En filigrane du Long Time, il y a une réalité que je n'ai pas dite assez explicitement : le LT c'est la GFE, la vraie girlfriend experience. Si c'est possible, c'est parce que les ladyboys sont amicales, aimantes, souvent douces et caressantes, même si elles ont aussi le caractère parfois ombrageux des trans.
J'ai été trop occuppé pour écrire un autre post sur un autre sujet aujourd'hui (bien que parfaitement dans l'évolution des sujets). J'y réfléchis car c'est délicat. Je suis passe consulter ma messagerie et j'ai jeté un oeil sur le nombre de vues sur les fils sur les ladyboys. J'espérais voir celui-ci dépasser les 1000 vues. J'ai été époustouflé de le voir à plus de 4800, puis 6700 et de voir que ce soir il a atteint 8200 vues soit 10 fois le chiffre d'hier.
Je tiens à remercier tous les lecteurs bien que je n'arrive pas à expliquer cette explosion. J'ai aussi ouvert un fil avec un post pour permettre le discussion et je ne vois pas trop de posts en retour avec l'apport d'autres points de vue ou d'éventuelles question. Je suis curieux de la timidité de cette curiosité.
Le business des ladyboys thaïlandais
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Samutprakan
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Une relation à long terme (LTR)
Ça fait 5 jours que je tourne le sujet dans ma tête pour décider comment l’aborder. J’avais envie de commencer par dire de façon abrupte ce que j’en pense mais comme disent les ladyboys «up to you», au premier degré, c’est toi qui décide mais en filigrane à tes risques et périls et je ne suis pas responsable. Je me souviens de mon voyage retour après ma première visite en Thaïlande (vol KLM jusqu’à Amsterdam). Un français ramenait une thaïlandaise (fille pas ladyboy) avec lui dans l’avion. La fille me rappelait une collègue de celle que je m’étais payée la veille à Bangkok. A Bangkok, elle frimait encore avec ses «chéri-chéri», mais après un vol de 11 heures (qui fait prendre la mesure des distances) et un transit dans le froid d’octobre à Amsterdam, la fille du pays du sourire avait perdu le sien (son pays et son sourire). Elle donnait l’impression qu’un piège allait se refermer sur elle et que son rêve commençait (déjà) à tourner au cauchemar. J’avais le numéro de mon premier ladyboy (premier ladydboy et premier LT) dans la poche. Après avoir atterri en France et repris ma voiture, je l’ai appelée pour lui dire que j’étais bien rentré. Quelques jours plus tard, j’ai cherché le papier où se trouvait le numéro. Dommage. J’avais perdu le papier. J’ignorais mon bonheur.
Au cours de mon voyage suivant, j’avais décidé de me contenter de m’amuser. J’ai tout de même tenté le coup du LT et avant de nous quitter, elle m’a initié à Line (vous savez, la messagerie dont je parlais dans un de mes premiers posts http://www.trans-girls.com/index.php?na ... pic&t=9394 ). Quel intérêt ? Elle ne peut pas utiliser Skype comme tout le monde ? Justement non, les Thaïlandaises utilisent Line et commencent à se mettre sérieusement à Wechat. Je l’ai accompagnée dans le bus direction Phuket puis j’en ai pris un direction Khao Lak avant de remonter à Bangkok. Je n’avais pas encore franchi la baie de Phang Nga que je recevais mes premiers messages : «I miss U». Comme c’était touchant ! La veille, alors qu’elle rentrait à l’hôtel fatiguée par une journée de snorkeling et alors que je décidais d’aller faire un jogging, elle m’avait demandé l’air désespérée si je n’allais chercher un autre ladyboy dans la ville. J’ai cru à un attachement assez fort, elle me faisait juste le coup du coup de foudre. Pendant 3 semaines, je me réveillais au son du «ding dong» de ses messages (au point que j’ai changé de sonnerie après coup) me demandant des nouvelles et me remontant le moral quand la vie est parfois dure en France, surtout en hivers. Puis elle a arrêté quelques semaines et a repris. J’étais emmerdé car je voulais contribuer à financer son opération de mammoplastie mais j’avais peur qu’elle ne brule l’argent au lieu de l’ajouter à une cagnotte (et puis j’étais fauché). Un jour, elle m’a annoncé qu’elle partait pour Hat Yai pour faire son opération. Quelques jours plus tard, elle m’envoyait des tonnes de selfies pour me montrer le massacre (une poitrine qui sort de chirurgie, c’est moche et c’est plein de bleus), ce qui me mettait mal à l’aise. Un autre point sur lequel je m’interrogeais était de savoir comment elle avait pu épargner 55000 baht en si peu de temps, elle qui avait peur des «butterflies» et qui ignorait presque le principe du long time (LT) quand je l’ai rencontrée.
Au fur et à mesure que le temps passait, j’observais des périodes sans message, puis elle reprenait contact avec un de ses «I miss U» (toujours intéressée ?) Puis un autre détail m’a sauté aux yeux. Si je répondais à l’un des «I miss U» elle mettait du temps à répondre à son tour, comme si elle était occupée à autre chose comme par exemple répondre aux messages d’autres farangs. Je l’ai pris avec un certain détachement, voire beaucoup d’ironie, n’empêche que ça prend la tête d’avoir à l’esprit 2 pensées qui entrent en conflit. L’une dit qu’elle est sympa et que c’est une bonne touche et l’autre dit qu’elle doit me prendre pour un pigeon. Un jour, elle m’a envoyé des selfies de son cul (pas terrible quand c’est pris en selfie) alors qu’elle avait un comportement assez pudique même quand on baisait. Et il y a eu ses sorties : journée sur un bateau avec d’autres ladyboys, voyage Singapour, à Pattaya et plusieurs aller & retours avec sa province (qu’elle ne manquait pas de m’annoncer). Elle ne m’a jamais demandé de l’argent mais me faisait savoir qu’elle engageait des dépenses. Puis, il y a eu la mort de sa grand-mère, son chagrin, son voyage pour aller aux funérailles et quelques mois plus tard, ses parents sui lui demandaient de subvenir à leurs besoins car ils se retiraient du travail.
Quand je lui ai annoncé l’année suivante que j’allais en Malaisie, elle n’a pas tiqué. J’ai cru que j’avais été bon en lui expliquant les raisons de mon choix du premier coup, mais lorsque j’étais à Kuala Lumpur, elle a piqué sa première colère sur Line. Elle comprenait qu’elle pouvait me rayer de son business plan. Nous avons continué d’échanger des messages pendant encore 6 mois jusqu’à ce que je décide de la bloquer après une ultime tentative de passer sa colère sur moi. Elle avait peut-être raison ce jour là mais j’étais trop pris par mon boulot pour me soucier d’elle.
Ce n’était qu’une relation épistolaire. La seule relation que j’ai eue avec un ladyboy était avec une philippine. Pas d’argent entre nous, ça ne l’intéressait pas disait-elle. En partant, je lui ai donné de quoi s’acheter un smartphone (c’était nouveau à l’époque). 2 mois plus tard, elle m’annonçait avec les larmes aux yeux qu’elle avait perdu son téléphone et je lui ai envoyé de quoi en racheter un. Le mois suivant, elle avait besoin d’argent pour investir dans un broadband. Stop ! Elle savait que j’étais en relation avec un ladyboy de Manille avec laquelle j’aimais bien échanger. J’ai rencontré cette deuxième et nous nous sommes confirmés que nos n’avions aucune attirance l’un pour l’autre mais nous aimions échanger des points de vue. Après ma rupture avec ma copine, cette deuxième m’a raconté que ma copine l’avait agressée par messagerie sur le site de rencontre et l’avait même menacée.
J’ai appris récemment que le centre de la famille aux Philippines est la mère de famille. D’autres m’ont raconté que leur copine philippines (ladyboy) changeait d’attitude après chaque contact avec sa mère. J’ai aussi lu dans un forum d’expats que le membre d’une famille philippine qui va vivre à l’étranger est un investissement qui doit renvoyer ou faire renvoyer du fric à la famille. Les ladyboys sont partie prenante dans cette statégie. Le comble, c’est que les «baklas» communiquent sur facebook et échangent le montant que leur boyfriend ou supposé leur envoie chaque mois. Le boyfriend d’un ladyboy philippin qui est en dessous de la moyenne se fait tancer vertement par sa copine.
____________________
Cet expatrié semble avoir trouvé la solution. Il vit à Bangkok une relation avec un ladyboy laotien.
Alors que ma thaïlandaise m’occupait avec ses messages, je suis tombé sur des vidéos sur youtube (quand on cherche autre chose et aujourd’hui que j’en cherche une, je n’en trouve pas, c’était il y a 3 ans) qui expliquait comment les thaïlandaises (on peut y inclure les ladyboys) fonctionnent avec leurs boyfriends étrangers.
Une fille de bar moyenne gagne 5 fois plus qu’une jeune femme diplômée. Mais les plus malines ont compris qu’elles n’auront pas leur boyfriend sur le dos. Elles savent jouer des sentiments et de la peur de celui-ci de la perdre pour lui faire envoyer tous les mois un peu d’argent. S’il ne veut pas cracher, elle saura lui réclamer (et si elle est fine, elle lui donnera une bonne raison d’envoyer de l’argent sans lui en demander : c’est la vieille histoire du bœuf qui est mort à la ferme alors il faut en acheter un autre, c’est la grand mère malade, les droits de scolarité du petit frère etc …). Les meilleures demandent juste de l’argent au nom du couple. Dans une vidéo, un journaliste américain (je n’ai pas retrouvé la vidéo, mais elle ressemblait à celle-ci de Scott Mallone: ) expliquait comment les plus intelligentes parviennent à un niveau de revenu élevé avant 40 ans. Elles ont un boyfriend par saison ou plutôt, ce sont des copines en temps partagé. Les plus malines ont sur elles un téléphone par copain et écrivent le nom du gars sur le téléphone, comme ça, elle ne commettra pas d’impair quand il appelle. On en voit parfois avoir une discussion pendant qu’elles tapinent à la terrasse de leur bar. Il y a des gens dans le déni. On entend toujours quelqu’un qui connait quelqu’un qui a raconté … Personnellement, j’ai vu une fois une fille éplorée au téléphone. L’un de ses farangs l’appelait «whyyyyyyyyy nooooot call ?» pleurait-elle à fendre le cœur à tous les passants du coin. 2 heures après, je l’ai vue suivre un français dans le hall de mon hôtel (pour un ST). Le type était tout content de l’avoir draguée. Il était déjà en haut des escaliers quand elle traversait le hall de l’hôtel pour présenter ses papiers à la réception. Elle tirait une gueule pas possible. Le type était jeune et elle savait qu’elle n’allait pas s’en débarrasser si facilement.
Sur une page d’un site comme Buttersly (en français) le blogueur ne mâchait pas ses mots. Les thaïs sont très agréables, ils ne chercheront pas à voler de l’argent par la violence mais il n’ont pas plus de considération pour les farangs que n’en avons pour les bougnouls. C’était le terme précis employé. Leur priorité première est d’honorer leurs parents. Les adultes en âge de travailler envoient de l’argent à leurs parents pour qu’ils élèvent leurs propres petits enfants (les enfants ou les neveux/nièces) des adultes. La contribution des ladyboys est fortement demandée (puisqu’ils ne fondent pas une famille, ils doivent aider à l’éducation des enfants de leurs frères et sœurs). Ladyboy ou fille de bar ou en freelance, ils n’auront aucun scrupule à plumer un farang qui se laisse prendre par les sentiments.
http://www.buttersly.com/2012/09/25/gar ... ar-phuket/
http://www.buttersly.com/2011/10/26/les ... thailande/
http://www.buttersly.com/2012/07/17/env ... thailande/
A suivre …
Ça fait 5 jours que je tourne le sujet dans ma tête pour décider comment l’aborder. J’avais envie de commencer par dire de façon abrupte ce que j’en pense mais comme disent les ladyboys «up to you», au premier degré, c’est toi qui décide mais en filigrane à tes risques et périls et je ne suis pas responsable. Je me souviens de mon voyage retour après ma première visite en Thaïlande (vol KLM jusqu’à Amsterdam). Un français ramenait une thaïlandaise (fille pas ladyboy) avec lui dans l’avion. La fille me rappelait une collègue de celle que je m’étais payée la veille à Bangkok. A Bangkok, elle frimait encore avec ses «chéri-chéri», mais après un vol de 11 heures (qui fait prendre la mesure des distances) et un transit dans le froid d’octobre à Amsterdam, la fille du pays du sourire avait perdu le sien (son pays et son sourire). Elle donnait l’impression qu’un piège allait se refermer sur elle et que son rêve commençait (déjà) à tourner au cauchemar. J’avais le numéro de mon premier ladyboy (premier ladydboy et premier LT) dans la poche. Après avoir atterri en France et repris ma voiture, je l’ai appelée pour lui dire que j’étais bien rentré. Quelques jours plus tard, j’ai cherché le papier où se trouvait le numéro. Dommage. J’avais perdu le papier. J’ignorais mon bonheur.
Au cours de mon voyage suivant, j’avais décidé de me contenter de m’amuser. J’ai tout de même tenté le coup du LT et avant de nous quitter, elle m’a initié à Line (vous savez, la messagerie dont je parlais dans un de mes premiers posts http://www.trans-girls.com/index.php?na ... pic&t=9394 ). Quel intérêt ? Elle ne peut pas utiliser Skype comme tout le monde ? Justement non, les Thaïlandaises utilisent Line et commencent à se mettre sérieusement à Wechat. Je l’ai accompagnée dans le bus direction Phuket puis j’en ai pris un direction Khao Lak avant de remonter à Bangkok. Je n’avais pas encore franchi la baie de Phang Nga que je recevais mes premiers messages : «I miss U». Comme c’était touchant ! La veille, alors qu’elle rentrait à l’hôtel fatiguée par une journée de snorkeling et alors que je décidais d’aller faire un jogging, elle m’avait demandé l’air désespérée si je n’allais chercher un autre ladyboy dans la ville. J’ai cru à un attachement assez fort, elle me faisait juste le coup du coup de foudre. Pendant 3 semaines, je me réveillais au son du «ding dong» de ses messages (au point que j’ai changé de sonnerie après coup) me demandant des nouvelles et me remontant le moral quand la vie est parfois dure en France, surtout en hivers. Puis elle a arrêté quelques semaines et a repris. J’étais emmerdé car je voulais contribuer à financer son opération de mammoplastie mais j’avais peur qu’elle ne brule l’argent au lieu de l’ajouter à une cagnotte (et puis j’étais fauché). Un jour, elle m’a annoncé qu’elle partait pour Hat Yai pour faire son opération. Quelques jours plus tard, elle m’envoyait des tonnes de selfies pour me montrer le massacre (une poitrine qui sort de chirurgie, c’est moche et c’est plein de bleus), ce qui me mettait mal à l’aise. Un autre point sur lequel je m’interrogeais était de savoir comment elle avait pu épargner 55000 baht en si peu de temps, elle qui avait peur des «butterflies» et qui ignorait presque le principe du long time (LT) quand je l’ai rencontrée.
Au fur et à mesure que le temps passait, j’observais des périodes sans message, puis elle reprenait contact avec un de ses «I miss U» (toujours intéressée ?) Puis un autre détail m’a sauté aux yeux. Si je répondais à l’un des «I miss U» elle mettait du temps à répondre à son tour, comme si elle était occupée à autre chose comme par exemple répondre aux messages d’autres farangs. Je l’ai pris avec un certain détachement, voire beaucoup d’ironie, n’empêche que ça prend la tête d’avoir à l’esprit 2 pensées qui entrent en conflit. L’une dit qu’elle est sympa et que c’est une bonne touche et l’autre dit qu’elle doit me prendre pour un pigeon. Un jour, elle m’a envoyé des selfies de son cul (pas terrible quand c’est pris en selfie) alors qu’elle avait un comportement assez pudique même quand on baisait. Et il y a eu ses sorties : journée sur un bateau avec d’autres ladyboys, voyage Singapour, à Pattaya et plusieurs aller & retours avec sa province (qu’elle ne manquait pas de m’annoncer). Elle ne m’a jamais demandé de l’argent mais me faisait savoir qu’elle engageait des dépenses. Puis, il y a eu la mort de sa grand-mère, son chagrin, son voyage pour aller aux funérailles et quelques mois plus tard, ses parents sui lui demandaient de subvenir à leurs besoins car ils se retiraient du travail.
Quand je lui ai annoncé l’année suivante que j’allais en Malaisie, elle n’a pas tiqué. J’ai cru que j’avais été bon en lui expliquant les raisons de mon choix du premier coup, mais lorsque j’étais à Kuala Lumpur, elle a piqué sa première colère sur Line. Elle comprenait qu’elle pouvait me rayer de son business plan. Nous avons continué d’échanger des messages pendant encore 6 mois jusqu’à ce que je décide de la bloquer après une ultime tentative de passer sa colère sur moi. Elle avait peut-être raison ce jour là mais j’étais trop pris par mon boulot pour me soucier d’elle.
Ce n’était qu’une relation épistolaire. La seule relation que j’ai eue avec un ladyboy était avec une philippine. Pas d’argent entre nous, ça ne l’intéressait pas disait-elle. En partant, je lui ai donné de quoi s’acheter un smartphone (c’était nouveau à l’époque). 2 mois plus tard, elle m’annonçait avec les larmes aux yeux qu’elle avait perdu son téléphone et je lui ai envoyé de quoi en racheter un. Le mois suivant, elle avait besoin d’argent pour investir dans un broadband. Stop ! Elle savait que j’étais en relation avec un ladyboy de Manille avec laquelle j’aimais bien échanger. J’ai rencontré cette deuxième et nous nous sommes confirmés que nos n’avions aucune attirance l’un pour l’autre mais nous aimions échanger des points de vue. Après ma rupture avec ma copine, cette deuxième m’a raconté que ma copine l’avait agressée par messagerie sur le site de rencontre et l’avait même menacée.
J’ai appris récemment que le centre de la famille aux Philippines est la mère de famille. D’autres m’ont raconté que leur copine philippines (ladyboy) changeait d’attitude après chaque contact avec sa mère. J’ai aussi lu dans un forum d’expats que le membre d’une famille philippine qui va vivre à l’étranger est un investissement qui doit renvoyer ou faire renvoyer du fric à la famille. Les ladyboys sont partie prenante dans cette statégie. Le comble, c’est que les «baklas» communiquent sur facebook et échangent le montant que leur boyfriend ou supposé leur envoie chaque mois. Le boyfriend d’un ladyboy philippin qui est en dessous de la moyenne se fait tancer vertement par sa copine.
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Cet expatrié semble avoir trouvé la solution. Il vit à Bangkok une relation avec un ladyboy laotien.
Alors que ma thaïlandaise m’occupait avec ses messages, je suis tombé sur des vidéos sur youtube (quand on cherche autre chose et aujourd’hui que j’en cherche une, je n’en trouve pas, c’était il y a 3 ans) qui expliquait comment les thaïlandaises (on peut y inclure les ladyboys) fonctionnent avec leurs boyfriends étrangers.
Une fille de bar moyenne gagne 5 fois plus qu’une jeune femme diplômée. Mais les plus malines ont compris qu’elles n’auront pas leur boyfriend sur le dos. Elles savent jouer des sentiments et de la peur de celui-ci de la perdre pour lui faire envoyer tous les mois un peu d’argent. S’il ne veut pas cracher, elle saura lui réclamer (et si elle est fine, elle lui donnera une bonne raison d’envoyer de l’argent sans lui en demander : c’est la vieille histoire du bœuf qui est mort à la ferme alors il faut en acheter un autre, c’est la grand mère malade, les droits de scolarité du petit frère etc …). Les meilleures demandent juste de l’argent au nom du couple. Dans une vidéo, un journaliste américain (je n’ai pas retrouvé la vidéo, mais elle ressemblait à celle-ci de Scott Mallone: ) expliquait comment les plus intelligentes parviennent à un niveau de revenu élevé avant 40 ans. Elles ont un boyfriend par saison ou plutôt, ce sont des copines en temps partagé. Les plus malines ont sur elles un téléphone par copain et écrivent le nom du gars sur le téléphone, comme ça, elle ne commettra pas d’impair quand il appelle. On en voit parfois avoir une discussion pendant qu’elles tapinent à la terrasse de leur bar. Il y a des gens dans le déni. On entend toujours quelqu’un qui connait quelqu’un qui a raconté … Personnellement, j’ai vu une fois une fille éplorée au téléphone. L’un de ses farangs l’appelait «whyyyyyyyyy nooooot call ?» pleurait-elle à fendre le cœur à tous les passants du coin. 2 heures après, je l’ai vue suivre un français dans le hall de mon hôtel (pour un ST). Le type était tout content de l’avoir draguée. Il était déjà en haut des escaliers quand elle traversait le hall de l’hôtel pour présenter ses papiers à la réception. Elle tirait une gueule pas possible. Le type était jeune et elle savait qu’elle n’allait pas s’en débarrasser si facilement.
Sur une page d’un site comme Buttersly (en français) le blogueur ne mâchait pas ses mots. Les thaïs sont très agréables, ils ne chercheront pas à voler de l’argent par la violence mais il n’ont pas plus de considération pour les farangs que n’en avons pour les bougnouls. C’était le terme précis employé. Leur priorité première est d’honorer leurs parents. Les adultes en âge de travailler envoient de l’argent à leurs parents pour qu’ils élèvent leurs propres petits enfants (les enfants ou les neveux/nièces) des adultes. La contribution des ladyboys est fortement demandée (puisqu’ils ne fondent pas une famille, ils doivent aider à l’éducation des enfants de leurs frères et sœurs). Ladyboy ou fille de bar ou en freelance, ils n’auront aucun scrupule à plumer un farang qui se laisse prendre par les sentiments.
http://www.buttersly.com/2012/09/25/gar ... ar-phuket/
http://www.buttersly.com/2011/10/26/les ... thailande/
http://www.buttersly.com/2012/07/17/env ... thailande/
A suivre …
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maxlamenace
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Les "I miss u" me rappellent un contact avec une philippine, carrément canon, mais à 10 000 kms de la France et je suis encore loin de l'âge de la retraite pour passer 6 mois de l'année là-bas.
J'ai bien entendu eu droit à l'envoi d'un peu d'argent (pas bézef, faut être franc), mais je me disais que c'était peu et en même temps j'étais agacé.
A réception de l'argent, elle m'a demandé une copie de ma carte d'identité. Pour aller chercher l'argent soi-disant. J'ai dis non, ce n'est pas la peine. Elle s'est excusé puis a demandé des contacts quotidiens par skype (pas de sexe sur cam évidemment, je ne suis pas si bête et en plus ça ne me branche pas).
Ca m'a vite gonflé.
En même temps, qu'est ce qu'elle était canon ... j'ai failli prendre un avion à un moment où j'avais une semaine de dispo, histoire de voir jusqu'où elle était sincère. Ma foi, elle l'était peut-être, mais de toutes façons la LDR (long distance relation comme elles disent) bof ...
J'ai bien entendu eu droit à l'envoi d'un peu d'argent (pas bézef, faut être franc), mais je me disais que c'était peu et en même temps j'étais agacé.
A réception de l'argent, elle m'a demandé une copie de ma carte d'identité. Pour aller chercher l'argent soi-disant. J'ai dis non, ce n'est pas la peine. Elle s'est excusé puis a demandé des contacts quotidiens par skype (pas de sexe sur cam évidemment, je ne suis pas si bête et en plus ça ne me branche pas).
Ca m'a vite gonflé.
En même temps, qu'est ce qu'elle était canon ... j'ai failli prendre un avion à un moment où j'avais une semaine de dispo, histoire de voir jusqu'où elle était sincère. Ma foi, elle l'était peut-être, mais de toutes façons la LDR (long distance relation comme elles disent) bof ...
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Samutprakan
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suite
Tout ce que raconte Buttersly dans son blog à propos des filles, je l’ai lu dans des forums en anglais à propos des ladyboys. Les plus virulents étaient même des anglais vivant à Pattaya et ayant quand même une petite amie ladyboy. Dans le milieu, on ne parle pas de «boyfriend» ni de «copain», on parle de sponsor. Celui qui aime un ladyboy va la financer à fonds perdu. J’ai eu de la chance, ma relation ne m’a rien coûté sauf l’impression parfois de m’enfoncer. Autant avertir ceux qui seraient tentés. Vos n’obtiendrez pas de reconnaissance en retour, notamment, vous ne garderez pas la main sur un ladyboy si vous lui payez une opération de chirurgie esthétique.
T’as pas vu comme_______
qui dirait une erreur de casting avec ta copine ?
En dehors de toutes ces relations basées sur l’intérêt, je vois d’autres considérations entrer en jeu. Tous les ladyboys ne sont pas vénales, mais jusqu’à présent, je n’en ai trouvé qu’une et j’ai surtout appris à me méfier de celles qui prétendaient ne pas être intéressées par l’argent : ce sont les pires. Mais je me demande jusqu’où on peut aller dans une relation à long terme en supposant qu’elle ne soit pas biaisée par l’intérêt. La règle des 3 jours implique qu’il y a une limite. Quand on a fini la lune de miel et qu’on commence à passer du temps ensemble hors de la chambre, les différences finissent par nous exploser à la g… . Il y a d’abord les barrières de langage, il y a aussi le fait qu’on la tient par l’argent et qu’il vaut mieux ne pas se voiler la face.
Supposons que ça colle au point de vouloir vivre ensemble et faisons abstraction de l’argent. Comment va-t-elle s’adapter à un nouveau pays, froid l’hivers et peu enclin à accueillir l’étranger ? Comment sera-t-elle perçue en France même si c’est une jolie fille et comment tout ça va-t-il tourner lorsqu’elle ne pourra plus cacher qu’elle est un travelo ? Est-on capable de vieillir avec une fille qui se transforme en homme avec le temps ? A l’opposé, il y a la possibilité de vivre ensemble en Thaïlande, mais il faut savoir que la Thaïlande est un pays nationaliste où l’étranger a du mal à s’intégrer. L’accueil est bon au pays du sourire, tant qu’on est un pays qui respecte les limites de son visa et dépense son argent; on y est le bienvenu et on nous octroie beaucoup de liberté. Par contre, c’est assez difficile de trouver un travail sur place car le marché local est protégé et l’étranger n’y pas le bienvenu. La Thaïlande est un des rares pays au monde qui n’a jamais été envahi et ça se sent dans leurs habitudes. Les thaïlandais sont tolérants mais ils ont leur morale est pleine de méandres que nous ignorons et beaucoup d’expatriés finissent par se rendre compte qu’ils sont tenus en marge d’une société qui les observe mais ne veut pas d’eux même si elle accepte leur argent.
Pour un ladyboy, un farang, c’est un pis-aller pour vieillir. Beaucoup ont eu un amour d’adolescence mais le type a du l’abandonner sous la pression sociale (car un homme doit fonder une famille et l’entretenir en Thaïlande). Il ne leur reste plus que les farangs pour pouvoir vivre en couple. Encore un dernier truc à savoir : un homme Thaï donne jusqu’à 60 % de ses revenus à sa femme et c’est peut-être aussi ce qu’elle attend de son farang. Décidément, on n’arrive pas à sortir de la vénalité.
Cette ancienne danseuse___
de cabaret a 40 ans maintenant et vit tranquillement de la vente de produits de beauté.
Elle est à la recherche du grand amour.
Une anecdote pour terminer. Il s’agit d’une EV racontée par un allemand.
J’ai rencontré ma ladyboy-girlfriend, il y a plus de 2 ans et je me suis complètement accroché à elle. Je l’ai trouvée sur un site de rencontre alors que je commençais à peine à m’intéresser aux ladyboys. Elle était jeune, pleine d’attentions, et sans poitrine. J’avais déjà eu une relation avec un ladyboy mais nous étions sur le point de rompre.
Nous avions pris l’habitude de chatter sur Skype tous les soirs quand j’avais fini ma journée de travail. Elle avait une personnalité assez pétillante et l’époque où je la retrouvais tous les soirs me manque maintenant.
Je l’ai rencontré pour la première fois en (qu’importe la date) pour ce qui fut mes meilleures vacances. J’ai fait un voyage en Asie du Sud Est au cours duquel je l’ai rencontrée 2 fois: au début et à la fin. Je suis tombé amoureux d’elle. Elle était vraiment sympa, on allait au cinéma ensemble en se tenant par la main. Au passage, j’ai rompu avec la précédente qui commençait sérieusement à m’emm… . Au début, tout se passait à la perfection. Elle prenait bien soin d’elle et de sa famille, ne me demandait jamais d’argent et a accepté ma promesse de lui financer son opération pour avoir des seins siliconés le plus tôt possible (55000 baht proche de 1500 €), ce que j’ai fait au mois de février suivant (honnêtement, j’éviterai de recommencer ce truc à l’avenir).
C’était l’époque où elle savait à peine se servir de facebook. Elle avait juste une poignée d’amis facebook et travaillait encore dans un bar. Dès qu’elle eut fait faire sa poitrine, elle s’est mise à avoir de plus en plus d’amis sur facebook ce qui m’a fait râler à cause du nombre exponentiel de ses amis virtuels, mais j’acceptais la situation dans une certaine mesure je laissais faire.
L’année suivante, un membre de sa famille a eu un accident de la circulation. Alors, elle m’a demandé de l’argent pour couvrir les dépenses d’hôpital. Je sais que l’accident a bien eu lieu car elle m’a envoyé des photos et la personne souffre encore aujourd’hui des séquelles de son accident.
Plus tard, elle m’a demandé de l’argent pour s’acheter un scooter. J’étais tellement bien accroché à elle que je n’ai pas vu que je tombais dans le piège du sponsor. Je ne dirai pas combien d’argent je lui ai envoyé. J’ai appris que les thaïs ont l’argent qui leur brule les doigts. Dès qu’ils en ont dans les poches, ils ont besoin de s’en débarasser en achetant n’importe quoi.
Elle attirait de plus en plus d’amis à Pattaya et chez elle. Elle les invitait au resto en dépensant jusqu’au dernier baht que je lui envoyais ou alors elle envoyait cet argent à sa famille.
Elle a réussi à louer un scooter à sa patronne où elle a réussi à ne pas payer la location de 200 baht (5€) par jour et ne m’a rien dit. Puis elle lui a emprunté de l’argent. Je l’ignorais totalement jusqu’au jour où sa mère m’a pris dans sa boutique et la patronne m’a signalé cette dette. P…! Même si je lui envoyais une jolie somme chaque mois elle a réussi à s’endetter de 38000 baht (1000 € au cours actuel) et sa patronne s’attendait à ce que je rembourse la dette. J’étais si furieux que j’ai dit à la patronne que j’avais déjà payé pour un scooter et tout le reste et qu’elle n’avait qu’à déduire de sa paye ce qu’elle lui devait. (C’était en février mais pas 2017).
Quelque mois plus tard, un ami m’a expliqué comment elle me trompait. J’ai eu une confrontation avec ma copine et elle a réussi à retourner la discussion contre moi alors que j’aurais du la laisser tomber, mais voilà, j’étais encore complètement accroché à elle. On s’est fait la gueule pendant une semaine, j’avais le mauvais rôle dans l’histoire, puis elle est revenue prudemment à la charge une semaine plus tard.
L’an dernier, je suis retourné Pattaya et puisque j’étais dans le voisinage et que je pouvais me le payer, j’ai passé quelques jours avec elle histoire de lui donner une nouvelle chance. Je l’ai emmenée dans un bon hôtel, j’ai voulu qu’on fasse des activités ensemble, mais ça revenait à donner de la confiture aux cochons, alors je me suis juré de ne plus jamais payer un hotel de haut standing pour elle.
Pour mon voyage suivant j’ai pris soin de me trouver en Thaïlande pour son anniversaire. J’ai pensé qu’elle serait touchée par cette attention. J’ai pris un vol depuis l’Allemagne et alors que je me trouvais en salle d’embarquement, elle m’a demandé de lui envoyer de l’argent pour qu’elle puisse aller à Pattaya. Elle était en Isaan alors je lui ai envoyé de l’argent en espérant qu’elle prenne le bus le jour suivant. Je n’ai pas eu de message pendant 3 jours, puis elle a eu le culot de me redemander de l’argent 4 jours plus tard. Je n’étais pas si malheureux que ça vu que ça m’a permis de goûter à la liberté de faire les bars de Pattaya, ce que je n’avais pas fait depuis plusieurs années. Je lui ai envoyé de l’argent en lui demandant expressément de prendre le premier bus pour Pattaya ou tout au plus tard 24 heures avant que je ne reparte. Elle m’a encore déçu.
Arrive l’épilogue.
Je suis reparti en Thaïlande en décembre (j’aime y aller en décembre car je n’aime pas passer Noël en Allemagne). Alors, j’ai réservé des vacances pour 5 semaines. Quand je suis arrivé, elle était encore dans sa province. 3 jours plus tard, sa mère, un ami et moi avons pris le bus pour y aller (j’aime la ferme où elle vit et c’est peut-être une des raisons pour lesquelles je tenais à elle.
De retour à Pattaya, je lui ai loué un scooter histoire qu’elle ait un peu plus de liberté. Bien que j’ai fait la moitié du tour du monde, que je ne l’ai pas vue pendant 6 mois at que je lui ai envoyé de l’argent tous les mois, elle accordait plus d’importance à ses amis qu’à moi-même. Nous sommes sortis ensemble 6 soirées d’affilée pour aller au karaoke avec ses ami€s jusqu’à 7 heures du mat’. Personnellement, je ne le prenais pas mal. J’avais juste un peu peur qu’elle se plante en scooter car elle conduisait n’importe comment et bourrée.
A 3 reprises, j’ai plié ses affaires pour la virer mais elle réussissait toujours à m’attendrir et je cédais.
Au moment de rompre en douceur, je me sens complètement fatigué de toutes ces histoires. Elle m’a menti et j’ai continué à jouer le rôle du sponsor. Certains diront que je suis stupide mais le fait est que j’étais tombé amoureux de cette fille. Grâce à mon argent, elle avait de plus en plus d’amis qui lui ont corrompu le caractère et j’ai même l’impression que certains lui ont appris comment me gruger.
Qu’est ce que j’en ai retiré. Désormais, j’écouterai les conseils des autres alors que je refusais de les entendre. Elle m’a bien roulé. Je me fous de l’argent, mais je n’apprécie pas qu’on m’ait utilisé à ce point.
J’éviterai désormais d’avoir une relation car j’en ai marre de perdre mon temps. Je ne sponsoriserai plus un ladyboy et je ne financerai plus de mammoplastie.
Un dernier point que j’ai aussi appris : on ne peut pas raisonner les Thaïs quelle qu’en soit la raison. Ils ont leur logique
________________________
Ce ladyboy n'a rien à voir avec celui de l'histoire, à part son attachement à son scooter.
Certains détails démontrent que le type est assez à l’aise financièrement mais aussi qu’il n’a pas beaucoup de jugeote. Il est solitaire et il a voulu croire à l’histoire de ce beau ladyboy qui se jette dans ses bras. Il a néanmoins oublié de respecter une règle d’or : il est tombé amoureux d’une fille de bar, donc d’une pute et il a poussé loin pour se laisser enfermer dans son système à elle. Il n’était pas responsable de ses dettes, mais il a fait comme si. Elle-même dépensait pour ses amis (ou ses collègues de bar). Celle avec j’avais conservé un contact me l’avait dit : ses collègues (surtout plus anciennes) lui réclamaient de l’argent au seul motif qu’elle avait un boyfriend. Elle en se laissait pas faire et ça s’est parfois terminé à la boxe. Cet allemand a un aussi des fragilités évidentes. Les thaïs savent très bien qu’un célibataire qui va passer les fêtes sans famille dans leur pays est une cible de choix. Il faut savoir ne pas se laisser prendre au piège et savoir rompre dès qu’on y a laissé des plumes en les passant par pertes et profits. Aujourd’hui, le type est un client insatisfait qui passe de bar en babar pour ne surtout pas s’attacher à un ladyboy, mais en retire-t-il quelques satisfaction ?
Tout ce que raconte Buttersly dans son blog à propos des filles, je l’ai lu dans des forums en anglais à propos des ladyboys. Les plus virulents étaient même des anglais vivant à Pattaya et ayant quand même une petite amie ladyboy. Dans le milieu, on ne parle pas de «boyfriend» ni de «copain», on parle de sponsor. Celui qui aime un ladyboy va la financer à fonds perdu. J’ai eu de la chance, ma relation ne m’a rien coûté sauf l’impression parfois de m’enfoncer. Autant avertir ceux qui seraient tentés. Vos n’obtiendrez pas de reconnaissance en retour, notamment, vous ne garderez pas la main sur un ladyboy si vous lui payez une opération de chirurgie esthétique.
T’as pas vu comme_______
qui dirait une erreur de casting avec ta copine ?
En dehors de toutes ces relations basées sur l’intérêt, je vois d’autres considérations entrer en jeu. Tous les ladyboys ne sont pas vénales, mais jusqu’à présent, je n’en ai trouvé qu’une et j’ai surtout appris à me méfier de celles qui prétendaient ne pas être intéressées par l’argent : ce sont les pires. Mais je me demande jusqu’où on peut aller dans une relation à long terme en supposant qu’elle ne soit pas biaisée par l’intérêt. La règle des 3 jours implique qu’il y a une limite. Quand on a fini la lune de miel et qu’on commence à passer du temps ensemble hors de la chambre, les différences finissent par nous exploser à la g… . Il y a d’abord les barrières de langage, il y a aussi le fait qu’on la tient par l’argent et qu’il vaut mieux ne pas se voiler la face.
Supposons que ça colle au point de vouloir vivre ensemble et faisons abstraction de l’argent. Comment va-t-elle s’adapter à un nouveau pays, froid l’hivers et peu enclin à accueillir l’étranger ? Comment sera-t-elle perçue en France même si c’est une jolie fille et comment tout ça va-t-il tourner lorsqu’elle ne pourra plus cacher qu’elle est un travelo ? Est-on capable de vieillir avec une fille qui se transforme en homme avec le temps ? A l’opposé, il y a la possibilité de vivre ensemble en Thaïlande, mais il faut savoir que la Thaïlande est un pays nationaliste où l’étranger a du mal à s’intégrer. L’accueil est bon au pays du sourire, tant qu’on est un pays qui respecte les limites de son visa et dépense son argent; on y est le bienvenu et on nous octroie beaucoup de liberté. Par contre, c’est assez difficile de trouver un travail sur place car le marché local est protégé et l’étranger n’y pas le bienvenu. La Thaïlande est un des rares pays au monde qui n’a jamais été envahi et ça se sent dans leurs habitudes. Les thaïlandais sont tolérants mais ils ont leur morale est pleine de méandres que nous ignorons et beaucoup d’expatriés finissent par se rendre compte qu’ils sont tenus en marge d’une société qui les observe mais ne veut pas d’eux même si elle accepte leur argent.
Pour un ladyboy, un farang, c’est un pis-aller pour vieillir. Beaucoup ont eu un amour d’adolescence mais le type a du l’abandonner sous la pression sociale (car un homme doit fonder une famille et l’entretenir en Thaïlande). Il ne leur reste plus que les farangs pour pouvoir vivre en couple. Encore un dernier truc à savoir : un homme Thaï donne jusqu’à 60 % de ses revenus à sa femme et c’est peut-être aussi ce qu’elle attend de son farang. Décidément, on n’arrive pas à sortir de la vénalité.
Cette ancienne danseuse___
de cabaret a 40 ans maintenant et vit tranquillement de la vente de produits de beauté.
Elle est à la recherche du grand amour.
Une anecdote pour terminer. Il s’agit d’une EV racontée par un allemand.
J’ai rencontré ma ladyboy-girlfriend, il y a plus de 2 ans et je me suis complètement accroché à elle. Je l’ai trouvée sur un site de rencontre alors que je commençais à peine à m’intéresser aux ladyboys. Elle était jeune, pleine d’attentions, et sans poitrine. J’avais déjà eu une relation avec un ladyboy mais nous étions sur le point de rompre.
Nous avions pris l’habitude de chatter sur Skype tous les soirs quand j’avais fini ma journée de travail. Elle avait une personnalité assez pétillante et l’époque où je la retrouvais tous les soirs me manque maintenant.
Je l’ai rencontré pour la première fois en (qu’importe la date) pour ce qui fut mes meilleures vacances. J’ai fait un voyage en Asie du Sud Est au cours duquel je l’ai rencontrée 2 fois: au début et à la fin. Je suis tombé amoureux d’elle. Elle était vraiment sympa, on allait au cinéma ensemble en se tenant par la main. Au passage, j’ai rompu avec la précédente qui commençait sérieusement à m’emm… . Au début, tout se passait à la perfection. Elle prenait bien soin d’elle et de sa famille, ne me demandait jamais d’argent et a accepté ma promesse de lui financer son opération pour avoir des seins siliconés le plus tôt possible (55000 baht proche de 1500 €), ce que j’ai fait au mois de février suivant (honnêtement, j’éviterai de recommencer ce truc à l’avenir).
C’était l’époque où elle savait à peine se servir de facebook. Elle avait juste une poignée d’amis facebook et travaillait encore dans un bar. Dès qu’elle eut fait faire sa poitrine, elle s’est mise à avoir de plus en plus d’amis sur facebook ce qui m’a fait râler à cause du nombre exponentiel de ses amis virtuels, mais j’acceptais la situation dans une certaine mesure je laissais faire.
L’année suivante, un membre de sa famille a eu un accident de la circulation. Alors, elle m’a demandé de l’argent pour couvrir les dépenses d’hôpital. Je sais que l’accident a bien eu lieu car elle m’a envoyé des photos et la personne souffre encore aujourd’hui des séquelles de son accident.
Plus tard, elle m’a demandé de l’argent pour s’acheter un scooter. J’étais tellement bien accroché à elle que je n’ai pas vu que je tombais dans le piège du sponsor. Je ne dirai pas combien d’argent je lui ai envoyé. J’ai appris que les thaïs ont l’argent qui leur brule les doigts. Dès qu’ils en ont dans les poches, ils ont besoin de s’en débarasser en achetant n’importe quoi.
Elle attirait de plus en plus d’amis à Pattaya et chez elle. Elle les invitait au resto en dépensant jusqu’au dernier baht que je lui envoyais ou alors elle envoyait cet argent à sa famille.
Elle a réussi à louer un scooter à sa patronne où elle a réussi à ne pas payer la location de 200 baht (5€) par jour et ne m’a rien dit. Puis elle lui a emprunté de l’argent. Je l’ignorais totalement jusqu’au jour où sa mère m’a pris dans sa boutique et la patronne m’a signalé cette dette. P…! Même si je lui envoyais une jolie somme chaque mois elle a réussi à s’endetter de 38000 baht (1000 € au cours actuel) et sa patronne s’attendait à ce que je rembourse la dette. J’étais si furieux que j’ai dit à la patronne que j’avais déjà payé pour un scooter et tout le reste et qu’elle n’avait qu’à déduire de sa paye ce qu’elle lui devait. (C’était en février mais pas 2017).
Quelque mois plus tard, un ami m’a expliqué comment elle me trompait. J’ai eu une confrontation avec ma copine et elle a réussi à retourner la discussion contre moi alors que j’aurais du la laisser tomber, mais voilà, j’étais encore complètement accroché à elle. On s’est fait la gueule pendant une semaine, j’avais le mauvais rôle dans l’histoire, puis elle est revenue prudemment à la charge une semaine plus tard.
L’an dernier, je suis retourné Pattaya et puisque j’étais dans le voisinage et que je pouvais me le payer, j’ai passé quelques jours avec elle histoire de lui donner une nouvelle chance. Je l’ai emmenée dans un bon hôtel, j’ai voulu qu’on fasse des activités ensemble, mais ça revenait à donner de la confiture aux cochons, alors je me suis juré de ne plus jamais payer un hotel de haut standing pour elle.
Pour mon voyage suivant j’ai pris soin de me trouver en Thaïlande pour son anniversaire. J’ai pensé qu’elle serait touchée par cette attention. J’ai pris un vol depuis l’Allemagne et alors que je me trouvais en salle d’embarquement, elle m’a demandé de lui envoyer de l’argent pour qu’elle puisse aller à Pattaya. Elle était en Isaan alors je lui ai envoyé de l’argent en espérant qu’elle prenne le bus le jour suivant. Je n’ai pas eu de message pendant 3 jours, puis elle a eu le culot de me redemander de l’argent 4 jours plus tard. Je n’étais pas si malheureux que ça vu que ça m’a permis de goûter à la liberté de faire les bars de Pattaya, ce que je n’avais pas fait depuis plusieurs années. Je lui ai envoyé de l’argent en lui demandant expressément de prendre le premier bus pour Pattaya ou tout au plus tard 24 heures avant que je ne reparte. Elle m’a encore déçu.
Arrive l’épilogue.
Je suis reparti en Thaïlande en décembre (j’aime y aller en décembre car je n’aime pas passer Noël en Allemagne). Alors, j’ai réservé des vacances pour 5 semaines. Quand je suis arrivé, elle était encore dans sa province. 3 jours plus tard, sa mère, un ami et moi avons pris le bus pour y aller (j’aime la ferme où elle vit et c’est peut-être une des raisons pour lesquelles je tenais à elle.
De retour à Pattaya, je lui ai loué un scooter histoire qu’elle ait un peu plus de liberté. Bien que j’ai fait la moitié du tour du monde, que je ne l’ai pas vue pendant 6 mois at que je lui ai envoyé de l’argent tous les mois, elle accordait plus d’importance à ses amis qu’à moi-même. Nous sommes sortis ensemble 6 soirées d’affilée pour aller au karaoke avec ses ami€s jusqu’à 7 heures du mat’. Personnellement, je ne le prenais pas mal. J’avais juste un peu peur qu’elle se plante en scooter car elle conduisait n’importe comment et bourrée.
A 3 reprises, j’ai plié ses affaires pour la virer mais elle réussissait toujours à m’attendrir et je cédais.
Au moment de rompre en douceur, je me sens complètement fatigué de toutes ces histoires. Elle m’a menti et j’ai continué à jouer le rôle du sponsor. Certains diront que je suis stupide mais le fait est que j’étais tombé amoureux de cette fille. Grâce à mon argent, elle avait de plus en plus d’amis qui lui ont corrompu le caractère et j’ai même l’impression que certains lui ont appris comment me gruger.
Qu’est ce que j’en ai retiré. Désormais, j’écouterai les conseils des autres alors que je refusais de les entendre. Elle m’a bien roulé. Je me fous de l’argent, mais je n’apprécie pas qu’on m’ait utilisé à ce point.
J’éviterai désormais d’avoir une relation car j’en ai marre de perdre mon temps. Je ne sponsoriserai plus un ladyboy et je ne financerai plus de mammoplastie.
Un dernier point que j’ai aussi appris : on ne peut pas raisonner les Thaïs quelle qu’en soit la raison. Ils ont leur logique
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Ce ladyboy n'a rien à voir avec celui de l'histoire, à part son attachement à son scooter.
Certains détails démontrent que le type est assez à l’aise financièrement mais aussi qu’il n’a pas beaucoup de jugeote. Il est solitaire et il a voulu croire à l’histoire de ce beau ladyboy qui se jette dans ses bras. Il a néanmoins oublié de respecter une règle d’or : il est tombé amoureux d’une fille de bar, donc d’une pute et il a poussé loin pour se laisser enfermer dans son système à elle. Il n’était pas responsable de ses dettes, mais il a fait comme si. Elle-même dépensait pour ses amis (ou ses collègues de bar). Celle avec j’avais conservé un contact me l’avait dit : ses collègues (surtout plus anciennes) lui réclamaient de l’argent au seul motif qu’elle avait un boyfriend. Elle en se laissait pas faire et ça s’est parfois terminé à la boxe. Cet allemand a un aussi des fragilités évidentes. Les thaïs savent très bien qu’un célibataire qui va passer les fêtes sans famille dans leur pays est une cible de choix. Il faut savoir ne pas se laisser prendre au piège et savoir rompre dès qu’on y a laissé des plumes en les passant par pertes et profits. Aujourd’hui, le type est un client insatisfait qui passe de bar en babar pour ne surtout pas s’attacher à un ladyboy, mais en retire-t-il quelques satisfaction ?
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Samutprakan
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Les thaïlandaises essayent d'avoir une love story avant de travailler leur sponsor. En général, elles vont du soft au directif.biboplove a écrit :Les "I miss u" me rappellent un contact avec une philippine, carrément canon, mais à 10 000 kms de la France et je suis encore loin de l'âge de la retraite pour passer 6 mois de l'année là-bas.
J'ai bien entendu eu droit à l'envoi d'un peu d'argent (pas bézef, faut être franc), mais je me disais que c'était peu et en même temps j'étais agacé.
A réception de l'argent, elle m'a demandé une copie de ma carte d'identité. Pour aller chercher l'argent soi-disant. J'ai dis non, ce n'est pas la peine. Elle s'est excusé puis a demandé des contacts quotidiens par skype (pas de sexe sur cam évidemment, je ne suis pas si bête et en plus ça ne me branche pas).
Ca m'a vite gonflé.
En même temps, qu'est ce qu'elle était canon ... j'ai failli prendre un avion à un moment où j'avais une semaine de dispo, histoire de voir jusqu'où elle était sincère. Ma foi, elle l'était peut-être, mais de toutes façons la LDR (long distance relation comme elles disent) bof ...
Le soft consiste à montrer leur village misérable dans leur coin de province. Elles parlent de leurs projets de retaper une baraque, de se faire faire une poitrine ou de monter une affaire.
Le moins soft, ce sont les problèmes avec la santé de leur grand mère, de leur père ou les frais d'inscription à l'école de leur petit frère. Vient ensuite leur besoin d'argent pour voyager, pour se payer un hotel ou de la drogue. Les thaïlandaises sont soft dans la mesure où généralement, elles ne sont pas très pressantes. Elles ne demandent pas mais elles attendent qu'on leur en propose.
La bonne vieille arnaque, c'est bien sûr le water-buffalo dead in the farm. C'est la plus ancienne et elle fait rire tous les initiés. Mais quand on se rend compte qu'on s'est fait coincer, c'est un peu la honte.
Les philippines essayent parfois de tout torcher en moins d'une heure, surtout les ladyboys. Elles prennent contact sur Pinalove.com ou avant sur dateinasia et en une heure, elles expliquent qu'elles sont tombées amoureuses puis vient la demande pour avoir de l'argent. Aux Phiilippines, ce sont les frais de scolarité du petit frère à payer, le docteur pour les parents ou le petit frère ou le forfait de téléphone (internet) à renouveler. J'en ai fait virer quelques unes de dateinasia.
Je me suis déjà fait arnaquer des petites sommes. Comme je vais moins aux putes en France, ça passe. Celle qui m'a le plus estomaqué était un femboy que j'avis vue 4 ou 5 fois à Bangkok. Je lui ai envoyé 2 messages depuis la France et elle m'a demandé de l'argent pour rester en relation ou alors elle me blouerait. Je lui ai expliqué que je l'avais payée pour le sexe pas pour échanger des messages mais que je pouvais arrêter. C'est venu sur la table qu'elle confondait amour/amitié et argent mais c'est quelque chose qu'elle assumait pleinement.
C'est assez curieux le coup de la carte d'identité. A la base, elle n'a même pas besoin de ton nom pour récupérer l'argent (si c'est par Western Union). Il suffit juste d'avoir le numéro du virement et d'avoir écrit son nom sur le mandat. Les plus habiles ont toujours une bonne raison pour extorquer quelque chose en jouant les victimes. Par contre, tu ne risquais pas grand chose avec une philippine en vidéo chat sur Skype. Elles ne font pas les arnaques des ivoiriens qui enregistrent un vidéo chat érotique. La voir en vidéo, c'est primordial avant de la rencontrer. A force, mon instinct me dit si j'ai affaire à une arnaque ou pas. En général, les photos de leur messagerie me suffisent.
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Samutprakan
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Petit lexique vite fait pour la comprendre le charabia de mes posts
Koh = île. Koh Lanta, Koh Phuket, Koh Munist, Koh Yao Yai
Ao = baie Ao Nang (à coté de Krabi), Ao Phang Nga
Mueang = ville, chef-lieu Mueang Phuket est une ville située à l’est de Koh Phuket
Hat = plage Hat Patong fait partie de Mueang Kathu sur Koh Phuket
Thanon = route ou rue Thanon Bangla (à Hat Patong)
Soi = rue, ruelle, allée On trouve des «soi» de part et d’autre d’une «thanon»
Ladyboy = transsexuelle en Asie. Le mot en Thaïlandais est กะเทย qui signifie bisexuel (étonnant). J’ai aussi trouvé un autre mot qui signifie «2 filles».
Katoey = travesti Le mot est souvent pris de manière péjorative, évitez de l’utiliser. Selon une émission sur arte le mois dernier, ce mot signifierait «différent». Je n’ai rien trouvé pour confirmer.
Tilac ou tirac (teerak en anglais) = chéri(e). C’est plus distingué de parler de sa tirac plutôt que de parler de la dernière pute qu’on s’est payée.
Pour les autres mots, reportez vous à votre guide du routard ou équivalent.
Petit guide traduction de l’anglais par les ladyboys/filles de bar (LOL) :
Hello sexy man = salut connard
Sit down please = assieds toi pauvre con
You handsome man = t’as une à avoir du pognon
Where you from ? = dans quelle devise vais-je palper le gros lot
You want to stay with me ? = paye moi un lady’s drink
I love you = j’aime ton argent
You have good heart = tu m’as l’air d’un bon pigeon
I miss you = ton argent me manqué
I no want money = j’ai besoin d’argent
I no like work bar = paye moi une barfine
She same same my sister = je la connais depuis hier soir
He same same my brother = c’est mon petit ami
I go with him before no boom boom = il m’a déjà sautée
Money me = mon argent
Money you = mon argent
Je pense avoir couvert tous les sujets que je souhaitais traiter. J'ai esayé d'être objectif au maximum, mais un peu de subjectivité permet parfois beaucoup plus de concision. Je repasserai por ajouter quelques mises à jour (j'ai déjà trouvé des nouveaux détails).
J'espère que ce forum n'attendra pas 7 ans avant qu'un nouveau visiteur vienne expliquer sa vision des ladyboys de Thaïlande en détail.
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Koh = île. Koh Lanta, Koh Phuket, Koh Munist, Koh Yao Yai
Ao = baie Ao Nang (à coté de Krabi), Ao Phang Nga
Mueang = ville, chef-lieu Mueang Phuket est une ville située à l’est de Koh Phuket
Hat = plage Hat Patong fait partie de Mueang Kathu sur Koh Phuket
Thanon = route ou rue Thanon Bangla (à Hat Patong)
Soi = rue, ruelle, allée On trouve des «soi» de part et d’autre d’une «thanon»
Ladyboy = transsexuelle en Asie. Le mot en Thaïlandais est กะเทย qui signifie bisexuel (étonnant). J’ai aussi trouvé un autre mot qui signifie «2 filles».
Katoey = travesti Le mot est souvent pris de manière péjorative, évitez de l’utiliser. Selon une émission sur arte le mois dernier, ce mot signifierait «différent». Je n’ai rien trouvé pour confirmer.
Tilac ou tirac (teerak en anglais) = chéri(e). C’est plus distingué de parler de sa tirac plutôt que de parler de la dernière pute qu’on s’est payée.
Pour les autres mots, reportez vous à votre guide du routard ou équivalent.
Petit guide traduction de l’anglais par les ladyboys/filles de bar (LOL) :
Hello sexy man = salut connard
Sit down please = assieds toi pauvre con
You handsome man = t’as une à avoir du pognon
Where you from ? = dans quelle devise vais-je palper le gros lot
You want to stay with me ? = paye moi un lady’s drink
I love you = j’aime ton argent
You have good heart = tu m’as l’air d’un bon pigeon
I miss you = ton argent me manqué
I no want money = j’ai besoin d’argent
I no like work bar = paye moi une barfine
She same same my sister = je la connais depuis hier soir
He same same my brother = c’est mon petit ami
I go with him before no boom boom = il m’a déjà sautée
Money me = mon argent
Money you = mon argent
Je pense avoir couvert tous les sujets que je souhaitais traiter. J'ai esayé d'être objectif au maximum, mais un peu de subjectivité permet parfois beaucoup plus de concision. Je repasserai por ajouter quelques mises à jour (j'ai déjà trouvé des nouveaux détails).
J'espère que ce forum n'attendra pas 7 ans avant qu'un nouveau visiteur vienne expliquer sa vision des ladyboys de Thaïlande en détail.
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Oui, j'ai pas trop compris sur le coup. Et j'avais évidemment en tête les arnaques des ivoiriens. En même temps, elle venait de me donner son état-civil et son adresse pour le transfert western union (50€, mais pas pour sa famille ou pour le buffle, c'était pour racheter un sèche-cheveux pour son salon - le salon était véridique en tout cas, j'en ai vu pas mal de photos). Peut-être que c'était pour "égaliser" (tu as mon état-civil, j'ai le tien).Samutprakan a écrit :C'est assez curieux le coup de la carte d'identité. A la base, elle n'a même pas besoin de ton nom pour récupérer l'argent (si c'est par Western Union). Il suffit juste d'avoir le numéro du virement et d'avoir écrit son nom sur le mandat. Les plus habiles ont toujours une bonne raison pour extorquer quelque chose en jouant les victimes. Par contre, tu ne risquais pas grand chose avec une philippine en vidéo chat sur Skype. Elles ne font pas les arnaques des ivoiriens qui enregistrent un vidéo chat érotique. La voir en vidéo, c'est primordial avant de la rencontrer. A force, mon instinct me dit si j'ai affaire à une arnaque ou pas. En général, les photos de leur messagerie me suffisent.
Il faut avouer que la suspicion vient vite quand on est occidental, on craint d'avoir l'étiquette "pigeon" sur la tronche et il est assez désagréable d'avoir continuellement cette idée en tête. Pourtant, au feeling, je la sentais plutôt correcte (de par mon métier, il est rare que j'avale des couleuvres alors j'ai tendance à plutôt faire confiance à mon feeling).
Mais bon, au résultat, entre cette suspicion et la distance, ça ne laisse pas beaucoup de chances. Ou alors il faut prendre le contact et partir là-bas le mois suivant.
Et puis 15 minutes par jour sur skype avec quelqu'un que je n'ai jamais rencontré et que je ne verrai pas avant plusieurs mois ... franchement bof. C'est marrant au début, mais je me suis très vite lassé.
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Ce sont des classqiues des forums de punters en Thaïlande.choxxxz a écrit :J'adore le guide de traduction, très drôle. Merci.
Comme d'habitude, alors que je cherchait des fils entiers sur le sujet, je n'en ai pas trouvé. Mais la manière dont les différences culturelles sont exploitées font l'objet de toutes sortes de vannes.
Celle-ci vient d'un dessin d'un anglais installé à Pattaya, Mike. Son site : http://amuzingthaicartoons.com/
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C'était peut-être inconsciemment une manière de chercher à t'engager. Ce qui est quasi certain, c'est qu'il n'y a pas de chantage avec des vidéos érotiques comme le font les ivoiriens (je n'en ai jamais entendu parler avec les philippins).biboplove a écrit :Oui, j'ai pas trop compris sur le coup. Et j'avais évidemment en tête les arnaques des ivoiriens. En même temps, elle venait de me donner son état-civil et son adresse pour le transfert western union (50€, mais pas pour sa famille ou pour le buffle, c'était pour racheter un sèche-cheveux pour son salon - le salon était véridique en tout cas, j'en ai vu pas mal de photos). Peut-être que c'était pour "égaliser" (tu as mon état-civil, j'ai le tien).
50 €, ça lui fait un mois de salaire. Tu ne sauras jamais ce qu'il y avait de vrai dans son histoire de sèche cheveu. (Le buffle, c'est l'archétype du mensonge des thaïlandaises).
Mais nous sommes des pigeons et elles le savent. On croit pouvoir acheter leur amitié en leur envoyant 50 €, mais le mois suivant,, tout sera à refaire, alors elles cherchent des amis virtuels qu'elles ne rencontreront jamais.biboplove a écrit : Il faut avouer que la suspicion vient vite quand on est occidental, on craint d'avoir l'étiquette "pigeon" sur la tronche et il est assez désagréable d'avoir continuellement cette idée en tête. Pourtant, au feeling, je la sentais plutôt correcte (de par mon métier, il est rare que j'avale des couleuvres alors j'ai tendance à plutôt faire confiance à mon feeling).
Je me suis remis d'aplomb lorsque j'ai décidé d'imposer une règle d'or ferme et sans dérogation : pas d'argent avant de se rencontrer. ça refroidit la plupart des philippines et les thaïlandaises se révèlent plus honnêtes alors qu'elles se prostituent. L'an dernier, un ladyboy thaï hors milieu m'a tenu en haleine pendant 2 mois et m'a demandé de l'argent. Je lui est juste répondu "Ah ? tu n'es pas intéressée de me voir ?".biboplove a écrit : Mais bon, au résultat, entre cette suspicion et la distance, ça ne laisse pas beaucoup de chances. Ou alors il faut prendre le contact et partir là-bas le mois suivant.
Un autre motif très courant pour réclamer de l'argent "Dans 3 jours, c'est mon anniversaire". C'est dingue comme je tombe toujours juste avant leur date d'anniversaire. Même dans Thaïfriendly, elles ouvrent de nouveaux comptes avec ude nouveaux pseudos pour avoir une nouvelle dzte d'anniversaire.
Le coup de l'anniversaire, c'est aussi utilisé comme argument commercial dans les bars en Thaïlande. Ils font des soirées pour fêter l'anniversaire d'une des filles et il faut l'arroser de pourboires qu'elle va exhiber (ça fait partie des usages des bars).
Fête d'anniversaire dans _________
un bar à Bangkok.
Non, ça n'en vaut pas la peine. Pourtant, j'en ai passé du temps à chercher à "pécho" sur des sites de rencontre (dateinasia , puis thaifriendly et récemment pinalove). Ce n'est pas plus idiot que de passer des heures sur un forum à lire chercher des infos noyées dans le buzz du bavardage ambiant. Il y a même uen fois où c'est une touche qui m'a décidé à partir, mais une touche, ce n'est pas suffisant.biboplove a écrit : Et puis 15 minutes par jour sur skype avec quelqu'un que je n'ai jamais rencontré et que je ne verrai pas avant plusieurs mois ... franchement bof. C'est marrant au début, mais je me suis très vite lassé.
Je réactive mes comptes, environ 3 mois avant de partir. (Skype, c'est pour les philippines, mais en Thaïlande, on utilise Line à la place de Skype mais aussi à la place des SMS). Je cherche à avoir quelques contacts par ville dans Line et je les réactive une fois sur place. Beaucoup peuvent se perdre en l'espace de 2/3 semaines seulement.
J'ai même lu un post d'un anglais qui supprime tous ses comptes de sites de rencontres et de messagerie après son retour et en crée de nouveaux 9 mois plus tard. Je cherche à à peaufiner une autre tactique : avec Thaifriendly (ou Pinalove) + Badoo + Tinder + Wechat, j'ai plusieurs outils pour ratisser différemment. Pour l'instant, je sais jamais lequel va mordre, mais je sais que je n'aime pas aller chasser dans les bars.
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Samutprakan
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Udon Thani
https://www.google.fr/maps/place/Centra ... Udon+Thani
J’ai trouvé quelques informations sur cette ville de l’Isaan à une heure de vol de Bangkok et 1 heure de voiture du Laos. A ma grande surprise, ce serait la ville de l’Isaan où il serait le plus facile de trouver des ladyboys. A confirmer … Tant mieux, mais inutile de se précipiter. Le résultat reste assez mince et il semblerait bien que l’action de la police depuis le couvre-feu de 2014 ait quelques peu réduit la petite activité nocturne de la ville.
Des ladyboys _______
à Udon Thani
Comme dans les autres villes provinciales où on trouve des ladyboys, lesladyboys se trouvent en premier au milieu des filles de bar. Les deux lieux de vie nocturne les plus visibles d’Udon Thani sont le Day and Night Complex et le Nutty Park (des ensembles d’une vingtaine de bars chacun). On trouve aussi des ladyboys en freelance dans les nights clubs comme le Tawan Daeng (un grand bâtiment à l’entrée de Central Plaza) ou le Phoenix (Thanon Abdulyadej) ou encore le Yellow bird à l’arrière de l’hôtel Charoen.
Avec un peu de chance, on peut aussi rencontrer quelques ladyboys au parc Nong Parjak à l’ouest du centre ville. Le beach bar restaurant (à proximité du complexe Day & Night de l’autre coté de la rue dans soi Farang) ) est aussi réputé pour recruter des serveuses ladyboys.
__________________
__________________ Cliquez sur le plan pour l'agrandir.
En journée, on peut essayer de draguer des ladyboys au Central Plaza dans la mesure où elles sont attirées par les boutiques de parfum et aussi dans la mesure où la barrière linguistique ne constitue pas un problème. A partir de 4 heures de l’après midi, il vaut mieux tenter la drague du coté du Night Market.
Si j’avais à aller du coté d’UT, je pense que je n’oublierais pas d’utiliser une combinaison de mes outils favoris.
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https://www.google.fr/maps/place/Centra ... Udon+Thani
J’ai trouvé quelques informations sur cette ville de l’Isaan à une heure de vol de Bangkok et 1 heure de voiture du Laos. A ma grande surprise, ce serait la ville de l’Isaan où il serait le plus facile de trouver des ladyboys. A confirmer … Tant mieux, mais inutile de se précipiter. Le résultat reste assez mince et il semblerait bien que l’action de la police depuis le couvre-feu de 2014 ait quelques peu réduit la petite activité nocturne de la ville.
Des ladyboys _______
à Udon Thani
Comme dans les autres villes provinciales où on trouve des ladyboys, lesladyboys se trouvent en premier au milieu des filles de bar. Les deux lieux de vie nocturne les plus visibles d’Udon Thani sont le Day and Night Complex et le Nutty Park (des ensembles d’une vingtaine de bars chacun). On trouve aussi des ladyboys en freelance dans les nights clubs comme le Tawan Daeng (un grand bâtiment à l’entrée de Central Plaza) ou le Phoenix (Thanon Abdulyadej) ou encore le Yellow bird à l’arrière de l’hôtel Charoen.
Avec un peu de chance, on peut aussi rencontrer quelques ladyboys au parc Nong Parjak à l’ouest du centre ville. Le beach bar restaurant (à proximité du complexe Day & Night de l’autre coté de la rue dans soi Farang) ) est aussi réputé pour recruter des serveuses ladyboys.
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En journée, on peut essayer de draguer des ladyboys au Central Plaza dans la mesure où elles sont attirées par les boutiques de parfum et aussi dans la mesure où la barrière linguistique ne constitue pas un problème. A partir de 4 heures de l’après midi, il vaut mieux tenter la drague du coté du Night Market.
Si j’avais à aller du coté d’UT, je pense que je n’oublierais pas d’utiliser une combinaison de mes outils favoris.
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