Nostalgies du Bois

Postez ici toutes vos infos sur le Bois de Boulogne
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valsaint
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sandra

Message par valsaint »

très très beau récit Nostra, et oui nostalgie quand tu nous tiens!!!
je ne suis pas du tout parisien j'ai traversé à pieds le bois il y a 15 ans je n'ai donc que très peu de vision de lui
mais j'imagine
moi même sur nice j'ai aussi des tonnes d'images de rencontres, (en voiture)
dans toutes sortes de lieux
aujourd'hui les années passant je tente encore quelques rencontres , mais si j'aime la nuit et son mystère et les frottements contre les belles, après souvent il y a des désillusions qui malheureusement sont nombreuses
mais malgré tout il y a la nuit, et en ces temps de "couvre feu".......
espèrons qu'un jour (une nuit) nous puissions........
les sites c'est bien grace au forum quand c'est avec une déesse !!!!
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Pmcfly
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Message par Pmcfly »

Merci Nostra,
Votre récit est magnifique.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

valsaint a écrit :trés beau récit "Nostra" tu possedes l'art de la narration
du live bien sûr, mais sans verser dans le porno!

Merci pour ce retour tristement nostalgique.

Je profite seulement de cette période singulière pour revivre certaines séquences qui m’ont marquées en les restituant sur ce fil du mieux que je peux. Le bois de Boulogne était (est encore ?) un lieu magique et j’y ai connu pas mal d’aventures, sans doute comme vous à Nice ;)

En effet, Nice n’a jamais manqué de tentations ;)

Personnellement, je n’y ai connu qu’une seule aventure dont je garde un souvenir mitigé.

C’était à la fin des années 80, ou au tout début des années 90. Je participais alors à un séminaire à l’hôtel Westminster face à la promenade des anglais. Le soir après le dîner, j’avais décidé de me détendre avec une promenade en solitaire. La nuit était douce. Ce n’était pas encore l’été, mais il y avait déjà beaucoup de promeneurs sur la Promenade des anglais et aussi quelques belles dont l’allure et les va-et -vient sur une même longueur de trottoir ne laissaient aucun doute sur leurs activités ;) Je fus abordé par plusieurs d’entre elles.

Bien que n’étant pas sorti pour cela, j’avais eu le coup de foudre :P pour deux jeunes et jolies jumelles qui tapinaient ensemble sur la Promenade des anglais. Le risque de croiser des collègues dans mon hôtel me retint de les ramener toutes les deux dans ma chambre du Westminster :( Elles se montrèrent déçues mais compréhensives. Elles me proposèrent un plan B, plus discret, moins coûteux mais aussi plus expéditif, que je finis par accepter. Elles m’entrainèrent alors dans une petite rue parallèle à la promenade des anglais. Par rapport au bord de mer cette rue était très calme et c’est dans la pénombre du renfoncement d’un petit immeuble que je pus baiser l’une des deux jumelles tandis que l’autre faisait le guet. Après une pipe rapide et une bonne levrette 8-) je regagnais mon hôtel soulagé …. de 70 Francs.

C’était il y a 30 ans et je n’avais pas encore découvert les délices du troisième sexe ;) Ce post est donc doublement hors sujet car cela s’est passé à Nice et non au Bois de Boulogne et de plus il s’agissait de jeunes femmes et non de transsexuelles :P
Seule la nostalgie et le plaisir de vous répondre en justifie la présence ici.

Au Niçois qui mal y pense ;)

Portez-vous bien en attendant les jours meilleurs.
cho_lapin
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Message par cho_lapin »

Mais quel endroit improbable ce bois!
Coincé entre Boulogne, le 16ème et Neuilly, où le mètre carré de foncier équivaut à une twingo....

On peut y croiser toute la société, du SDF bourré à la villageoise, aux grandes fortunes qui vont jouer de la raquette au Racing, avant d'aller casser la croûte au pré Catelan.
Du "bon" père de famille qui passe "par hasard" en scénic à 03h00 du matin, au loulou de quartier qui n'est surtout pas homo, mais qui gratterait bien une pipe dispensée par une femme à bite.

Un endroit improbable, où les jeunes cadres dynamiques viennent courir autour du lac dans le sens des aiguilles du montre, à 20 mètres de gens qui en prennent par tous les trous.

On ne se rappelle pas quand cette histoire a commencé, ni pourquoi c'est si spécialisé dans le troisième sexe. On sait simplement que tout peut arriver, le meilleur comme le pire, le plus marrant comme le plus triste. La seule limite étant l'imagination des acteurs.
Je ne sais pas si il existe ailleurs dans le monde un tel bordel à ciel ouvert.

J'ai débarqué en IdF au début des années 2000, ça rajeunit pas. Je sortais de ma petite ville de province, plein de naïveté.
Mes premiers pas au bois se sont fait un après-midi d'été. Parti en balade, j'ai traversé Paris à pied d'Est en Ouest. Arrivé porte Maillot, j'ai vu le "sulfureux" panneau de direction. Je n'avais encore aucune idée des "coins", au détour d'un bosquet, une créature qui devait avoir trois fois mon age m'a proposé une affaire. J'ai continué ma route, mais ma curiosité été piquée.

A l'époque, Sarko n'était encore pas grand chose. Je revenais quelques temps plus tard en voiture, de nuit. Pour trouver les spots, rien de plus simple, il suffisait de suivre la foule. C'était spectaculaire, on aurait pu doubler la longueur de la Reine Marguerite, que chaque mètre de trottoir aurait encore été utilisé. Des poitrines à l'air de partout, des dames qui descendent sur la chaussée pour ralentir le chaland.

Une question me taraudait, elles sont où les trans dont tout le monde parle ?
Je l'ai déjà dit, j'étais naïf, ces dames au bord de la route sont trop bien gaulées pour avoir une paire de balloches.

La première fois fut avec la blonde qui doit encore être présente sous le carrefour RM allée de Longchamps et qui avait une Passat Break à une époque. Elle en faisait énormément avec ses nichons à l'air. Je l'ai embarqué dans la Clio, elle a deviné le couillon qui se cachait (mal) en moi, la passe a été vite expédiée (je ne sais même si elle avait une bite).

Honnêtement, j'ai pas consommé si souvent au bois. En fait j'avais quelque défauts, d'une part je passais pas mal de temps à tourner et retourner dans le bois, à pied ou en voiture, ce qui faisait monter l’excitation. Ajouté au fait que j'y allait généralement les burnes pleines, conjugué au talent de ces créatures, j'avais tendance à partir assez vite. Bon plan pour elles, mauvais plan pour moi...

Au final, j'ai toujours eu une impression mitigée des passes au bois. J'ai testé quelques trucs comme sucer une trans, mais j'ai jamais franchi le pas d'être passif. Faut reconnaitre que c'est quand même délicat, de faire ça avec une inconnue qu'on ne sait pas comment elle va agir, derrière un arbre ou sur une banquette crasseuse (et le BMC, c'est pas mon truc).

Pendant un certain temps, au moment des lois anti-racolage, je bossais en horaires décalé à la Défense. En sortant j'aimais bien aller tourner un peu au bois. Surtout les matins d'été, au lever du jour, à la fraiche. Les premières lève tôt prenaient place, les dernières de la nuit sentaient fort la gueule de bois. Intéressant également de voir le bois évoluer au fil des saisons. Entre l'hiver et les arbres sans feuilles, qui laissent bien imaginer ce qu'il se passe dans l'arrière boutique. La période de fin d'année qui marque les congés annuels. les fortes chaleurs enjoignant les corps à se dénuder...Rolland Garros et les problèmes de stationnement...

Une fois revenu à des horaires de travail plus normales, je passais régulièrement. L'heure de sortie de bureau n'est clairement pas la meilleure, celles du jour sont déjà parties et l'équipe de nuit n'est pas encore arrivée. Au final, c'est mieux en rentrant de boire un verre avec les potes.
Il m'est arrivé plusieurs fois de prendre des stoppeuses, souhaitant rentré chez elles. C'était sympa de se faire branler en conduisant et voir ce qui allait se passer ensuite (des fois rien. des fois une gâterie offerte). Je me rappelle notamment avoir déposé une de ces dames au centre de Paris, elle a prétexté je ne sais quoi pour me dire qu'elle rentre d'abord et qu'elle ne ferait entrer ensuite... J'attends encore de franchir la porte de l'immeuble.

La dernière fois que j'ai consommé au bois, c'était en 2016, quelques jours avant la loi de pénalisation du client. Le bois était assez mort, j'ai choisi une trans dont j'ai oublié le nom. on s'est sucé puis elle m'a demandé de la prendre... sauf qu'elle n'avait (soit-disant) pas de capotes (non mais allô!!!) , fin du game.

Depuis j'ai quitté la région, le bois ne me manque pas, mais je me dis souvent que ces visites étaient de sacrés aventures!
valsaint
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bois

Message par valsaint »

deux très beau témoignages sur le bois, dont celui de "chaud" qui n'est pas parisien et qui l'a connu sur le tard et qu'épisodiquement et la question posée " y a t-il d'autres bordels à ciel ouvert par le monde??
à Barcelone d'après quelques retours?
quand au copain qui avait rencontré deux vraies jumelles sur la promenade à Nice, il faudra attendre je pense encore quelques mois??
ensuite normalement j'espère assez haut sur la prom, nos belles (qui sont d'ailleurs très majoritaires) par rapport aux femmes reprendront du service à partir de 1h du matin à l'aube, évidemment le mystère du "bois" en moins
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

cho_lapin a écrit :Mais quel endroit improbable ce bois!
Coincé entre Boulogne, le 16ème et Neuilly, où le mètre carré de foncier équivaut à une twingo....

On peut y croiser toute la société, du SDF bourré à la villageoise, aux grandes fortunes qui vont jouer de la raquette au Racing, avant d'aller casser la croûte au pré Catelan.
Du "bon" père de famille qui passe "par hasard" en scénic à 03h00 du matin, au loulou de quartier qui n'est surtout pas homo, mais qui gratterait bien une pipe dispensée par une femme à bite.

Un endroit improbable, où les jeunes cadres dynamiques viennent courir autour du lac dans le sens des aiguilles du montre, à 20 mètres de gens qui en prennent par tous les trous.

On ne se rappelle pas quand cette histoire a commencé, ni pourquoi c'est si spécialisé dans le troisième sexe. On sait simplement que tout peut arriver, le meilleur comme le pire, le plus marrant comme le plus triste. La seule limite étant l'imagination des acteurs.
Je ne sais pas si il existe ailleurs dans le monde un tel bordel à ciel ouvert.

J'ai débarqué en IdF au début des années 2000, ça rajeunit pas. Je sortais de ma petite ville de province, plein de naïveté.
Mes premiers pas au bois se sont fait un après-midi d'été. Parti en balade, j'ai traversé Paris à pied d'Est en Ouest. Arrivé porte Maillot, j'ai vu le "sulfureux" panneau de direction. Je n'avais encore aucune idée des "coins", au détour d'un bosquet, une créature qui devait avoir trois fois mon age m'a proposé une affaire. J'ai continué ma route, mais ma curiosité été piquée.

A l'époque, Sarko n'était encore pas grand chose. Je revenais quelques temps plus tard en voiture, de nuit. Pour trouver les spots, rien de plus simple, il suffisait de suivre la foule. C'était spectaculaire, on aurait pu doubler la longueur de la Reine Marguerite, que chaque mètre de trottoir aurait encore été utilisé. Des poitrines à l'air de partout, des dames qui descendent sur la chaussée pour ralentir le chaland.

Une question me taraudait, elles sont où les trans dont tout le monde parle ?
Je l'ai déjà dit, j'étais naïf, ces dames au bord de la route sont trop bien gaulées pour avoir une paire de balloches.

La première fois fut avec la blonde qui doit encore être présente sous le carrefour RM allée de Longchamps et qui avait une Passat Break à une époque. Elle en faisait énormément avec ses nichons à l'air. Je l'ai embarqué dans la Clio, elle a deviné le couillon qui se cachait (mal) en moi, la passe a été vite expédiée (je ne sais même si elle avait une bite).

Honnêtement, j'ai pas consommé si souvent au bois. En fait j'avais quelque défauts, d'une part je passais pas mal de temps à tourner et retourner dans le bois, à pied ou en voiture, ce qui faisait monter l’excitation. Ajouté au fait que j'y allait généralement les burnes pleines, conjugué au talent de ces créatures, j'avais tendance à partir assez vite. Bon plan pour elles, mauvais plan pour moi...

Au final, j'ai toujours eu une impression mitigée des passes au bois. J'ai testé quelques trucs comme sucer une trans, mais j'ai jamais franchi le pas d'être passif. Faut reconnaitre que c'est quand même délicat, de faire ça avec une inconnue qu'on ne sait pas comment elle va agir, derrière un arbre ou sur une banquette crasseuse (et le BMC, c'est pas mon truc).

Pendant un certain temps, au moment des lois anti-racolage, je bossais en horaires décalé à la Défense. En sortant j'aimais bien aller tourner un peu au bois. Surtout les matins d'été, au lever du jour, à la fraiche. Les premières lève tôt prenaient place, les dernières de la nuit sentaient fort la gueule de bois. Intéressant également de voir le bois évoluer au fil des saisons. Entre l'hiver et les arbres sans feuilles, qui laissent bien imaginer ce qu'il se passe dans l'arrière boutique. La période de fin d'année qui marque les congés annuels. les fortes chaleurs enjoignant les corps à se dénuder...Rolland Garros et les problèmes de stationnement...

Une fois revenu à des horaires de travail plus normales, je passais régulièrement. L'heure de sortie de bureau n'est clairement pas la meilleure, celles du jour sont déjà parties et l'équipe de nuit n'est pas encore arrivée. Au final, c'est mieux en rentrant de boire un verre avec les potes.
Il m'est arrivé plusieurs fois de prendre des stoppeuses, souhaitant rentré chez elles. C'était sympa de se faire branler en conduisant et voir ce qui allait se passer ensuite (des fois rien. des fois une gâterie offerte). Je me rappelle notamment avoir déposé une de ces dames au centre de Paris, elle a prétexté je ne sais quoi pour me dire qu'elle rentre d'abord et qu'elle ne ferait entrer ensuite... J'attends encore de franchir la porte de l'immeuble.

La dernière fois que j'ai consommé au bois, c'était en 2016, quelques jours avant la loi de pénalisation du client. Le bois était assez mort, j'ai choisi une trans dont j'ai oublié le nom. on s'est sucé puis elle m'a demandé de la prendre... sauf qu'elle n'avait (soit-disant) pas de capotes (non mais allô!!!) , fin du game.

Depuis j'ai quitté la région, le bois ne me manque pas, mais je me dis souvent que ces visites étaient de sacrés aventures!

Merci cho-cho pour cette restitution d’ambiance si pertinente et ces quelques instantanés criant de vérité qui m’ont rappelé mes débuts au bois. Pour ma part, toujours Francilien, j’ai eu en trente ans la chance de pouvoir le connaitre plus en profondeur, lui et ses créatures, et pour ces dernières, au sens figuré comme au sens propre ....
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Merci à touis ceux qui ont posté dans cette discussion et l'ont animée pendnat que je faisais autre chose. Je n'ai pas fini de lire tous les posts. J'ai d'autres histoires à raconter. Je suis content de raconter ça avant d'oublier certains trucs qui commencent à dater.
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voudrais ajouter que je suis impressionné par les posts de Nostrabéru. On a vu tous les deux des choses similaires mais pas à la même époque. Je suis carrément étonné que le Bois ait repris dans les années 2010 une ambiance chaude comme dans les années 1990. Je me souviens de l'époque où l'activité ne se restreignait pas qu'à l'Allée de la reine Marguerite (ARM), le Pré Catelan et autour. Je commençais à aller voir seulement. C'est vers le milieu des années 1900 que des barrières ont interdit l'accès au lac intérieur et à d'autres endroits (ceux que je n'arrive plus à localiser) le soir.

Toujours pour Nostrabéru, les coordonnées GPS m'ont été d'une utilité très limitée. Ce serait mieux de faire un zoom sur google maps et de poster le lien ou alors, c'est que je ne sais pas exploiter les données sur mon PC (si quelqu'un a une solution, je suis preneur).



J'ai mis les pieds au B2B pour la première fois en 1986. Quelqu'un de ma famille était en formation à Boulogne et m'avait hébergé pendant quelques jours. J'avais été voir en journée et n'avais rien vu de très probant : une ou deux vieilles racolaient avec leurs voitures en roulant à 20 km/h avec leurs warnings.
Puis, j'ai eu ma toute première expérience avec une trans en 1987 ou 1988. Je ferais mieux de dire avec un travelo. Il y avait 4 ou 5 trans en RM1 et rien d'autre dans l'ARM. J'ai choisi la blonde platine qui avait l'air belle de loin, mais j'avais eu largement le temps de faire machine arrière quand j'avais atteint la distance où on voyait bien que c'était une "face de pioche" avec un gros tarin, du maquillage et une perruque. Déjà pour cette première expérience, un voyeur s'est approché sans aucune discrétion pour mâter et s'est fait jeter par le travelo.

J'ai eu une première période au début des années 1990 où je vivais en région parisienne. Je ne me souviens pas avoir "consommé" au B2B à cette époque, pourtant, j'ai du y passer quelques fois pour mâter. Je ne savais jamais où aller. Parfois l'ARM était vide et il fallait aller ailleurs. D'autre fois, il n'y avait rien vers le lac intérieur et je trouvais le long de l'ARM.
Je passais en voiture et j'observais. J'aimais bien m'approcher d'une trans jusqu'au stade où ça se voyait trop que ce n'était pas une meuf. Alors, je passais mon chemin. C'était comme une jeu pour moi. Un jour, j'ai du m'approcher au plus près alors que la trans me plaisait encore, j'ai ouvert la vitre de ma voiture - négociation, sa voix me plaisait et ce fut parti. Je n'arrive pas à dater cette époque (1993 ou 1998. Peut-être que l'épisode que je raconte au premier post remonte à 1992 ou 1993)

J'ai vécu à nouveau en RP entre 1998 et 2002 par intermittence. 1998 a été pour moi une grande année au B2B. L'activité était déjà restreinte à l'ARM mais il y avait de plus en plus de trans au point que ça devenait fou et parfois dangereux. Comme il n'y avait pas assez de clients, certaines n'hésitaient pas à voler. J'ai été victime d'un vol par ruse en 1998, il avait fallu refaire tous mes papiers, je m'en souviens encore.

Puis j'ai quitté la RP et je suis parfois revenu entre 2007 et 2011. Entretemps, il y avait eu la répression du racolage passif par un petit ministre de l'intérieur. Je trouvais l'ambiance changée. A l'opposé, je trouvais que les putes (pas seulement transsexuelles et pas seulement au B2B) et les punters faisaient parfois n'importe quoi (avant l'arrivée de ce petit ministre) en allant baiser sous les fenêtres de la France qui se lève tôt en laissant parfois leurs préservatifs usagés. On a pris un retour de bâton en partie mérité. Certains soirs en 2002, aller du côté de l'ARM me faisait penser à de la plongée au milieu des requins. Les voitures étaient parfois bloquées par une trans occupée à s'exhiber au milieu de la rue et les automobilistes mâtaient ou n'osaient pas passer car la trans avait l'air bien déjantée.
Certaines barrières n'existaient pas (bien que certaines portions du bois étaient déjà fermées le soir). Un soir, au coucher du soleil, j'ai trouvée une petite brune argentine répondant au nom de Daisy en RM3. Elle m'a amené vers la route de Sèvres à Neuilly puis sur un petit chemin à la lisière du bois ( https://www.google.com/maps/@48.8585978 ... a=!3m1!1e3 ) . Elle s'est désapée pour exhiber une bite énorme alors que je l'ai baisée en position du missionnaire. Ma voiture était visible de la route qui longe l'hippodrome. Il n'y avait pas de blocs de béton côté bois en bordure des trottoirs. Certaines trans me demandaient d'aller du côté du pré Catelan, de monter sur le trottoir et de m'enfoncer dans le bois au milieu des arbres. Ce n'est plus possible non plus.

Ce que j'aimais bien à l'époque : des trans jeunes, petites, discrètes et féminines. Si je n'habitais pas à Paris, je prenais une chambre dans un hôtel à côté du Pont de Suresnes et il m'est arrivé d'en emmener dans ma chambre. Il y avait un parking gratuit au sous-sol avec un accès direct par l'ascenseur sans passer par la réception. Je me suis demandé ce qui m'attirait tant chez les trans. Je pense qu'elles étaient plus fraiches et plus soumises que les filles qui faisaient le trottoir ailleurs à Paris. Après les avoir trouvées moins prudes pour sucer, je me suis mis à aimer les sodomiser.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voudrais ajouter que je suis impressionné par les posts de Nostrabéru. On a vu tous les deux des choses similaires mais pas à la même époque. Je suis carrément étonné que le Bois ait repris dans les années 2010 une ambiance chaude comme dans les années 1990. Je me souviens de l'époque où l'activité ne se restreignait pas qu'à l'Allée de la reine Marguerite (ARM), le Pré Catelan et autour. Je commençais à aller voir seulement. C'est vers le milieu des années 1900 que des barrières ont interdit l'accès au lac intérieur et à d'autres endroits (ceux que je n'arrive plus à localiser) le soir.

Toujours pour Nostrabéru, les coordonnées GPS m'ont été d'une utilité très limitée. Ce serait mieux de faire un zoom sur google maps et de poster le lien ou alors, c'est que je ne sais pas exploiter les données sur mon PC (si quelqu'un a une solution, je suis preneur).



J'ai mis les pieds au B2B pour la première fois en 1986.

.........


Ce que j'aimais bien à l'époque : des trans jeunes, petites, discrètes et féminines. Si je n'habitais pas à Paris, je prenais une chambre dans un hôtel à côté du Pont de Suresnes et il m'est arrivé d'en emmener dans ma chambre. Il y avait un parking gratuit au sous-sol avec un accès direct par l'ascenseur sans passer par la réception. Je me suis demandé ce qui m'attirait tant chez les trans. Je pense qu'elles étaient plus fraiches et plus soumises que les filles qui faisaient le trottoir ailleurs à Paris. Après les avoir trouvées moins prudes pour sucer, je me suis mis à aimer les sodomiser.


Merci Samutprakan pour ce fil et ce retour sympathique. C’est toujours troublant de découvrir que beaucoup ici ont connu et apprécié cette ambiance si particulière du bois.

Pour ma part, comme je l’ai indiqué dans mon message du 25 janvier dernier sur un autre fil :

http://www.trans-girls.com/index.php?na ... c&start=15

j’ai fréquenté le bois depuis la fin des années 80 jusqu’en 2016 environ. Mais comme toi, il y a certaines expériences que je n’arrive plus aujourd’hui à dater exactement :oops:

Concernant l’exploitation des coordonnées(*) GPS qu’il m’arrive parfois d’indiquer, il suffit d’ouvrir Google Maps et de copier ces coordonnées dans le cartouche « rechercher dans Google Maps » :idea: .

A l’avenir je publierai les liens plutôt que les coordonnées.

A bientôt peut-être.

(*) Personnellement, j’utilise Google Earth pour trouver les coordonnées.
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Nostrabéru a écrit :
Concernant l’exploitation des coordonnées(*) GPS qu’il m’arrive parfois d’indiquer, il suffit d’ouvrir Google Maps et de copier ces coordonnées dans le cartouche « rechercher dans Google Maps » :idea: .

A l’avenir je publierai les liens plutôt que les coordonnées.

A bientôt peut-être.

(*) Personnellement, j’utilise Google Earth pour trouver les coordonnées.
Non, c'est mieux que tu continues de faire comme tu l'as fait avant. J'avais essayé d'ajouter les coordonnées comme tu le dis mais je les avais mal copé, du coup, le copier+coller ne fonctionnait pas. J'ai essayé à de les ajouter dans l'URL mais il faut les convertir en décimales et ça ne marche pas.
Dans cette version du forum, on ne peut pas ajouter les liens URL sur un mot et les adresses Google Maps ne sont pas prises complètement. C'est meilleur avec ta méthode.

**********


Retour aux années 1990.

Ma première trans asiatique était au Bois de Boulogne.

Je ne sais pas si cet épisode précédait ou suivait ceux que je posterai plus tard, mais je l'ai gardé en mémoire. Je l'ai surnomée "petits pas". Elle tapinait en RM1 à 2 pas du rond point (RDPT1). Elle était pas mal sans toutefois être aussi sexy que les ladyboys thaïlandaises et avait réussi à attirer mon attention. Par contre, elle avait une voix grave dans le genre "trav Dalida". On a conclu notre affaire au tarif league de l'époque : 200 FF en voiture.

A ma grande surprise, nous sommes partis dans les rue de Boulogne et elle m'a amené à une entrée menant à l'arrière cours d'un immeuble en passant sous un porche. Elle m'a fait arrêter sous le porche (vu l'heure personne ne devrait l'emprunter) et on ne pouvait pas ouvrir les portes de la voiture ni à gauche ni à droite tellement le passage était étroit. C'était l'époque où on commençait à faire n'importe quoi en allant baiser un peu n'importe où.

Rien de très spécial à dire ou à redire au sujet de la prestation de cette trans. Après une fellation pas très passionnée, elle s'est mise en position en levrette et je l'ai pénétrée. Au bout d'un moment, elle est partie à m'encourager avec des mots grossiers que je trouvais décalés par rapport au personnage, puis elle s'est branlée pendant que je l'enculais et a fait semblant de de jouir.
Elle s'est mise à gigoter du cul pour essayer de me faire éjaculer plus vite , alors je la poussais d'un coup de rein tout en la pénétrant, ce qui lui faisant pousser un gémissement grave et m'excitait en retour.

Puis elle est devenue désagréable. Je ne me souviens plus exactement la raison, peut-être m'a-t-elle demandé un supplément sous prétexte que ça avait trop duré mais à vrai dire je ne m'en souviens plus. J'avais la trentaine, moins de 35 ans et elle est partie à me traiter de vieux et à me couvrir de commentaires désagréables allant dans le même sens pendant que je la ramenais en RM1.

Tout ce qu'elle a gagné, c'est que je n'ai vraiment plus eu envie de la revoir alors que sa prestation n'était pas mauvaise à la base. Je l'ai surnommée "petits pas" parce qu'à chaque fois que je la revoyais, elle portait une jupe longue qui l'obligeait à marcher à petits pas. Quand elle suivait ses copines, elle devait faire 3 pas quand ses copines en faisaient un seul. J'ai pris l'habitude de ne pas trainer en RM1 quand je la voyais et finalement, je suis resté à l'écart du coin pendant plusieurs mois. Si toutes es asiatiques étaient comme "petits pas", je ne serais jamais allé voir les ladyboys.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

J’ai moi aussi pas mal fréquenté cette zone (RM1, RDPT1, Avenue de la Porte d’Auteuil) plutôt le soir dans la fin des années 80-90 et plutôt très tôt le matin ensuite.

Avant d’avoir mes habitudes avec Sandra, elle aussi une habituée de RM1, j’ai également vécu ce type d’aventure un peu risquée où la pute que tu avais fait monter dans ta voiture t’emmenait baiser dans des coins improbables de Boulogne. J’en ai même connu une qui avait plusieurs endroits qu’elle partageait avec des copines. C’était soit dans une descente de parking, soit dans une cour d’immeuble du côté du boulevard d’Auteuil. Parfois, il n’y avait qu’une place et parfois, quand nous y arrivions, il fallait attendre que la copine « finisse » son client pour prendre la place. Comme tout se passait en voiture, c’était un moment très excitant où l’on pouvait très bien distinguer si le client était en train de se faire sucer ou s’il était en train de défoncer le cul de la transsexuelle. Dans le premier cas on savait qu’il nous faudrait attendre un petit plus longtemps …. avant de se livrer aux mêmes exercices : une bonne pipe couverte suivi d’un pilonnage en levrette pas toujours facile à réaliser en voiture.


A la longue je trouvais ces expériences un peu trop hasardeuses et j’ai alors, toujours dans cette même zone, commencé à fréquenter certains BMC qui stationnaient en épi dans le parking de l’Avenue de la porte d’Auteuil en face de Roland Garros. Quelle que soit l’heure, il y en avait toujours deux ou trois salopes disponibles….. C’était parfois un peu glauque mais j’y ai aussi connu des bons plans.


Mais mon meilleur souvenir remonte à la fin des années 80. C’était une transsexuelle très féminine, mince, blonde avec un visage d’ange et un petit cul de diablesse. Elle tapinait la nuit, généralement au coin de l’Avenue de la Porte d’Auteuil et du l’Avenue Gordon Bennett, 92100 Boulogne-Billancourt, mais il m’est aussi arrivé de la charger en RM3. Elle avait cette particularité d’être toujours habillée en blanc avec de la lingerie sexy. J’étais quasiment tombé amoureux de cette transsexuelle.
Quand j’en avais l’occasion je ne manquais pas d’aller la rencontrer. Souvent je devais attendre car elle était très demandée. Mais ensuite quel bonheur !

Avec elle cela se passait dans les bois où elle avait ses habitudes, souvent du côté de la Route de Sèvres à Neuilly. Il y avait en particulier au début de cette route un gros cèdre bleu au large tronc. C’est souvent derrière cet arbre que nous baisions. Elle se déshabillait complétement, s’accroupissait pour me sucer en levant ses beaux yeux bleus pour me regarder. Ensuite elle se relevait, s’appuyait contre le tronc du cèdre et se cambrait pour m’offrir son cul.

C’est ainsi que je la prenais, belle, complétement nue et offerte. J’étais toujours un peu stressé car cet arbre n’était pas au milieu du bois mais quasiment en bordure de route. Mais sa nudité et sa gentillesse me faisait vite oublier ma pudeur. Je crois même avoir eu le bonheur de la faire jouir plusieurs fois. Plus de trente ans après je la revois encore se mettre nue derrière cet arbre et attendre que je m’enfonce en elle ….

C’était hélas il y longtemps ….
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

A poil à quelques mètres de la route ! Elle n'avait pas froid au cul celle-là ! (Je ne parle pas de la température)

ça a dû m'arriver aussi de tourner dans Boulogne avec une trans à la recherche d'un emplacement déjà pris. Je n'en garde ni bon ni mauvais souvenir, mais ça craignait. Vers la fin des années 1990, l'une d'entre elles avait poussé jusqu'à l'avenue Gordon Bennet et avait interrogé la trans qui tapinait à l'angle, peut-être celle dont tu parles mais qui avait vieilli. Elle l'appelait Katioucha. Ce qui me fait sourire dans ton récit, c'est la petite séance d'attente au cours de laquelle il fallait jouer les voyeurs. Je l'ai vécue une fois ou deux. ça ne faisait pas rire les trans. Dommage.

C'est aussi dommage que le bois ne soit pas resté une zone de tolérance pour faire comme la blonde qui se mettait à poil au bord de la route. ça aurait été mieux de le permettre dans les parties du bois qui échappent à la vue des habitants du coin. ça aurait permis un équilibre. Mais je crois que les trans aussi ont parfois peur de s'éloigner de la route ou de la présence de leurs copines et préfèrent pousser leurs clients à faire de l'exhibitionnisme.


***************


Toujours vers cette époque, je suis parti un soir en RM9 à la recherche de la première trans que j'avais trouvée à mon retour à Paris et je ne l'ai pas trouvée. J'ai trouvé à la place un joli spécimen, pas trop grande (1m65), bien gaulée avec des cheveux chatains et la peau mate et une robe dans les marron clair /orangé qui s'accordait avec sa couleur de peau et de cheveux (ou de perruque). J'avais envie de taquiner une trans et elle avait l'air un peu chaude. J'avais négocié un pourboire de 50 FF si elle me roulait des pelles pendant que je la baiserais et elle a accepté.

Nous sommes partis vers le parking en bord de Seine dont Nostrabéru a donné les coordonnées. (48° 51' 19.62" N 2° 13' 31.18" E ). Tout a démarré de manière on ne peut plus classique : une pipe un peu pressée puis elle s’est mis en levrette. Quand j’ai commencé à la pénétrer, elle a commencé à chanter comme une actrice de film porno. C’était assez agréable mais de roulage de pelle point. Il faut dire que ça ne doit pas être facile pour elle qui se faisait prendre comme ça en levrette. Je l’ai relancée mais elle était concentrée sur ses sensations. J’ai peut-être sous estimé que ça lui faisait mal, mais j’appréciait qu’elle ne fasse pas la gueule pendant l’acte comme le faisait les filles vénales à cette époque.

Comme elle ne réagissait pas à ma demande, je lui ai mis un coup de rein plus fort et bien profond. Elle n’a pas hurlé, juste gémi encore plus fort et elle se mettait à gigoter pour se dégager un peu. J’ai finalement obtenu qu’elle se retourne un peu et me donne des coups de langue, un peu comme un chien qui lèche son maître. Ce n’était pas au point son truc du boût de la langue. Alors je l’ai à nouveau punie d’un coup de rein musclé et elle s’est remise à gigoter, se calmait et je recommençais encore et encore. Quand tout a été terminé, elle m’a demandé son pourliche de 50 balles, mais j’ai estimé qu’elle ne le méritait pas.

Je n’ai pas pu tourner sur le Bd Anatole France pour revenir au Bois, alors il a fallu rouler un peu plus pour trouver un endroit pour faire demi-tour. Ça a lui a donné l’opportunité de réclamer ce qu’elle estimait être son dû. Je me suis arrêté pour réclamer le mien. Elle ne savait pas embrasser. J’ai repris ma route mais j’ai senti la colère monter en elle. Pas envie de déclencher une bagarre, d’autant plus que je l’avais bien défoncée. Cette trans dont j’ai oublié le nom m’a comme révélé que les trans étaient plus chaudes à se faire défoncer la porte arrière que les filles pour baiser. J’ai basculé du côté obscur.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :A poil à quelques mètres de la route ! Elle n'avait pas froid au cul celle-là ! (Je ne parle pas de la température)

ça a dû m'arriver aussi de tourner dans Boulogne avec une trans à la recherche d'un emplacement déjà pris. Je n'en garde ni bon ni mauvais souvenir, mais ça craignait. Vers la fin des années 1990, l'une d'entre elles avait poussé jusqu'à l'avenue Gordon Bennet et avait interrogé la trans qui tapinait à l'angle, peut-être celle dont tu parles mais qui avait vieilli. Elle l'appelait Katioucha. Ce qui me fait sourire dans ton récit, c'est la petite séance d'attente au cours de laquelle il fallait jouer les voyeurs. Je l'ai vécue une fois ou deux. ça ne faisait pas rire les trans. Dommage.

C'est aussi dommage que le bois ne soit pas resté une zone de tolérance pour faire comme la blonde qui se mettait à poil au bord de la route. ça aurait été mieux de le permettre dans les parties du bois qui échappent à la vue des habitants du coin. ça aurait permis un équilibre. Mais je crois que les trans aussi ont parfois peur de s'éloigner de la route ou de la présence de leurs copines et préfèrent pousser leurs clients à faire de l'exhibitionnisme.


***************.

Hello Samut !

Cela m’a fait plaisir de te lire et de constater que nous avons tous les deux connu ces mêmes attentes qui nous forçaient parfois à jouer les voyeurs. Il est vrai aussi que certaines gagneuses n’appréciaient pas forcément d’être ainsi dépendantes d’une collègue qui s’éternisait à éponger son micheton …. Pour elles c’était une perte de temps, donc d’argent, mais pour moi c’était un avant-propos des plus excitants
Ne dit-on pas que tout le plaisir est dans l’attente ;)

Effectivement, la poupée(*) que j’évoquais dans mon dernier post n’avait froid ni aux fesses ni aux yeux. Car, même si, grâce à l’envergure du tronc de l’arbre, nous n’étions pas visibles depuis la rue, ce n’était pas un endroit des plus discrets pour se mettre à poil. Mais la belle prenait visiblement plaisir à s’exhiber, même si des préoccupations sécuritaires n’étaient sans doute pas étrangères au choix d’un endroit si proche de la route.

A l’époque, si cela faisait quasiment partie de la prestation standard dans les BMC, les transsexuelles qui se mettaient totalement à poil dans les bois étaient plutôt rares. La plupart était déjà très dénudée et se contentait d’exhiber leurs seins, de baisser leur culotte ou d’écarter leur string. En général cela suffisait à satisfaire le client impatient qui était venu pour leur défoncer le cul où se faire élargir la rondelle et non pour admirer des nudistes.

Pour ma part, j’appréciais celles qui se déshabillaient complétement et qui prenaient du plaisir à s’exhiber. J’en ai connu une autre dont, pour une fois, je n’ai pas oublié le prénom. C’était une grande brune racée qui se faisait appeler Solange et officiait la nuit en RM7. Pour la rencontrer, je me garais Allée de la Reine Marguerite qui à l’époque était plutôt tranquille. Certains soirs, il y avait même des routiers qui y garaient leurs 15 tonnes avant de faire monter une trans dans leur cabine :o

Mais revenons à Solange. Pour la baiser, je devais m’enfoncer assez profondément dans le bois car, compte tenu de son succès, Solange n’avait, entre deux passes, que rarement le temps de remonter près de la route ;) ....

Il me fallait donc suivre un petit sentier légèrement en pente où je croisais quelques copines de Solange. Celles-ci me draguaient en exhibant leurs queues et en palpant la mienne à travers mon pantalon :o :shock: .
Leurs braquemards, souvent impressionnants, séduisaient plus d’un punter ;)
Personnellement, je n’en avais pas l’usage, mais je ne détestais pas visiter au clair de lune cette étrange exposition de bites et de seins siliconés. C’était une ambiance un peu inquiétante mais tellement érotique :D :D
En même temps je savourais les odeurs de ce sentier où les senteurs légères et fraiches du bois se mêlaient aux effluves entêtantes des parfums que dégageaient ces créatures fascinantes. Ces odeurs aussi participaient à cette atmosphère si particulière que je n’ai connue qu’au Bois ….

J’avais « essayé » quelques-unes de ces créatures felliniennes mais je leur préférais définitivement Solange. Après une centaine de mètres, je retrouvais la petite clairière où celle-ci livrait son corps nu à un,et parfois à plusieurs, punters :o :shock:
Il y en avait toujours deux ou trois qui mataient ou attendaient leur tour. Quand je me remémore ces scènes, je me trouve aujourd’hui bien intrépide d’avoir ainsi osé m’aventurer dans les profondeurs du bois au milieu d’inconnus parfois bizarres ....

Solange se tenait au centre de la clairière. Quand elle avait terminé un client, elle enfilait une pelisse blanche en fausse fourrure pour signifier qu’elle était disponible. Elle n’attendait pas longtemps et ce n’était qu’exceptionnellement qu’elle devait rejoindre la route pour lever un nouveau punter. Car, rapidement un autre client l’abordait et dès que celui-ci l’avait payée, elle faisait glisser au sol sa fourrure et se retrouvait à nouveau à poil au milieu de « sa » clairière.

Avec l’habitude, quand elle me reconnaissait approcher, elle ne prenait même plus la peine de renfiler sa pelisse et s’avançait vers moi, intégralement nue, pour m’embrasser à pleine bouche :D :D .
J’adorais pourtant ce moment où elle dévoilait toute sa féminité en laissant tomber sa fourrure sur les feuilles mortes. Sa silhouette élancée et ses petites fesses me faisaient bander comme un âne, bien avant qu’elle ne commençât à me sucer. Je ne me souviens pas de sa queue car c’est uniquement à son petit trou que j’en voulais ;)
En début de soirée il était bien serré et c’est avec douceur que je le forçais. Mais quand j’arrivais plus tard dans la nuit, son anus était assoupli et j’y enfonçais brutalement ma queue. Je lui défonçais alors son délicieux petit cul sous le regard excité des mateurs dont certains se branlaient sans que cela ne la perturbe. Au début, j'étais stressé par ces inconnus qui surgissaient de la pénombre et s'approchaient pour nous observer. La première fois, sans une reprise en bouche efficace de Solange, j'en aurais même débandé :oops:
Puis, peu à peu, je m'étais habitué et cela m'excitait de m'exhiber ainsi en pleine action. Certains punters, plus audacieux, s'aventuraient même à caresser la poitrine et la queue de Solange pendant que je m'occupais de son cul. Solange aimait cela et elle encaissait bien :!:

Parfois, quand le bois n’était pas trop humide, je lui demandais de s’agenouiller à quatre pattes sur le tapis de feuilles pour la prendre en levrette. Il pouvait alors arriver qu’un punter s’avance, sorte sa queue en même temps qu’un billet, et profite de sa bouche tandis que j’allais et venais entre ses fesses :o :D Malgré la brutalité de ces assauts, Solange restait toujours élégante et soucieuse de mon plaisir. Ce n'était pas une pute mais une déesse que j’enculais :?: !

Sa féminité me rassurait sur mes orientations sexuelles. Certes je baisais des transsexuelles, mais des transsexuelles féminines … Solange était pour moi une sorte de thérapie.

Sans doute est-ce pour cela que je garde un souvenir si clair de cette petite clairière sulfureuse où elle fit si souvent exploser mon plaisir.
C’est aussi pourquoi, comme toi, je regrette que, dans le respect des uns et des autres, certaines parties du bois ne soient pas restées des « zones de tolérance » comme celles où les vieux boomers comme moi se sont autrefois tant éclatés.

Au plaisir de te lire.

(*) Si le souvenir de son corps et de son cul est gravé dans ma mémoire, j’ai oublié son prénom mais elle aurait très bien pu être d’origine russe et « Katioucha » être le prénom de cette poupée russe ....
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Samutprakan
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Message par Samutprakan »

Je n'ai pas trouvé une telle déesse au cors de toutes mes promenades au bois, hélas. Pour y parvenir, il fallait cette zone de tolérance (qui existait peut-être de fait), mais aussi qu'il y eût de la sécurité. Il y avait comme un "code d'honneur" des punters (pour filles ou trans) qui consistait à garder ses distances quand une tapineuse était occupée avec un client. Je savais qu'il y avait des voyeurs et des exhibitionnistes au B2B mais je ne sais pas si j'aurais toléré qu'un voyeur ou un autre punter s'approchât à toucher celle que je baisais. Ce n'est pas de la jalousie, c'est surtout un problème de sécurité. Si le type met la main dans la poche du portefeuille alors que j'ai le pantalon baissé sur les genoux ou que je suis planté dans les reins d'une trans jusqu'à la garde, il peut se sauver tranquillement (et en général, ils sont rapides). C'est bien regrettable mais je ne crois pas que la répression policière soit à l'origine de tous les problèmes. Il y a même au contraire un autre phénomène tout à fait à l'opposé : la police a laissé les quartiers de prostitution se transformer un zone de non droit sauf bien sûr celui de la répression du racolage.

ça faisait aussi partie du jeu de se faire palper par des trans en train de racoler. Un mec fauché aurait pu y passer sa soirée. Il m'arrivait d'errer dans une partie du bois tout en sachant que j'irais faire affaire dans une autre partie du bois, mais uen bonne soirée commençait toujours par une visite des lieux à la recherche des plus belles et des plus salopes. Ensuite, j'allais voir ma préférée du moment si j'en avais une ou j'en changeais.
Nostrabéru
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Message par Nostrabéru »

Samutprakan a écrit :Je n'ai pas trouvé une telle déesse au cors de toutes mes promenades au bois, hélas. Pour y parvenir, il fallait cette zone de tolérance (qui existait peut-être de fait), mais aussi qu'il y eût de la sécurité. Il y avait comme un "code d'honneur" des punters (pour filles ou trans) qui consistait à garder ses distances quand une tapineuse était occupée avec un client. Je savais qu'il y avait des voyeurs et des exhibitionnistes au B2B mais je ne sais pas si j'aurais toléré qu'un voyeur ou un autre punter s'approchât à toucher celle que je baisais. Ce n'est pas de la jalousie, c'est surtout un problème de sécurité. Si le type met la main dans la poche du portefeuille alors que j'ai le pantalon baissé sur les genoux ou que je suis planté dans les reins d'une trans jusqu'à la garde, il peut se sauver tranquillement (et en général, ils sont rapides). C'est bien regrettable mais je ne crois pas que la répression policière soit à l'origine de tous les problèmes. Il y a même au contraire un autre phénomène tout à fait à l'opposé : la police a laissé les quartiers de prostitution se transformer un zone de non droit sauf bien sûr celui de la répression du racolage.
.
Pour en finir avec Solange :

Solange n’était sans doute pas une beauté grecque, ni une déesse au sens mythologique du terme mais son corps dévêtu au clair de lune m’attendrissait.
Solange n’était pas une banale « femme à bite » mais une transsexuelle intelligente dont la vulgarité élégante me troublait.
Solange ne faisait pas des passes, elle offrait aux hommes sa sexualité déjantée avec un naturel et un sans-gêne qui m’excitait.
Solange n’était pas la meilleure des suceuses de bites mais c’était une sacrée salope avec un cul à bouffer de la queue.
Mais il est vrai que parfois les souvenirs embellissent la réalité ;)

Y avait-il, pendant ces nuits fauves, où punters et mateurs se partageait Solange, rupture du « code d’honneur » que tu évoques ? Je ne pense pas.

Comme toi, lors de mes premières incursions au bois, je redoutais et fuyais les voyeurs. Je recherchais avant tout la discrétion. Je me souviens de ma colère lorsque j’avais découvert qu’un punter faisait un trou avec sa cigarette dans la toile de la tente d’une « latina » que j’étais en train de besogner. J’avais passé une tête pour faire déguerpir l’importun et avais découvert deux autres punters collés à la tente. Expérience des plus désagréables :o :shock:

Avec le temps je m’étais habitué peu à peu à ces désagréments. Etant passé aux "activités plein air" ;) , je fis de moins en moins attention à ces voyeurs qui, en général, respectaient ce « code d’honneur » qui permettait de baiser tranquille :D Quand l’un deux s’approchait un peu trop près, la pute intervenait énergiquement pour faire fuir le curieux.

Mais il y avait des exceptions … par exemple quand le voyeur était un habitué de la pute, celle-ci pouvait se montrer plus tolérante, voire même lui faire signe d’approcher, si cela excitait le micheton qu’elle était en train d’éponger.

J’ai aussi observé, dans ce fameux camp des latinas, qu’il arrivait occasionnellement qu’un client entrouvre la tente pour qu’on puisse le voir, pantalon sur les chevilles, en train de défoncer le cul de son occupante.Ce qui expliquait le nombre de promeneurs errant entre les tentes en attendant que l'occasion se présente :!:
A la nuit tombante, il y avait même des clients qui demandaient à la pute de baiser à l’extérieur de la tente :!: !

Pour les transsexuelles, j’ai également découvert qu’il y avait certaines zones du bois, par exemple certains spots autour du pré Catelan où s’appliquait une sorte de « code d’honneur inversé », à savoir que les clients venaient s’y exhiber devant des mateurs ravis.
Disons, pour résumer, que quand cela n’était pas commis à l’insu, ou sans le consentement des intéressés, beaucoup de choses étaient tolérées. Comme je l’ai déjà écrit dans un précédent message, il s’installait parfois une certaine « complicité, entre les mateurs, les putes et leurs clients ».

C’était le cas dans cet endroit discret où je rencontrais Solange. La tempête Lothar de décembre 1999 n’avait pas encore défiguré le bois et cette petite clairière entre RM7 et RM9 était vraiment au milieu de la forêt, donc à l’abri des regards d’improbables promeneurs innocents qui auraient pu s’y égarer. C’était un lieu d’initiés 8-)
Quant à ceux qui se rapprochaient pour mater, voire pour participer, il était clair pour moi qu’ils s’agissaient pour la plupart de punters que Solange connaissaient. Je ne me sentais donc pas en danger et la situation m’excitait. Avec le recul, peut-être étais-je alors inconscient ?

Je ne saurais dire si le bois est aujourd’hui plus dangereux ou s’il est devenu « une zone de non droit ».
A l’époque que j’évoquais, la police y était très présente, efficace et aussi bienveillante :D
Je me souviens de cette fin d’après-midi où j’avais été interpellé en RM3, sortant du fourré derrière lequel je m’étais soulagé entre les reins d’une superbe bimbo. Après m’avoir contrôlé, l’un des deux pandores m’avait lancé, goguenard, « Au fait, vous savez comment s’appelle la fille avec qui vous étiez ? Elle s’appelle Robert ! » ;)
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