …. Malgré ma maladresse, due à mon manque d’expérience dans l’art de la fellation, je sentais sa queue durcir dans ma bouche et j’avoue que cela ne me déplaisait pas. En revanche, étant exclusivement actif, je n’ai jamais cédé à ses propositions visant à me faire découvrir le plaisir de se faire sodomiser. « Tu devrais essayer, tu ne sais pas ce que tu perds » insistait-elle parfois Mais, de ce côté-là, je restais désespérément vierge et c’est moi qui la prenais, parfois en missionnaire pour changer du bois qui ne permettait que la levrette, souvent dans la position d’Andromaque. Elle s’enfonçait alors lentement mon membre au fond de son cul avant de me faire jouir en allant et venant dessus de plus en plus vite. Que du bonheur

Au bois c’était parfois chaud, voire même un peu glauque quand elle me proposait un plan à trois. Avec un autre punter, nous nous partagions alors successivement sa bouche et son cul. Pendant que l’un se faisait sucer l’autre l’enculait et vice-versa. Du classique donc Cependant, parfois, cela pouvait devenir limite quand je partageais Sandra des clients bizarres, comme ce routier qui «pour ne pas tromper sa femme » (sic) n’avait pas voulu lui prendre le cul mais avait utilisé sa bouche comme vide couilles . Tout en l’insultant avec des mots crus, ce mari vertueux (lol) avait maintenu fermement la tête de Sandra pour lui imprimer le bon rythme sur sa grosse queue qui allait et venait au fond de sa gorge. Je me suis toujours demandé comme Sandra avait pu supporter une telle violence. Cela ressemblait plus à un viol qu’à une pipe . Cette scène m’avait tellement écœuré que je mis plusieurs semaines avant de revoir Sandra.

Mais j’y revenais toujours …. Et souvent j’étais triste de ne pas apercevoir le matin sa petite voiture noire au début de l’Allée de la Reine Marguerite

Mais peut-être est-elle encore là ?